Histoire qui me titille depuis quelques temps déjà et que l'écoute d'une émission au titre tapageure mais finalement correspondant à mes interrogations attise ma curiosité sur la vie sexuelle de mes contemporains sur FTS.
Pour référence mais pas de panique, pas besoin de lire et encore moins d'écouter l'émission:
http://www.lemouv.fr/diffusion-sexe-med ... ros-mythos
Question:
Vous y retrouvez vous dans la presse, média, internet, forums en tous genres traitant de la vie de couple et du sexe?
Coté pile: A en lire ou entendre les bruits d'alcoves médiatiques, qui n'a pas tenter le club échangiste à moins de 30 ans, une nana qui n'a pas de gode dans son sac, un mec qui n'a pas connu de gang-bang, jamais recu la fessé par tante Ginette n'a rien vécu.
Coté face: les forums dégoulinent de témoignages créant la surenchère exhibitioniste, ventardise ou désespérante (ma femme n'accepte pas la double pénétration, que faire?).
Je suis conscient que celui qui n'a pas de problème, vivant une sexualité équilibré, épanouie a autre chose à faire que de passer son temps sur ce genre de forum ou lire ces magasines mais qui n'a pas connu de phases de doutes? Je pense aussi aux gamins découvrant la sexualités via média.
Ou sont les plus grands mythos et dans quel ordre pensez vous être influencé, manipulé par ces titres racoleurs?
Où sont les plus gors mythos?
Sujet intéressant, surtout après le sondage de l'ifop sur la sexualité des djeuns en liaison avec internet ("génération youporn"). C'est cpdt bien dommage qu'ils ne chiffrent pas concrètement l'influence du porno et d'internet sur les nouvelles pratiques en matière de sexe.
Anyway, pour répondre à ta question:
tu as oublié un grand vecteur de pensée unique en matière de pratique spé mais devenues "à la mode": les magazines féminins. ce sont les premiers pourvoyeurs de bonne pratique dans les rapports hommes/femmes, dans le sexe et notre rapport au corps. c'est hyper culpabilisant: t'as l'impression d'être une trainée si tu trompes ton mec, mais d'être prude parce que t'as pas essayé la double péné avant tes trente ans.
Déjà, jpense qu'il faut se positionner sur un postulat: l'influence est -elle la même sur les hommes et sur les femmes ? Jpense que l'influence est double: les hommes sont poussés vers la performance, les filles vers le coté "jsuis désirable, open".
Dans les deux cas, pour quelqu'un d'influençable et demandeur de validation sociale par ses pairs, l'influence peut être hyper délétère. surtout chez les djeuns, ou il y a en soi un effet de groupe, de reconnaissance mutuelle très marqué.
Aussi, l'âge entre en ligne de compte: bizarrement, faire telle pratique à 16 ans, c'est faire le mur, à 35 c'est être libéré, selon les facteurs que tu as décrit.
A titre perso, je séparerais complètement les facteurs "incitatifs/culpabilisants/porteurs de situations potentiellement dangereuses", comme le porno à tout âge, les magazines, et les forums de l'autre coté. Sur les forums on en revient quand meme à plus de normalité je trouve. Les réponses sont plutot variées et donc, les forces s'équilibrent.
Anyway, pour répondre à ta question:
tu as oublié un grand vecteur de pensée unique en matière de pratique spé mais devenues "à la mode": les magazines féminins. ce sont les premiers pourvoyeurs de bonne pratique dans les rapports hommes/femmes, dans le sexe et notre rapport au corps. c'est hyper culpabilisant: t'as l'impression d'être une trainée si tu trompes ton mec, mais d'être prude parce que t'as pas essayé la double péné avant tes trente ans.
Déjà, jpense qu'il faut se positionner sur un postulat: l'influence est -elle la même sur les hommes et sur les femmes ? Jpense que l'influence est double: les hommes sont poussés vers la performance, les filles vers le coté "jsuis désirable, open".
