Journal d'un névrosé
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Bonjour à tous !
Il pleut aujourd'hui, je me suis dit pourquoi pas commencer un journal.
Je poste de temps en temps sur le forum mais je ne me suis jamais présenté. J'en profite pour le faire maintenant.
Je suis Heisenberg (comme le physicien ou le personnage de Breaking Bad, comme vous voulez). Je me suis mis sérieusement au Game en Avril dernier.
ATTENTION: si vous aimez lire des FR de fou, avec des KC à tout-va et des FC à foison, vous serez déçus. Pour ainsi dire, depuis quelques mois que je pratique, je n'ai jamais récupéré un seul numéro dans la rue. Mais j'ai gagné bien mieux que ça.
Je suis atteint de différentes névroses que j'essaye de combattre en draguant des filles dans la rue. Chacun sa thérapie après tout. Pour être plus clair, je suis atteint de trouble panique avec agoraphobie, d'anxiété généralisée, de troubles obsessionnels compulsifs, d'anxiété sociale et de dysmorphophobie. Il ne s'agit pas là d'une coïncidence, tout est plus ou moins lié.
Mes objectifs sont basiques: pouvoir être à l'aise et moi-même dans une foule, pouvoir être détendu quand je parle à une femme ou un homme inconnu.
Que mettrai-je dans ce journal alors si je n'ai aucun FR à raconter ? Si cela intéresse des gens, je pourrais parler des différentes manifestation de ces maladies ainsi que des thérapies modernes pour les vaincre (thérapies que la plupart des gourous puaesque se sont emparés sans le dire pour les appliquer à la séduction).
Je pourrais aussi vous parler d'online game, que j'ai pu pratiquer à volonté quand j'étais cloué chez moi pendant des mois et des mois. J'ai pu analyser ce qui marche et ce qui ne marche pas. Bien sûr, cela est le fruit de mon expérience, et tout ce que je dirai sera à prendre avec des pincettes.
Je ne sais pas si ce journal sera court ou long. Quoiqu'il en soit, merci à tous ceux qui me liront !
Il pleut aujourd'hui, je me suis dit pourquoi pas commencer un journal.
Je poste de temps en temps sur le forum mais je ne me suis jamais présenté. J'en profite pour le faire maintenant.
Je suis Heisenberg (comme le physicien ou le personnage de Breaking Bad, comme vous voulez). Je me suis mis sérieusement au Game en Avril dernier.
ATTENTION: si vous aimez lire des FR de fou, avec des KC à tout-va et des FC à foison, vous serez déçus. Pour ainsi dire, depuis quelques mois que je pratique, je n'ai jamais récupéré un seul numéro dans la rue. Mais j'ai gagné bien mieux que ça.
Je suis atteint de différentes névroses que j'essaye de combattre en draguant des filles dans la rue. Chacun sa thérapie après tout. Pour être plus clair, je suis atteint de trouble panique avec agoraphobie, d'anxiété généralisée, de troubles obsessionnels compulsifs, d'anxiété sociale et de dysmorphophobie. Il ne s'agit pas là d'une coïncidence, tout est plus ou moins lié.
Mes objectifs sont basiques: pouvoir être à l'aise et moi-même dans une foule, pouvoir être détendu quand je parle à une femme ou un homme inconnu.
Que mettrai-je dans ce journal alors si je n'ai aucun FR à raconter ? Si cela intéresse des gens, je pourrais parler des différentes manifestation de ces maladies ainsi que des thérapies modernes pour les vaincre (thérapies que la plupart des gourous puaesque se sont emparés sans le dire pour les appliquer à la séduction).
Je pourrais aussi vous parler d'online game, que j'ai pu pratiquer à volonté quand j'étais cloué chez moi pendant des mois et des mois. J'ai pu analyser ce qui marche et ce qui ne marche pas. Bien sûr, cela est le fruit de mon expérience, et tout ce que je dirai sera à prendre avec des pincettes.
Je ne sais pas si ce journal sera court ou long. Quoiqu'il en soit, merci à tous ceux qui me liront !
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [+1] Bonne idée le 30.08.12, 19h55 par keban
- [0] Encore le 30.08.12, 21h34 par karim
- [+1] Sympa :) le 30.08.12, 23h37 par speed12567
- [+1] Ca va mieux en le disant le 31.08.12, 01h17 par Aristophane
- [+1] Like ! le 31.08.12, 12h32 par the artiste
- [+1] +1 le 02.09.12, 16h36 par h0tr0d
- [0] Ca va mieux en le disant le 09.09.12, 00h08 par YummyMatt
- [+1] Intéressant le 02.10.12, 15h21 par Reborn
Bonsoir à toutes et à tous.
@ Heisenberg: j'ai lu ton post avec intérêt! Ton expérience en aidera sûrement quelques-uns!
La suite! La suite!
Up the irons!
Aristophane's touch: " aussi peu que possible, mais autant que nécessaire"...
@ Heisenberg: j'ai lu ton post avec intérêt! Ton expérience en aidera sûrement quelques-uns!

