Salut à tous
J'ai posté ma présentation ici:
post413875.html
Aujourd'hui, je fais ce que j'aurais dû faire bien avant et je viens vous demander conseil.
Je sais d'avance que ça ne va pas être facile et que je risque de m'attirer l’opprobre de tous, mais je vous demande d'être aussi mesurés que vous ne l'êtes d'habitude malgré la gravité du sujet.
Je sais que je peux, avec votre aide, réussir à trouver une voie pour m'élever.
Merci à tous.
Petit historique pour cerner la situation:
J'ai eu une relation pendant 10 ans, elle s'est terminée sans remous, on avait pris des directions différentes. Elle m'a quitté, j'étais pas soulagé mais ça m'a pas choqué.
Ensuite, j'ai eu une grosse période "sans relation fixe", je séduisais (ou pas), mais je le vivais bien. J'avais pas de problème particulier avec les femmes. Bien sûr, je n'avais pas toujours ce que je voulais, mais j'ai vécu de bons moments, et je crois que c'était réciproque, si j'en crois le nombre de filles de cette époque qui restent dans mon entourage.
C'est pendant cette période là, juste après mon divorce en fait, que j'ai rencontré celle qui est ma femme aujourd'hui. Il y a 8 ans donc.
Je l'avais rencontrée avec des amies, c'est une franco japonaise, qui a vécu à Tokyo pendant les 28 premieres années et est venue en France pour découvrir le pays de ses ancêtres il y a 10 ans.
Elle ne m'avait pas vraiment remarqué, nous nous voyions de temps en temps amicalement. Puis je suis parti travailler aux Etats Unis pendant 5 ans, et nous ne gardions contact que par Facebook.
Nous nous sommes revus par hasard à mon retour, avons fait quelques sorties, et sommes sortis ensemble à la saint valentin en 2013.
Un moment magique.
J'ignore ce qui nous a rapprochés, mais notre relation était enflammée, passionnée, belle.
Nous étions amoureux, roucoulions gaiement au moindre signe d'attention de l'autre.
Mais tout ce qui est beau est éphémère.
Les premiers problèmes sont arrivés au bout de 6 mois. Je travaillais trop pour elle, et je me réservais trop d'espace dans mon temps libre avec des ami(e)s. Honnêtement, c'est vrai que nous n'avions pas beaucoup de temps, mais je continuais un peu à entretenir mes relations amicales de célibataire. Je comprends que d'après sa culture, c'était outrageusement inapproprié. Il y a aussi eu le fait que je parlais trop de mes anciennes rencontres, qui sont comme une encyclopédie de la vie pour moi. Jusque là dans mes autres relations, ça n'avait pas vraiment posé de problèmes, mais elle y voyait de graves offenses.
C'est une personne normalement ouverte, qui a connu de nombreuses cultures et a eu pas mal de relation avec des américains, des européens. J'étais donc surpris de ces jalousies et du fait qu'elle prenne mal des choses qui n'étaient pas intentionnellement faites pour la blesser (je sais, ça ne change rien).
Le clou du spectacle a été quand j'ai refusé d'emmenager chez elle, au bout de 8 mois, car même si nous nous voyions bien faire des projets ensemble, c'était très compliqué logistiquement pour moi (Paris est cher, nous avons tous les deux certains besoins d'espace et les transports parisiens me dépriment, alors l'idée de devoir y passer 2h30 par jour ne me donnait aucune envie).
Elle l'a pris pour elle, alors que je ne voulais pas me mettre dans une situation difficilement supportable et presser les choses.
Quand elle m'a demandé si je voulais des enfants, et que j'ai répondu que oui, mais que c'était très tôt pour y penser, j'ai creusé ma tombe.
à partir de là, tout est tourné à un mélange incompréhensible d'amour et de haine.
Nous étions heureux, mais des incompréhensions surgissaient en permanence. Les crises étaient de plus en plus fortes. J'ai fait de mon mieux pour apaiser les choses, mais elle n'oubliait pas nos moments difficiles.
Nous avons eu une période d'acalmie au bout d'un an et demie, nous nous sommes alors mariés et avons conçu l'enfant qu'elle désirait tant, et que j'ai vraiment voulu à ce moment là.
La grossesse était idyllique, au début. Puis son côté autoritaire et sans nuance est revenu.
La moindre chose qui était faite sans son aval, était critiqué. J'étais devenu bon à rien. Bon à jeter aux chiens, moins bien que ses ex, que les hommes qui la draguaient (bien qu'elle soit enceinte) dans son travail (elle est dans le commercial, et ses collègues autant que ses clients lui font régulièrement des avances auxquelles elle ne voit aucune objection, car elle pense que c'est naturel, et qu'elle contrôle les choses.
J'étais toujours dans l'incompréhension, à passer d'un instant de douceur à une dispute pour un détail, un désaccord futile, qui dans mes autres relations, ne posait pas problème outre mesure. Ou pas tous, pas sur tout.
