FTS

Début de ma prose j’espère que cette lecture vous intéressera à défaut de vous divertir.

Je pensais faire ça en roman genre journal de bord d’un navire du 17ème en haute mer, mais finalement le métaphorique attendra d’autres envolés.

Mise en contexte et résumé des épisodes précédents :

J’ai 31 ans et en dehors de ma famille et de mes amis j’ai toujours vécus seul, pas d’amour partagé, pas de relations d’un mois, un an, 3 ans, quelques contacts sur sites de rencontres qui n’ont pour ainsi dire jamais dépassé le premier rendez-vous, et de grosses frustrations après des sentiments forts pour rien.

Voila presque 6 ans que je n’ai plus eu d’intérêts pour les relations amoureuses ou d’espérances dans ce domaine. Et qu’honnêtement je ne m’en portais pas plus mal, trop de choses personnelles à mettre en mouvement, des tentatives d’activités plus ou moins avortés. Bref la vie placide et tranquille de la personne en hibernation.

Dans l’intervalle j’ai tout de même eu un déniaisement bref et intense, en deux séances.
Quand un soir je rencontre cette fille il y a plusieurs mois :
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Bien entendu en bon AFC et mu par la pression de groupe et une sincère envie de concrétiser quelque chose, je me suis planté, prenant un mirage pour une oasis, de la sympathie et de la sincère gentillesse pour de l’intérêt etc et j’ai encore du mal à m’en remettre.

Nous sommes restez en contact et sommes bons potes, peut-être même bons amis, il nous arrive de nous voir tout les deux ou avec quelques potes en cercles restreints (« tant mieux » ou « hélas » je ne sais pas encore, car il m’arrive encore de rêvasser à des choses plus qu’amicales), elle a eu une dispute avec un gars du groupe et depuis elle n’ose plus trop nous côtoyer en cercles larges bref l’obsession est présente et même si elle se fait un peu moins sentir elle n’est pas moins vivace, j’ai parfois tendance à concrétiser mes pensées en lui « parlant » dans ma tête…

Rien de schizophrénique ou autre, juste que je ressasse tout ce que j’aimerais lui dire, je plante un décor plausible, un contexte émotionnel propice, et je fais mon laïus déchirant et sincère, sans que je puisse le faire en vrai. Car soit elle n’est pas apte en vrai à l’entendre car elle n’est de toute manière pas celle à qui je m’adresse, soit que le contexte ne s’y prête pas quand on se voit. Sans compter que ça pourrait vraiment la mettre mal à l’aise et foutre en l’air tous rapports futurs.

Ce qui me mine le plus désormais c’est la sensation de vide, plus de vent dans les voiles, je rame pour rechercher des sensations analogues. Je voudrais retomber amoureux, ou du moins avoir de l’intérêt pour une autre jeune femme, et cette fois-ci que tout se passe comme tout le monde voudrait que ça se passe, simplement et tendrement.

Il est claire que j’ai eu la sensation de tellement toucher du doigt le graal que je ne veux pas me rendormir, mais ça finira par arriver, que ce soit par paresse, ou lassitude sincère…

Le diagnostique pour sortir de ce cercle vicieux est clair, c’est de sortir tout court.

Boire des coups faire la fête en bonne compagnie, multiplier les opportunités, j’ai encore du mal à m’intéresser aux filles que je croise lors de soirées ou dans les bars, elles me semblent banales et de toute manière ne semblent pas ouvertes à la conversation.

J’ai bien tenté après avoir dansé avec une fille d’engager un peu la conversation autour de ce qui ai pour le moment les Coca-Cola les plus cher de ma vie, mon frère m’a dit un jour que la vie sociale ça coûtait cher, mais après l’abominable tu fais quoi dans la vie, on s’est séparé pour retourner à nos cercles respectifs.

Et depuis une idée à germé sous les recommandations d’un ami, et les encouragements de ma chère OI qui semble avoir fait pareil parfois et semble ne pas négliger que ça se reproduise (quand je pense à toutes ces soirées sans elle alors qu’on pourrait au moins boire des coups ensemble quel gâchis).

Il m’est venu à l’idée de sortir en « loup solitaire ».
Bien entendu comme le veux la tradition « la première fois c’est jamais top ».
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Je suis quelqu’un de très discret et réservé, ce n’est pas à proprement parlé de la timidité, car une fois en situation de confiance, si l’envie me viens je suis quelqu’un d’enjoué et festif, dans un lieu ou je suis à l’aise je peu engager la conversation et même la tenir pendant des heures :

(Quelque part sur ce fil de discussion)
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Bref même si ça ne mène à rien je sais briser la glace et ouvrir une discussion interactive, avec des filles, (plus simplement qu’avec des mecs d’ailleurs) j’en ai eu d’autres avec d’autres personnes en 6 ans, mais à chaque fois je note que ça se passe bien quand je ne m’investis pas d’un poile dans quoique ce soit, pas de prise de numéros à la fin, pas de bisous, ou autres tentatives de je ne sais quoi, et tout va bien…

D’ailleurs avec l’OI cité au dessus à l’origine elle ne m’intéressait pas spécialement si elle m’avait plu au premier regard, je n’aurais tout bonnement pas osé lui parler ou alors de façon moins naturel, et tout aurait été plus différent…

Bref voila pour l’introduction contextuelle j’avais l’intention de profiter du pont pour sortir en solo, mais un pote propose une chouille chez lui donc voila. Je pense retenter dans les semaines à venir.

La suite sur à la même FTSheure ! Sur la même FTSchaîne !

Chapitre 1
"Echec chronique ?"

Comme raconté dans l'avant propos, hier il était prévus d'aller boire des coups chez des potes, et ce qui a été fait. Les heures et les bouteilles de bières s'accumulent sur la table (plus de bières que d'heures) quand l'un d'eux proposent que nous allions tous au bal des pompiers du quartier. Le temps de se lancer dans l'opération et de motiver les troupes, avec un ami on s'enfourne un menu libanais en bas de l'appartement, pendant lequel celui-ci me coach sur l'approche que je devrais tenter pour modifier mon comportement sociale (un peu du FTS en live globalement). Une fois sustenté et hydraté, nous nous mettons donc en route, 10 mecs sur d'eux et sur la certitude de passer une soirée cool.

