Conseils pour situation particulière et nouvelle pour moi.
Bonjour à tous,
Je vous expose la situation.
J'ai fait la rencontre d'une jeune femme de 28 ans il y a quelques mois. Nous nous sommes embrassés y il y peu et avons couché ensemble pour la première fois hier.
Nous étions chez moi, tout se passait pour le mieux. Ambiance relaxante, musique douce, vin, câlins, doux baisers, préliminaires je la sentais extrêmement excitée (elle était bien lubrifiée), etc...
Je passe les détails mais au moment de la pénétrer, à peine avais-je introduit la première moitié de mon gland, elle a fait une grimace. Pensant qu'elle avait juste besoin d'un peu plus de temps pour se mettre dans l'ambiance, j'y suis allé très doucement en faisant des vas-et-viens juste avec le bout du gland mais après quelques minutes, même situation.
N'étant pas hors norme (18cm de longueur et 14cm de circonférence) et n'ayant jamais expérimenté cela avant, je lui ai demandé si quelque chose n'allait pas et c'est là qu'elle m'explique.
Pendant son adolescence, elle a connu plusieurs garçons. Une de ses toutes premières fois a été une expérience traumatisante pour elle. Ses quelque fois d'après avec d'autres mecs n'étaient pas très concluantes non plus. En conséquence, elle s'est tournée, toujours très jeune, vers les filles et a enchaîné les relations avec celles-ci depuis 10 ans. Détail important, elle ne se masturbe quasiment pas, voire jamais.
En gros, je suis son premier mec depuis au moins 10 ans. Durant la soirée elle appréhendait énormément et apparemment, malgré les années écoulées son corps réagit encore très mal dès l'approche d'un pénis. Les muscles de l'entrée de son vagin sont contractés au maximum rendant toute pénétration (avec pénis) impossible.
Inutile de vous dire, elle s'est sentie extrêmement mal (elle ne s'y attendait visiblement pas), elle s'est excusée mille fois, ne sachant pas comment j'allais réagir, etc...
Étant tout aussi pris au dépourvu qu'elle, j'ai improvisé pour la suite:
J'ai tout fait pour la déculpabiliser, la mettre à l'aise, lui dire que ça ne m'ennuyait pas du tout, etc...
Je lui ai demandé jusqu'où je pouvais m'introduire sans qu'elle ressente de douleur. J'ai utilisé beaucoup de lubrifiant et continué les pénétration avant d'atteindre ce point de douleur (toujours la moitié de mon gland donc).
On a fait des câlins sans tenter de pénétrations.
Je lui ai fait un cunnilingus. Elle a bien apprécié mais elle semble avoir un clito extrêmement sensible (conséquence du fait qu'elle ne se masturbe pas, je ne sais pas)
Élément très prometteur pour la suite. J'ai tenté de la doigter en commençant par mon doigt le plus fin et en augmentant progressivement, toujours en lubrifiant un max. J'ai réussi à introduire complètement mon majeur (elle éprouvait encore un peu de douleur) jusqu'à pouvoir lui masser le point D. Elle était très étonnée car on ne lui avait jamais fait, et trouvait les sensations magiques et y prenait énormément de plaisir mais ressentant quand même des douleurs à l'entrée du vagin, elle ne pouvait profiter pleinement et se laisser aller.
Après avoir passé environ 4h au lit, on s'est arrêté là.
Depuis, je me suis un peu documenté sur le sujet et j'ai vu qu'il s’agissait d'un phénomène assez courant chez les filles ayant subi un traumatisme mais qui se réglait relativement facilement.
Je tiens beaucoup à cette fille et je tiens à l'aider du mieux possible, à l'accompagner dans cette épreuve et surtout être mieux informé.
Certaines (ou certains) d'entre vous auraient-ils déjà vécu quelque chose de similaire? Auriez-vous des conseils que l'on pourrait appliquer à 2 pour la prochaine fois? Les choses à faire et ne pas faire? Je tiens à préciser que je tiens à prendre tout le temps qu'il faudra afin de faire en sorte qu'on arrive à avoir une relation sexuelle classique, mais surtout qu'elle puisse s'épanouir sexuellement car visiblement c'est loin d'être le cas en l'état actuel des choses. Donc le temps n'est absolument pas une contrainte.
Je vous expose la situation.
J'ai fait la rencontre d'une jeune femme de 28 ans il y a quelques mois. Nous nous sommes embrassés y il y peu et avons couché ensemble pour la première fois hier.