Il y a eu une nouvelle acalmie à la naissance de ma fille, mais le stress (elle était prématurée de 2 mois, la pauvre) de la situation de retour à la maison ne nous a pas aidés. J'ai explosé plusieurs fois verbalement, n'y tenant plus. Car c'est à croire qu'elle m'a pris en grippe, et que la moindre incompréhension, la moindre dissension devient prétexte à se battre.
Le mot n'est pas anodin. En effet, nous nous sommes battus. Physiquement. Une fois, alors que nous passions sous un échafaudage en ville; elle a tiqué sur un élément de la discussion et a commencé à frapper l'un des poteaux, elle ne voulait plus que je l'approche, elle était hystérique, et continuait cela.
J'ai eu peur du pire, et quand je n'ai pas pu la maîtriser avec mes mains, je lui ai mis une claque. La plus grosse erreur de ma vie. La première fois que j'ai porté la main sur une femme. Ce n'était pas moi. Ce n'était pas la rage. Juste la peur pour elle, pour nous, et un a priori stupide selon lequel ça la "calmerait";
J'ai suivi une formation par des nageurs sauveteurs, ils m'avaient expliqué que pour sauver quelqu'un contre son gré, il faut parfois employer ce genre de moyens.
Mais là, ça n'a fait que déclencher une spirale de violence entre nous. Chaque fois que nous nous disputions, elle essayait de me frapper quand je voulais la calmer, je ne peux plus l'approcher dans ces moments là.
Elle m'a même jeté le fer à repasser chaud dessus dans un moment de crise.
Le plus souvent, j'évitais de répliquer, ça m'est arrivé de la repousser ou de la tenir fortement mais pas de la frapper comme la première fois. ça m'aurait horrifié, j'avais trop peur pour elle et son bébé. Et je l'aime, je ne lui veux pas de mal.
évidemment, entre temps, après la naissance de notre fille, nous avions fait appel à des spécialistes. Psychologue pour le suivi de sa grossesse, psychologues de couple, psychiatre pour moi car je ne veux pas avoir recours à la violence. Mais aujourd'hui, dans une discussion qui est partie de la simple logistique (avec toujours des reproches accumulés et des modes de fonctionnement tordus qui en résultent), j'ai commencé à avoir des reproches à propos de sa famille, comme elle est très à cheval sur les traditions, ça n'avait pas réellement à voir, mais toujours est-il qu'elle ne voulait pas en démordre, revenir à la simple logistique et passer sur la question "secondaire" qui n'avait rien à faire en premier lieu, d'arrêter de me faire des reproches sur une situation qu'elle avait elle même créée (notre retard, puisqu'elle refusait de se préparer avant moi sous prétexte que je ne lui avais rien dit et qu'elle m'attendait toujours), etc. Comme j'ai perdu mon sang froid et que comme toujours, j'ai eu des mots qui ont dépassé ma pensée, elle m'a frappé, 2 fois, malgré le fait que je lui ai demandé d'arrêter à plusieurs reprises.
La seconde fois, elle m'a refait mal, et je lui ai mis une gifle.
puis une autre. Et je l'ai faite tomber, sur le lit, mais elle s'est fait mal, et clairement j'ai employé bien plus de force que je ne l'aurais dû. Je n'aurais pas dû la frapper. J'aurais dû me rappeler des conseils du psy, de sortir quand on était dans cette spirale, mais je voulais juste, encore une fois, arrêter le problème, trouver une solution à cette situation absurde.
Nous n'avions aucune raison de nous battre. un retard n'en est pas une. Ses reproches sur sa famille ont des raisons, mais elle devrait savoir que mes intentions n'ont rien à voir avec le résultat de la situation, qui découle de tout un tas de facteurs incontrôlés qui ont donné un résultat très décevant.
Cette histoire de retard, je ne sais même pas pourquoi ça a commencé.
Maintenant, elle est froide, elle me déteste vraiment, et je ne sais pas quoi faire. Ma seule solution, là où les psy ont échoué, c'est de comprendre avec votre aide ce que je peux faire.
Je suis désolé de ce que j'ai fait, mais je ne suis pas seul fautif. Et je veux que nous recommencions à voir mon psychiatre, qui m'avait dit que je n'étais pas celui qui avait un problème, que nous devions le voir à deux. Mais elle avait refusé, car elle pense que tout est de ma faute.
Je me demande comment nous avons pu passer de deux personnes assez heureuses séparément, qui s'appréciaient beaucoup et se sont passionnés si forts l'un pour l'autre, à cette situation purulente qui nous blesse à tous les deux, qui nous rend malheureux tous les deux.
Nous sommes encore heureux, par moments, mais je ne sais pas comment cela dérape. Il est impossible de parler avec elle, au calme. Elle prétend que nous nous disputerons systématiquement car je ne sais pas l'écouter.
Je fais des efforts dans le vide. Pourtant, je sais qu'elle ne fait pas cela volontairement. Clairement elle souffre aussi de la situation. Elle n'est pas folle non plus.
