L'équilibre.
Posté : 09.01.13
Salut à tous, c'est encore Owen qui vient vous inonder de posts apres 3 ans d'absence.
Ces derniers temps, je ressens la sensation que ce qui me fait le plus défaut, c'est l' Equilibre.
Avant de partir dans un quelconque débat qui s'éloignerait trop du sujet, voici les deux postulats qui me font beaucoup réfléchir en ce moment :
1) L'équilibre c'est bien
Pour moi, il faut savoir être équilibré : savoir se mettre des crânes (cuites) une fois de temps en temps. Savoir travailler dur quand il le faut mais s'accorder des moments de détente, de déconne. Savoir poursuivre ses rêves sans oublier de vivre l'instant présent, savoir être fun mais réussir a être sérieux au bon moment. Etre cérébral mais oublier de l'être... Faire du sport mais pas trop pour avoir l'énergie de faire le reste (genre pas plus de 3 fois / semaine si vous voulez un indicateur).
Bref, vous m'avez compris. C'est, je pense une qualité importante chez un homme que d'avoir une vie équilibrée.
2) Damned je suis un mec extrême.
D'expérience ca fait quelques années que j'expérimente différentes manières de le trouver, mais il faut bien s'en rendre compte, je bascule facilement d'un extrême à l'autre. Cela peut être émotionnel, mais même sur les modes de vie. Genre j'ai testé l'abstinence d'alcool et de clopes quelques mois. Après je me sentais morose. Résultat bim mon challenge étant atteint (3 mois), je fais la fête pendant un mois... Et reprends la clope.
Je pourrais filer des tonnes d'exemples comme ca mais ca ne m'intéresse pas. Je me demandais simplement si vous aviez un avis la dessus, plus de l'ordre du partage d'expérience et de solutions.
La question de la psychanalyse ou autre : j'ai déjà pas mal réfléchi à la question, consulté quelques fois un psychanalyste pour en arriver à cette conclusion que je me connaissais assez bien pour être capable de trouver des solutions dans la discussion. De plus, je ne suis pas partisans de ce genres de pratiques si on n'a pas de graves problemes. Pour autant, je pense avoir une tendance à la cyclothimie (certes), mais je pense que l'on peut trouver d'autres solutions que de s'autocatégoriser "malade" (ce qui aurait pour effet pervers d'accepter son sort avec fatalité).
Bref, que pensez-vous de cette notion? Je trouve ces deux extrêmes (mettons : pureté / autodestruction festive) un peu relous pour ma santé, car le premier me déprime, le second ne tient pas longtemps avant que je ne ressente une fatigue qui m'indique qu'il est temps de revenir à la normale.
Quand a la question fatale : pensez-vous qu'on puisse prendre le pas sur sa personnalité profonde? Car j'ai aujourd'hui l'impression que c'est vraiment ca le truc : j'aime vivre intensément et si je passe trop de temps sans ce genre de phases, je broie du noir.
Aujourd'hui j'aspire à plus d'équilibre mais j'ai du mal à savoir ou le trouver, ou comment détacher mon esprit de ses contradictions.
Merci si vous prenez le temps de répondre, je rappelle que je préfererai un partage d'expérience à des conseils "bateaux", j'ai déjà pas mal réfléchi à la question.
Ces derniers temps, je ressens la sensation que ce qui me fait le plus défaut, c'est l' Equilibre.
Avant de partir dans un quelconque débat qui s'éloignerait trop du sujet, voici les deux postulats qui me font beaucoup réfléchir en ce moment :
1) L'équilibre c'est bien
Pour moi, il faut savoir être équilibré : savoir se mettre des crânes (cuites) une fois de temps en temps. Savoir travailler dur quand il le faut mais s'accorder des moments de détente, de déconne. Savoir poursuivre ses rêves sans oublier de vivre l'instant présent, savoir être fun mais réussir a être sérieux au bon moment. Etre cérébral mais oublier de l'être... Faire du sport mais pas trop pour avoir l'énergie de faire le reste (genre pas plus de 3 fois / semaine si vous voulez un indicateur).
Bref, vous m'avez compris. C'est, je pense une qualité importante chez un homme que d'avoir une vie équilibrée.
2) Damned je suis un mec extrême.
D'expérience ca fait quelques années que j'expérimente différentes manières de le trouver, mais il faut bien s'en rendre compte, je bascule facilement d'un extrême à l'autre. Cela peut être émotionnel, mais même sur les modes de vie. Genre j'ai testé l'abstinence d'alcool et de clopes quelques mois. Après je me sentais morose. Résultat bim mon challenge étant atteint (3 mois), je fais la fête pendant un mois... Et reprends la clope.
Je pourrais filer des tonnes d'exemples comme ca mais ca ne m'intéresse pas. Je me demandais simplement si vous aviez un avis la dessus, plus de l'ordre du partage d'expérience et de solutions.
La question de la psychanalyse ou autre : j'ai déjà pas mal réfléchi à la question, consulté quelques fois un psychanalyste pour en arriver à cette conclusion que je me connaissais assez bien pour être capable de trouver des solutions dans la discussion. De plus, je ne suis pas partisans de ce genres de pratiques si on n'a pas de graves problemes. Pour autant, je pense avoir une tendance à la cyclothimie (certes), mais je pense que l'on peut trouver d'autres solutions que de s'autocatégoriser "malade" (ce qui aurait pour effet pervers d'accepter son sort avec fatalité).
Bref, que pensez-vous de cette notion? Je trouve ces deux extrêmes (mettons : pureté / autodestruction festive) un peu relous pour ma santé, car le premier me déprime, le second ne tient pas longtemps avant que je ne ressente une fatigue qui m'indique qu'il est temps de revenir à la normale.
Quand a la question fatale : pensez-vous qu'on puisse prendre le pas sur sa personnalité profonde? Car j'ai aujourd'hui l'impression que c'est vraiment ca le truc : j'aime vivre intensément et si je passe trop de temps sans ce genre de phases, je broie du noir.
Aujourd'hui j'aspire à plus d'équilibre mais j'ai du mal à savoir ou le trouver, ou comment détacher mon esprit de ses contradictions.
Merci si vous prenez le temps de répondre, je rappelle que je préfererai un partage d'expérience à des conseils "bateaux", j'ai déjà pas mal réfléchi à la question.