Alexandre 1 - le retour

Note : 62

le 02.11.2013 par Alexandre1

33 réponses / Dernière par Alexandre1 le 22.09.2015, 21h19

Pour celles et ceux qui veulent discuter et demander des conseils rencontres et séduction; comment faire avec cette fille ou ce mec; et plus généralement, comment pécho / trouver l'amour à l'ère du swipe left, notamment quand on est ni mannequin, ni un ninja de la drague.
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Bonjour tout le monde.

Je voudrais d'abord signaler que je ne suis pas vraiment nouveau sur ce forum, je m'étais inscrit une 1ère fois en novembre 2006 (j'avais alors 28 ans), et j'avais été bien actif pendant quelques mois. Il y a un an, vers aout 2012 (j'avais alors 33 ans), j'ai voulu retrouver mes anciens posts, mais mon login ne fonctionnait plus, et une fois ré-enregistré pour la 2ème fois, et en cherchant mes anciens posts je me suis rendu compte que tous les posts antérieurs à 2008 n'existaient plus sur le forum. Aujourd'hui j'ai essayé de retrouver mes posts d'il y a un an, et je ne retrouve plus rien qui remonte avant début 2013. Bref.

Les 2 fois précédentes j'avais fait une super intro où j'expliquais toute ma vie, mes problèmes émotionnels et affectifs. Pour cette fois, je vous demande de m'excuser mais je n'ai plus la patience de refaire pareil, cette fois je vais être très pratique et aller direct au but:

J'ai presque 35 ans, toujours puceau, je n'ai jamais eu de petite amie ni de rapports sexuels de ma vie, ni même jamais embrassé une fille. (Ceci dit en passant, ça fait maintenant 7 ans, depuis l'âge de 28 ans que je connais FTS; j'anticipe vos réactions, mais s'il vous plaît ce n'est pas la peine, je me sens déja assez mal, pas la peine de m'enfoncer encore plus).

Cependant, n'allez pas vous imaginer des choses sur moi ni vous faire de fausses idées, je ne suis ni moche, ni bête, ni perturbé psychologiquement, ni marginalisé socialement; je ne mets pas les filles sur un piédestal, je ne cherche pas à les protéger des salauds, ni à être le parfait gentleman, je connais bien l'histoire de Bob, je ne suis pas comme lui.

Au contraire, je viens plutôt d'un milieu social favorisé, je suis grand, fort, musclé, je suis pas mal physiquement sans être une gravure de mode, intelligent, cultivé, suivi de hautes études (j'ai 1 doctorat et 2 masters), et j'ai une bonne position dans les quartiers généraux d'une entreprise multinationale d'envergure mondiale.
Je viens de Paris, et maintenant je vis à Bruxelles, où je socialise avec les autres expatriés comme moi, les expats européens et internationaux à Bruxelles forment une bonne communauté, avec plein d'événements sociaux et de jolies filles célibataires.
Tout pour trouver des filles et séduire, je ne devrais pas avoir de difficulté à sortir et coucher avec des filles me direz vous, vous ne voyez pas où est le problème.

Mon problème est que (pour résumer), quand j'avais 4 ans, mon père m'a enlevé à ma mère, ça m'a complètement inhibé émotionnellement, et ça a complètement mis à l'arrêt mon développement émotionnel, relationnel, affectif et social jusqu'à l'âge de 28 ans. Je n'ai vécu ni enfance, ni adolescence, ni vie d'étudiant, je n'ai pas eu d'expériences, d'apprentissage et d'évolution sociale jusqu'à l'âge de 28 ans. Pourquoi? Ce n'est pas que je ne voulais pas, mais parceque je n'avais pas la moindre conscience de l'existence d'une vie sociale, ni de la véritable nature des relations hommes - femmes. Si j'avais su, j'aurais agi, mais je ne me rendais même pas compte que ces choses existaient. Je n'avais que de rares amis que je voyais 1 fois tous les 1 ou 2 mois chez moi ou chez eux, je ne sortais pas, je ne faisais pas la fête, je ne m'amusais pas, je ne draguais pas les filles. J'étais psychologiquement complètement déconnecté de la réalité sociale, je ne percevais rien, je ne comprenais rien, je ne vivais rien d'un point de vue social et affectif. Alors que je mourais d'envie d'avoir une petite amie et faire l'amour, je tentais les rares occasions qui se présentaient à moi (1 fois tous les 1 ou 2 ans), mais je n'arrivais à rien car je ne savais absolument pas comment m'y prendre, quoi que je fasse ça ne suscitait pas le moindre intérêt chez la fille, qu'au mieux de l'amitié, au pire de l'indifférence, voire du rejet.

J'ai donc hyper développé mon intellect, mais pas mes émotions qui jusqu'à l'âge de 28 ans sont restées celles d'un enfant, et depuis sont celles d'un adolescent de 18 ans.

Mon problème n'est pas uniquement de séduire des filles, mais de socialiser avec le genre humain. Je me suis énormément amélioré par rapport à ce que j'étais avant, mais ma vie sociale reste basique, j'ai encore de la difficulté à me faire des amis et faire évoluer les relations naissantes.
Quand je rencontre quelqu'un, au début, du fait de mon apparence physique, mon sourire, mon ouverture et mon initiative, je plais, je suscite l'intérêt, avec moi on s'attend à quelque chose de super. Mais quand après on constate qu'il n'y a rien de fun, d'amusant, de sociable derrière, que de l'intellectuel sérieux, c'est la déception, on se désintéresse de moi, et ceux qui au départ voulaient être mes amis se disent que je n'en vaux pas la peine, qu'ils se sont fait de faux espoirs. Car je ne sais pas comment répondre aux attentes psychologiques et relationnelles des gens, car je ne connais pas ces attentes, ou je les connais mais je n'ai pas (encore) la ressource d'y répondre.