Nous étions chez moi, tout se passait pour le mieux. Ambiance relaxante, musique douce, vin, câlins, doux baisers, préliminaires je la sentais extrêmement excitée (elle était bien lubrifiée), etc...
Je passe les détails mais au moment de la pénétrer, à peine avais-je introduit la première moitié de mon gland, elle a fait une grimace. Pensant qu'elle avait juste besoin d'un peu plus de temps pour se mettre dans l'ambiance, j'y suis allé très doucement en faisant des vas-et-viens juste avec le bout du gland mais après quelques minutes, même situation.
N'étant pas hors norme (18cm de longueur et 14cm de circonférence) et n'ayant jamais expérimenté cela avant, je lui ai demandé si quelque chose n'allait pas et c'est là qu'elle m'explique.
Pendant son adolescence, elle a connu plusieurs garçons. Une de ses toutes premières fois a été une expérience traumatisante pour elle. Ses quelque fois d'après avec d'autres mecs n'étaient pas très concluantes non plus. En conséquence, elle s'est tournée, toujours très jeune, vers les filles et a enchaîné les relations avec celles-ci depuis 10 ans. Détail important, elle ne se masturbe quasiment pas, voire jamais.
En gros, je suis son premier mec depuis au moins 10 ans. Durant la soirée elle appréhendait énormément et apparemment, malgré les années écoulées son corps réagit encore très mal dès l'approche d'un pénis. Les muscles de l'entrée de son vagin sont contractés au maximum rendant toute pénétration (avec pénis) impossible.
Inutile de vous dire, elle s'est sentie extrêmement mal (elle ne s'y attendait visiblement pas), elle s'est excusée mille fois, ne sachant pas comment j'allais réagir, etc...
Étant tout aussi pris au dépourvu qu'elle, j'ai improvisé pour la suite:
J'ai tout fait pour la déculpabiliser, la mettre à l'aise, lui dire que ça ne m'ennuyait pas du tout, etc...
Je lui ai demandé jusqu'où je pouvais m'introduire sans qu'elle ressente de douleur. J'ai utilisé beaucoup de lubrifiant et continué les pénétration avant d'atteindre ce point de douleur (toujours la moitié de mon gland donc).
On a fait des câlins sans tenter de pénétrations.
Je lui ai fait un cunnilingus. Elle a bien apprécié mais elle semble avoir un clito extrêmement sensible (conséquence du fait qu'elle ne se masturbe pas, je ne sais pas)
Élément très prometteur pour la suite. J'ai tenté de la doigter en commençant par mon doigt le plus fin et en augmentant progressivement, toujours en lubrifiant un max. J'ai réussi à introduire complètement mon majeur (elle éprouvait encore un peu de douleur) jusqu'à pouvoir lui masser le point D. Elle était très étonnée car on ne lui avait jamais fait, et trouvait les sensations magiques et y prenait énormément de plaisir mais ressentant quand même des douleurs à l'entrée du vagin, elle ne pouvait profiter pleinement et se laisser aller.
Après avoir passé environ 4h au lit, on s'est arrêté là.
Depuis, je me suis un peu documenté sur le sujet et j'ai vu qu'il s’agissait d'un phénomène assez courant chez les filles ayant subi un traumatisme mais qui se réglait relativement facilement.
Je tiens beaucoup à cette fille et je tiens à l'aider du mieux possible, à l'accompagner dans cette épreuve et surtout être mieux informé.
Certaines (ou certains) d'entre vous auraient-ils déjà vécu quelque chose de similaire? Auriez-vous des conseils que l'on pourrait appliquer à 2 pour la prochaine fois? Les choses à faire et ne pas faire? Je tiens à préciser que je tiens à prendre tout le temps qu'il faudra afin de faire en sorte qu'on arrive à avoir une relation sexuelle classique, mais surtout qu'elle puisse s'épanouir sexuellement car visiblement c'est loin d'être le cas en l'état actuel des choses. Donc le temps n'est absolument pas une contrainte.
En te lisant, j'avais envie de dire vaginisme (processus psychophysiologique interdisant une pénétration du vagin).
Mais tu parles de douleurs.
Les origines d'une douleur sont organiques ou psychologiques.
Organiques : problème gynécologique, dermatologique etc
Psychologiques : appréhension d'une relation pour des tas de raisons. Relation avec un homme après des expériences féminines ?
Tu as l'air de tenir à elle et souhaites prendre ton temps. C'est tout à ton honneur.