Dans les deux cas, pour quelqu'un d'influençable et demandeur de validation sociale par ses pairs, l'influence peut être hyper délétère. surtout chez les djeuns, ou il y a en soi un effet de groupe, de reconnaissance mutuelle très marqué.
Aussi, l'âge entre en ligne de compte: bizarrement, faire telle pratique à 16 ans, c'est faire le mur, à 35 c'est être libéré, selon les facteurs que tu as décrit.
A titre perso, je séparerais complètement les facteurs "incitatifs/culpabilisants/porteurs de situations potentiellement dangereuses", comme le porno à tout âge, les magazines, et les forums de l'autre coté. Sur les forums on en revient quand meme à plus de normalité je trouve. Les réponses sont plutot variées et donc, les forces s'équilibrent.
Ils le font en partie ici:Aliochette a écrit :Sujet intéressant, surtout après le sondage de l'ifop sur la sexualité des djeuns en liaison avec internet ("génération youporn"). C'est cpdt bien dommage qu'ils ne chiffrent pas concrètement l'influence du porno et d'internet sur les nouvelles pratiques en matière de sexe.
http://www.europe1.fr/France/La-generat ... r-1678673/
C'est pourtant le coeur du sujet, peut être ne l'ai je pas rendu assez clair. Peut être devrait on distinguer premièrement les grands vecteurs d'influence et ensuite leur fonctionnement et impact.Aliochette a écrit : tu as oublié un grand vecteur de pensée unique en matière de pratique spé mais devenues "à la mode": les magazines féminins. ce sont les premiers pourvoyeurs de bonne pratique dans les rapports hommes/femmes, dans le sexe et notre rapport au corps. c'est hyper culpabilisant: t'as l'impression d'être une trainée si tu trompes ton mec, mais d'être prude parce que t'as pas essayé la double péné avant tes trente ans.
1)Il y a donc la presse d'information", féminine et masculine classique avec le petit sujet affriolent dont le titre apparait en première page telle une blonde en bas résille dans les bois. Cela va disons de Marie claire à GQ, mais aussi la presse classique, le monde et autre journaux aux sondages chocs à valeur d'évengile.
2)La presse "spécialisée" sur la vie de couple jusqu'à "erotique", "Nous deux" jusqu'a FHM, Playboy...
3)Internet en général, les forums, les sites de rencontres, les tchats
4)La pornographie facilement accessible
autres propositions?
Il me semble qu'a 35 ans on fait toujours le mur pour allez rejoindre sa maitresse ou son étalon et qu'il suffit de s'immiscer dans un vestiaire de jeunes males ou une discussion entre mec ou nana de 40 ans pour voir le le facteur de reconnaissance n'est plus vraiment lié à l'age seul.Aliochette a écrit : Déjà, jpense qu'il faut se positionner sur un postulat: l'influence est -elle la même sur les hommes et sur les femmes ? Jpense que l'influence est double: les hommes sont poussés vers la performance, les filles vers le coté "jsuis désirable, open".
Dans les deux cas, pour quelqu'un d'influençable et demandeur de validation sociale par ses pairs, l'influence peut être hyper délétère. surtout chez les djeuns, ou il y a en soi un effet de groupe, de reconnaissance mutuelle très marqué.
Aussi, l'âge entre en ligne de compte: bizarrement, faire telle pratique à 16 ans, c'est faire le mur, à 35 c'est être libéré, selon les facteurs que tu as décrit.
Les ascpects que tu décris sont réel mais la catégorisations de fonctionne pas à mon sens ou de même le besoin de performance n'est plus la marque de la masculinité et le soucis d'apparaitre open est bien présent derrière les façades machistes je pense.
S'ajoute aussi le statut social. Une annecdote réelle pour illustrer le propos. Un diner entre amis, l'une parle de son histoire avec son mec qui bosse régulièrement à l'étranger et qui a eu une aventure avec une nana là bas. Grand cris d'horreur, grand discours sur l'aspect innaceptable de la situation. Quelques minutes ensuite vient le cas du directeur du site, marié, enfants, va à la messe tous les dimanches mais drageur invétéré dont on ne comptes plus les conquêtes et l'on prend cela avec humour en ventant son charme et son charisme. Les deux appartiennent au même cercle d'amis, les deux sont de la même tranche d'ages.
