Déprime, jeune diplômé et recherche d'emploi qui s'allonge
Bonjour à tou(te)s,
J’écris ce message pour avoir vos conseils sur une situation que je rencontre et qui est apparemment courante chez les chercheurs d’emploi :
Je suis ingénieur biomédical/pharmaceutique diplômé depuis fin Septembre 2013. Et depuis, je cherche du travail. Cela fait donc environ 6 mois et malgré quelques entretiens, je n’ai pas de proposition ferme. Les seules pistes que j’ai sont plutôt sur des postes commerciaux (très) mal payés.
J’ai un profil plutôt orienté R&D, ce qui n’est pas le domaine le plus porteur.
Tout ça pour dire que depuis quelques temps, malgré le sport que je pratique 2 fois par semaine, les potes que je vois de temps en temps, je commence à déprimer face à cette période de recherche d’emploi qui s’allonge de jours en jours. J’ai l’impression que ça fait un trou qui se creuse sur mon CV et du coup diminue mon employabilité. Pire, je commence à ressentir de la frustration et de la jalousie vis-à-vis de mes collègues de promo qui eux ont été embauchés à la fin de leur stage de fin d’études.
Cette attitude ne me ressemble pas et je sais qu’elle n’est pas seine. Au final, j’aimerais vous demander conseils sur les points suivants :
1) Avez-vous des méthodes qui pourraient faire diminuer cette frustration que l’on ressent en longue période de recherche d’emploi, surtout vis-à-vis de mes collègues de promo, ce qui me rend irritable et moins fréquentable ? De plus, connaissez vous des moyens de se remotiver (à part le sport)?
2) Pensez-vous que l’employabilité diminue et qu’un « trou » de 6 mois ou plus sur le CV est un boulet que je vais devoir traîner lors de mes différents entretiens au long de ma carrière ?
3) Enfin, éventuellement, si certain(e)s parmi vous sont dans l’industrie pharma ou dispositifs médicaux, auriez-vous des conseils ou des pistes pour trouver un emploi dans ce secteur ?
Je vous remercie très sincèrement par avance. Tout conseil est bon à prendre.
J’écris ce message pour avoir vos conseils sur une situation que je rencontre et qui est apparemment courante chez les chercheurs d’emploi :
Je suis ingénieur biomédical/pharmaceutique diplômé depuis fin Septembre 2013. Et depuis, je cherche du travail. Cela fait donc environ 6 mois et malgré quelques entretiens, je n’ai pas de proposition ferme. Les seules pistes que j’ai sont plutôt sur des postes commerciaux (très) mal payés.
J’ai un profil plutôt orienté R&D, ce qui n’est pas le domaine le plus porteur.
Tout ça pour dire que depuis quelques temps, malgré le sport que je pratique 2 fois par semaine, les potes que je vois de temps en temps, je commence à déprimer face à cette période de recherche d’emploi qui s’allonge de jours en jours. J’ai l’impression que ça fait un trou qui se creuse sur mon CV et du coup diminue mon employabilité. Pire, je commence à ressentir de la frustration et de la jalousie vis-à-vis de mes collègues de promo qui eux ont été embauchés à la fin de leur stage de fin d’études.
Cette attitude ne me ressemble pas et je sais qu’elle n’est pas seine. Au final, j’aimerais vous demander conseils sur les points suivants :
1) Avez-vous des méthodes qui pourraient faire diminuer cette frustration que l’on ressent en longue période de recherche d’emploi, surtout vis-à-vis de mes collègues de promo, ce qui me rend irritable et moins fréquentable ? De plus, connaissez vous des moyens de se remotiver (à part le sport)?
2) Pensez-vous que l’employabilité diminue et qu’un « trou » de 6 mois ou plus sur le CV est un boulet que je vais devoir traîner lors de mes différents entretiens au long de ma carrière ?
3) Enfin, éventuellement, si certain(e)s parmi vous sont dans l’industrie pharma ou dispositifs médicaux, auriez-vous des conseils ou des pistes pour trouver un emploi dans ce secteur ?
Je vous remercie très sincèrement par avance. Tout conseil est bon à prendre.