Proposer des rendez-vous plus sensuels que sexuels ?
Dialoguer sur ce qu'elle aime, souhaite, sans pression, dans le seul but de la mettre en confiance ?
La détendre avec une ballade, lui faire découvrir ton univers, s'intéresser au sien en lui laissant l'opportunité de t'étonner, de mieux vous connaître ?
Mais tu parles de douleurs.
Les origines d'une douleur sont organiques ou psychologiques.
Organiques : problème gynécologique, dermatologique etc
Psychologiques : appréhension d'une relation pour des tas de raisons. Relation avec un homme après des expériences féminines ?
Tu as l'air de tenir à elle et souhaites prendre ton temps. C'est tout à ton honneur.
Proposer des rendez-vous plus sensuels que sexuels ?
Dialoguer sur ce qu'elle aime, souhaite, sans pression, dans le seul but de la mettre en confiance ?
La détendre avec une ballade, lui faire découvrir ton univers, s'intéresser au sien en lui laissant l'opportunité de t'étonner, de mieux vous connaître ?
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [+1] +1 le 19.04.16, 09h30 par jnv
Tout ce que Perlambre évoque et suggère est très juste.
Rien à ajouter sur ta question "comment faire"
Pour ta question "qu'est ce qu'il faut éviter"
J'ai une amie qui a vécu des traumatismes sexuels il y a très longtemps, elle a tout de même été capable d'avoir une vie sexuelle "normale" mais il y avait des "à ne pas faire".
Ca peut etre un geste, une position, une situation, c'est comme les madelaines de proust, certaines situations vont directement rappeler un trauma, mais pas juste le rappeler, ça le réactive aussi pendant quelques secondes.
Tu apprendras avec le temps ce qui la dérange, ce qui la choque (lui rappelle un trauma) et ce qui est complètement ok.
Au début tu vas tâtonner et pas être sur de ce que tu fais par peur de la blesser mais tu vas prendre tes marques rapidement si elle te les communique. Tu as l'air tres à l'écoute ca devrait le faire.
Rien à ajouter sur ta question "comment faire"
Pour ta question "qu'est ce qu'il faut éviter"
J'ai une amie qui a vécu des traumatismes sexuels il y a très longtemps, elle a tout de même été capable d'avoir une vie sexuelle "normale" mais il y avait des "à ne pas faire".
Ca peut etre un geste, une position, une situation, c'est comme les madelaines de proust, certaines situations vont directement rappeler un trauma, mais pas juste le rappeler, ça le réactive aussi pendant quelques secondes.
Tu apprendras avec le temps ce qui la dérange, ce qui la choque (lui rappelle un trauma) et ce qui est complètement ok.
Au début tu vas tâtonner et pas être sur de ce que tu fais par peur de la blesser mais tu vas prendre tes marques rapidement si elle te les communique. Tu as l'air tres à l'écoute ca devrait le faire.
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [+1] Constructif le 19.04.16, 09h31 par jnv
Merci pour vos éclaircissements.
Je ne pense pas que ce soit un problème dermatologique ou "uniquement" psychologique. Il y a clairement une réaction musculaire qui empêche l'insertion du pénis et laisse à peine passer mes doigts. Quand j'avais un doigt inséré, ça me faisait exactement la même impression que lorsque l'on met un doigt dans la bouche et que l'on serre assez fort avec les lèvres, donc très étroit au début, et puis vers 3cm après l'entrée, c'est comme les autres vagins que j'ai pu doigter par le passé, que ce soit au niveau de la texture, que des dimensions.
Précision: quand je dis que je l'ai rencontrée il y a peu, je me suis mal exprimé, c'est notre relation romantique qui a commencé il y a quelques mois. On était déjà sorti amicalement peut-être une trentaine de fois avant, elle est venue chez moi, je suis allé chez elle etc... et elle a déjà verbalisé le fait qu'elle était très à l'aise avec moi, donc de ce côté-là pas de problème.
J'en profite tant que vous êtes là.
Si vous étiez à sa place, comment prendriez-vous le fait:
1) Que je lui demande si elle veut que je l'accompagne dans ce "périple"? Je comptais ne rien lui demander à la base et prendre son absence d'objection comme un "oui". Car à la fin de notre première nuit, je lui ai dit que la prochaine fois serait tout aussi douce et qu'on avait tout notre temps devant nous et elle a dit "d'accord". J'estime quand même qu'on touche à ce qui est de plus intime et personnel chez une femme et verbaliser sa volonté d'être accompagnée ou non me semble primordial. => Une erreur?