Mais nous en arrivons toujours au même point. C'est un cycle infernal. Quand nous sommes ensemble, tout va bien, nous sommes heureux d'être enfin ensemble, sans problèmes. Puis un problème surgit qui détruit cet apaisement. Même si je l'écoute, je n'arrive pas à y arriver. Car elle est trop tatillonne, il faut tout faire à sa manière, son perfectionnisme dépasse largement le mien (et pourtant, c'est pas gagné), et souvent ses réactions quand je m'occupe de notre fille sont clairement excessives quand elle pense que mes gestes de soin sont inadaptés (ma fille, elle, ne voit pas de différences entre nous, elle recherche notre présence à tous deux).
Elle n'écoute jamais, a toujours raison, jusqu'à ce que ce soit un pro qui lui donne tort. Je n'entends jamais que des "ah c'est dommage". Pas d'excuses.
Je sais que ça vient de son éducation, mais j'ai du mal avec ça, et clairement, ça nous nuit.
Pourtant on s'aime vraiment (on a fait tous les deux des choses très importantes pour l'autre). Je ne peux pas croire que ça ne puisse pas marcher, alors que nous nous sommes rendus incroyablement heureux, et qu'on y arrive encore, par moments. Je refuse l'éventualité de les perdre, elle et ma fille, car elle retournerait au Japon avec elle dans sa famille, si nous n'étions plus ensemble.
J'ai envie de me couper la main, mais je sais que ça ne changerait rien dans sa tête. Et que ça ne serait qu'une des manifestations de la folie qui est venue polluer notre relation. Je vous demande humblement votre aide, dans l'attente d'un miracle, car je sais que vous êtes mon seul espoir.
Je crois que j'ai deux problèmes:
-arriver à faire fonctionner ma relation en rétablissant une communication saine entre nous, et en arrivant à lui faire oublier ses mauvais souvenirs, ses tactiques de défense pour éviter les disputes qui sont plus nuisibles qu'efficaces,
-et en finir avec ma propre violence. Je deviens un personnage que je déteste.
Comment peut-on arriver à taper quelqu'un qu'on aime? Je ne le comprends pas. Je ne me comprends pas. Je n'y prends pas de plaisir. Je me suis excusé dès que j'ai vu le résultat, mais des excuses ne changent pas le résultat. à cause de moi elle s'est blessée (légèrement, certes, mais c'est la femme que j'aime! Comment j'ai pu lui faire ça avec mes mains? Comment j'ai pu arriver à ça alors que je veux juste que notre famille soit heureuse?)
Mon psychiatre m'avait dit que je n'avais pas de problème. Aujourd'hui j'en vois clairement un. Le problème est que quand une dispute commence, je veux redresser les torts, résoudre le problème, pour rétablir les bons moments sans qu'on garde rancoeur pour le problème qui n'existe pas ou qui n'a pas d'importance. Il est aussi que je répète sans cesse le même schéma, même quand je vois que l'on est en train de s'enfoncer dans cette situation nocive.
Mais malgré tout, je resaute à pieds joints dedans.
C'est stupide. C'est indigne de moi, c'est indigne d'un homme de frapper une femme, un autre être humain, pour autre chose que défendre sa vie.
C'est un réel SOS, car j'ai besoin de votre aide là.
Mes options sont très limitées, car la plupart des professionnels m'enverraient en prison et m'enlèveraient ma fille, en plus de donner raison à ma femme qui est finalement battue, acceptons le. Contre mon gré, mais ça n'y change rien.
Merci à tous pour votre aide. Je sais que mes actes vont clairement à l'encontre de l'éthique du forum et je comprendrai si je récolte des insultes, mais croyez bien que moi aussi, je veux changer tout ça.
Du bien au mal, du bonheur à l'incompréhension et à la violence
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [0] le 24.10.16, 01h33 par Blusher
Pfiou Hyde!... C'est chaud tout ça... et le 1er truc que j'ai envie de te dire, c'est de ne pas imaginer que tu trouveras ici miracles et baguettes magiques...
Le forum pourra te servir d’exutoire, tu pourras y cracher ta valda, échanger autour du sujet sans que des jugements à l'emporte pièce ne viennent polluer la discussion, mais tu n'y trouveras pas de solution à une problématique aussi complexe que la tienne..
Concernant ta situation, je crains que tu n'espères quelque chose qui soit difficilement réalisable. Tu aimerais à la fois ne pas les perdre, ne rien changer (hormis toi et tes capacités à communiquer) et trouver des solutions à vos difficultés de couple. Mais tu négliges que tu ne peux pas faire ça tout seul, c'est juste impossible...
Tu as l'air de te battre tout seul contre vos démons à tous les 2... Alors oui, lever la main sur sa nana a quelque chose d'impardonnable c'est évident (et à te lire c'est tout à fait clair dans ton esprit), mais ça ne te rend pas responsable de tous les dysfonctionnements de votre couple (qui existaient déjà avant que vous n'en veniez aux mains si j'ai bien compris)
Et si elle refuse de prendre conscience des raisons qui vous ont amenées là et n'est pas ok pour que vous réfléchissiez ensemble et remettiez en question votre mode de fonctionnement à 2, je vois difficilement comment tu peux faire quoi que ce soit... Tu ne pourras pas juste apprendre à communiquer sainement si elle ne t'y aide pas, et si elle n'apprend pas elle-même...