Un conseil qui me vient comme ça sans connaitre ton domaine, serait de profiter de ton temps libre (hors recherche job / entretiens) pour bosser sur un projet perso ou un petit boulot à mi-temps.
Cela te permettra de :
1. t'occuper l'esprit
2. engranger de l'xp et de l'argent
3. te sentir productif
4. rencontrer des gens, multiplier les opportunités de job
5. le faire apparaître sur le CV en le mettant bien en avant, afin de montrer que même 6 mois ou 1 an sans CDI tu ne t'es pas touché les bonbons
Cela te permettra de :
1. t'occuper l'esprit
2. engranger de l'xp et de l'argent
3. te sentir productif
4. rencontrer des gens, multiplier les opportunités de job
5. le faire apparaître sur le CV en le mettant bien en avant, afin de montrer que même 6 mois ou 1 an sans CDI tu ne t'es pas touché les bonbons
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [+1] Constructif le 13.03.14, 20h09 par Axelos
Et chercher à l'étanger, ça te dit pas ?Baijin a écrit :Bonjour à tou(te)s,
J’écris ce message pour avoir vos conseils sur une situation que je rencontre et qui est apparemment courante chez les chercheurs d’emploi :
Je suis ingénieur biomédical/pharmaceutique diplômé depuis fin Septembre 2013. Et depuis, je cherche du travail. Cela fait donc environ 6 mois et malgré quelques entretiens, je n’ai pas de proposition ferme. Les seules pistes que j’ai sont plutôt sur des postes commerciaux (très) mal payés.
J’ai un profil plutôt orienté R&D, ce qui n’est pas le domaine le plus porteur.
Tout ça pour dire que depuis quelques temps, malgré le sport que je pratique 2 fois par semaine, les potes que je vois de temps en temps, je commence à déprimer face à cette période de recherche d’emploi qui s’allonge de jours en jours. J’ai l’impression que ça fait un trou qui se creuse sur mon CV et du coup diminue mon employabilité. Pire, je commence à ressentir de la frustration et de la jalousie vis-à-vis de mes collègues de promo qui eux ont été embauchés à la fin de leur stage de fin d’études.
Cette attitude ne me ressemble pas et je sais qu’elle n’est pas seine. Au final, j’aimerais vous demander conseils sur les points suivants :
1) Avez-vous des méthodes qui pourraient faire diminuer cette frustration que l’on ressent en longue période de recherche d’emploi, surtout vis-à-vis de mes collègues de promo, ce qui me rend irritable et moins fréquentable ? De plus, connaissez vous des moyens de se remotiver (à part le sport)?
2) Pensez-vous que l’employabilité diminue et qu’un « trou » de 6 mois ou plus sur le CV est un boulet que je vais devoir traîner lors de mes différents entretiens au long de ma carrière ?
3) Enfin, éventuellement, si certain(e)s parmi vous sont dans l’industrie pharma ou dispositifs médicaux, auriez-vous des conseils ou des pistes pour trouver un emploi dans ce secteur ?
Je vous remercie très sincèrement par avance. Tout conseil est bon à prendre.
Je rejoins le conseil de Cellar sur le petit job. Rien de tel pour se maintenir dans le rythme.
Je suis sorti de mon école à l'été 2009 et c'était pas rigolo non plus comme période pour les ingé de prod' en France. J'ai eu la chance d'embaucher à la sortie de mon école, suite à un stage de 2ème année qui s'était très bien déroulé. Par contre j'avais quand même pas mal anticipé ma recherche (dès février pour début septembre), du coup je n'ai jamais été vraiment sur le marché du travail. Après comme je me débrouille plutôt bien en entretien, c'était passé tout seul avec la première boite avec laquelle cela avait accroché.
J'ai des collègues de promo qui ont galéré beaucoup plus longtemps (alors que les chiffres habituels étaient plutôt de 98 % de CDI 3 mois après le diplôme). Genre entre 6 mois et 1 an. Par expérience, c'était pas forcément les plus sélectifs sur leur recherche mais aussi les moins motivés à rentrer dans la meule.
Bon j'imagine que tout ça ne t'aide pas trop mais c'était pour resituer le contexte de mon expérience personnelle.