Je trouve ta décomposition intéressante sur les critères incitatifs, culpabilisants porteur de situations potentiellement dangereuses. Par contre je ne partage pas l'idée de séparer ces aspects selon la source dans le sens ou certaines sources seraient incitatives là où d'autres seraient culpabilisantes. Elles ont toutes le même potentiel à mon sens et cela dépend peut être plus de l'état d'esprit et la psychologie de leur audience non?Aliochette a écrit :A titre perso, je séparerais complètement les facteurs "incitatifs/culpabilisants/porteurs de situations potentiellement dangereuses", comme le porno à tout âge, les magazines, et les forums de l'autre coté. Sur les forums on en revient quand meme à plus de normalité je trouve. Les réponses sont plutot variées et donc, les forces s'équilibrent.
Les forums vecteur de normalité? J'en doute car pour une grande part où l'on ne communique qu'avec des avatars, ou cela représente un exutoire, un affrontement d'égo, une vie parallèle encore plus éloigné de la réalité que tente de vivre chacun dans leur propre éxistence.
Cela peut faire naitre une interrogation sur l'éxistence d'une certaine "normalité", une certaine "référence" que véhiculerait ou non ces médias ou quel autre source, vecteur de référence et de construction d'une "identité sexuelle".
Hey, mais je vais pouvoir taper sur mes amis les journalistes! Cool
[se frotte les mains avant de poser langoureusement ses doigts sur le clavier...]
Bon, allez, je ne vais pas tirer sur l'ambulance. Pas de diatribe contre les talks show nombrilistes, ni contre les talks show actu-déconne, et même pas contre la presse féminine qui n'en finit pas de dire une chose et son contraire, à intervalle de six mois entre chaque affirmation, histoire que ça ne se voie pas (et avec une régularité de métronome...)
***
L'idée que j'ai ici envie de vous proposer c'est qu'on retrouve les mêmes thématiques et les mêmes attitudes dans les médias et dans les groupes d'amis.
Ce qu'on voit dans les médias, on va le retrouver à l'apéro un vendredi soir, dans le vestiaire après un entraînement sportif, dans une cour de récré de lycée ou au travail devant la machine à café.
***
Ce que j'appelle "le conformisme de l'impertinence".
Avoir l'air cool, quoi qu'il arrive, avec une grande gueule et de façon rigolote, mais sans faire de faux pas sous peine d'avoir l'air glauque, débile, ou ridicule.
Ridicule, le film de Patrice Leconte, sorti en 1996 et qui est une référence pour moi depuis des lustres.
C'est vraiment ça: la cour du Roi Soleil. Avoir l'air drôle, classe, pertinent. Sortir du lot grâce à ses traits d'esprit, profiter de la moindre ouverture pour utiliser l'autre comme un marche-pied, monter encore plus haut en lui marchant sur la gueule.
Et se garder des faux pas, surtout se garder des faux pas. Car plus haut on monte, plus dure est la chute.
C'est moins fluide dans la presse écrite, car la parole y est figée sur le papier, mais dès que ça parle en live, à la télé, à la radio, et bien entendu entre amis, c'est toujours cette ambiance...
***
Naturellement tout cela est artificiel. Il y a loin entre l'être et le paraître. La vérité intime de la plupart d'entre nous, c'est une pudeur, des limites.
Les médias, surtout les médias de masse, ont du mal avec ça. Ils sont toujours dans l'extrême. J'ai par exemple souvent été saisi d'horreur devant les déballages indécents de c'est mon choix, ça se discute, toute une histoire et consorts (Réservoir production, le Sévice Public avec un grand $ S), devant les postures shit-coke-champagne-partouzes d'Ardisson, devant le côté "on a tout vu, on a tout entendu, et on en est revenus" de la bande à Ruquier, devant le côté négatif "allez, montre nous ta merde, y'a que ça qui nous intéresse", de Marc-Olivier Fogiel, et plus près de nous (après ce festival de références périmées) par le côté meute de chiens de touche pas à mon poste.
