12 bonnes raisons de rester célibataire, vrai ou faux?

Bonsoir à tous,

un ami en couple m'a envoyé le lien d'un article traitant du céliba, et des côtés positifs à le rester.
J'ai eu envi de vous le partager, et d'en discuter avec vous, si cela intéresse certaines personnes.

http://qu4tres.wordpress.com/2012/06/11 ... libataire/

Pour ma part, je trouve que certaines choses sont exactes.

D'autres au contraire me paraissent un peu exagéré, même fausse. Tout dépend de la personne avec qui nous sommes en couple, tout le monde ne réagit pas de la même manière aux différentes situations.

Mais ce qui m'intéresse surtout, pour ma part; et vous allez comprendre pourquoi j'ai décidé de créer ce topic dans "Psychologie/Developpement personnel"; c'est ce passage, écrit juste après les 12 bonnes raisons de rester célibataire :

[quote=auteur]
J’en connais qui ne sont jamais seuls, toujours en couple, et passent d’un(e) copain(e) à l’autre, franchement je les plains. Comment savoir qui l’on est ? Comment savoir ce qu’on l’on aime vraiment ? Comment être heureux si l’on ne se connaît pas soi-même ? N’avez-vous jamais décidé par vous-même de faire une chose alors que votre entourage vous l’a déconseillé ? Lorsque c’est arrivé, et qu’il se trouve que vous aviez raison, vous vous sentiez pleinement vous, pleinement heureux(se), non ?
[/quote]

Donc, ma véritable question; la principale, c'est êtes-vous d'accord avec ce qui est dit?

Après tout, quand on y pense un peu, il est vrai que notre entourage (famille, amis, copin(e) pour certain(e)s) nous influence.
Devons nous être seul (célibataire) pour se découvrir soit même?

A vos clavier chers membres de FTS, je sais que beaucoup d'entres vous aiment débattre ;)

Personnellement, je ne subis pas le célibat. C'est évident qu'il m'arrive de me dire que j'aimerai bien un copain quand je vois un petit couple tout mignon et amoureux. Néanmoins, j'aime aussi ma liberté, ne dépendre de personne, être un poil égoiste, organiser mon temps comme je le veux. J'apprécie aussi de vivre dans la possibilité de rencontrer quelqu'un. S'amuser, flirter, c'est très sympa aussi

Et je sais que le célibat m'a été bénéfique pour réfléchir, me poser les bonnes questions, faire des choix dans mon intérêt et uniquement dans mon intérêt. Je suis quelqu'un qui a tendance à prendre ses décisions en fonction des personnes qui comptent beaucoup. Par exemple si le mec dont je suis amoureuse vit dans une autre ville, je vais avoir tendance à me persuader inconsciemment que je dois aller vivre là-bas, quitte à ce que ce ne soit pas forcément la meilleure décision pour moi. Je vais aussi avoir tendance à accorder beaucoup d'importance à son jugement et son regard "est-ce que si je choisis cette voie ou si j'échoue, je vais le décevoir?". Il y a donc des périodes de ma vie où il vaut mieux pour moi que je sois célibataire. Après, on ne choisit qui on rencontre et à quel moment, ce n'est pas toujours simple.

Dans un deuxième temps, je pense que le célibat à un moment m'a permis de souffler et de revoir totalement ma vision des relations amoureuses. J'ai compris pourquoi je n'arriverai jamais à avoir une relation saine, que j'attendais toujours une sorte de sauveur qui viendrait prendre en charge mes insécurités. J'en attendais beaucoup trop et j'instaurais malgré moi un jeu de pouvoir malsain. C'est quand j'ai compris que mes problèmes de confiance en moi, je devais les régler seule que tout s'est améliorés. Or, si j'étais restée dans cette spirale de "je m'accroche à un mec pour oublier l'ancien et parce que je vais très mal, mais j'oublie pas vraiment l'autre, et patati et patata", je serai bien mal en point aujourd'hui. Je crois qu'on reproduit malgré nous les mêmes schémas et que quand ce schéma mène à la catastrophe à chaque fois, il faut se poser des questions. Et je ne crois pas que ce travail soit faisable en étant en couple, tout du moins dans mon cas.

