Le célophane m'a tué

Salut tout le monde,

L'histoire du "célophane m'a tué", par ici je parle bien sûr de préservatif, m'a un peu (voire beaucoup) diminué ma libido. J'explique :

Je suis resté 1 an et demi avec mon ex, sachant que celle-ci ne prenait pas la pillule, à l'époque, elle avait 21 ans et avait déjà eu plusieurs rapports avec quelques garçons (genre 2 ou 3).
Elle m'a fait comprendre qu'il faudrait que je sois patient avant que l'on arrête la capote. Pour moi de mon côté,
aucun problème, les sentiments et le respect étaient là ... continuons comme ça du moment que tu te sente
prête.

Le problème est que cette situation a durée 8 mois ! On commençait par le faire beaucoup, tous les jours,
elle étant une très jolie fille, ma libido était au plus haut. Par contre, après 4/5 mois, j'ai commencé à en avoir
bien marre du préservatif, je ne sentais plus mon "mini-moi" en elle, ce qui me perturbait et me faisait
perdre mon érection. Du coup, j'appréhendais pas mal à l'idée d'avoir un rapport, et depuis ... j'ai l'impression
que mon "envie de sexe" que j'avai au départ, ne s'est jamais rétablie.

Je voudrais savoir si ça vous paraît long (à la fois pour les hommes que pour les femmes), si vous avez
déjà été confronté à ce genre de situation ? Et surtout, quelle solution avez-vous trouvé ?

Merci d'avance ;)

déjà été confronté à ce genre de situation ?

A peu près depuis le début de ma vie sexuelle. Le préservatif en a généralement fait partie et on s'habitue. Cela vaut mieux que de se retrouver avec un mouflet.

C'est sûr qu'un mouflet, j'essaierai pas ...

Mais est-ce que 8 mois paraîssent raisonnables pour une relation ? n'est-ce pas un peu long ?
En discutant avec mes proches, leur réaction est toujours "c'est un peu trop long, le préservatif est fait pour le début d'une relation etc ...".

Perso, je pense aussi que c'est trop long. 3/4 mois me paraîssent raisonnables, mais j'aimerai avoir l'avis d'autres personnes du forum.

Peu importe l'avis des uns et des autres sur ce qui constitue une durée "raisonnable" d'utilisation du préservatif. C'est son corps et prendre la pilule n'est pas anodin. Si elle décide de s'en tenir au préservatif tout le temps de votre relation, tu n'auras pas grand chose à dire.

Tout à fait d'accord.

En revanche, je pense que la femme aussi a une part de responsabilité.
Il est normal de s'en tenir au préservatif, d'attendre que sa partenaire soit prête, de l'accompagner
dans sa démarche de prendre la pillule s'il le faut, de toujours être équipé et surtout de ne jamais forcer les choses.

Par contre, le fait d'attendre trop, ça peut créer une perte de libido chez l'homme (dans mon cas du moins).
En effet, mon ex se disait absolument pas gênée par le préservatif. Donc j'ai attendu tout le temps qu'il fallait, mais
résultat => après 8 mois je n'avai plus envie.

Dans ces cas là, faut-il plus faire comprendre à sa partenaire que ça devient vraiment gênant ? Ou alors
est-ce très déplacé de demander ça ?

Si tu étais célibataire pendant 8 mois, tu utiliserais un préservatif non?

Et ça concerne seulement la pénétration je suppose.
Vous avez fait un test vih et consorts?

Oui, nous avons fait tous les deux un test, nous avons été voir le médecin,
le fait de prendre la pillule la tracaissait un peu donc je l'ai rassurée et accompagnée du début à la fin, ce qui est normal de faire.

En ce qui concerne le célibat, c'est un autre contexte, en étant célibataire on est pas toujours certains de la séronégativité de la personne avec qui on a un rapport, la relation est généralement de courte durée, et les rapports physiques
ne sont pas autant fréquents que dans une relation de couple que l'on pourrait avoir, du coup je n'en suis pas écoeuré, même si je n'ai jamais aimé ça.

Dans le contexte d'une relation dite sérieuse, après plusieurs mois de confiance et surtout après des tests,
je pense que cette durée aurait pu être écourtée.

Blusher a écrit :
déjà été confronté à ce genre de situation ?
A peu près depuis le début de ma vie sexuelle. Le préservatif en a généralement fait partie et on s'habitue. Cela vaut mieux que de se retrouver avec un mouflet.

Yep et pire que ça Blusher. La liste des MST est bien longue et douloureuse.

artic76 a écrit : Dans ces cas là, faut-il plus faire comprendre à sa partenaire que ça devient vraiment gênant ? Ou alors
est-ce très déplacé de demander ça ?

J'ai eu 2 fois à me confronter au problèmes et non! ce n'est pas déplacer d'en parler avec sa partenaire.
Au contraire. Il vaut mieux parler de se genre de chose le plus vite possible avant justement que le problème ne s'envenime au point de pourrir la sexualité du couple.

La responsabilité de la contraception et de la protection contre les MST sont l'affaire du couple dans sa globalité et nécessite une confiance entre les deux parti bien sur.

D'ailleurs tout au long d'une vie de couple la contraception peu évoluer.
Certaines pilules ont tendance à produire des effets secondaires tenaces chez certaines femme, sans compter l'épuisement du foie qui peut être source d'abandon momentané ou définitif de ce type de contraception.
Mais peut être qu'une blouse blanche pourrait d'ailleurs mieux nous éclairer sur la question. Mes connaissance en la matières sont purement empiriques.

Après techniquement pour le préservatif, chacun ses préférences mais certains fabriquant sont plus doués que d'autre pour produire du matériel "léger et de qualité". J'aime pas spécialement non plus avoir la sensation de porter un boyau de porc au bout de mon zizi.

"Un boyau de porc" : okay, j'vais demander des moufflets à ma pharmacie x)

D'ailleurs tout au long d'une vie de couple la contraception peu évoluer.
Certaines pilules ont tendance à produire des effets secondaires tenaces chez certaines femme, sans compter l'épuisement du foie qui peut être source d'abandon momentané ou définitif de ce type de contraception.

Une copine de 25 ans qui s'est retrouvée avec une thrombose. Cela aurait pu l'envoyer 6 pieds sous terre, c'est cher payé pour avoir plus de sensation au bout du vargounieux. (saloperie de correcteur automatique qui ne connaît pas le mot 'vargounieux')