Et tout c'est globalement bien passé. La musique était forte, les filles nombreuses (très nombreuses), on a bu fais les fous, dansés...
L’excès de boissons gazeuses m'a donné mal au ventre mais j'ai pu gérer à peut-prêt...
En revanche là ou tout mes potes on tenté ou réussi à s'attirer une fille, moi je suis resté les bras ballants... J'ai bien réussi à établir un contact visuel avec une fille pas trop mal, mais je n'ai même pas envisagé de l'approcher... Et ensuite plus rien, plus de motivation, ou même d'envie. On a eu 3 filles dans notre cercle de pote qui ont dansés avec nous pratiquement toute la soirée, je n'ai même pas eu la curiosité de leur demander leur nom, là ou l'un commençait déjà en embrasser une, et ou un autre allait y parvenir moins d'une heure après avec une autre...

On s'est amusé on a déconné j'ai tenté de suivre le mouvement pour rester chaud, mais le cœur n'y était qu'à moitié, pas moyen de décoller, les boissons ne me faisais aucuns effets, la musique ne me transportais pas (je ne suis pas très sensible à la musique).

Malgré tout ceci cette soirée était agréable et je ne regrette pas d'y être allé, même si je n'ai pas réussi à m'amuser autant que j'aurais voulu.

Bien tant mieux alors me direz-vous ?

Mais ces événements m'amènent à réfléchir...
Pourquoi dans une foule ou il y avait prêt 200 filles pour moins de mecs, aucune n'a trouvé grâce à mes yeux? Pourquoi à un moment j'avais un peu de motivation et que l'inaction s'est emparé de moi, au point de juste hausser les épaules et me détourner? Pire je pense que j'aurais probablement repoussé la première fille qui aurait elle tenté de se rapproché, qu'elle soit jolie ou non (croyez le ou non il y a 2 ans je l'ai déjà fait, à 2 reprises avec la même fille dans la même soirée et elle était mignonne en plus).

Je l'ai déjà dis, j'ai du mal à m'intéresser à des inconnus, j'ai besoin de connaître quelqu'un avant de l'apprécier même physiquement, les filles dans la rue je ne les regardent pas, dans les soirées pas d'avantage. À partir de là comment initier un contact ? Comment faire connaissance ou même approcher de nouvelles personnes ?

Mais alors ce cercle d'amis dont tu nous rabat les oreilles avec qui tu sors aussi souvent que possible etc ?
Comment tu les as rencontrés finalement ?
Ben j'ai été invité à les rejoindre par un proche qui est de leurs amis, une fois arrivé j'ai été présenté à chacun d'eux, et en 3 ou 4 soirées c'est comme si j'avais toujours été des leurs.
Je n'ai donc pas eu à m'introduire dans le groupe.

Après en avoir parlé avec mes parents, et avant avec mes amis, il semblerait et j'en avais déjà conscience, que c'est la peur de l'échec, la peur du râteau et de la honte.

"Ce qui se passe à ce bal restera dans ce bal m'a dit un ami hier"...
Je ne lui ai pas répondu mais au fond de moi je pensais qu'au contraire j'emporterais avec moi les hontes et les râteaux. J'ai une excellente mémoire, et je me souviens particulièrement bien de mes hontes de mes erreurs de mes bêtises, d'enfance ou d'adulte...

Peur de l'échec donc? En avoir peur au point de le provoquer le plus vite possible et après on en parle plus, et comment échouer de la façon la plus acceptable si ce n'est en ne faisant rien? Ainsi la défaite est invisible, aux yeux des autres, tu n'échoue pas puisque tu ne tente rien, c'est aussi une belle manière de ne pas se le reprocher ensuite, sauf que désormais j'ai un nouveau sentiment qui apparaît c'est le regret...

Pour revenir à mon "échec" avec mon OI c'est tout à fait ce qui s'est passé. Je savais qu'elle n'était pas open à accepter ma tentative ce soir là, inconsciemment j'ai poussé exprès un peu lourdement, pour recevoir le refus le plus directement possible et le plus rapidement possible. Comme ça pas besoin d'avoir à risquer de rater réellement. On m'a un peu pousser à passer à l'acte, mais là ou ils me disaient juste de lui proposer de danser, j'ai brusquer volontairement le mouvement pour finalement recevoir le refus comme prévu.

J'en suis à un stade ou je provoque volontairement les échecs, car c'est ce que je connais le mieux. Mais il est plus acceptable de ne rien obtenir en ne faisant rien, qu'en tentant quelque chose. Quand j'y pense ce n'est pas nouveau, ce cycle permanent de l'échec. Dans des jeux vidéos de stratégies il m'arrive souvent de faire traîner une partie pour ne pas prendre la victoire, dans ma vie scolaire, j'ai presque volontairement torpillé mes années de collège quand on m'a mis dans la classe "d'élite", en années supérieurs c'est pareil.
Je suis resté un an sur un site de rencontre en ne tentant absolument rien, en envoyant aucuns messages à qui que ce soit, faut dire qu'aucunes ne trouvait grâce à mes yeux encore une fois...
Je déteste les jeux collectifs, et les jeux de cartes ou les concours, je déteste la confrontation et je préfère le principe de moindre résistance. Je crois que je n'ai jamais prêté attention au classement dans les parties de jeux que j'ai pu faire, je n'ai jamais compté les points en foot (je déteste le foot), ou ailleurs, car ça ne m'a jamais intéresser de gagner, et forcément quand tu ne cherche pas forcément à gagner l'autre issus est la même.

Mais pourquoi je n'accepte pas l'échec ?
J'ai l'impression que je suis très sévère envers moi même, une phrase qui me reviens souvent c'est : "si tu ne sais pas bien faire une chose alors ne la fais pas"
j'aimerais apprendre à jouer d'un instrument de musique, mais l'idée de galérer et de ne pas progresser me bloque. J'ai fais du théâtre un temps, mais comme ça stagnait j'ai stoppé. J'ai repoussé mon permis de conduire probablement pour les même raisons, en voyant des proches le tenter et le rater une deux voir trois fois avant de réussir...
J'aime découvrir les choses mais je n'aime pas le processus d'apprentissage.
J'en viens à refuser de tenter d'obtenir un peu de bonheur d'une façon ou d'une autre de peur de ne pas y arriver.