Donc je crois qu'en effet le célibat, ça permet aussi de prendre du temps pour soi, se connaitre, se découvrir. Après je pense que si ta relation de couple se passe bien et que tu t'y épanouis pleinement, c'est tout aussi constructif, tu apprends d'autres choses, tu te découvres d'une autre façon, tu apprends de l'autre et par l'autre. C'est génial d'être amoureux, de passer de bons moments à deux! Peut-être faut-il connaitre les deux dans ces cas là.

De toute façon, je pars du principe que tous les épisodes dans notre vie peuvent apporter du positif, même si parfois je dois bien admettre que c'est un peu moins évident que dans d'autres. Ce sont tous ces événements qui nous définissent et nous font grandir. Donc l'un comme l'autre, ça peut apporter du bien, tant que ça te rend heureux et que tu ne le subis pas.

C'est normal à des périodes de LTR de regretter un peu sa liberté de célibataire, un peu de lassitude, le quotidien, il faut ranimer la flamme. Comme c'est normal lorsque l'on est célibataire d'avoir un petit pincement au coeur devant un couple heureux et d'avoir envie de tendresse et de complicité. Mais ça ne veut pas dire que l'on est malheureux dans cette situation, et heureusement.

Amélia

1. Personne pour vous aider à surmonter vos insécurités. Personne ne viendra allumer la lumière quand vous serez terrés dans l'ombre, parce que c'est bien connu, on fait jamais mieux les choses que par soi-même.
2. Il n'y a aucun équivalent à faire plaisir à quelqu'un. Votre iPad qui a été fabriqué par un enfant en Chine aurait pu vous permettre d'inviter une vingtaine de fois votre belle au restaurant, puis passer une bonne soirée, en bonne compagnie.
3. Personne pour vous féliciter quand vous avez eu une promotion. Personne pour vous demander si votre journée de travail s'est bien passée.
4. Personne pour vous recarder quand vous avez une saute d'humeur.
5. Il n'y a rien de plus insipide qu'une réussite social et un échec personnel.
6. Si vous n'aviez pas acheté cet iPad, vous seriez au restaurant, pas en train de faire un gratin à base de coquillettes.
7. A vous de voir si vous préfèrez ronfler, ou être réveillé par des baisers, ou l'une des plus grandes joies de la vie, le sexe le matin.
8. Personne ne viendra vous dire que vous avez un rapport. Si vous faites partie de ces gens qui passent leur vie à jouer à League of Legends sans pour autant être de bons compétiteurs, vous auriez peut-être besoin qu'on vous tire par l'oreille et vous mette au boulot.
9. Heu … Qui s'en fout du paquet de brownie ?
10. Vous êtes 2. Donc vous pouvez partager les tâches quotidiennes.
11. Ce blog est nul à chier.
12. Et en plus, il y a la faim dans le monde.

Je pense qu'il ne faut pas se mettre en couple juste pour pouvoir dire "Oui, je suis en couple, je suis attirant", mais se refuser d'être en couple quand on en a envie pour une pseudo-quête de son soi, ça me fait mourir de rire.

Lu dans l'article "Le célibat c'est trop bien".

C'est pas "bien" ou "mieux". C'est une situation comme une autre, que l'on a choisie ou non.
Dans le cas où on l'a choisie, c'est que ça nous convient mieux et on y trouvera forcément plus d'avantages qu'à être en couple.
Si on l'a pas choisi, on le subit et on va envier les couples.

Mais comme toute chose, on évolue, et viendra un moment ou notre situation ne nous conviendra plus. Besoin de changer, ou fait tout ce qu'il y avait à faire seul, besoin de partage.

Il y a des choses vraies je pense, mais elles ne sont pas immuables. Être célibataire c'est important et nécessaire pour le développement personnel, certes, mais pas à vie. Je pense qu'il est nécessaire d'être seul pour se remettre en question, se trouver, se connaître. Et puis trouver ce que l'on veut. J'ai toujours pensé que je serais indigne d'offrir une personne incomplète à quelqu'un que j'aime. Pour cette raison, je me suis toujours dit qu'il me fallait devenir qui j'étais avant de prétendre à la vie de couple.
Mais après bien des années, je me rends compte que je suis pas forcément plus avancée... à méditer donc.

