Inner game ou cultiver sa propre légende
Posté : 24.05.12
Bonjour à tous!
Pour bien comprendre, je vais résumer en quelques mots ma situation actuelle.
Sans vous prendre la tête; bien sûr. Vous êtes pas obligés de lire le paragraphe suivant.
J'ai quitté mon socle de repères (famille, amis, réseau social établi) il y a de cela quatre ans, dans un but que je ne suis pas encore certain de comprendre. Je crois qu'au fond, je voulais me priver de toute forme d'amour, pour devenir un homme et ne plus m'entériner dans le confort "maternel".
Ça doit être pour ça aussi que j'ai tout raté avec mon ex; mais passons.
J'ai enchaîné les boulots pourraves, les formations, les déménagements. Il y a quelques mois je suis revenu habiter chez mes parents et je suis au chômage depuis 6 mois. Je revois d'anciens amis. Il faut dire que c'est le si peu de vie sociale qu'il me reste: famille et sorties dans les bars entre amis. J'ai aussi vécu la dépression, ce qui m'a pas mal désocialisé.
BREF.
Au fur et à mesure que je me détachais de mes repères, je devenais de plus en plus timide rapport à mes nouveaux collègues de formation/travail. Il faut comprendre que j'étais plutôt bout-en-train, sans gêne et les gens m'aimaient généralement.
Alors je repense à ces années où j'étais ado.
Où j'allais vers strictement n'importe qui en étant absolument persuadé qu'ils adoreraient parler avec moi, parce que j'adorais ma vie, parce que leur regard me le disait. Je me souviens encore de l'énergie que je dégageais, et surtout, de mon pouvoir de séduction.
Ma question chers amis, c'est, comment revenir à cet état de confiance totale? Qu'est-ce qui a changé? J'ai certes coupé les ponts avec la société et les activités que j'aimais; mais cela n'explique pas cette timidité nouvelle qui me bouffe un peu. Je n'ai tout bonnement rien à dire. Mon visage se crispe en société.
Et je ne fais que penser au regard des autres et à leur jugement. Alors qu'auparavant, je partais du principe ou leur jugement était déjà positif, et que ça leur ferait plaisir de me parler, en toutes circonstances; et je trouvais à fluffer sans même m'en soucier...
Merci d'avance en tous cas si vous avez lu

Pour bien comprendre, je vais résumer en quelques mots ma situation actuelle.
Sans vous prendre la tête; bien sûr. Vous êtes pas obligés de lire le paragraphe suivant.
J'ai quitté mon socle de repères (famille, amis, réseau social établi) il y a de cela quatre ans, dans un but que je ne suis pas encore certain de comprendre. Je crois qu'au fond, je voulais me priver de toute forme d'amour, pour devenir un homme et ne plus m'entériner dans le confort "maternel".
Ça doit être pour ça aussi que j'ai tout raté avec mon ex; mais passons.
J'ai enchaîné les boulots pourraves, les formations, les déménagements. Il y a quelques mois je suis revenu habiter chez mes parents et je suis au chômage depuis 6 mois. Je revois d'anciens amis. Il faut dire que c'est le si peu de vie sociale qu'il me reste: famille et sorties dans les bars entre amis. J'ai aussi vécu la dépression, ce qui m'a pas mal désocialisé.
BREF.
Au fur et à mesure que je me détachais de mes repères, je devenais de plus en plus timide rapport à mes nouveaux collègues de formation/travail. Il faut comprendre que j'étais plutôt bout-en-train, sans gêne et les gens m'aimaient généralement.
Alors je repense à ces années où j'étais ado.
Où j'allais vers strictement n'importe qui en étant absolument persuadé qu'ils adoreraient parler avec moi, parce que j'adorais ma vie, parce que leur regard me le disait. Je me souviens encore de l'énergie que je dégageais, et surtout, de mon pouvoir de séduction.
Ma question chers amis, c'est, comment revenir à cet état de confiance totale? Qu'est-ce qui a changé? J'ai certes coupé les ponts avec la société et les activités que j'aimais; mais cela n'explique pas cette timidité nouvelle qui me bouffe un peu. Je n'ai tout bonnement rien à dire. Mon visage se crispe en société.
Et je ne fais que penser au regard des autres et à leur jugement. Alors qu'auparavant, je partais du principe ou leur jugement était déjà positif, et que ça leur ferait plaisir de me parler, en toutes circonstances; et je trouvais à fluffer sans même m'en soucier...
Merci d'avance en tous cas si vous avez lu