Je vais donc essayer de répondre au point n°2 :
- effectivement l'employabilité diminue à mon sens légèrement du fait de ton trou d'activité. D'où l'intérêt de la solution de Cellar. J'ai un ami, diplômé de la même école d'ingénieur que moi, qui n'avait pas hésité à la sortie de l'école à prendre un poste de maçon dans l'entreprise d'un ami à lui afin de se faire un expérience, se remplir les poches, et garder une activité pro. Par contre il faut aussi noter que les grandes périodes de recrutement vont souvent par vagues. Donc quand on n'arrive pas à rentrer sur la première, il peut y avoir 6 mois avant la suivante, alors pas de panique.
Par contre, il y a très peu de chance que cela te suive dans ta carrière. Les cursus étant de plus en plus disparates, personne ne te demandera combien de temps tu as cherché du travail. Surtout après ton premier emploi. Et puis rien ne t'empêches de romancer un peu cette période : long voyage de fin d'étude, 6 mois de césure pour un projet personnel, bref, les explications peuvent être variées.
Je suis sorti de mon école à l'été 2009 et c'était pas rigolo non plus comme période pour les ingé de prod' en France. J'ai eu la chance d'embaucher à la sortie de mon école, suite à un stage de 2ème année qui s'était très bien déroulé. Par contre j'avais quand même pas mal anticipé ma recherche (dès février pour début septembre), du coup je n'ai jamais été vraiment sur le marché du travail. Après comme je me débrouille plutôt bien en entretien, c'était passé tout seul avec la première boite avec laquelle cela avait accroché.
J'ai des collègues de promo qui ont galéré beaucoup plus longtemps (alors que les chiffres habituels étaient plutôt de 98 % de CDI 3 mois après le diplôme). Genre entre 6 mois et 1 an. Par expérience, c'était pas forcément les plus sélectifs sur leur recherche mais aussi les moins motivés à rentrer dans la meule.
Bon j'imagine que tout ça ne t'aide pas trop mais c'était pour resituer le contexte de mon expérience personnelle.
Je vais donc essayer de répondre au point n°2 :
- effectivement l'employabilité diminue à mon sens légèrement du fait de ton trou d'activité. D'où l'intérêt de la solution de Cellar. J'ai un ami, diplômé de la même école d'ingénieur que moi, qui n'avait pas hésité à la sortie de l'école à prendre un poste de maçon dans l'entreprise d'un ami à lui afin de se faire un expérience, se remplir les poches, et garder une activité pro. Par contre il faut aussi noter que les grandes périodes de recrutement vont souvent par vagues. Donc quand on n'arrive pas à rentrer sur la première, il peut y avoir 6 mois avant la suivante, alors pas de panique.
Par contre, il y a très peu de chance que cela te suive dans ta carrière. Les cursus étant de plus en plus disparates, personne ne te demandera combien de temps tu as cherché du travail. Surtout après ton premier emploi. Et puis rien ne t'empêches de romancer un peu cette période : long voyage de fin d'étude, 6 mois de césure pour un projet personnel, bref, les explications peuvent être variées.
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [+1] Ca va mieux en le disant le 11.03.14, 15h50 par Baijin
Merci à vous pour vos réponse.
@Cellular Door : Justement, j'avais pensé à prendre un job à mi-temps en attendant. J'en ai parlé à la consultante de l'APEC avec qui je fais un coaching pour chercher du travail. Elle m'a dit que c'était à double tranchant car d'un côté effectivement, ça montre qu'on ne reste pas oisif mais d'un autre côté ça nous rends moins disponible pour la recherche d'emploi et ça peut faire peur au recruteur qui se dit qu'on n'est peut-être pas disponible immédiatement. Après, je pense fortement à faire une formation on-line (type MOOC) pour acquérir des compétences utiles, comme dans la qualité par exemple. Mais je ne sais pas trop ce que ça donne. D'ailleurs je serai intéressé d'avoir des retours si quelqu'un en a fait. Merci pour ton intervention en tout cas.