Parce qu'à long terme, je pense que la solitude choisie fait de nous des gens égoïstes et difficilement capables de concessions... Je pense que de temps en temps, il est bon d'être confronté à quelqu'un en évoluant dans un couple. Afin de tester si tout ce que nous pensions connaître sur nous-mêmes jusque là est vraiment vrai. Afin d'échanger aussi, d'apprendre de l'autre. D'apprendre d'une situation de partage et d'évoluer là-dedans. C'est pas toujours facile, mais ça fait de nous quelqu'un de meilleur.

Célibataires, on a tendance à croire qu'on sait tout sur tout, qu'on est invincibles, qu'on est des personnes accomplies parce que la solitude nous a forgées...
Mais inconsciemment, je pense qu'on ne choisit pas vraiment ce célibat, on est juste tellement habitués à ne s'occuper que de nous-mêmes qu'on a peur d'avoir la responsabilité de quelqu'un d'autre; en étant célibataire, on ne fait de mal à personne, sauf à nous-mêmes parfois. On a moins de culpabilité, on a pas peur de décevoir qui que ce soit parce qu'on a pas d'engagement.
Mais je l'affirme, en tant que célibataire par choix, je reconnais qu'au fond de moi, il y a très certainement une immense part de peur. J'ai peur de faire souffrir, et pourtant c'est quelque chose qu'il faut expérimenter pour pouvoir prétendre "savoir". Je pense qu'il y a en nous un enfant qui crève de trouille.. Pour cela je n'aime pas les discours "le célibat c'est la voie de la raison, c'est ça la vraie vie blabla...". Je pense qu'il y a une part de lâcheté dans le célibat.
Pas à court terme, bien sûr! On ne choisit pas toujours... Mais beaucoup de ceux qui affirment haut et fort qu'ils n'ont besoin de personnes sont certainement des petites bêtes apeurées. Comme moi. ;)

Comme dit plus haut, célibataire vs/ en couple, c'est un système d'avantages-inconvénients.

Du coup les articles sur les avantages du célibat, ce sont des jeux de l'esprit. ça peut être intéressant d'ailleurs, mais il ne faut pas prendre ça au pied de la lettre.

***

La chose qui me paraît un peu douteuse, ce sont les gens qui enchaînent tout le temps les relations. A la longue c'est qu'il y a une frénésie, peut-être une peur de la solitude, et sans-doute des manœuvres pour démarrer une nouvelle relation avant que celle en cours soit vraiment finie.

"Le singe qui se déplace dans les arbres ne lâche jamais une branche avant d'en avoir saisi une autre"

C'est un peu dommage car quand c'est systématique, il y a ces "manoeuvres" pas toujours très clean, ET AUSSI un court-circuitage des petites phases de célibat entre deux relations.

Or, ces phases de célibat ont leur utilité. On lit beaucoup "se retrouver soi-même", je le décris dans le même ordre d'idée comme une sorte de palier de décompression. Faire le bilan d'une relation qui s'achève, se rendre disponible pour la suivante...

Dans les grandes lignes, car on fait comme on le sent.

Et puis le hasard a son mot à dire: ça nous est tous arrivé de vivre une rupture et d'avoir le coup de foudre pour quelqu'un d'autre dans la foulée. Dans ces cas-là on se sent un peu emporté dans un tourbillon mais on en prend notre parti, on fonce et on fait au mieux!

Pour ma part je suis assez d'accord avec l'idée que le célibat reste positif.

Après 5 ans comme cela, je suis tout de même épanoui. On peut jouer à séduire quand bon nous semble, et pour mon cas ce n'est pas une peur d'engagement, j'ai juste envie d'être libre et sans attache, sans compte à rendre.

Je ne reste pas réfractaire à "un jour peut être" mais je ne me pose aucune question et je laisse faire le destin, si tenté qu'il ai un rôle a jouer la dedans...

En gros pour ma part c'est OUI au célibat, oui à ses bienfaits, mais tôt ou tard il y aura je pense un jour ou se ranger. Mais il faut que le jeu en vaille la chandelle

Je suis assez d'accord avec l'ensemble de ce qui a été dit.

Pour ma part, je pense que être célibataire est nécessaire, pour en apprendre plus sur soit même sans qu'un paramètre supplémentaire rentre en compte (copine et ou copin).
Mais à un moment donné, il faut savoir passé de l'autre côté et ne plus rester seul.

amelia a écrit :De toute façon, je pars du principe que tous les épisodes dans notre vie peuvent apporter du positif, même si parfois je dois bien admettre que c'est un peu moins évident que dans d'autres. Ce sont tous ces événements qui nous définissent et nous font grandir. Donc l'un comme l'autre, ça peut apporter du bien, tant que ça te rend heureux et que tu ne le subis pas.