Comment voulez-vous parler sereinement de sexualité dans cette ambiance nauséabonde???
Et toujours en embuscade, la presse féminine, dont chaque magazine est capable d'affirmer en janvier "sexe: sachez poser vos limites" pour revenir en juin nous vendre du rêve à base de "sexe: osez les nouvelles expériences".
Je ne sais pas si ce sont les plus gros mythos, mais les personnes qui écrivent là-dedans sont de sacrées girouettes...
J'ai quand-même envie de nuancer mon attaque en précisant que pris à part, certains articles sont pertinents et intéressants.
***
Les médias ne nous parlent que rarement du monde, encore moins de NOTRE monde. Ils sont trop occupés à (se) débattre dans LEUR MONDE A EUX. Un monde dans lequel il faut se démarquer, séduire en masse, et chier à intervalle réguliers des kilomètres de papier, ou des gita-octets d'images. Quoi qu'il arrive, et en dépit du bon sens. Et la vérité dans tout ça?
"La vérité ne coûte rien, c'est l'information qui vaut cher"

Bon, allez, je ne vais pas tirer sur l'ambulance. Pas de diatribe contre les talks show nombrilistes, ni contre les talks show actu-déconne, et même pas contre la presse féminine qui n'en finit pas de dire une chose et son contraire, à intervalle de six mois entre chaque affirmation, histoire que ça ne se voie pas (et avec une régularité de métronome...)
***
L'idée que j'ai ici envie de vous proposer c'est qu'on retrouve les mêmes thématiques et les mêmes attitudes dans les médias et dans les groupes d'amis.
Ce qu'on voit dans les médias, on va le retrouver à l'apéro un vendredi soir, dans le vestiaire après un entraînement sportif, dans une cour de récré de lycée ou au travail devant la machine à café.
***
Ce que j'appelle "le conformisme de l'impertinence".
Avoir l'air cool, quoi qu'il arrive, avec une grande gueule et de façon rigolote, mais sans faire de faux pas sous peine d'avoir l'air glauque, débile, ou ridicule.
Ridicule, le film de Patrice Leconte, sorti en 1996 et qui est une référence pour moi depuis des lustres.
C'est vraiment ça: la cour du Roi Soleil. Avoir l'air drôle, classe, pertinent. Sortir du lot grâce à ses traits d'esprit, profiter de la moindre ouverture pour utiliser l'autre comme un marche-pied, monter encore plus haut en lui marchant sur la gueule.
Et se garder des faux pas, surtout se garder des faux pas. Car plus haut on monte, plus dure est la chute.
C'est moins fluide dans la presse écrite, car la parole y est figée sur le papier, mais dès que ça parle en live, à la télé, à la radio, et bien entendu entre amis, c'est toujours cette ambiance...
***
Naturellement tout cela est artificiel. Il y a loin entre l'être et le paraître. La vérité intime de la plupart d'entre nous, c'est une pudeur, des limites.
Les médias, surtout les médias de masse, ont du mal avec ça. Ils sont toujours dans l'extrême. J'ai par exemple souvent été saisi d'horreur devant les déballages indécents de c'est mon choix, ça se discute, toute une histoire et consorts (Réservoir production, le Sévice Public avec un grand $ S), devant les postures shit-coke-champagne-partouzes d'Ardisson, devant le côté "on a tout vu, on a tout entendu, et on en est revenus" de la bande à Ruquier, devant le côté négatif "allez, montre nous ta merde, y'a que ça qui nous intéresse", de Marc-Olivier Fogiel, et plus près de nous (après ce festival de références périmées) par le côté meute de chiens de touche pas à mon poste.