La suite! La suite!

Up the irons!
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(Merci Aristophane ;) la suite tout de suite)
Imaginez que vous êtes debout, les mains menottées dans le dos. Imaginez que vos pieds sont attachés. Imaginez que vous avez un baillon autour de la bouche rendant votre respiration difficile. Imaginez qu'en plus vous êtes au bord d'une falaise d'une centaine de mètres de haut. Imaginez enfin qu'un vent fort et aléatoire souffle, vous poussant tantôt vers la terre, vous bousculant tantôt vers le précipice.
Je ne suis pas fou, non. Certaines de mes réactions peuvent le faire croire cependant.
Peut-être avez-vous déjà vécu au moins une fois un épisode névrotique dans votre vie (par exemple à l'occasion d'un oneitis). Chez certaines personnes comme moi, ces épisodes peuvent se répéter tous les jours, parfois plusieurs fois par jour.
Lundi 15 Novembre 2010. Cette date restera gravée en moi pour longtemps. Après une longue journée, il est bientôt l'heure que je rentre chez moi. Soudainement, une sensation bizarre m'envahit. Aucune douleur. Juste des chatouilles dans la cage thoracique et une sensation de vide en moi. Des sensations suffisamment importantes pour me faire me lever et marcher je ne sais où. Je me retrouve aux toilettes à me rafraichir le visage. Après quelques minutes, cela passe. Je prends ma voiture pour rentrer. Je ne me sens pas bien. Peut-être fais-je de l'hypoglycémie ? Mes pieds tremblent. Je m'arrête pour grignoter un peu. Je reprends la route, repu mais toujours aussi mal. Je sens quelque chose monter en moi. Je roule quelques kilomètres, très préoccupé. Juste avant d'arriver à un feu rouge, mon coeur s'emballe. Une sensation de vide s'empare à nouveau de moi. Une force incontrollable me pousse à sortir de la voiture. J'arrive au feu rouge. Je sens que je ne vais bientôt plus contrôler plus grand chose.
Finalement, la digue cède. J'enlève ma ceinture, j'ouvre ma portière, je manque d'air, le feu passe au vert, j'accélère, mon coeur s'accélére, je ne vois plus la circulation, mon champ de vision rétrécit, je suis ébloui, j'ai les jambes en coton, je ne sens plus l'air dans mes poumons. J'ai beau respirer fort, rien n'y fait. Je commence à me sentir sortir de mon corps.
Je me gare par je ne sais quel miracle. Je sors de la voiture et j'arrive à reprendre un peu mon souffle. Je ne me rends pas encore compte de ce qui m'arrive, je suis en état de choc. Epuisé, j'essaye de rassembler mes esprits mais je sens déjà à nouveau monter la vague. Mon coeur repart de plus belle. Je recommence à manque d'air. Je suis dehors pourtant, j'ai tout l'oxygène que je veux ! La seule pensée qui m'habite à ce moment-là est "Je vis ma dernière heure". J'en suis à espérer que tout se finisse au plus vite car je n'en peux plus. Les secondes semblent interminables. Puis, sans que je comprenne pourquoi, tout retombe en un instant. Je viens de traverser une autre vague.
Il s'est écoulé une heure maintenant depuis que je suis sorti de la voiture. J'ai subi l'assaut de plusieurs vagues. Chaque pic de la vague est le moment le plus affreux. On se sent partir. On se sent devenir fou.
Les pompiers arrivent et m'emmènent aux urgences. Un clochard qui pue l'alcool et la pisse ronfle à côté de moi. Mais je le remarque à peine, trop occupé que je suis avec mes pensées. Le medecin arrive, m'examine et m'annonce que tout va bien et que je suis en bonne santé.
Je n'ai pas pu sortir de chez moi pendant 2 jours suite à cela. J'avais vécu ma première attaque de panique. Ce que je ne savais pas encore, c'est que j'allais en vivre des centaines d'autres.
Imaginez que vous êtes debout, les mains menottées dans le dos. Imaginez que vos pieds sont attachés. Imaginez que vous avez un baillon autour de la bouche rendant votre respiration difficile. Imaginez qu'en plus vous êtes au bord d'une falaise d'une centaine de mètres de haut. Imaginez enfin qu'un vent fort et aléatoire souffle, vous poussant tantôt vers la terre, vous bousculant tantôt vers le précipice.
Je ne suis pas fou, non. Certaines de mes réactions peuvent le faire croire cependant.
Peut-être avez-vous déjà vécu au moins une fois un épisode névrotique dans votre vie (par exemple à l'occasion d'un oneitis). Chez certaines personnes comme moi, ces épisodes peuvent se répéter tous les jours, parfois plusieurs fois par jour.
Lundi 15 Novembre 2010. Cette date restera gravée en moi pour longtemps. Après une longue journée, il est bientôt l'heure que je rentre chez moi. Soudainement, une sensation bizarre m'envahit. Aucune douleur. Juste des chatouilles dans la cage thoracique et une sensation de vide en moi. Des sensations suffisamment importantes pour me faire me lever et marcher je ne sais où. Je me retrouve aux toilettes à me rafraichir le visage. Après quelques minutes, cela passe. Je prends ma voiture pour rentrer. Je ne me sens pas bien. Peut-être fais-je de l'hypoglycémie ? Mes pieds tremblent. Je m'arrête pour grignoter un peu. Je reprends la route, repu mais toujours aussi mal. Je sens quelque chose monter en moi. Je roule quelques kilomètres, très préoccupé. Juste avant d'arriver à un feu rouge, mon coeur s'emballe. Une sensation de vide s'empare à nouveau de moi. Une force incontrollable me pousse à sortir de la voiture. J'arrive au feu rouge. Je sens que je ne vais bientôt plus contrôler plus grand chose.
