Bon alors ce soir-là on est sorti avec sword et un pote à nous. Rendez-vous est pris dans un bar. Un autre pote nous rejoint. Equipe de 4. A peine revenue de la pause clope, mon équipier est déjà dans le game. C’est partie : Deux gonzesses australiennes à une table ajdacente. Je fais ce que je peux pour me concentrer parce que mon anglais est médiocre, bref j’observe. Il est bon le salaud, le travail paie c’est ce que je me dis. Deux nanas nous rejoindrons plus tard, de petit niveau ( et croyez moi que ça m’irrite de parler d’être humain en ces termes mais ça n’est pas vraiment sérieux tout ça). Direction le social. De ce que je comprends, c’est naze comme boite. Ce que je comprends moins c’est qu’on y va quand même. Enfaite le lieu importe peu, ce qui importe c’est les gens qui remplisse ce lieux et ça tombe bien parce que mon équipier arrangue deux nanas dans la rue devant la boite. Hop venez avec nous sinon on rentrera pas, en plus c’est vous les gagnantes vous nous avez vu ?
Bingo.
Je sais pas si elle y ont gagné quoique ce soit mais nous si. On a remplacé nos deux gueuses (quand même vachement simpa) par deux meufs plutôt mignonnes (qui ETRANGEMENT me semblait plus conne). Mais les regrets et la gueules de boit j’ai déjà prévu, c’est pour demain. Donc les deux meufs simpa mais moches se font refoulé et nous on rentre avec les deux pouffiasses mais mignonnes. A l’intérieur c’est pas mal sans plus y’a mieux le son est pas dégeulasse, c’est une boite de nuit, c’est faux on fait semblant fois 10 dans une boite de nuit. On danse et mon équipier attaque la viande tel un carnassier. La boucherie est ouverte, à table et bon appétit. Il enlace sa victime et la croque, sans pitié. Vexé de son audace je fais de même avec ma proie. Lâche-toi ! Que je lui lance. Elle s’exécute, la viande est docile. On danse, on joue, je l’a eye contact je me rapproche elle prend la confiance je me recul, puis je l’attrape par la hanche ; fougueusement serait exagéré car je n’avais aucune passion pour cette fille, de façon déterminé diront nous. Collé serré les visages se rapproche ça joue mais elle peut pas gagner parce que c’est moi qu’est construit les règles et elle adore ça ! : kiss close langue.
Ca commence bien.
Rend moi ma bouche j’en ai besoin pour fumer (et éventuellement pour te laisser mijoter) ; Direction coin fumeur. La y’a un pote qui papote avec une nana. Elle est cool et intéressante, on discute d’un peu de tout. J’en ai zappé l’autre. L’autre parce que quand je l’ai retrouvé, mon intérêt s’est évanouit je me dis que malgré ça je l’a ramènerais bien chez moi histoire de Fuck close dans la foulé. Mais je n’ai rien à lui dire. Rien ne me vient. L’intérêt à disparu surement parce que l’affaire a été trop rapide et du coup tout échange à perdu de son sens de son intérêt, et l’excitation s’est envolé aussi vite qu’elle est apparu ; Elle était nettement plus bonne devant la boite. J’avais construit les règles d’un jeu mais j’avais oublié que c’était moi le boss de fin.
On pense avec notre queue même si le cœur n’y ait pas. Malaise, le feeling passe pas, malgré des tentatives. Je n’en ai pas vraiment envi. Je ne peux pas faire semblant plus longtemps. Je préfère discuter avec l’autre fille intéressante qui finit par s’en aller, on espère se revoir. La cible s’en va danser l’air un peu dépité et j’en ai rien à foutre. Du coup avec un pote on se casse laissant mon équipier avec sa proie, sa besogne.
Bilan de la soirée : Kiss close à mon avis beaucoup trop rapide et donc dénué d’intérêt et sur le chemin du retour un gout amer de pas voir conclut en fuck, de pas avoir gérer la target. Mais étant des êtres éternellement insatisfaits, je me contente du positif. Et puis merde je vais pas m’en vouloir d’avoir trouvé aucun intérêt à cette fille, c’était comme ça. En lisant david de angelo j’ai trouvé se passage : ne pas se jeter sur une fille, cela est vu comme un manque d’assurance.
Balancez vos conseils les gars, le game continue!
Biz