Ce n'est qu'à l'âge de 28 ans, quand je suis arrivé à Bruxelles pour commencer à travailler, et quand j'ai découvert FTS, que j'ai finalement compris la réalité des relations hommes - femmes et de la séduction, j'ai donc eu un déclic, j'ai commencé à sortir, socialiser, draguer, ma vie s'est transformée. Mais je suis tombé amoureux d'une collègue, elle m'a rejeté, j'en ai déprimé pendant 2 ans où je n'ai plus évolulé.

Puis à l'âge de 30 ans, à force de sport, de méditation, de séances de psychothérapie (relaxation, hypnose), le jour où j'ai osé affronter la collègue dont j'étais amoureux et qui m'a rejeté, j'ai eu un véritable éveil émotionnel et énergétique, je me suis mis à ressentir tout ce que je n'ai pas ressenti avant, pour la 1ère fois de ma vie j'avais de l'énergie, à un niveau inégalé, je me sentais superman. J'ai recommencé à sortir, faire la fête, draguer, je voyais que je faisais de l'effet à des filles, je plaisais, mais ça n'est pas encore allé jusqu'au baiser ou au sexe car je ne savais pas quoi ou comment faire pour atteindre ce stade après le simple intérêt du moment.
Ca a duré 4 mois, mais un jour ma grand mère, que j'adorais et qui était comme une 2ème mère pour moi, est morte. Le chagrin et le deuil ont brisé mon élan, je suis retombé à un niveau inférieur, jusqu'à aujourd'hui, ça fait 4 ans 1/2 maintenant.

Depuis quelques mois, je me suis remis au sport, j'ai une vie sociale plus significative grace au nombre d'expats que je rencontre dans mon entreprise, on se fait des sorties presque toutes les semaines. Ma vie sociale s'est améliorée, mais pas ma vie affective avec les filles.

A ce jour, j'ai presque 35 ans, je suis encore puceau, je n'ai même jamais embrassé une fille de ma vie, alors que j'en meurs d'envie et que je suis dans un état de besoin affectif et sexuel indescriptible. Rationnellement, je comprends parfaitement les relations hommes femmes et les mécanismes de séduction, le game, l'état d'esprit, le niveau d'énergie, le chaud et froid, jouer la suprise et le mystère, tout ça est clair pour moi. Mais mon émotionnalité est inhibée, je ne ressens pas ce que la plupart des êtres humains ressentent dans le relationnel et en situation sociale, je ne sais pas faire d'humour, je ne sais pas quoi dire, ou comment faire.

Je ne suis pas désespéré, mais franchment je n'en suis pas loin, avec l'âge et les années qui passent bien que j'aie encore de l'espoir il s'amenuise, alors j'ai vraiment, mais vraiment, besoin d'aide, vous ne pouvez pas vous imaginer.

J'ai besoin de rencontrer certains d'entre vous sur Bruxelles pour qu'on se fasse des sorties ensemble dans des bars, boîtes ou autres, et que vous me montriez et m'expliquez comment faire, et corriger mes tentatives que vous aurez observé.

D'avance je vous remercie vraiment du fond du coeur pour toute forme d'aide que vous pourriez m'apporter, surtout si elle est concrète et sur le terrain.

Alexandre
    Notes et commentaires reçus par ce post :
  • [0] Bienvenue le 04.11.13, 13h14 par Marco Polo
  • [0] Bienvenue le 28.01.14, 03h14 par Miel
Salut Alexandre,

Je ne peux que difficilement imaginer ton parcours et ta vie puisque je n'ai pas vécu ces événements psychologiques avec les conséquences qui vont avec et qui ont une répercussions sur ta vie.
Par contre, je m'interroge sur le fait qu'il ne t'ait jamais arrivé d'embrasser une fille pendant une soirée très alcoolisée (ex: un simple regard, pas de blabla, juste les hormones qui parlent, etc.) si tu es attractifs (comme tu l'écris).
Es-tu allé voir un professionnel (ex: psychologue ou un psychothérapeute ou encore un life coach) qui t'aide à comprendre certains blocages et à les résoudre?
Il doit bien y avoir quelques membres du forum sur Bruxelles pour faire quelques sorties.

Bon courage :)
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Quelques précisions concrètes quant aux difficultés que je rencontre au quotidien dans ma vie sociale et affective, et quant aux attentes que j'ai de ce forum:

Certes j'ai envie et besoin de rencontrer ceux d'entre vous qui habitent Bruxelles. Mais pour que ce me soit profitable et que je progresse, il faut que j'apprenne de vous, donc que je rencontre des personnes qui sont suffisamment meilleurs que moi en séduction, et qui ont déja du succès avec les filles, donc que je vais pouvoir observer, imiter, à qui je vais pouvoir demander conseil et qui pourront me répondre honnêtement avec le vrai langage de la séduction, des personnes de qui je vais pouvoir apprendre. Pas des personnes qui sont à un niveau égal ou inférieur au mien, qui ont elles aussi des difficultés et pas de succès avec les filles, dont je n'apprendrai rien, juste pour "m'épauler" ou draguer à 2, ça ne me servira pas.

Mon plus grand problème: la conversation émotionnelle et sociale, j'en suis (presque) dénué. Quand il s'agit de discussion rationnelle, sérieuse (sciences, spiritualités, etc.), j'excelle. Mais je ne sais pas communiquer des émotions verbalement, par les mots, je ne sais pas de quoi parler, ni la manière de le dire, pour socialiser ou séduire. Je ne sais même pas de quoi les gens parlent entre eux quand ils socialisent ou séduisent; j'ai beau avoir écouté des centaines de conversations depuis plusieurs années, je ne comprends pas en quoi consiste la conversation, quel est le sujet, qu'est ce que les gens se véhiculent ainsi, et quels éléments ou manières dans leur conversation suscitent l'intérêt de l'autre.
Je ne sais pas faire d'humour: j'aime rire, je ris quand je peux, j'ai le sens de l'humour, mais mon humour est soit enfantin (raconter des blagues un peu primaires), soit adolescent (sexe bien explicite, vannes vraiment grosses d'ado), mais je ne sais pas faire d'humour plus subtil, recherché, de l'humour adulte et socialement acceptable, ça m'échappe complètement.