@FrenchKiss : En fait, j'ai pour projet de bosser en Chine d'ici quelques années. Je ne peut pas le faire maintenant pour un problème de VISA (il faut avoir 2 années d'expérience pro pour obtenir le permis de travail). Après, je suis intéressé par la Belgique et la Suisse aussi, mais je n'ai pas trouvé beaucoup plus d'opportunité qu'en France pour le moment. Est-ce que tu as eu des retours ou des conseils sur d'autres pays qui recrutent? (Je parle Français, Anglais couramment et Chinois (intermédiaire))
@Cellular Door : Justement, j'avais pensé à prendre un job à mi-temps en attendant. J'en ai parlé à la consultante de l'APEC avec qui je fais un coaching pour chercher du travail. Elle m'a dit que c'était à double tranchant car d'un côté effectivement, ça montre qu'on ne reste pas oisif mais d'un autre côté ça nous rends moins disponible pour la recherche d'emploi et ça peut faire peur au recruteur qui se dit qu'on n'est peut-être pas disponible immédiatement. Après, je pense fortement à faire une formation on-line (type MOOC) pour acquérir des compétences utiles, comme dans la qualité par exemple. Mais je ne sais pas trop ce que ça donne. D'ailleurs je serai intéressé d'avoir des retours si quelqu'un en a fait. Merci pour ton intervention en tout cas.
@FrenchKiss : En fait, j'ai pour projet de bosser en Chine d'ici quelques années. Je ne peut pas le faire maintenant pour un problème de VISA (il faut avoir 2 années d'expérience pro pour obtenir le permis de travail). Après, je suis intéressé par la Belgique et la Suisse aussi, mais je n'ai pas trouvé beaucoup plus d'opportunité qu'en France pour le moment. Est-ce que tu as eu des retours ou des conseils sur d'autres pays qui recrutent? (Je parle Français, Anglais couramment et Chinois (intermédiaire))
De mémoire le Canada est en recherche de jeunes diplômés, et facilite grandement l'arrivée sur place.
As-tu postulé pour des VIE sinon ? Il me semble que c'est assez formateur et quand même rémunéré, en plus d'être une bonne option pour se faire embaucher en CDI après. A ma sortie de l'école je m'étais dit, tout sauf le chômage, donc j'avais eu plusieurs VIE "de secours" sous la main si ma piste CDI n'avait pas aboutit.
Je suppose aussi que tu as prévu d'aller sur tous les forums de jeunes diplômés qui ne vont pas tarder à reprendre ?
Depuis quand es-tu en véritable recherche active ?
As-tu postulé pour des VIE sinon ? Il me semble que c'est assez formateur et quand même rémunéré, en plus d'être une bonne option pour se faire embaucher en CDI après. A ma sortie de l'école je m'étais dit, tout sauf le chômage, donc j'avais eu plusieurs VIE "de secours" sous la main si ma piste CDI n'avait pas aboutit.
Je suppose aussi que tu as prévu d'aller sur tous les forums de jeunes diplômés qui ne vont pas tarder à reprendre ?
Depuis quand es-tu en véritable recherche active ?
Merci pour ton conseil The_PoP,The_PoP a écrit :De mémoire le Canada est en recherche de jeunes diplômés, et facilite grandement l'arrivée sur place.
As-tu postulé pour des VIE sinon ? Il me semble que c'est assez formateur et quand même rémunéré, en plus d'être une bonne option pour se faire embaucher en CDI après. A ma sortie de l'école je m'étais dit, tout sauf le chômage, donc j'avais eu plusieurs VIE "de secours" sous la main si ma piste CDI n'avait pas aboutit.
Je suppose aussi que tu as prévu d'aller sur tous les forums de jeunes diplômés qui ne vont pas tarder à reprendre ?
Depuis quand es-tu en véritable recherche active ?
Pour les VIE, oui, j'ai postulé à quelques uns, par le biais de CIVIWEB, mais ça n'a pas marché. Est-ce que tu connais d'autres sites ou d'autres moyens de chercher un VIE? Il faut dire qu'il n'y a pas grand chose dans la R&D. D'une manière générale, j'ai l'impression que ce qui me fait défaut c'est :
1) Avoir fait mes stages en R&D, et pas en qualité/production, etc. La R&D n'est pas un secteur très porteur dans le médical j'ai l'impression, et on est facilement en concurrence avec des PhD, des médecins et pharmaciens.