2) Que je lui demande personnellement ce qu'elle accepte que je/on fasse et ce que je/on ne fasse pas. Vous parliez d'y aller à tâtons et par essai/erreur. C'est une possibilité mais je prends le risque de commettre une erreur qui pourrait la bloquer à tout jamais....
3) Que je ui demande (sans l'en obliger) à ce qu'elle me parle de cet événement traumatisant en lui disant que ce n'est pas par curiosité mais pour avoir tous les éléments nécessaires en mains.
4) Que je lui fasse part du fait que je me suis renseigné sur la question via des sites spécialisés et de ce qu'il serait possible que l'on fasse petit à petit?
Je ne pense pas que ce soit un problème dermatologique ou "uniquement" psychologique. Il y a clairement une réaction musculaire qui empêche l'insertion du pénis et laisse à peine passer mes doigts. Quand j'avais un doigt inséré, ça me faisait exactement la même impression que lorsque l'on met un doigt dans la bouche et que l'on serre assez fort avec les lèvres, donc très étroit au début, et puis vers 3cm après l'entrée, c'est comme les autres vagins que j'ai pu doigter par le passé, que ce soit au niveau de la texture, que des dimensions.
Précision: quand je dis que je l'ai rencontrée il y a peu, je me suis mal exprimé, c'est notre relation romantique qui a commencé il y a quelques mois. On était déjà sorti amicalement peut-être une trentaine de fois avant, elle est venue chez moi, je suis allé chez elle etc... et elle a déjà verbalisé le fait qu'elle était très à l'aise avec moi, donc de ce côté-là pas de problème.
J'en profite tant que vous êtes là.
Si vous étiez à sa place, comment prendriez-vous le fait:
1) Que je lui demande si elle veut que je l'accompagne dans ce "périple"? Je comptais ne rien lui demander à la base et prendre son absence d'objection comme un "oui". Car à la fin de notre première nuit, je lui ai dit que la prochaine fois serait tout aussi douce et qu'on avait tout notre temps devant nous et elle a dit "d'accord". J'estime quand même qu'on touche à ce qui est de plus intime et personnel chez une femme et verbaliser sa volonté d'être accompagnée ou non me semble primordial. => Une erreur?
2) Que je lui demande personnellement ce qu'elle accepte que je/on fasse et ce que je/on ne fasse pas. Vous parliez d'y aller à tâtons et par essai/erreur. C'est une possibilité mais je prends le risque de commettre une erreur qui pourrait la bloquer à tout jamais....
3) Que je ui demande (sans l'en obliger) à ce qu'elle me parle de cet événement traumatisant en lui disant que ce n'est pas par curiosité mais pour avoir tous les éléments nécessaires en mains.
4) Que je lui fasse part du fait que je me suis renseigné sur la question via des sites spécialisés et de ce qu'il serait possible que l'on fasse petit à petit?
Difficile de répondre à ta question. Chaque femme est différente, je ne peux que dire ce qui me conviendrait si j'étais dans la situation de ton amie.
1/ Ne verbalise pas. Elle est d'accord pour poursuivre l'expérience. Ta douceur et ta patience lui prouveront qu'elle peut compter sur toi.
2/ Lorsque tu tentes une caresse, en plus d'observer ses réactions, tu peux lui demander si elle aime, préfère un autre geste, une autre position. Parler est essentiel mais sans perdre l'aspect jeu, histoire de ne pas casser l'ambiance.
3/ N'aborde pas la question frontalement, cela peut la bloquer. Reste à son écoute dans un premier temps.
4/ Parler de tes recherches, pourquoi pas... mais sans pointer le fait qu'elle a un "problème". Ton but n'est pas de la rendre mal à l'aise.
En fait, si tu sens à un moment qu'elle se crispe, amène-la en douceur à te dire pourquoi, que tu cherches son bien-être avec son aide.
Demande-lui aussi ce qu'elle aimerait te faire, que te te prêtes avec joie à ses initiatives. Donner le "pouvoir" à une femme est souvent riche d'enseignement sur la façon dont elle fonctionne.
1/ Ne verbalise pas. Elle est d'accord pour poursuivre l'expérience. Ta douceur et ta patience lui prouveront qu'elle peut compter sur toi.