Emotionnellement, je suis assez pauvre, en corollaire de ma richesse intellectuelle: je ressens peu de choses, je ne perçois / ressens / comprends pas ce que les autres ressentent, j'ignore quels sont les ressentis normaux des gens normaux, car je n'en ai pas l'expérience. Donc je ne comprends pas ce que, dans une relation interpersonnelle, ou dans une situation sociale, les gens ressentent, ce qu'ils recherchent, ce qu'ils veulent, de quoi ils ont besoin; ni comment répondre aux besoins émotionnels et affectifs des autres à un niveau adulte, quel comportement, quelles paroles adopter pour y répondre. Ce qui pour vous et la plupart des gens peut paraître tout à fait évident et allant de soi ne l'est pas pour moi. Pour note, je suis resté émotionnellement bloqué dans l'enfance jusqu'à l'âge de 28 ans, et depuis je suis à un stade émotionnel d'adolescent de 18 ans, bien que j'aie 35 ans je ne sais pas encore à quoi ressemble le niveau émotionnel et affectif adulte.

Les lieux ou outils de rencontre ne sont absolument pas ce qui me manquent, au contraire ils abondent, je connais tous les bons endroits où sortir rencontrer des gens, et je suis inscrit aux meilleurs réseaux sociaux internationaux d'expatriés, et je parle couramment anglais sans accent. Mon problème est plus, une fois les personnes rencontrées, arriver à susciter de l'intérêt, donner envie aux autres de me revoir, me rappeler, accepter les propositions de sorties que je leur fait, etc. => je ne sais pas parler et me comporter "socialement", au-delà de la première impression positive, je n'ai plus rien pour assurer derrière, d'où la déception des autres et leur indifférence.

Je ne sais pas en quoi consistent les activités sociales. Je ne connais que les activités de base, çàd bars, ou nightclubs, mais quand je propose ça, personne n'est intéressé. Quelles sont les activités, les lieux de sortie, les choses à faire, que les gens proposent aux autres pour se faire des amis / une petite amie, ce qu'ils font pour avoir une vie sociale?

Encore merci d'avance pour votre aide.

Alexandre
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Re-bonjour tout le monde.

J'ai 36 ans passés. Ca fait 1 an 1/2 depuis mon dernier post, presque 2 ans depuis ma ré-inscription sur FTS, 8 ans après ma 1ère inscription sur FTS, et 9 ans que j'ai découvert la Communauté de la séduction, j'avais alors 26 ans 1/2 tout au début.

Je suis toujours puceau (malheureusement), mais j'ai fait beaucoup de progrès depuis plusieurs années. Des progrès qui pour l'instant restent essentiellement intérieurs (dans ma compréhension et mes ressentis), en partie extérieurs (dans mon comportement avec les gens, dont les filles, beaucoup plus d'aisance et d'assurance), mais qui n'ont pas encore abouti à des résultats concrets (un close), car je n'ai même encore jamais embrassé une fille.

Je sais, ça peut vous paraître bizarre vu les progrès, et le temps que je connais FTS / la Communauté de la séduction (8 / 9 ans), vous pourriez vous dire que depuis tant d'années, avec tous les moyens à ma disposition, toutes les informations, les conseils, le forum et la possibilité de rencontrer des membres de FTS et de poster, et les centaines de sorties que je fais (au moins 1 fois par semaine, dans des bars branchés, événements sociaux), et les centaines de filles que j'ai rencontré, abordé, parlé, pris le numéro / profil facebook, gardé contact, revues, avec qui le contact est cool, que non seulement je n'ai couché avec aucune, mais même embrassé aucune... Ce n'est pas normal, même le pire des Way Below AFC aurait acquis une vie sexuelle en 9 ans, tant de ressources et de rencontres, donc que je dois avoir un sacré problème, quelque chose qui ne va pas. J'en ai parfaitement conscience, et pourtant ce n'est pas l'envie qui manque, je meurs d'envie d'embrasser une fille, d'avoir des rapports sexuels, et une petite amie, je jure sur mon honneur que je ferais n'importe quoi au monde pour y arriver.

Donc s'il ne s'agit ni de tares physiques ou intellectuelles (où je suis plutôt avantagé), ni de manque d'information (que j'ai à pléthore), ni de manque d'occasions, lieux ou rencontre (j'en ai des centaines), ni de timidité ou ne pas oser (je suis tout le contraire de timide, je déborde d'assurance et de confiance en moi, je peux aborder la Top Model la plus canon au monde sans la moindre hésitation), ni de manque de volonté (je veux ça plus que n'importe quoi au monde), quel est le problème alors?
Je tiens à préciser que je suis strictement hétérosexuel et vraiment très intéressé par les filles, je déborde de désir.

Une chose dont j'avais déja l'intuition avant, puis de plus en plus conscience et qui maintenant m'apparaît clairement, c'est qu'en réalité mon vrai problème n'est pas uniquement de séduire les filles, mon vrai problème est de communiquer avec le genre humain, savoir parler socialement et constuire des relations avec les gens.

