Ma petite découverte .
Je pense que l'un des grands facteurs de la réussite est la régularité. Il vaut mieux faire régulièrement ses exercices, ses révisions, travailler ses objectifs que de travailler de temps en temps de façon intensive. C'est genre le mec qui voit Roland Garros et qui fait 10 h de tennis en une semaine et qui arrête pendant 3 mois complètement démotivé. Moi par exemple j'ai voulu me lancer dans les sports de combat en faisant 3 sports de combats au même moment et j'allais jusqu’à 15 heures par semaine et paf blessure pendant 3 mois. Et les mecs qui allait à la salle une fois par semaine alors que moi 4, sont devenus beaucoup plus forts car ils ont étaient régulier. Si on pousse sa zone de confort, on travail de manière régulière et on a un objectif positif, je pense qu'il est possible d'atteindre des objectifs vraiment difficiles. "On ne dit pas je vais construire un mur mais chaque jour je vais posé une brique de la façon la plus parfaite possible et cela va donner un mur". Je pense que c'est un peu pareil avec la séduction, on apprend pas à devenir un maître de la drague en peu de temps sauf si on s'appel Neil Strauss qui lui possédait un environnement extérieur et un réseau social exceptionnel de part son métier. Ne jamais s’arrêter et chaque jour poser une brique (pas d'image crade plz). Je pense qu'il est plus intéressant de faire 20 minutes d'un peu plus d'hier par jour que 4h a fond chaque mois.
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [+1] Ca va mieux en le disant le 07.06.11, 23h59 par Terrigan
- [+1] Absolument le 16.09.11, 13h19 par freshtouch
Régularité, imperméabilité à la démotivation, goût pour la difficulté, insensibilité à l'échec, et croyance forte que l'échec rapproche du succès.
FrenchKiss j'ai du mal à savoir si tu pense que la régularité est une bonne chose ou une mauvaise chose.
PS : quand je dis ma petite découverte, ce n'est pas parce que c'est moi qui ai trouvé cela, c'est juste que je l'ai découvert par moi même.
PS : quand je dis ma petite découverte, ce n'est pas parce que c'est moi qui ai trouvé cela, c'est juste que je l'ai découvert par moi même.
Pardon j'ai pas été très clair :)
La régularité est une bonne chose, si tu en es capable.
Les différents trucs que je cite sont selon moi les principaux facteurs de réussite. Tu peux les mobiliser à des degrés divers et variés, l'idéal est d'être capable de faire appel à tout ça - mais on n'en est pas tous capables.
La régularité est une bonne chose, si tu en es capable.
Les différents trucs que je cite sont selon moi les principaux facteurs de réussite. Tu peux les mobiliser à des degrés divers et variés, l'idéal est d'être capable de faire appel à tout ça - mais on n'en est pas tous capables.
Si j'étais tatillon j'arguerais que les deux dernières se contredisent si on les prend au pied de la lettre. Mais on comprend ce que tu veux direRégularité, imperméabilité à la démotivation, goût pour la difficulté, insensibilité à l'échec, et croyance forte que l'échec rapproche du succès.

Je serais plus modéré en fait, au bénéfice j'espère des personnes qui passeront ici et qui ne sont ni des machines, ni des surhommes. Ces valeurs ne sont pas des absolus :
- la régularité peut se permettre des pauses à l'occasion, et c'est même parfois indispensable afin de prendre du recul.
- la démotivation est un sentiment, et tant qu'elle n'est que passagère, ça montre juste qu'on est humain. Idem pour la sensibilité à l'échec d'ailleurs.
- enfin, la croyance que l'échec rapproche du succès ne se suffit pas. Pour que ce soit une réalité et non une croyance inefficace, il faut savoir tirer enseignement de ses échecs.
Au sujet de la motivation, une expérience intéressante a été menée sur des étudiants (c'est très américain ça les expériences sur les étudiants) :
Un groupe d'étudiants attend le début de l'expérience. Sur le bureau, une assiette pleine de biscuits diffuse une alléchante odeur de cookies au chocolat tout juste sortis du four. Au bout de 10 minutes, l'expérimentateur arrive, divise les étudiants en deux groupes A et B. Il indique qu'il va sortir de la pièce, et que pendant son absence, les étudiants du groupe A devront manger un cookie de l'assiette, tandis que ceux du groupe B devront manger un radis (il pose une assiette de radis à côté des cookies).
Sur ce, il sort de la pièce, afin de laisser la possibilité aux étudiants de batailler avec leur conscience. Curieusement, aucun ne triche. Dix minutes plus tard, l'expérimentateur revient, et distribue à tous les étudiants un problème de logique. Une figure à faire sans lever le crayon... sauf que le problème est volontairement impossible.
Au final, le résultat est intéressant : en moyenne, les étudiants du groupe A cherchent pendant 19 minutes, alors que ceux du groupe B abandonnent au bout de 8 minutes.
L'avis qui fait à peu près consensus chez les psychologues, c'est que la volonté est une ressource dont on dispose en quantité limitée, que l'on utilise et que l'on renouvelle. Et essayer de forcer lorsqu'on est à court est contreproductif, il vaut mieux faire un break, s'aérer l'esprit et repartir avec un stock de volonté gonflé à bloc

Alors, soyez un peu indulgents avec vous-même de temps en temps. Entre la rigueur inflexible et la larve sans volonté, il y a un équilibre à trouver.
(A noter également que ce stock et sa vitesse de régénération sont propres à chacun, et surtout, point intéressant, qu'on peut travailler à les augmenter, par exemple en prenant l'habitude de se refuser des petits plaisirs régulièrement).
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [+1] Ca va mieux en le disant le 19.06.11, 02h17 par Sérum
- [+1] Intéressant le 05.07.11, 05h00 par Worldreams
- [0] Merci ! :) le 27.10.11, 12h18 par Identity
Je pense qu'on peut aussi rajouter aux facteurs de réussite, conditionnement/ancrage de l'activité dans le quotidien. Dès lors qu'une activité devient une habitude, une sorte de rituel, alors on en vient à le faire sans se sentir contraint, et les progrès ne sont plus qu'une question de temps à ce niveau-là!
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Toi apparemment t'étais régulier, mais ton problème, c'est le SURENTRAINEMENT, t'as priviligié la QUANTITE à la QUALITE.Chipster a écrit : Moi par exemple j'ai voulu me lancer dans les sports de combat en faisant 3 sports de combats au même moment et j'allais jusqu’à 15 heures par semaine et paf blessure pendant 3 mois.
15 heures de sport + 4 fois musculation = t'as un entrainement de pro, sauf que t'es pas entouré très bon professionel pour la récupération : nutritionniste, kiné, osthéopathe, médecin du sport etc....
Trop de travail, de sport, de drague, ça peut être néfaste car grosse fatigue sauf exception, si t'as une armée de pro autour de toi

Je pense également que dans cet esprit , il ne faut pas ammeger des horraires exprès pour sarger ou aller en ville dans ce but . Il est préférable de le faire lors des trajets domicile/extérieur , c'est plus agréable , il y a moins de pression & on gaspille pas de temps 

- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [0] Absolument le 09.09.11, 01h28 par Hey Bro