2/ Lorsque tu tentes une caresse, en plus d'observer ses réactions, tu peux lui demander si elle aime, préfère un autre geste, une autre position. Parler est essentiel mais sans perdre l'aspect jeu, histoire de ne pas casser l'ambiance.
3/ N'aborde pas la question frontalement, cela peut la bloquer. Reste à son écoute dans un premier temps.
4/ Parler de tes recherches, pourquoi pas... mais sans pointer le fait qu'elle a un "problème". Ton but n'est pas de la rendre mal à l'aise.
En fait, si tu sens à un moment qu'elle se crispe, amène-la en douceur à te dire pourquoi, que tu cherches son bien-être avec son aide.
Demande-lui aussi ce qu'elle aimerait te faire, que te te prêtes avec joie à ses initiatives. Donner le "pouvoir" à une femme est souvent riche d'enseignement sur la façon dont elle fonctionne.
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [+1] Constructif le 19.04.16, 09h31 par jnv
Merci pour ta vision et je pense que je vais suivre ton conseil et ne rien verbaliser. Je vais continuer à me fier sur mon instinct et mon analyse de la situation pour voir comment les choses évoluent.
Et surtout, comme tu le dis, si je devais jamais verbaliser quoi que ce soit, je vais tenter de ne jamais perdre l'aspect jeu pour maintenir toujours un sentiment de sécurité et de confiance.
Et surtout, comme tu le dis, si je devais jamais verbaliser quoi que ce soit, je vais tenter de ne jamais perdre l'aspect jeu pour maintenir toujours un sentiment de sécurité et de confiance.
Je te souhaite très sincèrement de réussir, tiens-nous au courant.
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [0] Merci ! :) le 19.04.16, 09h31 par jnv
- [0] C'est pas le plus important le 19.04.16, 10h26 par Blusher
Merci, je n'y manquerai pas. 

Bonjour, je reviens un peu aux nouvelles.
Pour résumer, il n'y a rien eu de plus sexuellement depuis le dernier épisode au lit que j'avais décrit.
2 raisons à cela:
1) Des emploi du temps très chargés des 2 côtés.
2) De la gène/honte de sa part que je décèle.
Malgré le fait que je n'ai toujours rien verbalisé et que rien d'autre ne se soit passé depuis, je remarque qu'elle tente d'esquiver dès que possible mes tentatives d'organiser une soirée où elle sait que l'on risque de finir au lit, alors qu'elle est toujours partante pour me voir dans tous les autres contextes.
Je traduis cela par le fait que, malgré que je me sois montré patient, doux, attentionné, etc... la dernière fois, ça ne change rien au fait qu'elle doit avoir honte de ce que je pense d'elle ou quelque chose du style... ce que je peux totalement comprendre.
Dimanche aprèm prochain on doit se voir pour prendre un verre tranquillement et la logistique fait qu'il ne se passera rien de sexuel (raison pour laquelle elle a accepté je pense) et je suis devant un choix:
1) Est-ce que je patiente encore 2-3 semaines en proposant d'autres rdv orientés "cul" voir si elle en accepte un et me rendre compte que je me faisais des idées et ce n'était que des coïncidences?
2) Je lui dis que je souhaiterais passer prochainement un moment intime avec elle et je lui demande si ça l'intéresse vraiment et par la même occasion, j'entame le sujet de son "trauma" physique (je ne sais pas comment appeler ce dont elle souffre sans que ça sonne comme un "problème", je suis preneur si vous avez des idées ;)) et lui demande si elle a besoin de mon soutien etc.
Je serais tenté par le 1) car bon, n'étant pas très pressé je ne suis pas à quelques semaines près. Et en plus j'aurais vraiment peur de la bloquer pour de bon...
(edit sur cette partie car info pas très utile concernant cette situation)
Qu'en pensez-vous?
Pour résumer, il n'y a rien eu de plus sexuellement depuis le dernier épisode au lit que j'avais décrit.
2 raisons à cela:
1) Des emploi du temps très chargés des 2 côtés.
2) De la gène/honte de sa part que je décèle.
Malgré le fait que je n'ai toujours rien verbalisé et que rien d'autre ne se soit passé depuis, je remarque qu'elle tente d'esquiver dès que possible mes tentatives d'organiser une soirée où elle sait que l'on risque de finir au lit, alors qu'elle est toujours partante pour me voir dans tous les autres contextes.
Je traduis cela par le fait que, malgré que je me sois montré patient, doux, attentionné, etc... la dernière fois, ça ne change rien au fait qu'elle doit avoir honte de ce que je pense d'elle ou quelque chose du style... ce que je peux totalement comprendre.