Finalement, la digue cède. J'enlève ma ceinture, j'ouvre ma portière, je manque d'air, le feu passe au vert, j'accélère, mon coeur s'accélére, je ne vois plus la circulation, mon champ de vision rétrécit, je suis ébloui, j'ai les jambes en coton, je ne sens plus l'air dans mes poumons. J'ai beau respirer fort, rien n'y fait. Je commence à me sentir sortir de mon corps.
Je me gare par je ne sais quel miracle. Je sors de la voiture et j'arrive à reprendre un peu mon souffle. Je ne me rends pas encore compte de ce qui m'arrive, je suis en état de choc. Epuisé, j'essaye de rassembler mes esprits mais je sens déjà à nouveau monter la vague. Mon coeur repart de plus belle. Je recommence à manque d'air. Je suis dehors pourtant, j'ai tout l'oxygène que je veux ! La seule pensée qui m'habite à ce moment-là est "Je vis ma dernière heure". J'en suis à espérer que tout se finisse au plus vite car je n'en peux plus. Les secondes semblent interminables. Puis, sans que je comprenne pourquoi, tout retombe en un instant. Je viens de traverser une autre vague.
Il s'est écoulé une heure maintenant depuis que je suis sorti de la voiture. J'ai subi l'assaut de plusieurs vagues. Chaque pic de la vague est le moment le plus affreux. On se sent partir. On se sent devenir fou.
Les pompiers arrivent et m'emmènent aux urgences. Un clochard qui pue l'alcool et la pisse ronfle à côté de moi. Mais je le remarque à peine, trop occupé que je suis avec mes pensées. Le medecin arrive, m'examine et m'annonce que tout va bien et que je suis en bonne santé.
Je n'ai pas pu sortir de chez moi pendant 2 jours suite à cela. J'avais vécu ma première attaque de panique. Ce que je ne savais pas encore, c'est que j'allais en vivre des centaines d'autres.
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [+1] +1 le 02.09.12, 16h49 par h0tr0d
Attaque de panique ou crise d'angoisse ?
Le genre de vécu qui fait que l'on redoute que cela arrive à nouveau...et qui du coup, les jours de gros stress, cogitation intense revient en mémoire et si les signes avant coureur n'ont pas été detecté à temps, la machine infernale peut repartir.
Je résume surement très et trop vite.
Comme Aristophane, je pense que ton vécu peut aider autrui et toi aussi.
Verbaliser en couchant cela sur le papier te permettra d'évacuer et de prendre du recul.
Poser les mots (les maux) est important.
Le genre de vécu qui fait que l'on redoute que cela arrive à nouveau...et qui du coup, les jours de gros stress, cogitation intense revient en mémoire et si les signes avant coureur n'ont pas été detecté à temps, la machine infernale peut repartir.
Je résume surement très et trop vite.
Comme Aristophane, je pense que ton vécu peut aider autrui et toi aussi.
Verbaliser en couchant cela sur le papier te permettra d'évacuer et de prendre du recul.
Poser les mots (les maux) est important.
Je rejoins Bridget sur ce point ( et je t'ai d'ailleurs incité à le faire, en faisant un trait d'humour): parler de ton ressenti, notamment durant ces moments très difficiles, ne peut que t'aider.bridget a écrit :Attaque de panique ou crise d'angoisse ?
Le genre de vécu qui fait que l'on redoute que cela arrive à nouveau...et qui du coup, les jours de gros stress, cogitation intense revient en mémoire et si les signes avant coureur n'ont pas été detecté à temps, la machine infernale peut repartir.
Je résume surement très et trop vite.
Comme Aristophane, je pense que ton vécu peut aider autrui et toi aussi.
Verbaliser en couchant cela sur le papier te permettra d'évacuer et de prendre du recul.
Poser les mots (les maux) est important.
Pour avoir vécu ( un peu) cela, je peux comprendre: étant adolescent j'ai perdu connaissance à deux reprises, dans les transports en commun...
Par contre, mais cela ne me regarde pas, et c'est peut-être déjà le cas, mais as-tu envisagé d'entreprendre une psychothérapie?
Tout ce qui te paralyse aujourd'hui pourrait, à l'aide d'une telle démarche, te transfigurer: tu ressens les choses avec beaucoup d'intensité, trop sans doute... Sais-tu que cela pourrait t'amener à t'épanouir totalement?
Je m'explique: pour ma part, je n'aurai pas été en mesure de tirer un quelconque bénéfice de ma présence sur cette board, sans avoir fait auparavant une psychothérapie durant plusieurs années ( après plusieurs essais non transformés...)...
Apprendre à intégrer tes émotions, à les mêler à tes réflexions, c'est commencer à te construire une " vie intérieure", c'est le début d'une autre vie, mais c'est toujours la tienne. Il s'agit toujours de toi, mais avec une approche différente, et une énergie folle qui ne demande qu'à s'investir positivement ( avec des hauts et des bas, mais c'est un peu ça vivre, n'est-ce pas?)!
C'est ensuite arriver à dépasser les projections, les angoisses, et vivre dans l'immédiat, faire corps avec ton environnement. " Etre naturel", en somme!
Les demoiselles sentent cela, cette densité en toi!

