La séduction à toujours été une occupation prédominante chez moi. Je suis un enfant du « doute ». Pas désiré par ses parents et abandonné par son père à l'âge de deux ans. J'ai grandit sans trop savoir si j'avais le droit, le droit d'être la, d'exister. C'est assez sympa comme début de carrière... lol. L'enfance passé avec ma mère me permis d'avoir le minimum syndicale d'amour (conditionnel certes, mais de pas trop mauvaise qualité). Je ne sais pas pourquoi elle décida de me garder, mais en tout les cas, elle l'a fait. C'est cet étrange sentiment de ne pas avoir voulu que vous soyez la... puis... finalement, on vous garde quand même. Comme si elle s'était dit « pourquoi pas ». Étrange sentiment, croyez moi... Malgré ça, mon enfance ne manqua pas de bon moments !
Les emmerdes commencent dans la transition enfance – adolescence. La rage se réveil de plus en plus. La rage de ne pas comprendre pourquoi mon père est parti, mais aussi cette éternel question : « Qu'est-ce que je fou sur terre ? ». Catastrophe scolaire, soyons franc, je ne foutais absolument rien. Mon truc à moi, ce n'était pas que je ne voulais pas apprendre, c'est que je voulais impérativement savoir pourquoi j'apprenais ce qu'on m'apprenait. Quand je posais cette question, on me répondait : « On ne te demande pas de réfléchir, on te demande d'apprendre ». Suite a cette merveilleuse remarque pleine de bon sens, je chercha un moyen de quitter l'école rapidement pour préserver mes qualités intellectuel saine et sauve. C'est donc au collège que je découvris les joies de l'école buissonnière. Gamin solitaire, j'aimais lire, me perdre dans d'interminable promenade dans la nature et méditer. J'étais en décalage complet avec mes « camarades » de classe. Eux, c'était les scooter trafiqué, tuné dans tout les sens, les boites de nuits, les meufs, l’alcool etc... Moi, c'était la musique, les art-martiaux, la spiritualité et la physique quantique... Bon... Voila quoi... Les filles, c'est arrivé assez tard dans mon adolescence. Un jour, ma mère commença à se demander pourquoi l'école et moi, ça ne fonctionnait pas. On n’emmena passer des tests de Q.I. Elle se demandait si j'étais pas un gosse surdoué (c'est comme ça qu'on appel les gens un peu trop curieux). Dans le mille. Je ressortis des tests avec un résultat de 143. Aussi débile que ça puisse paraître, ça m'a permis de comprendre plein de choses. Notamment pourquoi en 3e, au lieu de me présenter au brevet des collèges, je suis allez à une conférence de Jean-Pierre Petit.
C'est dons l'année de mes 16 ans que j'ai vraiment commencé à me pencher sur le monde « sociale » et donc, avec ça, les nanas. Alors la... L’apocalypse à l'état pur, c'était moi. Au départ je me disais : « faut que tu parles de ce que tu aimes pour le partager avec elle ».
MONUMENTALE ERREUR !

Imaginez, mesdemoiselles, un gars qui vous parles de solfège harmonique pendant 20min... Ou de mécaniques des fluides et j'en passe... une catastrophe ambulante ! J'arrivais même à passer a côté des nanas qui me trouvait cool. Je me souviens d'une Raphaëlle que je trouvais tellement belle, et à la foi, tellement inaccessible. On avait marché ensemble en fin de soirée pour la raccompagner chez elle. On parlait de tout et de rien, on rigolait bien, j'étais heureux, visiblement elle aussi. Mais moi, je me disais qu'une fille aussi canon, c'était pas pour moi... Le lendemain de cette soirée. Fab, m'ont grand pote de l'époque passa chez moi : « Alors avec Raphaëlle ? ». Bah rien mon gars ! Le néant. « mec, t'es trop con, elle te kiff, je le sais, Noémie me l'a dit. Elle a parlé avec elle ». A cet instant la, j'ai connu mon premier plantage système avec besoin de rebooter la machine derrière. Intérieurement, j'étais super content. Extérieurement, intérieurement j’étais super content je vous dis ! Arrêter de me faire chier avec l'extérieur !
EPIC FAIL.

Je n'ai rien fait !! Je m'en suis voulu après coup quand je l'ai vu dans les bras d'un autre.
Allez je m'arrête la pour aujourd'hui ! La suite plus tard.