Dimanche aprèm prochain on doit se voir pour prendre un verre tranquillement et la logistique fait qu'il ne se passera rien de sexuel (raison pour laquelle elle a accepté je pense) et je suis devant un choix:
1) Est-ce que je patiente encore 2-3 semaines en proposant d'autres rdv orientés "cul" voir si elle en accepte un et me rendre compte que je me faisais des idées et ce n'était que des coïncidences?
2) Je lui dis que je souhaiterais passer prochainement un moment intime avec elle et je lui demande si ça l'intéresse vraiment et par la même occasion, j'entame le sujet de son "trauma" physique (je ne sais pas comment appeler ce dont elle souffre sans que ça sonne comme un "problème", je suis preneur si vous avez des idées ;)) et lui demande si elle a besoin de mon soutien etc.
Je serais tenté par le 1) car bon, n'étant pas très pressé je ne suis pas à quelques semaines près. Et en plus j'aurais vraiment peur de la bloquer pour de bon...
(edit sur cette partie car info pas très utile concernant cette situation)
Qu'en pensez-vous?
Merci de donner de tes nouvelles.
A mon sens, il faudra verbaliser ton souhait de relation sexuelle avec elle car tu es en train de passer de petit ami potentiel à ami tout court. Il ne s'agit pas de la brusquer mais de te positionner clairement.
Lors d'un prochain rendez-vous, pourquoi ne pas lui prendre la main, la regarder dans les yeux, lui dire qu'elle te plait, qu'elle te fait envie, que tu souhaites partager plus avec elle qu'une simple sortie, l'encourager à se confier sur son propre ressenti ?
Agir non de façon anxieuse mais calme et souriante.
Je sais bien qu'en séduction la verbalisation n'est pas encouragée mais j'ai comme l'impression qu'il y a entre vous pas mal de non-dits...
La gêne de ton amie est peut-être justement alimentée par ton attitude hésitante. Elle peut aussi avoir peur d'un jugement de ta part suite à votre première expérience au lit, peur de t'avoir déçue...
De toute façon en initiant le dialogue, tu lui montreras qu'elle a un homme en face d'elle et non un bon pote asexué. Tu verras bien sa réaction, normalement elle devrait s'exprimer à son tour. Le risque qu'elle ne partage pas ton envie est réel mais au moins tu seras fixé car rester dans le flou est pire que tout.
Tu abordes un autre problème, celui d'une éjaculation impossible par le biais de la pénétration. Y arrives-tu par la masturbation ? Seul ? Avec l'aide d'une partenaire ? As-tu consulté un sexologue ? Penses-tu que cela peut jouer dans la situation que tu es en train de vivre avec cette fille ? A-t-elle fait une réflexion la dernière fois ?
A mon sens, il faudra verbaliser ton souhait de relation sexuelle avec elle car tu es en train de passer de petit ami potentiel à ami tout court. Il ne s'agit pas de la brusquer mais de te positionner clairement.
Lors d'un prochain rendez-vous, pourquoi ne pas lui prendre la main, la regarder dans les yeux, lui dire qu'elle te plait, qu'elle te fait envie, que tu souhaites partager plus avec elle qu'une simple sortie, l'encourager à se confier sur son propre ressenti ?
Agir non de façon anxieuse mais calme et souriante.
Je sais bien qu'en séduction la verbalisation n'est pas encouragée mais j'ai comme l'impression qu'il y a entre vous pas mal de non-dits...
La gêne de ton amie est peut-être justement alimentée par ton attitude hésitante. Elle peut aussi avoir peur d'un jugement de ta part suite à votre première expérience au lit, peur de t'avoir déçue...
De toute façon en initiant le dialogue, tu lui montreras qu'elle a un homme en face d'elle et non un bon pote asexué. Tu verras bien sa réaction, normalement elle devrait s'exprimer à son tour. Le risque qu'elle ne partage pas ton envie est réel mais au moins tu seras fixé car rester dans le flou est pire que tout.
Tu abordes un autre problème, celui d'une éjaculation impossible par le biais de la pénétration. Y arrives-tu par la masturbation ? Seul ? Avec l'aide d'une partenaire ? As-tu consulté un sexologue ? Penses-tu que cela peut jouer dans la situation que tu es en train de vivre avec cette fille ? A-t-elle fait une réflexion la dernière fois ?
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [+1] Effectivement le 19.04.16, 09h30 par jnv