A mon sens il va forcément te falloir prendre un peu de distance pendant un moment, physique, géographique, ne serait-ce que pour prendre du recul sur la situation, et peut-être lui permettre d'en prendre aussi... Là vous devez tous les 2 être sur un fil, prêts à basculer au moindre filet d'air qui passerait par là...c'est peu confortable, et dangereux aussi... 2 fioles de nitroglycérine prêtes à sauter ont peu de chance de réfléchir calmement et de trouver un chemin un peu plus serein...
Et je vais peut-être aussi me faire huer....mais (même si nous n'avons que ton son de cloche et que ça biaise un peu l'idée qu'on peut se faire de la situation c'est évident) elle n'a pas franchement l'air aussi encline que toi à la remise en question, elle semble avoir la fâcheuse facilité de jeter de l'huile sur le feu, et de te pousser dans tes retranchements... Et s'il n'est pas normal de mettre une gifle à sa gonzesse, il n'est pas normal non plus de pousser l'autre à bout de nerfs pour des futilités...
Dernière chose, même si ça ne change rien à ta problématique du jour, et même si je comprends aisément que tu aspires réellement à trouver une solution et à sauver votre couple/famille... Tu cherches aujourd'hui une solution à des difficultés qui existent depuis quasi toujours..les choses ont empiré, se sont sclérosées certes...mais il semble quand même que votre mode de fonctionnement soit chaotique depuis vos débuts... Si vous voulez vous en sortir tous les 2 ça demandera un investissement de dingue, alors n'espère pas que toi seul tu réussiras à faire en sorte que ça fonctionne...échec garanti...
Courage à toi...
Le forum pourra te servir d’exutoire, tu pourras y cracher ta valda, échanger autour du sujet sans que des jugements à l'emporte pièce ne viennent polluer la discussion, mais tu n'y trouveras pas de solution à une problématique aussi complexe que la tienne..
Concernant ta situation, je crains que tu n'espères quelque chose qui soit difficilement réalisable. Tu aimerais à la fois ne pas les perdre, ne rien changer (hormis toi et tes capacités à communiquer) et trouver des solutions à vos difficultés de couple. Mais tu négliges que tu ne peux pas faire ça tout seul, c'est juste impossible...
Tu as l'air de te battre tout seul contre vos démons à tous les 2... Alors oui, lever la main sur sa nana a quelque chose d'impardonnable c'est évident (et à te lire c'est tout à fait clair dans ton esprit), mais ça ne te rend pas responsable de tous les dysfonctionnements de votre couple (qui existaient déjà avant que vous n'en veniez aux mains si j'ai bien compris)
Et si elle refuse de prendre conscience des raisons qui vous ont amenées là et n'est pas ok pour que vous réfléchissiez ensemble et remettiez en question votre mode de fonctionnement à 2, je vois difficilement comment tu peux faire quoi que ce soit... Tu ne pourras pas juste apprendre à communiquer sainement si elle ne t'y aide pas, et si elle n'apprend pas elle-même...
A mon sens il va forcément te falloir prendre un peu de distance pendant un moment, physique, géographique, ne serait-ce que pour prendre du recul sur la situation, et peut-être lui permettre d'en prendre aussi... Là vous devez tous les 2 être sur un fil, prêts à basculer au moindre filet d'air qui passerait par là...c'est peu confortable, et dangereux aussi... 2 fioles de nitroglycérine prêtes à sauter ont peu de chance de réfléchir calmement et de trouver un chemin un peu plus serein...
Et je vais peut-être aussi me faire huer....mais (même si nous n'avons que ton son de cloche et que ça biaise un peu l'idée qu'on peut se faire de la situation c'est évident) elle n'a pas franchement l'air aussi encline que toi à la remise en question, elle semble avoir la fâcheuse facilité de jeter de l'huile sur le feu, et de te pousser dans tes retranchements... Et s'il n'est pas normal de mettre une gifle à sa gonzesse, il n'est pas normal non plus de pousser l'autre à bout de nerfs pour des futilités...
Dernière chose, même si ça ne change rien à ta problématique du jour, et même si je comprends aisément que tu aspires réellement à trouver une solution et à sauver votre couple/famille... Tu cherches aujourd'hui une solution à des difficultés qui existent depuis quasi toujours..les choses ont empiré, se sont sclérosées certes...mais il semble quand même que votre mode de fonctionnement soit chaotique depuis vos débuts... Si vous voulez vous en sortir tous les 2 ça demandera un investissement de dingue, alors n'espère pas que toi seul tu réussiras à faire en sorte que ça fonctionne...échec garanti...
Courage à toi...
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [+1] Constructif le 23.10.16, 22h30 par Baijin
- [+2] Constructif le 23.10.16, 22h38 par Allandrightnow
- [+1] Pertinent le 24.10.16, 11h17 par Jalapeno
- [+1] 100% d'accord le 24.10.16, 15h36 par Finn
Comme Lulla, j'ai l'impression que vous en êtes arrivés à un point où une séparation, même temporaire semble la meilleure solution, pour votre sécurité à tous les deux, ainsi que pour celle de votre fille. Est ce que les thérapeutes que vous avez rencontré vous ont orienté dans cette direction ?