D'où vient cette absence totale de confiance en moi ? Même quand on essaye de me faire un compliment il sonne creux, et je trouve la répartit inverse pour le transformer en reproche.

Voila je crois que j'ai mis le doigt sur quelque chose. J'ai l'impression que j'ai encore beaucoup de travail à faire pour ne serait-ce que me sentir "normal"...
Et en toute logique j'ai déjà le sentiment que ça va échouer...

Espérons que les chapitres évoluerons un peu avec le temps.

Il est plus ou moins prévus que ce soir on retourne à un bal pompier plus important encore.
Si j'y vais je tâcherais de vous en parler.

Proverbe Zen a écrit :Si un arbre tombe dans la forêt mais que personne n'est là pour l'entendre, est-ce qu'il fait du bruit ?

Chapitre 2
"Bal des pompier 2"

Donc voila comme promis un rapport succins de ce qui s'est passé depuis le 14 juillet.

Après une petite heure chez un ami à discuter humour télé et comiques, nous nous sommes décidé à aller au bal des pompiers de Port Royal, nous étions 5 pour cette sortie.

On a fait péter deux bouteilles de champagnes à cette occasion, afin de se mettre en train, avons regardés et dansés dans la foule, mais malgré la volonté de draguer de chacun nous avons eu du mal à nous lancer, très inquiets à l'idée de devoir nous lever le lendemain pour bosser.

J'ai eu cependant une "target" amusante que j'ai loupé par manque d'apropos, en la personne d'une petite actrice de la télé.



Malheureusement ce n'est qu'après l'avoir perdu au bar quand j'achetais la seconde bouteille que j'ai réalisé que briser la glace avec elle était faisable et peut-être amusant, il m'aurait suffis de lui dire qu'elle était très belle en robe romaine, ou un truc un peu dans ce genre... D'ailleurs plus tard dans la soirée j'ai tenté de la retrouver à travers la foule sans succès. (Déjà il y a un petit progrès) je n'aurais plus l'occasion de la recroiser je pense mais bon si j'arrive à avoir ce type de motivation dans d'autres événements ce sera encourageant.

Bref voila le travail de la soirée, pas grand chose à dire d'autre, en cherchant la demoiselle j'ai perdu mes potes de vu, et j'ai perdu du temps à les chercher ensuite.

Je réalise qu'on s'est globalement assez gêner les uns les autres ce soir là, autant la veille le groupe avait pu englober quelques filles, là on a pas pu faire grand chose.

Hier j'ai retrouver 2 de ces potes dans une excellente boutique caviste à bières (pas loin de 200 étiquettes de qualités à travers le monde) on a bu quelques verres de bières belges trappistes et brasseurs excellentes (et raisonnablement), ensuite nous sommes allez manger, mais faute d'idées pour la fin de soirée nous avons finit par nous séparer à la gare pour déposer l'un d'entre eux.

J'ai le sentiment que personnellement sortir pour "draguer" ne me conviens pas vraiment, je préfère de loin sortir avec des potes boire des coups et si l'occasion se présente, initier une rencontre, que de partir en chasse comme un loup affamé. Je vais continuer de sortir et de bouger autant que possible mais je vais revoir mes objectifs de sortie, et juste rester en éveil.

Bon ce matin, j'étais pris dans mes pensés (et encore un peu à ma OI, je sais mais tant que je n'aurais pas d'autres personnes en vu un peu sérieusement j'aurais du mal à ne pas y penser) en allant au boulot et j'ai emboutis une voiture avec mon scooter, du coup là j'ai un coup de bad et de déprime, presque une crise de nerf mais ça passe là. Enfin bon je dois faire le constat à 17h30 ce soir, ensuite je vais passer mon code et voir mon frère, il m'a parlé d'une fille de son travail (j'en ai déjà parlé ailleurs dans mes posts) je compte lui demander d'initier la rencontre.

Voila si vous avez des conseils des recommandations, des encouragements, ou des sœurs célibataires, je serais ravis d'avoir vos avis (et l'occasion de rencontrer les sœurs :p )

ATTENTION C'EST TRÈS LONG.

Je n'ai pas pu trouver le temps de tout mettre en temps utile, donc ceci est un condensé de plusieurs "journaux" que j'aurais du poster petit à petit, hors l'agenda, et la motivation n'on pas forcément suivi, je notais tout ceci sur un word que j'alimente petit à petit quand j'arrive à ordonner un peu tout ceci.

Je tâcherais d'être plus succins et synthétique à l'avenir.


Le soufflet retombe…

Depuis la dernière fois ceux qui ont suivi mes « aventures » ont noté des changements dans ma façon d’être, j’essaye d’être plus dynamique, plus mobile. Je bouge, je sors, je tente même de sortir seul si c’est nécessaire. Pour infos je suis en train de passer aux lentilles de contacts, et plusieurs copines de mes potes, semblent me trouver pas mal maintenant, ce qui est encourageant.

Il n’empêche que c’est difficile. Je devais sortir avec un pote, il avait l’air chaud pour se faire des cessions de drague etc. Mais il a annulé dans la soirée car épuisé (il est juriste et s’occupe du plan de sauvetage de ma boîte je ne peu pas le blâmer d’être fatigué :p).
J’ai pris mon petit courage à deux mains, j’ai mis mes lentilles et me suis un peu mis décontracté et estivale et je suis sortie. Grande déception ce soir, les bars étaient vides, ou peu animés. J’en ai écumé 3 ou 4 sans succès pourtant ceci sont très fréquentés habituellement… Passablement dépité je suis repartis… Et oui c’était le mois d’aout à Paris, il ne reste plus grand monde à part ceux qui travaillent et donc qui ne sortent pas trop en semaine.