Il t'appartiendra de canaliser cela pour être toi-même: un homme irrésistible à leur yeux. C'est cela, ta valeur!

Up the irons!
Aristophane's touch: " aussi peu que possible, mais autant que nécessaire"...
Ce membre a été banni de FTS, en raison de manquements répétés au règlement. Un membre peut être banni automatiquement si sa note descend trop bas (ou trop vite), ou manuellement par un modérateur. Les propos de ce membre n'engagent que lui et ne reflètent pas les opinions des utilisateurs de FTS.
@bridget : je vois que tu en connais un peu sur le sujet ;) ca t est déjà arrivé ?
Tu as raison aussi sur le fait d'écrire pour atténuer et libérer. J'en reparlerai dans la suite du journal.(Comment reprogrammer ses pensées par l'écriture.)
@aristo: bien entendu, j'ai été suivi à un moment... pour l'instant, je raconte le tout début, quand je ne savais pas encore gérer tout ça ;) j'expliquerai dans la suite mon cheminement pour sortir peu à peu de tout ça (teasing !).
Entre autres, j'expliquerai comment fonctionnent les mécanismes de l'anxiété et comment vaincre son anxiété de l'approche (double teasing !)
Tu as raison aussi sur le fait d'écrire pour atténuer et libérer. J'en reparlerai dans la suite du journal.(Comment reprogrammer ses pensées par l'écriture.)
@aristo: bien entendu, j'ai été suivi à un moment... pour l'instant, je raconte le tout début, quand je ne savais pas encore gérer tout ça ;) j'expliquerai dans la suite mon cheminement pour sortir peu à peu de tout ça (teasing !).
Entre autres, j'expliquerai comment fonctionnent les mécanismes de l'anxiété et comment vaincre son anxiété de l'approche (double teasing !)
Bonjour à toutes et à tous.
@ Heisenberg: tu nous mets sur des charbons ardents! Le suspense est trop fort! Je craque!
Up the irons!
Aristophane's touch: " aussi peu que possible, mais autant que nécessaire"...
@ Heisenberg: tu nous mets sur des charbons ardents! Le suspense est trop fort! Je craque!

Up the irons!
Aristophane's touch: " aussi peu que possible, mais autant que nécessaire"...
et ben, ça en fait des choses ! tu m'avais paru portant être quelqu'un de tout à fait "normal" quand je t'ai rencontré à la session de spu aux tuileries avec Subsurfer et moi, il ya plusieurs mois de ça.
j'espère que ce journal va t'aider.
j'espère que ce journal va t'aider.

Heisenberg, merci pour ce que tu vas partager.
A bientot...
A bientot...
Bonsoir à toutes et à tous.protozoaire a écrit :et ben, ça en fait des choses ! tu m'avais paru portant être quelqu'un de tout à fait "normal" quand je t'ai rencontré à la session de spu aux tuileries avec Subsurfer et moi, il ya plusieurs mois de ça.
j'espère que ce journal va t'aider.
@ Protozoaire: comme quoi chacun(e) peut parvenir à refaire surface, et le " game" n'est certes pas le plus mauvais moyen, loin s'en faut!

Up the irons!