Je vais m'exprimer très calmement.
Que l'on soit homme ou femme, celui/celle qui ne trouve comme mode d'expression que les coups est passé de l'autre côté. Le côté sombre qui ne le distingue plus de l'animal.
Si un dialogue a été tenté, car c'est bien la communication qui devrait nous garder humains, si le dialogue est impossible car non partagé, la seule chose à faire est de tourner les talons. De s'éloigner définitivement. De ne pas céder à la faiblesse que représentent les coups. Il est des caps sans retour. Et quels que soient les tords d'une femme, pas pour autant excusables, ils ne donnent en aucun cas le droit à un homme d'utiliser sa force contre elle.
Je te souhaite de retrouver la sérénité nécessaire pour continuer ta vie, avec ou sans cette femme.
Que l'on soit homme ou femme, celui/celle qui ne trouve comme mode d'expression que les coups est passé de l'autre côté. Le côté sombre qui ne le distingue plus de l'animal.
Si un dialogue a été tenté, car c'est bien la communication qui devrait nous garder humains, si le dialogue est impossible car non partagé, la seule chose à faire est de tourner les talons. De s'éloigner définitivement. De ne pas céder à la faiblesse que représentent les coups. Il est des caps sans retour. Et quels que soient les tords d'une femme, pas pour autant excusables, ils ne donnent en aucun cas le droit à un homme d'utiliser sa force contre elle.
Je te souhaite de retrouver la sérénité nécessaire pour continuer ta vie, avec ou sans cette femme.
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- [+1] 100% d'accord le 24.10.16, 14h55 par Baijin
Certes, tu n'aurais pas dû lever la main sur elle, mais le fait qu'elle te frappe n'est pas pardonnable non plus. Dis-moi si je me trompe, mais en te lisant, j'ai l'impression que c'est elle qui entamme la violence physique (le coup de fer à repasser chaud... WTF??). Donc elle a au moins autant de remords à se faire que toi sur ce plan là.
En me mettant à ta place, j'aurais entamé les deux démarches suivantes, en parallèle :
Essayer de rétablir une relation saine :
D'après mon expérience, le mieux est de lui faire une surprise comme l'inviter dans son restaurant préféré ou lui préparer un dîner aux chandelles à la maison. Histoire de montrer que tu tiens à elle avec un geste attentionné. Tu peux ensuite aborder le sujet de votre relation en commençant par lui dire à quel point tu tiens à elle et à la famille que vous construisez ensemble. Ensuite tu peux parler de vos problèmes, sans jamais l'accuser. Fais lui part de ton ressenti en premier.
Par exemple ne dis pas : «c'est inadmissible que tu fasses ça», mais plutôt «quand tu as fais ça, je ressent de la tristesse/frustration/désespoir, etc.». Propose lui d'instaurer une communication beaucoup plus directe et de toujours faire part à l'autre de ses sentiments afin de tuer dans l'oeuf toutes les disputes. Instaure aussi la règle de ne plus jamais avoir recours à la violence physique, pour elle comme pour toi. Sois ferme sur ce point. La violence n'a rien à faire au sein d'une famille. Dans la société non plus d'ailleurs, mais ça, c'est une autre histoire.
Couvre tes arrières :
À titre préventif, renseigne toi auprès d'un avocat sur les démarches à entamer pour un divorce. Car oui, le divorce est loin d'être une issue impossible dans ton cas. Je ne connais pas votre situation financière, mais à minima la garde de votre fille sera en jeu.
Par la suite, interdit toi formellement de la toucher en cas de disputes. Même si elle te frappe.
Si c'est elle qui emploie la violence sur toi une nouvelle fois malgré votre discussion, pose une main courante, avec constat du médecin en cas de séquelles visibles.
C'est moche, mais cela pourra te couvrir par la suite.
Voilà pour mes humbles conseils. Tous mes voeux de courage pour cette période difficile!
En me mettant à ta place, j'aurais entamé les deux démarches suivantes, en parallèle :
Essayer de rétablir une relation saine :
D'après mon expérience, le mieux est de lui faire une surprise comme l'inviter dans son restaurant préféré ou lui préparer un dîner aux chandelles à la maison. Histoire de montrer que tu tiens à elle avec un geste attentionné. Tu peux ensuite aborder le sujet de votre relation en commençant par lui dire à quel point tu tiens à elle et à la famille que vous construisez ensemble. Ensuite tu peux parler de vos problèmes, sans jamais l'accuser. Fais lui part de ton ressenti en premier.
Par exemple ne dis pas : «c'est inadmissible que tu fasses ça», mais plutôt «quand tu as fais ça, je ressent de la tristesse/frustration/désespoir, etc.». Propose lui d'instaurer une communication beaucoup plus directe et de toujours faire part à l'autre de ses sentiments afin de tuer dans l'oeuf toutes les disputes. Instaure aussi la règle de ne plus jamais avoir recours à la violence physique, pour elle comme pour toi. Sois ferme sur ce point. La violence n'a rien à faire au sein d'une famille. Dans la société non plus d'ailleurs, mais ça, c'est une autre histoire.