2) Ne pas avoir visé une boite qui me proposait une embauche à la fin du stage. La majorité de mes collègues de promo ont trouvé leur emploi comme ça.
Sinon, pour ta question, je cherche vraiment activement depuis la deuxième moitié du mois d'Octobre. En fait, je ressentais vraiment le besoin de souffler quelques semaines à la fin de mon stage, et j'ai compris par la suite que c'était une erreur. J'aurais déjà dû commencer mes recherches (mais bon, ce qui est fait est fait).
Salut,
Trois questions :
Qu'est ce que tu veux faire ?
Qu'est ce que tu sais faire ?
Quelle concession es tu prêt à faire pour avoir un emploi?
Je développe.
Tu as un diplôme avec un stage dans un domaine précis, avec des compétences propres. Ces compétences peuvent elle être prisées dans un domaine voisin du tiens plus porteur ? Es tu prêt à travailler ailleurs que dans ton domaine de formation ?
Trois questions :
Qu'est ce que tu veux faire ?
Qu'est ce que tu sais faire ?
Quelle concession es tu prêt à faire pour avoir un emploi?
Je développe.
Tu as un diplôme avec un stage dans un domaine précis, avec des compétences propres. Ces compétences peuvent elle être prisées dans un domaine voisin du tiens plus porteur ? Es tu prêt à travailler ailleurs que dans ton domaine de formation ?
Sérieux, tu parles Anglais et Chinois, et tu trouves pas de taf ?
Tu sais pourquoi ?
Parce que tu cherches en France, où aucune entreprise n'ose plus embaucher par crainte d'un retournement de l'économie, et à cause du manque de flexibilité que leur impose le cadre législatif.
Prends ton CV, tes sous et fais toi 2 semaines de démarchage en Angleterre : géographiquement proche, très accueillant pour les jeunes diplomés et motivés, et pas regardant sur les détails tant que tu en veux.
Reste pas à galérer en France, tu vas t'épuiser et sombrer dans la déprime post-diplôme, alors que le monde entier te tend les bras, et sera ravi de te permettre de faire tes preuves.
(sois conscient ceci dit qu'il te faudra peut être aussi te montrer flexible sur les branches que tu cherches, et tes prétentions au départ; mais tous mes potes expatriés ont une trajectoire bien plus rapide que ceux qui sont restés englués dans le système français).
Tu sais pourquoi ?
Parce que tu cherches en France, où aucune entreprise n'ose plus embaucher par crainte d'un retournement de l'économie, et à cause du manque de flexibilité que leur impose le cadre législatif.
Prends ton CV, tes sous et fais toi 2 semaines de démarchage en Angleterre : géographiquement proche, très accueillant pour les jeunes diplomés et motivés, et pas regardant sur les détails tant que tu en veux.
Reste pas à galérer en France, tu vas t'épuiser et sombrer dans la déprime post-diplôme, alors que le monde entier te tend les bras, et sera ravi de te permettre de faire tes preuves.
(sois conscient ceci dit qu'il te faudra peut être aussi te montrer flexible sur les branches que tu cherches, et tes prétentions au départ; mais tous mes potes expatriés ont une trajectoire bien plus rapide que ceux qui sont restés englués dans le système français).
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [0] +1 le 11.03.14, 18h40 par wayl
- [0] Pas convaincu le 11.03.14, 19h46 par The_PoP
- [+3] 100% d'accord le 01.09.14, 13h16 par Lenny2stras
Un de mes potes ingénieurs a mis 1 an a trouver son premier taff car il voulait taper à coup sur des le début :
- Il faisait pas mal de truc en attendant : rugby, réparer la maison etc.
- Il a pris un VIE de 18 mois aux US, moins bien payé certes mais super expérience et le voila embauché à Paris dans la même boite.
Donc je plussoie : l'étranger ca peut être une bonne piste.
- Il faisait pas mal de truc en attendant : rugby, réparer la maison etc.
- Il a pris un VIE de 18 mois aux US, moins bien payé certes mais super expérience et le voila embauché à Paris dans la même boite.
Donc je plussoie : l'étranger ca peut être une bonne piste.