En d'autres termes, mon problème est d'ordre émotionnel, verbal et pratique:

- Emotionnellement, je ne suis pas très développé. J'ai des émotions, ou ressentis, qui sont encore assez primaires et intenses, au niveau de l'enfance et de l'adolescence, elles ne se sont pas naturellement développé vers des niveaux plus matures, adultes, subtils et riches, et je ne sais pas comment faire évoluer mes ressentis au niveau supérieur. Mon expression émotionnelle est soit trop intense (dans l'excès), soit insuffisante (dans l'apathie, l'inexpression, l'absence émotionnelle), je n'arrive pas à modérer et doser mes ressentis dans le juste milieu

- En termes de communication, je ne sais pas comment communiquer des émotions aux autres. Si je veux communiquer ce que je ressens, ça va être des ressentis primaires et extrêmes (désir sexuel très fort, énergie à dépenser physiquement par le mouvement, le sport, l'aventure extrême, la danse et le chant complètement lâchés). Je ne sais pas quels autres types de ressentis plus sociaux, normaux et modérés je pourrais exprimer, ni comment les exprimer avec des mots, car je manque de vocabulaire émotionnel, je ressens des choses mais je ne sais pas avec quels mots les exprimer, ni comment le faire d'une manière socialement acceptable

- Je ne sais pas de quoi parler avec les gens / les filles. Je sais, on me dit "le sujet n'a pas d'importance, parle de n'importe quoi, l'essentiel est la manière dont tu en parles", mais ça ne m'aide pas: si j'élimine tous les sujets sérieux / chiants socialement comme sciences, spiritualité, et les sujets "Geek" qui font paraître bizarre et qui font fuir comme les manga, jeux vidéo, Star Wars, Tolkien, tous ces sujets éliminés, il ne me reste plus de sujet de conversation, je ne vois pas en quoi peu consister le "n'importe quoi".
Les sujets bateau comme le climat, la nourriture, l'ambiance et la déco du lieu, ça tient pas plus de 3 minutes. Lui poser des questions sur d'où elle vient, ce qu'elle fait, ce qu'elle aime, ça tient pas plus de 5 minutes. Après c'est le blanc, mon esprit n'a plus d'imagination pour générer d'autres sujets de conversation, encore moins sociaux ou sexués.
L'écoute active? Je ne fais que ça vu que je n'ai plus rien à dire, mais ce n'est pas en l'écoutant parler et en réagissant de temps en temps avec une courte phrase / question que je vais exprimer de la sexualité, lui donner envie, la séduire (ou simplement susciter l'intérêt chez les gens).
Alors, que reste-t-il dont je puisse parler?

- On me dit d'observer, écouter les conversations, et imiter, faire et parler comme les autres. Mais j'ai des difficultés de communication verbale orale (parlé, audio), autant en écoute qu'en expression, car dans ma vie j'ai plus interagi avec des livres et des écrans qu'avec des humains, je suis donc super à l'aise dans le visuel et l'écrit, mais l'oral me pose des difficultès d'attention, de concentration, de vivacité d'esprit et de rapidité de compréhension et de réaction, j'ai souvent un temps de retard, le temps de réfléchir à ce que les gens ont voulu dire, et à comment réagir, car je n'y suis pas habitué.
Quand j'écoute les conversations, je n'arrive pas toujours à les suivre et à comprendre ce que les gens essaient de se véhiculer, je ne capte pas bien l'humour, les expressions sociales, les sous-entendus, les non-dits, les silences; je suis donc décalé par rapport à la conversation, je n'arrive pas à m'y intégrer à égalité avec les autres.
Et c'est encore pire quand les gens ne prononcent pas bien, ou qu'il y a du bruit comme dans un bar ou un nightclub

- Mon humour n'est pas adapté au monde adulte et mature. J'ai un humour enfant et adolescent, assez primaire, ou tourné sexe et différences hommes / femmes, et souvent on m'a reproché de faire cet humour, qui a eu l'effet opposé à ce que je recherche, je ne sais pas faire d'humour subtil et social qui va être agréable, faire rire, mettre les gens / les filles à l'aise et me faire apprécier > Conséquence: je ne fais rire personne, je ne fais pas rire les filles malgré mes tentatives et efforts, personne ne rit à mon humour, au mieux on sourit par politesse, au pire je suscite l'indifférence ou je choque

- D'un point de vue pratique / logistique, une fois que je rencontre des gens / des filles et que je garde leur contact, je ne sais pas quoi leur proposer pour se revoir: parmi toutes les personnes rencontrées, qui parmi eux contacter, combien inviter, au bout de combien de temps les recontacter, leur proposer l'activité pour dans combien de temps / quel jour de la semaine, quel genre d'activité (je ne sais pas ce qu'il existe comme autres activités sociales que bar pour prendre un verre / boite pour danser). Quasiment toutes mes propositions sont déclinées, sauf de rares fois, à chaque fois que je propose quelque chose à quelqu'un, personne n'est jamais intéressé ou disponible. Et on ne me propose presque jamais rien, ou alors 1 fois au début, et puis plus rien > Ca prouve qu'après l'intérêt du début et de la nouveauté de la relation, après les gens perdent intérêt pour moi et m'oublient

- Parfois, je sens que le courant passe bien avec une fille, ce n'est pas fréquent mais ça arrive, mais je constate qu'elle se comporte comme ça avec tout le monde et pas uniquement avec moi, donc ce n'est pas spécial entre nous 2; en plus je ne la fais pas rire, elle est souriante et de bonne humeur par caractère, mais elle ne rit pas à ce que je dis, donc je me fais plus une impression sur l'apparence, et du fait de mon désir, plutôt que ressentir une réelle connexion émotionnelle. Je ne sais donc jamais si je peux l'embrasser, ce qui serait le passage vers la suite, ou non. Et ce n'est pas que je n'ose pas, j'oserais sans la moindre hésitation si je sentais qu'elle se sent bien spécifiquement avec moi, qu'il y a une différence avec sa façon d'être avec les autres, si je ressentais qu'elle a envie, mais je n'ai encore jamais ressenti ça de toute ma vie, si je l'avais ressenti, j'aurais foncé.