Couvre tes arrières :
À titre préventif, renseigne toi auprès d'un avocat sur les démarches à entamer pour un divorce. Car oui, le divorce est loin d'être une issue impossible dans ton cas. Je ne connais pas votre situation financière, mais à minima la garde de votre fille sera en jeu.
Par la suite, interdit toi formellement de la toucher en cas de disputes. Même si elle te frappe.
Si c'est elle qui emploie la violence sur toi une nouvelle fois malgré votre discussion, pose une main courante, avec constat du médecin en cas de séquelles visibles.
C'est moche, mais cela pourra te couvrir par la suite.
Voilà pour mes humbles conseils. Tous mes voeux de courage pour cette période difficile!
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [+1] Constructif le 24.10.16, 20h31 par Allandrightnow
Merci Lulla, Jalapeno, Perlambre, Baijin pour vos retours.
Les miracles n'existent pas. Je ne fais qu'espérer l'impossible en vrai.
Je suis bloqué de toute manière, malgré vos bons conseils, car elle n'accepte plus rien de moi. Ce qui a son échelle, est compréhensible, même si elle oublie sa part de responsabilité dans les évènements.
En fait, elle ne veut même pas en discuter. Elle parle, mais n'écoute pas, noircit le passé, déchire tous nos souvenirs, brûle nos lettres...
Comme vous l'avez dit, seul arriver à quelque chose est impossible. Mais je ne peux rétablir la communication. La fin est donc proche.
Mais c'est insupportable, inadmissible pour moi d'accepter cette fatalité.
M'éloigner est impossible logistiquement, mais je vais éviter de lui parler pour l'instant puisque ça ne mène à rien. Mes approches pour arrondir les angles sont rejetées avec plus de mépris et de violence encore.
Lulla: Non, le fonctionnement n'a pas été chaotique au début, les 6 premiers mois étaient du pur rêve. Même ensuite, ça n'a été que graduel. Mais j'ai compris trop tard.
Jalapeno: Oui, les thérapeutes nous ont dit de prendre du temps pour nous pour "renouer des liens" en dehors de notre famille à 3, mais ça n'a rien changé aux dysfonctionnements qui étaient apparus. Ou plutôt, par moment, cela changeait les choses, mais pour mieux revenir au stress et aux choses décevantes dès qu'on se retrouvait en famille. Sans compter que sa famille lui a bourré le crâne en lui disant que j'avais un problème. Ce dont elle est maintenant convaincue, quand bien même un psychiatre a affirmé que ce n'était pas le cas.
Perlambre; je ne sais pas comment lire ton message. Je n'ai pas été l'auteur des premiers coups, et je ne les ai rendus qu'en réaction à la douleur, de manière limitée. Un homme aurait pris des coups de poings s'il m'avait attaqué ainsi. Je ne dis pas que je ne lui ai pas fait du mal, je dis que même dans ma colère, je n'ai pas cherché à la blesser.
Je n'avais ps le droit d'utiliser ma force contre elle, mais ça ça reste de la théorie. Mon corps a réagi quand ma tête cherchait simplement à comprendre pourquoi nous étions encore dans ce non-sens. Comment ça s'était passé pour qu'on passe de faire l'amour passionnément le matin à ça, pour une simple question d'horaires.
Comment ça avait explosé dans sa tête pour qu'elle se mette à renverser les chaises et jeter tout ce qui était en travers de son chemin à travers la pièce alors que j'étais sorti pour ne pas me disputer plus?
J'ai certes un problème de violence, mais je ne crois pas être irrascible ou nerveux. Bien sûr il y a des choses qui m'énervent au delà du raisonnable, mais ce n'est pas pour autant que j'en arrive normalement à ce genre d'actes.
Là, j'ai perdu le contrôle par la surprise, la déception, l'accumulation de choses. Je sais, j'ai été faible. Je suis certainement un sous-homme, un animal de la pire espèce. Mais je ne porte pas seul les germes de cette maladie. Car c'en est une. Il ne s'agit pas de raison et de droit.
M'éloigner, au final, n'arrangera rien. Ma fille en souffrira, verra son avenir gâché, ma femme ne sera pas plus heureuse. Nous perdrons tous, et dans ce nous, il y a un être innocent et parfait qui mérite d'être élevé dans les meilleures conditions possibles, avec ses deux parents aimants.
Je suis prêt à changer tout s'il le faut, mais pas le fait d'être en famille.
Merci quand même, j'espère que je trouverai cette sérénité dont tu parles.
Baijin:
Des remords, elle n'en a pas, selon elle ça se justifie par mes éclats de voix, ma violence verbale, le fait qu'elle se sente menacée, ou que ce soit moi qui la pousse à bout (parce que contrairement à elle, je refuse de laisser la situation pourrir et que je veux qu'on parle).
J'ai l'impression d'être dans l'un de ses mangas où l'un des personnages est une furie qui se cache sous une apparence totalement innocente. C'est tellement un stéréotype au Japon que je me demande si ça n'est pas courant dans leur société à cause de leur éducation et de leur culture...
Pour la relation saine, j'essaie, mais comme dit plus haut elle refuse tout en bloc.