Le problème c’est que voila je sens que je perds ma motivation. Ces sorties en solo sont fatigantes moralement, je suis content de le faire mais mes efforts ne semblent pas apporter grand-chose pour le moment. Peut-être que je vais trop vite en besogne. Peut-être que je devrais lever le pied. L’ennuie c’est que je commence à me dire que c’est pas pour maintenant et que je devrais laisser tomber pour le moment.
Parfois je me dis que le jeu n’en vaut pas la chandelle, c’est trop compliqué, faire attention à son attitude, à ne pas paraître ceci, avoir l’air de cela…

En plus je suis incapable de me désinhiber, et de me lâcher totalement. J’ai essayé de boire (raisonnablement l'alcool me rend malade de toute manière), mais c’est bien simple, ça ne me fais quasiment aucuns effets notables au début, et donc je serais aussi coincé que si je n’avais rien consommé, et ensuite ben je suis abrutis et toujours aussi coincé, et le fais de constater que même sous alcool je suis incapable de faire ce qu’un mec saoul fait normalement, ça a tendance à me déprimer en plus.

Faut que j’apprenne trop de choses en même temps, le lâché prise, que je réapprenne à sociabiliser (ce que je faisais bien mais pas comme il faut, vu que je me friendzone tout seul avec les filles, qu’elles me plaisent ou pas) que j’apprenne à sortir seul, que j’apprenne à faire ceci, à faire cela…

Maintenant je deviens assez désagréable pour mes potes, j’ai cette sale tendance à chouiner et à pleurnicher sur mon « triste sort » alors qu’objectivement je ne suis pas à plaindre…

Je suis en passe de devenir mon propre patron sur une petite entreprise de 10 salariés, qui même si ce n’est pas le métier de mes rêves m’apportera un salaire plus que correcte d’ici quelques années, et qui m’apporte des libertés de planning assez élevé et une grande autonomie dans mon travail, pour d’autres activités plus satisfaisantes. Je peu déjà largement me payer mes sorties, des activités sans m’inquiéter pour l’argent ce qui est une bonne chose. Et aucuns de mes amis pour le moment ne peuvent se vanter d’avoir une situation de ce type. Ils m’envient pour ma vie professionnelle, et je les envies pour leurs expériences de vie personnelle…

Et ça les agacent ce que je comprends tout à fait. Il n’empêche que j’ai ces blocages au niveau personnel qui m’empêchent d’approcher de nouvelles personnes pour faire connaissance, que ce soit une fille ou un mec. Cette incapacité se traduit par une absence d’envie de le faire…

C’était écrit début août…

Depuis j’ai lu quelques articles sur FTS notamment, je tente de maintenir mes projets prévus, certains sont réalisés mais pas tous…

Combos Lunette + lentilles.

Je passe à un « club » de danse rock presque tout les mardis, bien que j’ai du mal à me motiver chaque semaine pour y retourner. Je vous expliquerais ça …

J'ai enfin passé l'examen théorique du code et je l'ai obtenu au premier passage.
La colocation ne va pas se faire, les divers protagonistes ont vu leur histoire personnelle changer du tout au tout, et du coup à moins de trouver un autre plan, ça ne sera pas possible… Là aussi je tâcherais de développer un peu sur ce projet-ci…

Mon entreprise bois la tasse et les procédures pour redresser la barre ne seront pas en place et pleinement opérationnels avant plusieurs mois, donc ambiance délétère au boulot et à la maison, vu que je suis associé avec mon père…

J’ai aussi été présenté à une fille qui travaille dans la boîte de mon petit frère (je garde le « meilleur » pour la fin en somme)

En faite la notion « d’effort » tant débattus sur ce lien, se fais ressentir plus que jamais…

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En faite si je devais reprendre l’analogie aux enfants et leurs feutres, je n’ai ni la motivation intrinsèque ni la motivation extrinsèque… En faite j’ai l’impression d’être dans un autre groupe d’enfant de l’étude, à qui on montrerait les autres « kiffer leurs feutres et/ou recevoir une récompense », mais sans leur en distribuer…

Du coup ils veulent quoi ? Ben ils veulent des feutres, et veulent la récompense si il y en a et donc ils les réclament probablement avec véhémence à force cris et pleures. J’en viens presque à regretté d’avoir appris l’existence des dit feutres et de la récompense en faite…

Si je pouvais effacer les souvenir que j’ai de la séduction de l’attirance et du désir, finalement je ne m’en porterais que mieux. Le mieux que je puisse faire c’est les renier mais vous en conviendrez face à la réalité d’un souvenir douloureux vécus, ça ne tiens pas longtemps de se mentir à soit même…

Les ignorants sont bénis…

Bref à la lueur de cette perception voici le bilan détaillé …

Combos Lunette + lentilles.

C’était de toute manière nécessaire de changer de lunettes les miennes étaient complètement rayés, les lentilles ? Ben parce je suis tellement miro que mes yeux seront toujours visuellement déformés et disproportionnés dans mes verres, ce qui retire le peu d’harmonie qu’on peu trouver dans mon visage… En plus le délai pour avoir des lentilles était plus court et donc pour les vacances c’était bien (pas besoin de lunettes de soleils à ma vu, possibilités de porter des masques de plongés et voir clair à la surface comme sous l’eau…). Les filles que je côtoies régulièrement me disent que c'est bien, l'une d'elle s'amuse à m'observer et note les changements de look et me trouve bien mieux sans lunettes, ça fait toujours plaisir ^^.

Je passe à un « club » de danse rock presque tout les mardis, bien que j’ai du mal à me motiver chaque semaine pour y retourner.

Le premier jour était sympas, je suis arrivé, me suis approché de « l’atelier » débutant, et me suis fais abordé par une grande blonde qui m’a mis sa copine dans les bras, avant d’aller à l’atelier intermédiaire. Forcément tout deux catapultés à apprendre des pas de danse ensemble on a finit par passer tout la séance apprentissage ensemble, et ensuite on a passé la soirée à revoir nos pas en nous amusant c’était vraiment chouette.

J’ai eu d’autres cavalières dans la soirée bien entendu mais une fois la danse passé, on se sépare sans tambours ni trompettes (pas faute de leurs proposer de boire un rafraîchissement).