- Je suis dans un état de besoin et de manque sexuel extrême, je ferais n'importe quoi (de moral et de légal bien entendu, et avec le consentement de la fille) pour coucher avec une fille qui me plaise. Mais quand je suis avec une fille qui me plaît, mon esprit tout entier n'est tourné que vers une chose: la prendre dans mes bras, l'embrasser, puis lui faire l'amour. Je fais de mon mieux pour que ça ne se voie pas, et je pense qu'avec le temps et l'entraînement j'arrive à le masquer, mais mon esprit n'est pas disponible pour les étapes intermédiaires (lui parler, la connaître mieux, faire monter la température / son désir, la revoir, attendre 2 ou 3 "dates" et je ne sais combien de temps) avant de pouvoir passer à l'étape physique. Bien que ma raison comprenne qu'il est nécessaire de passer par toutes ces étapes et que ça prend du temps, mes émotions la veulent là, maintenant, tout de suite, ce désir m'envahit complètement et m'empêche de voir / faire autre chose, et je ne sais pas quoi faire contre.
Et si une fille ne me plaît pas, je ne serai absolument pas motivé, je pourrais me forcer à commencer les premières étapes, mais ensuite par manque d'intérêt l'indifférence prend le dessus et je laisse tomber car je n'ai même pas envie de l'embrasser.

En fait, je me sentirais à l'aise et avec des chances significatives de séduction dans une ambiance étudiante déchaînée, du style American Pie (j'adore les 8 films, je me les passe tous en boucle), dans la tranche d'âge 18 - 21 ans, style campus d'université américaine ("College" freshmen and sophomore students), avec les fraternités étudiantes, les soirées déchaînées et très libérées sexuellement, avec musique, danse et jeux. Là je me sentirais vraiment dans mon élément, car c'est plus physique que verbal, c'est le genre de milieu et d'ambiance que je recherche. Malgré mes 36 ans, on me donne souvent entre 27 et 32 ans, je fais plus jeune, et je socialise essentiellement avec des étudiants / jeunes expats (entre 23 et 30 ans), mais bon Bruxelles ce n'est pas les US ni American Pie.

C'est sur ces points-ci précisément que j'ai besoin d'aide; et plus simplement de conseils basiques destinés aux AFC (ne pas mettre les filles sur un piédestal, pas de one-itis, virilité, confiance en soi, oser), j'ai dépassé ce stade depuis très longtemps et je suis à un autre niveau qui n'a plus rien à voir avec celui d'un AFC, mais un niveau encore insuffisant pour obtenir des résultats avec une fille (la séduire, l'embrasser, lui faire l'amour).
J'ai bien besoin de conseils basiques, mais différents, sur un autre plan, celui que j'ai décrit dans ce post.
Si vous pouvez m'aider sur ces points, s'il vous plaît, vous m'aideriez beaucoup à progresser.

Merci d'avance.
Alex
Je crois que tu intellectualise trop, en tout cas c'est ce qui me bloque donc je te propose de réfléchir à cette possibilité...

Peut-être que tu pourrais nous dire ce qui se passe dans ta tête quand une fille te plais ?

Est-ce que tu as déjà rencontré une fille que tu as voulu embrassé ?

Ou est-ce que c'est l'idée d'embrasser une fille en règle général qui te motive ?

Si tu es comme moi tu réfléchis trop à la façon de le faire, jusqu'à en oublier de le faire quand l'occasion se présente...
Hello,
j'ai deux questions : comment te situes-tu sur la question du lâcher prise / as-tu l'impression d'être dans un besoin de contrôle ?

Et : as-tu songé à faire appel à un (bon) coach ? (je pense à Blusher) => peut être qu'un coach pourrait te mettre sur les bonnes pistes et te pousser dans le dos lorsque tu en as besoin ?
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Me revoici pour répondre aux posts ci-dessus (désolé je ne viens pas souvent sur FTS).

Quand j'explique ma situation, la plupart des gens ne comprenant pas vraiment où se situe mon problème me ressortent toujours ce même genre de commentaire / question, quant au fait de trop rationnaliser ou du besoin de contrôler, mais le problème n'est pas là!

C'est vrai que longtemps dans ma vie j'ai été dans un excès de pensée / rationnalisation / intellectualisation, aux dépens de l'émotionnel et de la spontanéité, mais je me suis beaucoup amélioré depuis plusieurs années, même si j'ai encore tendance à un peu beaucoup réfléchir, j'arrive mieux à éteindre mon cerveau et laisser juste mes émotions parler. Donc le problème n'est plus là!

Même lorsque j'arrête de penser et que je lâche mes ressentis et les laisse s'exprimer, j'ai du naturel et de la spontanéité, mais le problème est que par retard / manque d'expérience sociale, et par manque de maturité émotionnelle, les émotions / sentiments que je ressens et que j'exprime sont excessifs pour la plupart des gens, et sont souvent mal pris, alors que mes intentions et sentiments sont bons, et que mes ressentis sont bons en soi, que intrinsèquement il n'y a rien à leur reprocher, ils sont perçus comme excessifs, hors norme, parfois lourds, peuvent me faire paraître bizarre, et souvent suscitent la distance que le rapprochement.

En général, les gens (hommes et femmes, de tout âge, jeunes, adultes et vieux) m'apprécient pour mon apparence physique, ma richesse intellectuelle, et mon niveau social et d'éducation.
Mais dès qu'il s'agit de devenir moins sérieux, de se lâcher, et de verser plus dans l'émotionnel et le social (dont la séduction), là ça dérape, on trouve que j'en fais trop (ou pas assez), parfois que je suis bizarre, ou lourd, et ceux qui jusque là voulaient être amis avec moi commencent à se poser des questions et prennent des distances.
Donc en général on me trouve soit excessif et on me dit de faire attention à ce que je dis, de me modérer, soit quand j'essaie de me modérer je n'en fais pas assez et on me trouve trop coincé et on me dit d'être plus cool et de me lâcher. Je suis dans les extrêmes, le trop ou l'insuffisant, bien que j'en aie conscience, je n'arrive pas à me calibrer et à faire dans la demi-mesure, même si ma raison comprend ça, mes émotions sont dans le tout ou rien, je n'arrive pas à faire les choses à moitié.