Et elle refuse plus encore de parler de quoi que ce soit, surtout si ça ne touche pas à ma responsabilité dans notre divorce. Si je lui dis qu'elle n'a pas eu un comportement normal, elle se bloque. Même si je prends des gants comme tu décris. Ensuite, la communication a je crois été assez directe jusqu'ici. Il n'y a que dans certains cas où elle garde des rancoeurs pour elle, mais dans tous les cas, le reste du temps elle sait très bien exprimer quand elle est en désaccord.
J'ai déjà essayé de lui dire de ne pas recourir à la violence; une fois où elle m'avait blessé elle a même dit qu'elle était allée trop loin. Pour se donner tout un tas d'excuses quand c'est à nouveau arrivé. Pour ce qui est de me protéger, je m'y refuse. J'ai pris une fois des photos, nous ai enregistrés. Mais ça a rompu la confiance plus encore.
J'ai l'impression que pour pouvoir arriver à quelque chose, il faudrait qu'une tierce personne agisse pour nous dans tous les cas. Car quoi qu'il arrive, avec moi ça tourne toujours mal. J'ai perdu confiance dans ma capacité à résoudre mes problèmes. nos problèmes. Je ne sais plus bien en fait.
Elle a peut-être raison. Peut-être que c'est moi qui l'ai rendue aussi dingue que ce qu'elle est maintenant, incapable de se voir si dérangée dans son attitude, comme tous les fous qui nient leur état. Peut-être que je suis moi-même vraiment malade au dernier degré, et si fort dans mes dénégations que j'en arrive à tromper un psychiatre.
Je ne sais pas.
Merci pour vos bons conseils. Je vais essayer de garder un peu d'espoir et d'en tirer le meilleur.
Les miracles n'existent pas. Je ne fais qu'espérer l'impossible en vrai.
Je suis bloqué de toute manière, malgré vos bons conseils, car elle n'accepte plus rien de moi. Ce qui a son échelle, est compréhensible, même si elle oublie sa part de responsabilité dans les évènements.
En fait, elle ne veut même pas en discuter. Elle parle, mais n'écoute pas, noircit le passé, déchire tous nos souvenirs, brûle nos lettres...
Comme vous l'avez dit, seul arriver à quelque chose est impossible. Mais je ne peux rétablir la communication. La fin est donc proche.
Mais c'est insupportable, inadmissible pour moi d'accepter cette fatalité.
M'éloigner est impossible logistiquement, mais je vais éviter de lui parler pour l'instant puisque ça ne mène à rien. Mes approches pour arrondir les angles sont rejetées avec plus de mépris et de violence encore.
Lulla: Non, le fonctionnement n'a pas été chaotique au début, les 6 premiers mois étaient du pur rêve. Même ensuite, ça n'a été que graduel. Mais j'ai compris trop tard.
Jalapeno: Oui, les thérapeutes nous ont dit de prendre du temps pour nous pour "renouer des liens" en dehors de notre famille à 3, mais ça n'a rien changé aux dysfonctionnements qui étaient apparus. Ou plutôt, par moment, cela changeait les choses, mais pour mieux revenir au stress et aux choses décevantes dès qu'on se retrouvait en famille. Sans compter que sa famille lui a bourré le crâne en lui disant que j'avais un problème. Ce dont elle est maintenant convaincue, quand bien même un psychiatre a affirmé que ce n'était pas le cas.
Perlambre; je ne sais pas comment lire ton message. Je n'ai pas été l'auteur des premiers coups, et je ne les ai rendus qu'en réaction à la douleur, de manière limitée. Un homme aurait pris des coups de poings s'il m'avait attaqué ainsi. Je ne dis pas que je ne lui ai pas fait du mal, je dis que même dans ma colère, je n'ai pas cherché à la blesser.
Je n'avais ps le droit d'utiliser ma force contre elle, mais ça ça reste de la théorie. Mon corps a réagi quand ma tête cherchait simplement à comprendre pourquoi nous étions encore dans ce non-sens. Comment ça s'était passé pour qu'on passe de faire l'amour passionnément le matin à ça, pour une simple question d'horaires.
Comment ça avait explosé dans sa tête pour qu'elle se mette à renverser les chaises et jeter tout ce qui était en travers de son chemin à travers la pièce alors que j'étais sorti pour ne pas me disputer plus?
J'ai certes un problème de violence, mais je ne crois pas être irrascible ou nerveux. Bien sûr il y a des choses qui m'énervent au delà du raisonnable, mais ce n'est pas pour autant que j'en arrive normalement à ce genre d'actes.
Là, j'ai perdu le contrôle par la surprise, la déception, l'accumulation de choses. Je sais, j'ai été faible. Je suis certainement un sous-homme, un animal de la pire espèce. Mais je ne porte pas seul les germes de cette maladie. Car c'en est une. Il ne s'agit pas de raison et de droit.
M'éloigner, au final, n'arrangera rien. Ma fille en souffrira, verra son avenir gâché, ma femme ne sera pas plus heureuse. Nous perdrons tous, et dans ce nous, il y a un être innocent et parfait qui mérite d'être élevé dans les meilleures conditions possibles, avec ses deux parents aimants.