Finalement on se retrouvait à danser ensemble assez régulièrement, on a bu une bière dehors pendant qu’elle fumait avec ses copines à un moment pendant la « dernière danse » elle me fais remarqué que j’ai eu mon quart d’heure américain et qu’après elle s’en va, en plaisantant je lui dis que c’est ma dernière chance pour l’embrasser (je n’y pensais pas spécialement avant de lui dire, et là j’ai réalisé que ça pourrait être sympas en effet.  « Thôt ! cf : Homer Simpson » elle me dit qu’elle a un copain ça coupe court on parle d’autres choses, et ont fini par partir en même temps. Elles font leurs études en Angleterre, elles ont des copains, pas de bol. Je les ai revus la semaine suivante, je suis passé à un autre atelier avec la copine blonde, et j’ai passé cette soirée encore une fois avec leur groupe, j’ai encore dansé avec ma partenaire de la semaine précédente (sans chercher spécialement à ce que ça se produise, je n’ai rien fais pour les coller ou les suivre, juste voila on se recroise on se dit bonjour et on reste dans le groupe), et un peu avec d’autres filles…

Qui refusent toutes de se laisser conduire comme le veux la règle de la danse du rock, généralement on a l’impression de faire un mélange de lutte et de bras de fer c’est pénible, avec elle c’était différent car justement elle se laissait conduire et du coup c’est fluide et plaisant. Bref leur dernière semaine à Paris avant de partir mais pas moyen d’avoir un fb ou un numéro pour rester en contact ne serait-ce que symboliquement…
Déjà là ça s’était bien passé et il m’a fallu un certain effort mental pour me motiver et m’y rendre, sortir seul, « ce ne sont pas des inconnus mais des futures amis qui veulent te connaître blablabla », autant maintenant l’effort est plus difficile car je n’arrive pas à avoir l’esprit léger, et même si ces quelques soirées ont été sympas elles n’ont rien eu de transcendantes pas de « kiff » ou de « plaisir » si ce n’est du devoir accomplis et d’un « ça c’est fait » suivi d’une encoche sur une liste mental de trucs à faire.

Bref je me force… Le plaisir du moment n’est que momentanée et s’estompe rapidement, et l’absence de retours avenir rend l’expérience assez peu satisfaisante. C'est même un peu décourageant au finale, tu sent que tu progresse que tu peu approfondir quelque chose, et soudain pouf ça disparaît et faut tout recommencer...
Depuis je n'ai plus eu la volonté d'y retourner, et quand j'ai eu l'opportunité de re-danser un peu à une soirée les progrès avaient disparus. Normal en même temps...
Du coup ça me coupe un peu dans mon élan.

Passer le code !

Je l'ai eu ! J'ai enfin passé et réussi ce foutus examen théorique du code de la route ! Après 1 an à traîner mes grolles dans cette auto école presque tout les soirs pendant plusieurs heures, j'ai enfin le code, maintenant c'est au tour de la conduite, j'ai déjà une bonne quinzaine d'heures de conduite plus que quelques unes et je pourrais faire de la conduite supervisé avec mon père, comme on travail ensemble je peu optimiser le ratio conduite travail je devrais avaler les heures de conduites assez rapidement et avoir une courbe de progression assez intéressante.

Cette aspect de ma vie personnelle me minais depuis plusieurs mois car tout piétinais et j'avais l'impression de me faire rouler dans la farine.

Quitter ma fucking chambre d'ados, pour louer un studio.

Bon comme cité plus haut, ça ne va pas se faire en mode colocation, l'un s'est remis avec sa copine, et l'autre ben à changé d'avis, puis bon coloc à trois mecs pour avoir un dossier viable c'est la misère.

J'ai des vus sur une studette prêt du Panthéon à Paris, c'est la piaule que loue la copine du gars en question mais ils veulent se mettre en ménage, donc elle veut le quitter sous quelques mois, je dois le visiter, apparemment 10m² 5ème sans ascenseur, toilettes et douche + kitchenette. Pour un loyer assez élevé pour la surface proposé, mais c'est le quartier qui veux ça. Donc on verra, ça me met un peu de baume au cœur de voir ce projet là se concrétiser un peu sans trop galérer.

Travail.

Bon le travail je ne vais pas m'étendre dessus, nous sommes entrain de lancer une procédure de conciliation avec la banque, pour négocier ¼ de million afin d'éponger nos créances, et avoir un peu de trésorerie pour relancer la machine, suite à une perte d'activité et d'un client qui a revus sa politique d'achat... Faut dire que le secteur est encore assez morose ces temps-ci, beaucoup de confrères ferment ou tirent la langue. Seulement comme je bosse avec mon père, le travail à tendance à empiéter sur la vie de famille, et de bouffer mes moments libres, et comme ce n'est pas le métier de mes rêves (il y a quand même les avantages cités au dessus puis bon je ne suis pas plus doué pour chercher du boulot que des filles alors celui-là je ne vais pas le lâcher de si tôt).

Côté cœur et filles et rencontres...

Ben RAS... Mon frère ma présenté une fille de son taff qui est dans le délire costplay, geeks, etc... Tout pour me plaire quoi... Très gentille et accueillante quand on se croise ici et là, on a déjà fait plusieurs sorties en groupe, Zombie walk, soirées médiévales les jeudis, elle m'a présenté à ses ami(es) tous sympathiques, mais je ne les vois pas très régulièrement, donc tout approfondissement ne pourra se faire que dans le long terme.
L'Autre problème c'est que cette fille ne m'attire pas réellement, mais j'ai l’impression de « devoir »
tenter quelque chose de peur de le regretter... Seulement j'ai déjà l'impression d'avoir foiré, en mode pote... Elle a proposé via un événement fb de faire une séance ciné à plusieurs, ensuite nous avons mangés un morceau et c'était cool, quelques semaines plus tard elle avait un plan ciné gratuit qu'elle a proposé à la cantonade sur fb j'ai saisis l'occasion, mais l'après ciné a été catastrophique, elle a passé la soirée à parler à une de ses copines de la friendzone d'un mec qu'elle connait, etc, et c'était comme si elle parlait de moi, j'ai pu tenir la contenance jusqu'à la séparation, mais je n'ai pas pu m'empêcher de raconter que c'était un peu ma vie sentimentale qu'elle racontait.