Quelques exemples:
L'humour, j'en ai, j'adore rigoler, mais mon humour est enfantin ou adolescent / étudiant, je fais des grosses blagues qui vont faire soit gamin / clown, soit obsédé sexuel (du type American Pie). Si j'essaie de me modérer, je vais faire un humour un peu trop spirituel et intello qui ne fait rire personne. Je n'arrive pas à faire d'humour adulte subtil qui soit agréable aux gens.
Sourire, longtemps j'étais tellement inexpressif que je ne souriais presque jamais. Quand j'ai commencé à changer, j'ai appris à mieux sourire (avec les yeux et pas seulement les lèvres), mais alors soit je souris trop et j'ai l'air bête, soit je ne souris pas assez et on trouve que je fais la gueule.

J'ai besoin d'émotions intenses, donc:
Quand je fais du sport, muscu, karaté, je me donne toujours à 300%, je me bats contre mes limites, et tout le monde autour de moi le remarque car j'y vais plus fort que les autres, plus longtemps, je m'extériorise pleinement, je lâche des Kiai à presque tous les coups, alors certes je projette une image de force et d'énergie et on m'envie quand on me demande où je trouve l'énergie de me donner autant, mais on me regarde aussi bizarrement et on ne cherche pas à se faire ami avec moi.
Quand je danse, quand je vais en boîte ou bar dansant, là encore je me donne à fond, je suis dans un état de transe, je me sens tellement bien et je sens tellement le rythme dans mon corps que je danse VRAIMENT, je ne me contente pas de bouger un peu comme la plupart des gens le font. Et là encore les autres trouvent que je danse plutôt bien, mais vont aussi me regarder parfois bizarrement comme si j'en faisais trop.
Quand sous certaines conditions météorologiques, alors que la plupart des gens ont trop froid ou trop chaud alors que moi je suis résistant aux températures extrêmes, que je peux rester sous des températures négatives en simple T-shirt, ou sous un soleil de 40 degrés sans être incommodé, et que je leur dit que je n'ai pas froid, ou que j'aime la chaleur, on me regarde bizarrement.

Quand je parle avec les gens / les quelques amis que j'ai au sujet de mes passions, de ce que j'aime faire, là encore j'exprime ce que j'aime et pense vraiment, donc dans l'extrême:
Que j'aime les grandes villes internationales comme New York, Londres, Paris, Tokyo, pour leur frénésie, leur dynamisme social, leur richesse culturelle; alors que la plupart des gens se sentent écrasés dans les grandes villes et préfèrent les petites villes à dimension plus humaine.
Que j'aime l'aventure dans la nature sauvage, la jungle tropicale vierge sans trace de civilisation, les ruines anciennes, les hautes montagnes, le fond des mers, que j'aime prendre des risques physiques (calculés), que ça ne me dérange pas d'être blessé ou me prendre des coups car j'ai la capacité physique d'y résister et que ce n'est que comme ça qu'on devient plus fort, qu'on s'endurcit, et qu'on devient un Homme, on me regarde bizarrement.
Et quand il s'agit de discuter, quand on arrive à des sujets plus sérieux comme la science ou la spiritualité, l'histoire humaine, le monde dans lequel on vit et son avenir, là on est en plein dans ma passion et je peux en parler des heures, avec passion et conviction. Mais là on me dit que j'affirme trop et que je devrais me modérer en disant que je ne fais que supposer et que ce n'est que mon opinion, les gens se sentent intellectuellement écrasés, donc m'en veulent de les faire se sentir bêtes et incultes, et deviennent agressifs en me demandant pour qui je me prends pour prétendre détenir la vérité, et qu'il n'y a pas de vérité absolue (soi-disant) et que chacun a sa façon de voir les choses.
Etc., je peux multiplier les exemples.

Dans tout ce que je fais, et tout ce que j'aime, je me donne à 100%, je n'arrive pas à me retenir, à en faire moins que ce que je voudrais et pourrais, et s'y j'y arrivais je me sentirais vraiment très frustré d'avoir à me limiter volontairement (et bêtement) à moins, alors que je sais que je suis capable de faire plus.
Je ne prends mon pied que dans l'intensité, me donner à fond et me battre contre mes limites. En faire moins ne génère en moi que frustration et regret.

Mais les conversations normales, sociales, à propos de la vie quotidienne, où on parle des autres, des gens, des petites choses et anecdotes qui nous sont arrivées, du temps qu'il fait, de la nourriture, des vêtements, etc., désolé de l'expression mais ça me fait chier, je déteste ce genre de conversation qui ne présente aucun intérêt à mes yeux. Mais sachant que c'est ce dont les gens aiment parler, alors je me force, sans motivation et maladroitement, en essayant de parler des mêmes choses que les autres et de la même façon, mais je n'y arrive pas, ou mal.
Dans ce registre, j'aime parler de cinéma, de musique, de cuisine et de restaurants. Mais là encore on n'est pas sur la même longueur d'onde. J'aime les grosses productions hollywoodiennes, les films d'action, de combat, de science fiction, les gens préfèrent les films plus sociaux. J'aime la musique rythmée et énergique des boîtes de nuit (des Beatles à David Guetta en passant par Michael Jackson), les gens préfèrent la variété locale ou les styles alternatifs. J'aime la nourriture asiatique, je suis fan de restau japonais, chinois etc., les gens veulent découvrir les spécialités locales européennes de tel pays ou telle ville.
Donc je ne produis pas l'effet émotionnel que les gens recherchent pour constuire des relations, donc on m'écoute pas politesse, puis on se désintéresse, on n'a pas spécialement envie de me revoir, et quand ils s'organisent des évenements entre eux, on ne m'invite pas, que rarement, ou en dernier.

Et quand je ne peux pas faire ou dire toutes ces choses que j'aime car je sais par expérience que ça ne va pas m'aider à me faire des amis, je ne dis rien et je ne fais rien, alors on trouve que je fais la gueule, que je m'ennuie, que je suis psychologiquement absent, pas dans l'ambiance, et on croit que je ne suis pas content d'être là.