Je suis tout à fait d'accord sur ça.

Raven a écrit :Je pense qu'il ne faut pas se mettre en couple juste pour pouvoir dire "Oui, je suis en couple, je suis attirant", mais se refuser d'être en couple quand on en a envie pour une pseudo-quête de son soi, ça me fait mourir de rire.

Dans un cas, tu te caches la vérité et tu essayes de te persuaduer de ce que tu n'es pas.
Et dans l'autre, tu te fermes des portes, des possiblités dans la vie qui pourraient t'apporter de grands plus. Donc au final, trouver un juste équilibre, comme toujours

Sinon j'aime bien tes 12 leçons Raven

MaryeL a écrit :Dans le cas où on l'a choisie, c'est que ça nous convient mieux et on y trouvera forcément plus d'avantages qu'à être en couple.
Si on l'a pas choisi, on le subit et on va envier les couples.

Perso je ne suis pas trop d'accord avec ceci.
Ok on doit choisir d'être célibataire ou en couple, et non subir.
Mais comme amélia l'a souligné, par moment en voyant des couples, on peut les envier soit parce que ça nous rappelle des souvenirs, et donc ça crée une nostalgie en nous qui fait que ça nous manque un peu, comme par exemple la tendresse etc. Mais ce n'est pas pour ça qu'on subit notre céliba.
Car après tout, on l'est parce qu'on le choisit. On choisit de foutre un rateau à cette fille qui est venue avouer ses sentiments pour nous, on choisit d'arrêter une relation avec une fille rencontrée il y a quelques semaines à une soirée, car on trouve qu'elle ne nous correspond pas si bien que ça, même si la dernière partie de jambes en l'air avec elle était mémorable.
On ne veut pas être avec n'importe qui, on souhaite trouvé quelqu'un qui nous correspond le plus possible.
Sinon, on pourrait tous du jour au lendemain être en couple (j'exagère sur le "du jour au lendemain")

[quote="MaryeL]J'ai toujours pensé que je serais indigne d'offrir une personne incomplète à quelqu'un que j'aime. Pour cette raison, je me suis toujours dit qu'il me fallait devenir qui j'étais avant de prétendre à la vie de couple.[/quote]

Et tu as compté le nombre de portes que ça t'as fermé? Le nombre d'histoire que ça t'as empêcher de vivre?

Terrigan a écrit :La chose qui me paraît un peu douteuse, ce sont les gens qui enchaînent tout le temps les relations. A la longue c'est qu'il y a une frénésie, peut-être une peur de la solitude, et sans-doute des manœuvres pour démarrer une nouvelle relation avant que celle en cours soit vraiment finie.

Beaucoup de personnes font ça malheureusement, autant du côté féminin que masculin.
Masculin je vois surtout des gas qui font ça juste parce qu'ils ont KC ou même FC avec la fille, du coup ils quittent leur copine pour aller avec la nouvelle.
Les filles elle, je trouve qu'elles font surtout ça parce qu'elles souffrent de la séparation avec leur ancien petit ami, du coup dès qu'un mec rentre dans leur vie, elles vont avec. Elles prennent cette relation comme solution à leur douleur, espérant que ça va les faire oublier leur ex.

Malheureusement dans les deux cas, ça fini par tomber à l'eau.

Terrigan a écrit :décompression

Je trouve que ça résume assez bien le but de cette période lorsqu'on sort d'une relation.
On repense à tout, on en tire des conclusions, on peut prendre conscience de certaines choses, notamment de ce qu'on ne veut plu dans une relation, et à l'inverse, ce qu'on veut obligatoirement. Bref très utile, cette période est à mon sens, une étape crucial pour se construire et comprendre nos envies et désirs.

scampino a écrit :On peut jouer à séduire quand bon nous semble, et pour mon cas ce n'est pas une peur d'engagement, j'ai juste envie d'être libre et sans attache, sans compte à rendre.

L'humain est quand même étrange par moment.
Lorsque nous sommes en couple, justement nous rêvons par moment de cette liberté perdue, et au contraire, lorsque nous sommes célibataire, nous rêvons par moment de tous ces petits plaisirs qu'un couple apporte.