J'ai fais une crise de nerf en rentrant chez moi, elle m'a envoyé un SMS car elle avait sentit que quelque chose m'avais blessé durant la soirée. J'ai mentis en disant que c'était la pression du à la fatigue de la semaine et l'examen du code. Je lui ai proposé de se revoir et boire un verre, sa réponse est pour le moins assez... Tiède... à base de Euuuh Ooook pourquoi pas... C'est du SMS donc l'analyse n'est pas trop opportune...

Voila il transparaît que j'ai des blocages, rien que l'idée d’essayer d'embrasser une fille après un premier contact dans un bar me cause des mal de crâne, comme si mon cerveau se recroquevillait en position fœtale dans sa boîte crânienne... Visuellement ça ressemblerait au mouvement que font les huîtres quand on y applique quelques gouttes de citron avant de la gober...

J'ai énormément de mal à prendre des décisions, j'aimerais avoir l'occasion de me lancer, et pour ça faut sortir, mais déjà sortir ça me coûte en volonté en motivation...
Jeudi j'étais chaud pour faire un essaie avec un pote dans un bar, ou il me dis qu'il n'a jamais eu de problèmes pour draguer. Malheureusement même si le bar était assez remplis, tout était très statique peu d'ambiance des cercles de personnes compactes et grégaires.

Petit moment de « gloire » à quelques tables de là ou nous étions, un mec un peu bourré faisais son gros lourd en tentant d'embrasser une fille, qui se débattais carrément au point de se lever de le « fuir » en allant de l'autre côté de la pièce, le mec n'a pas compris la rejoint et retenté. Je me suis levé prêt à agir si il devenait violent ou que la fille se mettais vraiment à flipper. Il m'a vu, et lâché prise, la fille est allé se réfugier dans les toilettes. Je suis descendu m'assurer qu'elle allait bien, c'était une polonaise à peine anglophone et un peu francophone, elle m'a assuré que ça allait bien, je lui ai expliqué qu'avec mon pote on avait vu, et que si il allait trop loin elle pouvait venir nous rejoindre pour trouver refuge.
Un peu plus tard le gars à remis ça, et là j'ai vu un peu rouge, je suis allez le voir et lui dire de lâcher et de se calmer un peu. Le mec me sors que c'est sa copine, ce qui me désarçonne un peu car elle n'a pas jugé bon de me le dire aux WC. J'ai regardé la fille lui ai demandé si c'était vrai, elle a acquiescé, le gars me demande de quoi je me mêle etc. Je lui explique que personnellement je m'en fou de ce qu'ils sont l'un pour l'autre, que moi je vois une fille qui se débat et qui refuse, et un mec lourd qui la harcèle (en tout cas c'est ce que sous le coup de l'adrénaline et de quelques pintes j’essaie de faire comprendre). Bref ça se désamorce le mec descend se griller une clope au fumoir, j'en profite pour essayer de rassurer un peu la fille, avec mon pote un peu meilleur que moi en langue (avec ou sans KC dedans) on lui explique que ce n'est pas parce qu'elle est « sa meuf » etc qu'elle ne doit pas se défendre ou faire des choses contre son gré etc, que lui devrait peut-être être attentif à ça sinon c'est chaud comme relation.

On comprend qu'il est bourré, qu'il est chiant quand il est bourré. Bref on lui renouvelle notre aide si besoin. Quelques temps plus tard on se déplace, on va au bar, on regarde les parties de flèchettes. Etc on commente la plastique de quelques filles du bar, mais on ne tente rien et on repart. J'ignore ce qui s'est passé ensuite pour la polonaise, j'espère que son mec à compris qu'il flirtait avec une ligne un peu flippante...

Ce samedi j'avais prévu de retourner à ce bar en solo ou avec le même pote pour la soirée Halloween mais il a annulé, et je me suis dégonflé quand un pote ma enjoint de rester pour la soirée, avec des potes.

CONCLUSION.

Je ne sais pas ce qui m'arrive, je bug complètement... Je passe suis complètement perdu, au moment d'aller faire quelque chose du genre drague, je trouve ça nul et je me décourage, et ensuite je me mortifie en me disant que j'ai peut-être loupé l'occasion d'une rencontre inattendu...

On m'encourage à « prendre confiance en moi »... Parait que je suis beau gosse, que je présente bien, que je sais bien m'exprimer, mais voilà quoi, ça sert à rien si je n'ose pas bouger, puis bon il faut avoir confiance pour "chopper" et pour avoir confiance il faudrait que je "choppe" l'image d'un serpent qui se mord la queue est aussi présente (avec un truc pareil dans la tête normal que j'ai un peu la migraine du coup).

Mais quelques part je sent que j'attend trop des relations hommes/femmes... Mais je n'ai pas envie d'en espérer moins non plus... Je sais à peut prêt ce que je voudrais...
Rencontrer une fille sympathique et mignonne, et voir ou ça mène, date, flirt, et relation courte/longue ou autre... Et si je dois passer par des plans culs ou oneshot, pourquoi pas même si ça reste un blocage pour moi... Je n'ai pas envie de coucher avec une fille, et devoir ensuite aller en chercher une autre, et une autre, et une autre... Je veux juste quelque chose oklm...

Je fonde beaucoup d'espoir désormais sur la location de cette petite piaule... Même si c'est spartiate. J'aurais un lieu proche de plusieurs « terrains  de chasse » pour éventuellement sortir et boire un verre de temps en temps.

A une époque j'étais d'une patience olympienne, mais maintenant je veux que ça bouge, et genre tout de suite, donc quand ça plante ou que l'occasion est manqué, je m'en veux...

Voila c'est trèèèèèès long faut dire que je n'ai pas écris depuis longtemps, je ne tiens jamais de journal en général, là j'ai besoin de tout lâcher, frustration, agacement, impatience...