Alors je comprends que la plupart des gens ne se reconnaissent pas dans les ressentis et les passions que je décris, qu'ils préfèrent une vie plus calme, posée, stable, plus intime, entre amis proches, en petit comité, les "petites choses de la vie de tous les jours", ce qu'ils appellent "la vie normale de tout le monde"; mais moi je ne me reconnais pas non plus dans cette vie "normale" des "petites choses" qui me laissent insensibles.
Mais d'une part je ne trouve personne qui soit dans le même état d'esprit que moi pour m'en faire des amis et une petite amie.
D'autre part vu que j'ai besoin d'amis et d'une petite amie, je les recherche parmi les gens "normaux", même si je ne me reconnais pas en eux et qu'ils ne se reconnaissent pas en moi, parce que j'ai besoin d'avoir une vie sociale, affective et sexuelle, je ne veux pas rester seul. Et s'il vous plaît ne me sortez pas "il vaut mieux être seul que mal accompagné", car d'une part je ne considère pas que ces gens seraient une mauvaise compagnie, à mes yeux ils sont une bonne compagnie, sympas, juste pas sur la même longueur d'onde, et d'autre part car être seul n'est pas une option pour moi, quelle que soit la compagnie, je préfère être avec des gens avec qui je m'ennuie que d'être seul, c'est un choix et je l'assume.

Avec les filles, quand j'en rencontre une, avant de connaître sa personnalité et ce qu'elle vaut intérieurement, ce qui m'attire chez elle, ce sont 2 choses: sa beauté physique, et le charme qu'elle dégage (les 2 n'allant pas toujours ensemble).
Si elle me plaît, j'ai envie d'elle, là, ici, maintenant, je n'ai pas la patience de passer par du bla bla, je veux l'embrasser, la prendre dans mes bras et la caresser tout de suite. Mais sachant que socialement ce n'est pas possible, que ça n'entraînerait que le rejet, et qu'il faut parler, alors je dois m'imposer presque à contre coeur de faire la discussion en espérant arriver à dire quelque chose ou parler d'une manière qui va me sexualiser aux yeux de la fille et éveiller du désir en elle. Mais pendant cette attente interminable, mes ressentis restent braqués au niveau du désir physique, tout ce que je veux c'est l'embrasser, toucher son corps, et finir par lui faire l'amour, c'est tout; discuter et mieux la connaître viendra plus tard, après le sexe.
Et quand une fille ne me plaît pas, je n'aurai aucune motivation et ne ferai pas d'effort. A la limite, pour m'entraîner je peux me forcer à l'aborder, lui parler, faire la conversation, essayer de rigoler, et garder son numéro / contact Facebook, mais je ne la recontacterai pas car je n'ai pas spécialement envie de la revoir, tout ce que j'aurai fait avec elle n'aura été qu'un simple entraînement, sans envie d'arriver à quoi que ce soit avec elle.

Alex
Si elle me plaît, j'ai envie d'elle, là, ici, maintenant, je n'ai pas la patience de passer par du bla bla, je veux l'embrasser, la prendre dans mes bras et la caresser tout de suite. Mais sachant que socialement ce n'est pas possible, que ça n'entraînerait que le rejet, et qu'il faut parler, alors je dois m'imposer presque à contre coeur de faire la discussion en espérant arriver à dire quelque chose ou parler d'une manière qui va me sexualiser aux yeux de la fille et éveiller du désir en elle. Mais pendant cette attente interminable, mes ressentis restent braqués au niveau du désir physique, tout ce que je veux c'est l'embrasser, toucher son corps, et finir par lui faire l'amour, c'est tout; discuter et mieux la connaître viendra plus tard, après le sexe.
Et quand une fille ne me plaît pas, je n'aurai aucune motivation et ne ferai pas d'effort. A la limite, pour m'entraîner je peux me forcer à l'aborder, lui parler, faire la conversation, essayer de rigoler, et garder son numéro / contact Facebook, mais je ne la recontacterai pas car je n'ai pas spécialement envie de la revoir, tout ce que j'aurai fait avec elle n'aura été qu'un simple entraînement, sans envie d'arriver à quoi que ce soit avec elle.
Bha il va falloir, parce que c'est comme ça que ça marche. L'être humain en face de toi à besoin d'être rassurée sur dans les bras de qui il va ou non plonger. Donc desolé, mais il va falloir causer, se devoiler et accepter l'échec et le rejet. C'est aussi une étape nécessaire pour toi parce que ton ressenti reste une première impression et une jolie fille qui ne te comprend pas ne te fera pas avancer.

En gros j'ai l'impression que soit tu t'en fout grave. (Pas bien, y'a toujours pleins de chose intéressante chez tout le monde. Ex: quelqu'un de moins succesfull que toi, mais qui arrive à embrasser une fille, c'est que tu à apprendre de lui...et c'est valable partout tout le temps)

Soit tu idéalise et tu te met une pression de dingue.

J'ai aussi l'impression que tu te cache derrière ce côté succesfull (super job, sportif ect...) pour ne pas t'effondrer. Mais c'est pas ça qui marche. C'est pas les plus beau ou les plus riches qui sont les plus heureux. Par contre, c'est peu être une piste pour toi de t'avouer que tu as peur. De pas être à la hauteur. Qu'en fait, il n'y a pas de hauteur, on est tous différent avec nos vécus différent et que le but c'est pas d'en mettre plein la vue à tout le monde pour être accepté. Le but c'est d'être à l'ecoute des autres et d'être capable de leur donner la reconnaissance pour ce qu'ils font, petites ou grandes.

Soit quelqu'un de bienveillant et respectueux, inconditionnelement.

J'espère que ça aidera.
En te lisant, la chose qui m'est venue à l'esprit c'est une des définitions de la folie: refaire exactement la même chose sans arrêt en espérant que les résultats diffèrent.

Ça fait plusieurs fois que tu postes quasiment le même contenu, mais on dirait que tu ne prends pas les réponses des autres en compte, tu continues dans ton bla bla. Peut-être est-ce parce que tu attends une réponse qui te sera satisfaisante ?