Assez étrange d'illustrer cette liste du blog par l'affiche d'Into The Wild, alors que le message du film c'est que le vrai bonheur ne peut être que celui partagé.
Un peu comme le plaisir sexuel. Coïncidence ? J'en doute.

Plus prosaïquement, y'a aucun problème à être célibataire ou être en couple. Ce sont des états parfaitement normaux, inévitables à un moment ou un autre de la vie, voir nécessaire et légitime d'y aspirer.

Ce qui pose plus de problème toutefois sur le long terme, c'est d'être perpétuellement dans le même état. C'est vrai pour le célibat comme pour le couple. La routine s'installe, les problèmes les plus profonds sont enterrés pour éviter des les affronter, les projets deviennent envahissants. Les cycles apparaissent comme des saisons.

Par ailleurs, nous vivons à une époque où l'individualité a une énorme place. Dans le célibat, cela va de soi certes, mais également au sein du couple, où là c'est plutôt une évolution bienvenue. Les limites du couple sont de nos jours un peu moins claires qu'avant, certains sex friends forment parfois des "couples intérimaires" plus solides finalement que certains couples "classiques" mal accordés qui se forcent à rester ensemble par convenance plus que tout autre chose.

Des couples atteint par la routine et la baisse de la passion initiale retrouvent une second jeunesse en s'autorisant plus ou moins tacitement un certain célibat intérimaire en backstage. Des célibataires passent tellement de temps avec un noyau d'ami(e)s que cela à tous les traits d'une famille parfois. Des couples recomposés avec des enfants (une étude récente indique près de 30% des cas) de plusieurs parents différents ressemblent à des auberges "espagnoles" où les ex, les demi-frêres/soeurs, les grand-parents des uns et des autres se croisent et partagent une partie de leurs vies respectives.

Bref, tout ça pour dire quoi me direz vous ?
Que le célibat et la vie en couple ne s'opposent pas autant qu'on le pense, ils s'entremêlent de plus en plus, se redéfinissent.

Ah, sinon, si, j'aime pas les listes "raisons pour". Si vous avez besoin d'une liste pour vous convaincre de faire/valider un choix, c'est que vous avez louper un virage quelque part. :-)

J'ai pas tout lu et je vais pas trop m'étendre. D'ailleurs ce que je dis à sûrement été dis et redis.

Etre seul quand on vis une vis active, sociale, cosmopolite, ponctuée de soirées entres amis, de flirts, de réveils à côté de charmantes inconnues : C'est le célibat
Etre seul pour se dévouer corps et âmes à un but précis, profitant tout de même de rencontre, de voyages, se concentrant sur sois sans oublier non plus l'autre et la tendresse, c'est le célibat.
Etre seul pour être seul, espérer des flirts qui ne viennent pas, sortir sans goûts, rarement, avec des gens sans saveurs, se remettre sans cesses en question sur ce qui cloche, c'est plus le célibat, mais de la solitude.

Roro117 a écrit : Perso je ne suis pas trop d'accord avec ceci.
Ok on doit choisir d'être célibataire ou en couple, et non subir.
Mais comme amélia l'a souligné, par moment en voyant des couples, on peut les envier soit parce que ça nous rappelle des souvenirs, et donc ça crée une nostalgie en nous qui fait que ça nous manque un peu, comme par exemple la tendresse etc. Mais ce n'est pas pour ça qu'on subit notre célibat.
Car après tout, on l'est parce qu'on le choisit. On choisit de foutre un rateau à cette fille qui est venue avouer ses sentiments pour nous, on choisit d'arrêter une relation avec une fille rencontrée il y a quelques semaines à une soirée, car on trouve qu'elle ne nous correspond pas si bien que ça, même si la dernière partie de jambes en l'air avec elle était mémorable.
On ne veut pas être avec n'importe qui, on souhaite trouvé quelqu'un qui nous correspond le plus possible.
Sinon, on pourrait tous du jour au lendemain être en couple (j'exagère sur le "du jour au lendemain")

On choisit pas ses sentiments. Et en matière de relations, je pense que c'est eux qui décident, non?
Après.. chacun sa façon de procéder.

Roro117 a écrit : Et tu as compté le nombre de portes que ça t'as fermé? Le nombre d'histoire que ça t'as empêcher de vivre?

Je préfère compter le nombre d'histoires que je n'ai pas vécues plutôt que le nombre de larmes que j'ai causées.