PS : J'ai appris des choses sur mon OI depuis le temps, mais c'est un peu gênant d'en parler, et ça ne change pas grand chose à l'affaire, le fait est que je "l'aime" toujours, et j'ai VRAIMENT besoin de la remplacer. Juste que maintenant je réalise que si j'avais été plus actif et plus habile au meilleur moment, j'aurais très certainement pu conclure avec elle, et que donc j'ai bien tout raté et ça ne m'aide pas à avoir confiance en moi... Tout ça parce que je me suis pris la tête pendant 7 mois maintenant, à ne pas réussir à la voir, et à ne pas oser l'avoir quand c'était possible...

D'un autre côté ce n'est pas comme ça que j'aimerais avoir une fille aussi, (prise de tête et principes de merde encore). Bon je ferme ici en espérant des entrées plus succintes et productives à l'avenir.

Merci pour votre lecture, vos avis sont les bienvenus, aussi bien sur l'aspect écriture que le fond.

Salut Yragael,

Bon j’avais écrit une belle réponse mais j’ai fait « page précédent » sans faire gaffe sur le navigateur et j’ai tout perdu…

Bref en résumé rapide :

J’ai essayé de tout lire attentivement, mais c’est un peu long alors je me suis peut être perdu en route !

Première impression générale à la sortie : Lâche toi. Vraiment.

J’ai tellement senti que tu veux bien faire, remplir tes objectifs, appliquer toutes les choses apprises sur FTS, check toutes les étapes, que ça te paralyse. Il y a un vieux dicton qui revient souvent par ici : pense au jeu, pas à l’enjeu.

Relâche la pression, relativise, lâche prise, amuse toi pour de vrai ! Ça sera dur au début, mais petit à petit, tu n’y penseras même plus. Tu auras juste envie de passer des bons moments.

Essaye de passer le cerveau en mode off pour quelques heures. Ne te dis pas « Une soirée ce soir ? Va de nouveau falloir appliquer le théorème de la connivence astrale, pff ça me déprime d’avance ! » mais plutôt « Putin ce soir je m’amuse, je sais pas comment mais j’ai envie de m’amuser ! Let’s rock ! ».

Pour toute la partie logistique, ouais ça va t’aider, mais ça ne changera rien au fond. Par contre si tu touches à ce fond, ça va devenir de bons accessoires ;)

Désolé ce n’est pas très développé mais j’ai plus le courage de détailler.

Accroche toi tu tiens le bon bout !

Tout d'abord merci d'avoir pris le temps de lire et d'y répondre
Je comprend bien ce que tu dis, c'est tout l'enjeu de tout ceci...

RosieRosette a écrit :Première impression générale à la sortie : Lâche toi. Vraiment.

J'essaye c'est peut-être pas la bonne manière en vérité... Mais j'essaye... Mais comme je ne vois pas comment définir le fais de "se lâcher"... Ben je bug sur ce type de conseils.

RosieRosette a écrit :pense au jeu, pas à l’enjeu.

J'ai écris et décris tout un passage sur ce que je ressentais sur ce domaine

Yragael a écrit :En faite la notion « d’effort » tant débattus sur ce lien, se fais ressentir plus que jamais…

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En faite si je devais reprendre l’analogie aux enfants et leurs feutres, je n’ai ni la motivation intrinsèque ni la motivation extrinsèque… En faite j’ai l’impression d’être dans un autre groupe d’enfants de l’étude, à qui on montrerait les autres « kiffer leurs feutres et/ou recevoir une récompense », mais sans leur en distribuer…

Du coup ils veulent quoi ? Ben ils veulent des feutres, et veulent la récompense si il y en a et donc ils les réclament probablement avec véhémence à force cris et pleures. J’en viens presque à regretté d’avoir appris l’existence des dit feutres et de la récompense en faite…

Si je pouvais effacer les souvenir que j’ai de la séduction de l’attirance et du désir, finalement je ne m’en porterais que mieux. Le mieux que je puisse faire c’est les renier mais vous en conviendrez face à la réalité d’un souvenir douloureux vécus, ça ne tiens pas longtemps de se mentir à soit même…

Les ignorants sont bénis…

l'ennuie est que je ne suis pas quelqu'un de "joueur", je n'aime pas les défis, ou les concours, les jeux de cartes et jeux de sociétés ne m'amusent que très modérément, je n'aime pas les sports d'équipe (en solo non plus ceci dit mais en équipe encore moins)...
Et les jeux ou un enjeu peu être trouvé, je n'y joue que si je sais que j'ai des chances d'y gagner, et je n'y prend pas de plaisir réel...

Ex : Parfois je joue au 421 avec des potes dans des bars, j'y joue car apparemment je m'en sors bien à ce jeu, mais je n'ai aucuns plaisir à y jouer, je ne comprend pas les règles et même si j'essaye de comprendre je décroche immanquablement, au finale je lance les dés et c'est tout.

Paradoxalement je joue à des jeux vidéos sans réels enjeux et souvent hyper chronophages mais j'ai l'impression que c'est plus un genre de fuite, je me captive sur l'écran et des événements fictifs et je ne pense plus au reste...

Et si une action ne mène à rien dans la réalité, je ne m'y intéresse pas ou plus...
Donc "jouer" pour "jouer" ne m’intéresse pas...

RosieRosette a écrit :Essaye de passer le cerveau en mode off pour quelques heures. Ne te dis pas « Une soirée ce soir ? Va de nouveau falloir appliquer le théorème de la connivence astrale, pff ça me déprime d’avance ! » mais plutôt « Putin ce soir je m’amuse, je sais pas comment mais j’ai envie de m’amuser ! Let’s rock ! ».

Je m'y emploie, mais ça aussi c'est difficile à mettre en oeuvre... Déjà ça impliquerait de pouvoir "s'amuser", je n'ai pas beaucoup de soirées dans la semaine, et quand je décide de me bouger dans un truc c'est très globalement tout le temps plus ou moins en solo.
J'aimerais bien ne pas avoir à traverser Paris en long en large et en travers le soir pour juste "sortir"...