Pourtant y répondre t'aurait peut-être permis d'y voir plus clair, et aux autres de t'aider plus précisément.

Je ne suis pas une séductrice aguerrie, je ne suis pas inscrite depuis longtemps sur le forum, bref, mais je pense que prendre rendez-vous avec un psychothérapeute pourrait grandement t'aider.

Personne ne fait un apprentissage explicite des émotions, on les apprend implicitement lorsqu'on est un bébé, en regardant les visages de nos proches, c'est-à-dire à force de sociabiliser. Toi même tu l'a reconnu. Ainsi, je ne vois pas ce que pourrait t'apporter l'aide d'un coach. Il faudrait à mon sens plutôt commencer par développer ce répertoire chez toi.

Essaie de mettre les être humains au cœur de ta vie, oublie tes inhibitions type "je ne suis pas drôle", "je n'ai pas les codes" etc. Force toi à parler avec les gens, prend toi des portes, mange-toi des râteaux, c'est ça aussi la vie: tout le monde ne t'aimera pas, malgré tout l'aplomb et l'intelligence que tu peux dégager. Ce qui fera la différence c'est ta sensibilité, et ta capacité à communiquer avec les autres. A force de te confronter aux autres, tu verras qu'au bout d'un moment tu auras intégré pas mal de choses. Je te conseille même de commencer par te faire des amis avant de commencer à séduire. Parle de toi, de ce que tu es, de ce que tu aimes, essaie de mettre les autres en confiance et si ça ne marche pas, prends du recul et essaie de comprendre là où ça n'a pas fonctionné pour ajuster plutôt que de répéter le même schéma.

Tu peux également essayer le théâtre, ça te mettra face à toi-même et t'apprendras la justesse dans les émotions.

Bref, quoiqu'il arrive, vis et connecte-toi aux autres ! C'est comme ça que tu ressentiras un panel de choses, que tu développeras de l'intelligence émotionnelle. La séduction viendra après; ce n'est pas un mécanisme mais un jeu, et pour savoir jouer, il faut connaître les règles.
Ne le prend pas mal cher ami, d'autant plus qu'en général ça a tendance à aider.

Mais je crois que tu as une très haute opinion de toi même, et un égo assez encombrant.

Je ne vois pas beaucoup d'humilité dans ta description, et oui "les gens" sont globalement tous normaux, et toi aussi. Ils ont leurs forces et leurs qualités, et toi aussi.

Avoir de la culture, des passions, et une conscience intellectuel élevé n'est pas un handicape... (Enfin j'espère parce que sinon nous sommes plusieurs ici à être mal barré :p)

Ce que tu appelle un discours passionné, peu très rapidement passer pour de la condescendance, quand quelqu'un parle avec toi et se lance dans une discussion passionnante sur les sciences, les arts, ou autre, c'est pour aussi exprimer son avis, et ses opinions, pas juste acquiescer à ce que tu dis... Ça fini en monologue et c'est généralement là que tu construis une affreuse image de toi, d'être suffisant et borné.

Si après tu en es à te dire "de toute manière "les gens" n'y comprennent rien je perd mon temps ici" c'est que tu as un problème... Autant je suis d'accord sur le fais que ce n'est pas parce que 200 personnes ont tort qu'elles ont raisons, mais là l'objectif ce n'est pas de monter une secte, c'est de prendre plaisir à converser avec "des personnes" et pas "des gens", d'avoir des échanges et partager des opinions, soit identiques, soit contraires (ça s'appelle un débat).

Et oui quand on a une vie ordinaire et confortable, on aime bien parler de banalités aussi, on partage nos vies, et nos expériences face à de petites choses, comme payer ses impôts, ou choisir une paire de chaussures, les problèmes de cœurs de Intel ou autres réussites professionnels, les petits bobos, et les petits plaisir simples.

Apprécier un demi sur une terrasse au soleil, et juste parler de la demoiselle qui vient de passer dans sa si jolie robe à fleurs.
Alexandre1 a écrit :Mais sachant que c'est ce dont les gens aiment parler, alors je me force, sans motivation et maladroitement, en essayant de parler des mêmes choses que les autres et de la même façon, mais je n'y arrive pas, ou mal.
En même temps si tu ne crois pas toi même en ce que tu dis, il y a peu de chances que les autres soient convaincus, et comme tu n'es pas en représentation, le mieux est déjà que les personnes en questions t'intéressent avant de t’intéresser à leurs petites histoires.

Apparemment "les gens" sont ceux que tu devrais appeler "tes potes", ou "tes amis"...
Où sont ces mots qui montrent que tu hiérarchises intérieurement ceux que tu côtoie avec plaisir régulièrement, et la masse grouillante de notre humanité toute entière ?

Bref je pense que pour te protéger ou te rassurer tu t'es érigé un piédestal, afin de te rendre inaccessible. Tu semble penser que tu n'as rien à apprendre "des gens" (en tout cas c'est ce que je ressent en te lisant)...
Tyler Durden a écrit :Tu n'es pas un petit flocon de neige merveilleux et unique!
Tu es fait de la même substance pourrissante que tout le reste! Tu es la merde de se monde prête à servir à tout!
Donc pour commencer, enlève tes œillères, considère que tu as encore autant à apprendre que tu n'en sais déjà, apprend à apprécier les plaisir simples et les conversations légères, et tu arriveras et apprécieras d'avantage de les partager ensuite.

N'hésite pas à raconter ta vie ordinaire si tu as des petites anecdotes en rapport avec les conversations en cours... (oui ne parle pas de ton problème de chaussettes qui déteignent si ils parlent des soucis de pôle emploie de ton voisin :p)

Et si tu leur laisse une chance, tu vas voir que très souvent au bout d'un certain temps les sujets de discussions deviennent bien bien plus élevés.
    Notes et commentaires reçus par ce post :
  • [0] Constructif le 12.08.15, 15h30 par mctyson
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