On est dans la partie Culture ici je crois. Celle où je poste le moins, avec celle sur le Sport. Evidemment, on ne se demande pas pourquoi. Pourquoi ? Pas de sport, pas de culture, telle est ma devise. Et après il se plaint de pas chopper ? Ha ha.
Donc, de quoi je vais parler ?
Je fais court, de Street Fighter.

Okay, c'est un Artwork de Street Fighter IV, mais à l'époque de la SuperNes, personne se faisait chier à en faire, du coup, j'ai pas eu le choix. Que Dieu me pardonne.
Franchement, je suis pas sur que le sujet soit bien accueilli. Pourquoi ?
On est sur un Forum de Séduction, et je viens vous parler de Jeux Vidéos. Moi-même, j'ai un doute quant à l'utilité de ce sujet. Ce qui ne présage pas spécialement une grande réussite. Ah bon, tu crois ?
Mais j'ai parlé un peu de Street Fighter dans mon journal, ça avait l'air de faire plaisir à quelques lecteurs (Oxygène, ou Hydrogène, ou Ozone, je sais plus. Oh merde, arrêtez de prendre des pseudos d'éléments chimiques, je m'y retrouve plus là), je me dis donc qu'on est là pour verser une larme, dans un élan de nostalgie, en repensant à toutes les roustes qu'on a mis à des mecs plus grands, plus forts, et qui choppaient plus. C'était le bon temps.
Bref.
Street Fighter c'est quoi ?
Street Fighter, mon bon lecteur, c'est une licence de jeu de combat, plus tard de Versus Fighting qui débute en 1987 grâce à Capcom. Capcom, si tu ne connais pas Street Fighter, c'est un studio japonais crée en 1983 qui a crée entre autres Megaman, ou la saga des Resident Evil.
Dans son édition de 1991, Street Fighter II pose le socle de ce qui deviendra le jeu de versus fighting, ayant dans ses rangs des jeux comme Tekken, King of Fighters, Soul Calibur, par exemple.
La différence, c'est que Street Fighter II, ça nécessitait de la technique. Ouais. Placer un simple Hadoken était un véritable challenge pour les gnomes asociaux qui y jouaient.
Pour rappel, le Hadoken, c'est ça :

C'est la technique la plus connue de Street Fighter. Et pour les mecs du fond qui ont renoncé à jouer à Street Fighter, Mortal Kombat pour des futilités comme des relations sociales, de l'amitié, ou même du sexe, c'est en gros la même chose qu'un Kaméhaméha. Et si tu ne sais toujours pas ce que ça signifie, croix rouge sur cette page, je veux pas de toi ici.
Plus que des coups spéciaux super puissants, Street Fighter, c'était aussi une mécanique de jeu franchement bien foutue. Le jeu dans sa seconde version, Street Fighter II, sortie en 1991 est encore joué en compétition. Récemment, s'est disputé l'Evo 2012, compétition rassemblant les plus grands E-Sportifs (Alors, les dopés bodybuildés, vous avez vu ? Nous aussi on a le droit au titre de sportif. Boumatchaka !), qui a accueili un large panel de légendes de Street Fighter II Turbo, je ne citerais que les grands encore dans le circuit, Afrolegends, Damdai, Wolmar, je vous aime.
Bref.
L'enchaînement de coups est la base de combos puissants, tels que les projections, les boules de feu, ou les techniques fumées.
Le jeu propose de 8 à plus de deux dizaines de personnages jouables, parmi lesquels Ryu, le dragon, Ken, l'américain blond et beau gosse, Chun Li, la bombe asiatique, Vega, l'espagnol psychopathe et craqué, Dee jay, l'espoir du Kick-Boxing, Dhalsim, le prêtre Indien aux membres extansibles (Un proche parent de Luffy, sans doute ?), et surtout Blanka, la créature brésilienne qui balance des éclairs (Pikachu ?), qui est verte (Pikachu + Hulk = Are you trolling me ?), avec des cheveux oranges (Pikachu + Hulk + Ichigo Kurosaki = WTFFFFFFFFF !?) que j'affectionne tout particulièrement.

Allez, j'envoie une image prise par mes soins de ce monstre brésilien.

Ah merde, j'croyais qu'il avait fumé trop de Weed mais il disait vrai.
Anecdote amusante, on a demandé aux brésiliens qui selon eux étaient les personnalités du pays les plus connues. Le premier est évidemment un joueur de Football, et en second arrive Blanka. C'est pas un monstre vert qui balance des éclairs, roux de surcroit qui va donner une belle image du pays, mais c'est toujours mieux que de parler des favelas vous me direz, non ?
Ah, il se met aux blagues racistes, c'est décidé, j'me barre.
Street Fighter, comme tout jeu destiné aux ados boutonneux, qui aimeraient mettre des gnons dans la face des grands cons plus âgés qui s'amusent à les emmerder, ça envoyait du lourd sur les combattants gôlés comme des Dieux grecs. A côté de ça, même Kratos de God of War peut se rhabiller.
Evidemment, les demoiselles qui liront ceci, celles qui ne seront pas rebutées par le sujet, nous ferons part de leur absence totale de connaissance à ce sujet. Elles préfèrent évidemment des figures du jeu vidéo moins typée "Mâle bourrin sur-musclé", des mâles plus ténébreux, tels que ce bon Ezzio d'Assassin's Creed, Raiden, de Metal gear Solid (Et non de Mortal Kombat, jeune padawan !), ou encore tous les homosexuels de Final Fantasy (Prends ça dans ta gueule, Hironobu Sakaguchi), mais on ne va pas leur reprocher.
Ce sujet touche à sa fin. J'espère qu'il vous aura plu. J'ai omis beaucoup de choses, mais dans une dizaine d'heures, j'ai une colle d'Introduction Historique au Droit. Et mes révisions n'ont pas débuté.
Si vous pensez que ce Sujet n'a pas sa place sur ce Forum, étant trop éloigné du monde de la séduction, n'hésitez pas à mettre un -1, 2 ou 3. Ca aura le mérite d'être clair.
Je vous invite à nous partager vos anecdotes sur ce bijou vidéo ludique, moi, je vais travailler.
Initialement, j'allais lancer un débat sur la place de la virilité dans le monde du jeu vidéo, particulièrement dans ceux de versus fighting, puis parler des codes masculins imposés par ce média, qui s'éloignent probablement de ceux des femmes, mais finalement, j'ai un peu la flemme. Je laisse des mecs qui ont fait une Fac de Psychologie (Et qui trouveront pas de travail plus tard. Hé hé) le faire pour moi. Ils s'en sortiront mieux, sans aucun doute.
Hadokenement,
Il a osé, c'est pas vrai. On touche pas au Hadoken gros !
Raven.