Comment voulez-vous parler sereinement de sexualité dans cette ambiance nauséabonde???
Et toujours en embuscade, la presse féminine, dont chaque magazine est capable d'affirmer en janvier "sexe: sachez poser vos limites" pour revenir en juin nous vendre du rêve à base de "sexe: osez les nouvelles expériences".
Je ne sais pas si ce sont les plus gros mythos, mais les personnes qui écrivent là-dedans sont de sacrées girouettes...
J'ai quand-même envie de nuancer mon attaque en précisant que pris à part, certains articles sont pertinents et intéressants.
***
Les médias ne nous parlent que rarement du monde, encore moins de NOTRE monde. Ils sont trop occupés à (se) débattre dans LEUR MONDE A EUX. Un monde dans lequel il faut se démarquer, séduire en masse, et chier à intervalle réguliers des kilomètres de papier, ou des gita-octets d'images. Quoi qu'il arrive, et en dépit du bon sens. Et la vérité dans tout ça?
"La vérité ne coûte rien, c'est l'information qui vaut cher"
Les médias courent surtout après l'audience pour survivre face à Internet.
En matière de sexe, Internet c'est la caverne l'alibaba quelque soit votre thème de recherche, elle a un résultat en face, souvent des milliers même.
Les médias classiques, eux, se sont lancés dans la surenchère sexuelle.
Pour vendre. Pour survivre. Pour résister à la concurrence d'un accès libre à tout ce que vous avez voulu savoir sur la Vie sexuelle, l'Univers des pratiques sexuelles et le Reste (salut Douglas Adams, tu manques, mec).
C'est pas comme si c'était nouveau que le sexe était vendeur, hein.
Cependant, non pas à cause des médias classiques suiveurs mais à la massification sur Internet du sujet (Loi Internet n°34 : toute chose existant sur Internet a *également* une version pornographique...), la banalisation à outrance du porno, je pense sincèrement qu'il y a une ouverture plus nette des nouvelles générations à certaines pratiques qu'elles n'ont plus hontes de tenter (mais pas forcément de reconnaître, cf la sodomie qui semble largement pratiquée mais que peux reconnaisse encore ouvertement pratiquer - toute trace de tabou n'est pas partie encore).
Ce n'est pas dû ni grâce aux médias, mais au fait que l'on peut désormais très facilement se renseigner très librement, sans peur de se faire chopper, sur tout et n'importe quoi sur le sexe, et cela aide à libérer l'état d'esprit et à (re)donner un nouvel appétit une fois au lit.
Ou ailleurs !

En matière de sexe, Internet c'est la caverne l'alibaba quelque soit votre thème de recherche, elle a un résultat en face, souvent des milliers même.
Les médias classiques, eux, se sont lancés dans la surenchère sexuelle.
Pour vendre. Pour survivre. Pour résister à la concurrence d'un accès libre à tout ce que vous avez voulu savoir sur la Vie sexuelle, l'Univers des pratiques sexuelles et le Reste (salut Douglas Adams, tu manques, mec).
C'est pas comme si c'était nouveau que le sexe était vendeur, hein.
Cependant, non pas à cause des médias classiques suiveurs mais à la massification sur Internet du sujet (Loi Internet n°34 : toute chose existant sur Internet a *également* une version pornographique...), la banalisation à outrance du porno, je pense sincèrement qu'il y a une ouverture plus nette des nouvelles générations à certaines pratiques qu'elles n'ont plus hontes de tenter (mais pas forcément de reconnaître, cf la sodomie qui semble largement pratiquée mais que peux reconnaisse encore ouvertement pratiquer - toute trace de tabou n'est pas partie encore).
Ce n'est pas dû ni grâce aux médias, mais au fait que l'on peut désormais très facilement se renseigner très librement, sans peur de se faire chopper, sur tout et n'importe quoi sur le sexe, et cela aide à libérer l'état d'esprit et à (re)donner un nouvel appétit une fois au lit.
Ou ailleurs !