Je suis prêt à changer tout s'il le faut, mais pas le fait d'être en famille.
Merci quand même, j'espère que je trouverai cette sérénité dont tu parles.
Baijin:
Des remords, elle n'en a pas, selon elle ça se justifie par mes éclats de voix, ma violence verbale, le fait qu'elle se sente menacée, ou que ce soit moi qui la pousse à bout (parce que contrairement à elle, je refuse de laisser la situation pourrir et que je veux qu'on parle).
J'ai l'impression d'être dans l'un de ses mangas où l'un des personnages est une furie qui se cache sous une apparence totalement innocente. C'est tellement un stéréotype au Japon que je me demande si ça n'est pas courant dans leur société à cause de leur éducation et de leur culture...
Pour la relation saine, j'essaie, mais comme dit plus haut elle refuse tout en bloc.
Et elle refuse plus encore de parler de quoi que ce soit, surtout si ça ne touche pas à ma responsabilité dans notre divorce. Si je lui dis qu'elle n'a pas eu un comportement normal, elle se bloque. Même si je prends des gants comme tu décris. Ensuite, la communication a je crois été assez directe jusqu'ici. Il n'y a que dans certains cas où elle garde des rancoeurs pour elle, mais dans tous les cas, le reste du temps elle sait très bien exprimer quand elle est en désaccord.
J'ai déjà essayé de lui dire de ne pas recourir à la violence; une fois où elle m'avait blessé elle a même dit qu'elle était allée trop loin. Pour se donner tout un tas d'excuses quand c'est à nouveau arrivé. Pour ce qui est de me protéger, je m'y refuse. J'ai pris une fois des photos, nous ai enregistrés. Mais ça a rompu la confiance plus encore.
J'ai l'impression que pour pouvoir arriver à quelque chose, il faudrait qu'une tierce personne agisse pour nous dans tous les cas. Car quoi qu'il arrive, avec moi ça tourne toujours mal. J'ai perdu confiance dans ma capacité à résoudre mes problèmes. nos problèmes. Je ne sais plus bien en fait.
Elle a peut-être raison. Peut-être que c'est moi qui l'ai rendue aussi dingue que ce qu'elle est maintenant, incapable de se voir si dérangée dans son attitude, comme tous les fous qui nient leur état. Peut-être que je suis moi-même vraiment malade au dernier degré, et si fort dans mes dénégations que j'en arrive à tromper un psychiatre.
Je ne sais pas.
Merci pour vos bons conseils. Je vais essayer de garder un peu d'espoir et d'en tirer le meilleur.
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [0] Courage le 24.10.16, 23h00 par Baijin
- [0] Courage le 24.10.16, 23h01 par Lulla
- [0] Courage le 25.10.16, 21h49 par Allandrightnow
Courage à toi...
Je comprends la difficulté que tu peux avoir à renoncer, la douleur que tu ressens sûrement face à ce qui ressemble à une fatalité... Mais il faut savoir parfois lâcher, pour se préserver et se protéger soi...ça n'est pas une marque de faiblesse, bien au contraire à mon sens.. C'est faire preuve de discernement...et accepter qu'on ne maîtrise pas tout...envers et contre tous...
ça peut n'être qu'une période, un passage...mais le renoncement est parfois une qualité, une preuve de maturité, d'intelligence...
Tiens bon..et viens écrire par ici si tu en éprouves l'envie ou le besoin...tu ne trouveras sûrement pas de solution, mais il est parfois bon de juste vider son sac, et de se savoir lu...
Je comprends la difficulté que tu peux avoir à renoncer, la douleur que tu ressens sûrement face à ce qui ressemble à une fatalité... Mais il faut savoir parfois lâcher, pour se préserver et se protéger soi...ça n'est pas une marque de faiblesse, bien au contraire à mon sens.. C'est faire preuve de discernement...et accepter qu'on ne maîtrise pas tout...envers et contre tous...
ça peut n'être qu'une période, un passage...mais le renoncement est parfois une qualité, une preuve de maturité, d'intelligence...
Tiens bon..et viens écrire par ici si tu en éprouves l'envie ou le besoin...tu ne trouveras sûrement pas de solution, mais il est parfois bon de juste vider son sac, et de se savoir lu...
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- [0] +1 le 25.10.16, 21h50 par Allandrightnow
Dis toi bien que ta fille souffre déjà de la situation actuelle, de voir et d'entendre ses parents s'entre-déchirer, quelque soit son âge. Pense à toi et à ta sécurité également, vous ne serez pas plus avancés si ta femme t'abîme sérieusement.Hyde77 a écrit :M'éloigner, au final, n'arrangera rien. Ma fille en souffrira, verra son avenir gâché, ma femme ne sera pas plus heureuse. Nous perdrons tous, et dans ce nous, il y a un être innocent et parfait qui mérite d'être élevé dans les meilleures conditions possibles, avec ses deux parents aimants.
Je suis prêt à changer tout s'il le faut, mais pas le fait d'être en famille.
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- [+1] En effet le 25.10.16, 21h51 par Allandrightnow