RosieRosette a écrit :Pour toute la partie logistique, ouais ça va t’aider, mais ça ne changera rien au fond. Par contre si tu touches à ce fond, ça va devenir de bons accessoires ;)

L'aspect logistique n'est pas vu à but purement "logistique" je ne prétend pas qu'avoir une piaule de 10 m² ou mon permis de conduire va me permettre de draguer mieux... C'est une nécessité personnel j'ai besoin de me frotter un peu au monde et de voir si je peu y être autonome et en solo (à défaut d'un duo). Après si c'est du bonus dans les relations pourquoi pas en effet, mais c'est une nécessité.

Bref voila ces temps-ci j'ai la bougeotte si je peu sortir je sors, n'importe qu'elle occasion est intéressante pour moi, mais en rentrant chez moi, j'ai souvent un spleen car je sens que ça n'a rien apporté de plus, même si je parle à quelqu'un de sympathique, qu'il y a échange de fb ou autre ça fini un peu en "et alors?".

J'essaye de débrancher mais c'est quand il se rebranche que ça reviens...

Enfin bon je vais continuer sur ma lancé, j'ai visité la piaule de 10 m², c'est une chouette cage à poule, très Bohême pour le coup, à côté l'appartement du mec dans le 5ème élément c'est un palace. Mais bon pour se lancer ça pourrait suffire un temps... A voir donc le loyer est un poile élevé mais ça ne me fera pas de mal de vivre un peu spartiate.
En grattant un peu je dois pouvoir caser quelques affaires...

Mais bon c'est difficile et un peu décourageant, mais je ne lâche pas le morceau pour autant.

Pardonne moi ma question mais qu'est-ce qui t'intéresse ?

Tu sembles un peu blasé de tout. Ou déçu.

Je me demande juste en quelles proportions il s'agit de stratégie d'évitement...

The_PoP a écrit :Pardonne moi ma question mais qu'est-ce qui t'intéresse ?

Là va falloir m'aiguiller un peu car c'est très vaste et très ouvert comme question.
Si tu parle d'intérêt au sens de "curiosité" alors plein de choses m’intéressent, en particulier dans les sciences et études, qu'elles soient sociales, physiques, psychologiques, astronomiques, théologiques.

Si tu parle d'intérêt en terme de "passion" pas grands choses du coup, j'ai toujours eu du mal à m’intéresser aux choses en profondeur, j'ai tendance à les survoler longuement sans trop entrer dans les détails du sujet.

Je ne suis pas particulièrement fan d'un style ou d'un groupe de musique, je ne suis pas un acteur ou une série de façon acharné.
Et globalement je ne ressent pas le besoin de m'attacher à ces choses là.

Je suis de toute manière assez peu sensible à la musique, je n'en écoute pas spontanément ou rarement par exemple...

Voila j'espère que ça répond à la question ^^

The_PoP a écrit :Tu sembles un peu blasé de tout. Ou déçu.

Ce qui me blase surtout c'est mon manque de motivation à avancé dans des projets et des activités, qui sont supposés être stimulantes et en tout cas positives.
J'ai du mal à prendre "au sérieux" ce que je fais dans le sens d'y trouver une utilité.

Pourtant il y en a et rationnellement je peu les décrire même, mais ça n'empêche pas qu'à un moment donné quand il s'agit de passer de la théorie à la pratique je bug.

The_PoP a écrit :Je me demande juste en quelles proportions il s'agit de stratégie d'évitement...

Je comprend et je pense qu'il y a un peu de ça, pourtant c'est quelque chose que je tente de surmonter mais je n'ai pas l'impression d'y arriver, d'un côté je piaf d'impatience à l'idée de passer ces barrières et ces espèces de craintes qui me bloquent.

Afin de pouvoir retirer ces œillères ou je ne sais quoi, et m'ouvrir à des opportunités qui me semblent hors de ma portée...

J'espère que ça peu aider à comprendre ce qui se passe... Si vous avez des recommandations et conseils j'ai hâte de les lires merci

Bon je continue à tâtonner pour comprendre mais... est-ce que ce n'est pas simplement un manque d’opiniâtreté, de persévérance, de ténacité ou un manque de goût pour l'effort. Quand cela devient compliqué, tu passes à autre chose.

As-tu essayé aussi de réduire voir de couper les jeux vidéos ?

The_PoP a écrit :Bon je continue à tâtonner pour comprendre mais... est-ce que ce n'est pas simplement un manque d’opiniâtreté, de persévérance, de ténacité ou un manque de goût pour l'effort. Quand cela devient compliqué, tu passes à autre chose.

Il y a certainement de ça en effet, mais la tendance est un peu à la hausse, j'ai de nouveau envie de me bouger, l'ennuie c'est que ces phases de motivations sont coupés par des moments de baisse d'intérêt, ce sont des vagues en faite assez régulières...

The_PoP a écrit :As-tu essayé aussi de réduire voir de couper les jeux vidéos ?

Sans avoir coupé court aux Jeux vidéos, j'y passe beaucoup moins de temps qu'avant.
Ça ne veux pas dire que je fais quelque chose de plus constructif pour autant ceci dit, mais avant avril dernier, je passais toutes mes soirées sur ordi sauf mes rdv du vendredi et quelques rares soirées avec les potes. Là je sors quand même plus, et avec d'autres cercles de connaissances. Et chez moi je ne joue plus qu'épisodiquement quand j'en ai envie, et c'est essentiellement car des potes IG sont sur un jeu et que je les y rejoints.

PS : Le simple fais d'avoir posté mes état d'âmes à du me libérer un peu l'esprit, hier j'ai eu la patate pour aller danser à la soirée rock j'ai trouvé une cavalière très agréable pour l'atelier d'initiation, on a passé la soirée entière à se marrer en dansant quand on foirait une passe ou quand une maladresse nous envoyait sur d'autres personnes.
J'ai même obtenu son numéro ^^ et on est d'accord sur l'idée de se revoir régulièrement ne serait-ce que là bas, donc voila quelques petits truc chouettes qui participent un peu à me remonter le moral. Je tâcherais de développer en temps utile, mais j'aimerais voir un peu ce qui se passe avant de demander conseil.

Faut quand même qu'un jour je me décide à tenter le KC...