La miss, rencontrée un mercredi, je prends son nom mais ne la numclose volontairement pas, lui dis que j'ai pas la mémoire des prénoms, mais si on se revoit celui qui ne se souvient pas du nom de l'autre paie son coup. Je la revois le vendredi, et feignant de ne pas me souvenir de son prénom, lui tends mon portable pour qu'elle l'y mette (ainsi que son num).
Après quelques soirées salsa je me rends compte qu'elle joue avec ses bijoux (et surtout sa bague) quand je lui parle, donc qu'il y a p-e moyen de capitaliser.
Vendredi midi je l'appelle pour l'inviter à un RDV le samedi sans préciser ni heure ni lieu, et disant que je rappellerai le soir.
Vendredi soir j'attends 22h puis j'appelle pour lui préciser de me rejoindre à 14h07, de déjeuner léger avant, qu'on prendra le dessert avant de continuer "le programme".
Je l'emmène à IKEA (rigolez pas, j'avais vraiment un meuble à acheter) sans jamais lui dire où on va, même en arrivant devant la porte elle n'y croyait pas.
Sur le chemin, et à IKEA, je m'applique à la phase de détermination de ses valeurs (je m'exerce grandeur nature à orienter le fluff, lire ses sentiments, ce qu'elle cherche dans ses études, dans son job, chez un homme, pour sa famille..) je lui fais (pas successivement) le jeu des 5 priorités, celui des 3 formes géométriques, et la chute d'eau, conclusions : elle place la famille avant tout, l'homme après, cherche beaucoup à avoir son indépendance mais à être soutenue, souhaite un homme solide et sérieux... La chute d'eau donne entre autres le résultat surprenant que pour elle, le sexe doit être... FROID
donc en lui expliquant son résultat je fais du C&F à fond sur ce point qui restera un gimmick réutilisé plusieurs fois dans la journée. Je comprends très clairement qu'elle n'est plus avec son mec (elle était encore avec lui mardi...)Pendant tout ça, je décide qu'elle me plaît. Pas mal de kino, qui passe sans problème, mais impossible de la faire asseoir dans un des fauteuils du magasin ou autre moyen de la "fixer", elle se balade partout. Après être sortis presque bredouilles du magasin (le meuble n'était plus en stock) on va prendre un gouter à leur cafet, c'est là qu'on peut enfin se poser. voyant que je ne peux pas kinoter de l'autre coté de la table je m'arrange pour passer de son coté pour lui faire le jeu de la cascade.
Mais en sortant d'IKEA, après plus de 3h, toujours pas de k-close.
On reprend les transports, je ne lui dis pas où on va, lui fais me prendre le bras dans la rue une première fois, mais ça ne marche pas la deuxième fois. Dans le bus je prends mes distances pour la laisser un peu "souffler" et ne pas l'étouffer sous mon kino et éviter de la braquer.
On arrive chez moi, on fluffe (j'oriente toujours), je nous sers une boisson, et propose de faire à dîner. sitot dit sitot fait, elle a l'air d'apprécier mes talents de cuisinier (j'ai juste réchauffé un plat que j'avais cuisiné le mardi d'avant pour mon précédent FR mais c'est vrai que c'était bon) puis je propose de danser un peu, j'ai des vidéos de salsa sur mon PC à essayer.
Bien sûr la lampe de ma chambre est grillée (j'ai re-remplacé la lampe neuve par la lampe grillée ce matin, bon c'est nul mais bref) donc j'allume une bougie
(d'ailleurs les bougies "ambiance soir", tons rouges, parfumées, c'est une merveille) et puis on danse. je kinote pas mal mais je n'ose pas closer.Mon beau frère passe nous chercher plus tard pour aller en bar salsa.
En sortant de chez moi, je n'ai toujours pas closé.
On va dans le bar, on danse un peu, on est un peu l'attraction, les deux couples, elle m'invite danse sur danse, elle est motivée, et je me dis qu'il faut faire quelque chose !! Même ma soeur me prend à part et me fait la leçon comme quoi si ça se trouve, elle meurt d'envie de m'embrasser et moi je reste là comme un con, qu'il faut que je me bouge au lieu de parler et danser tout le temps, etc etc.
Je prends mon courage à deux mains.. et je ne fais rien
Elle doit partir pour prendre le dernier transport qui va chez elle. J'ai alors le choix entre lourder mon beau-frere pour qu'on la ramène, histoire qu'elle reste + longtemps, ou la raccompagner à son arret pour qu'elle s'en aille. je prends la 2e solution.
En sortant du bar, je n'ai toujours pas closé.
On arrive à l'arrêt, on parle un peu 2 minutes de n'importe quoi, et au moment où le transport en commun arrive, je lui tenais la tete entre mes mains (je parlais de sa coupe de cheveux ou qqch dans le genre) et je l'embrasse, sur une joue, l'autre, et ensuite sur les lèvres mais brièvement. Elle dit "non" et s'en va, après m'avoir fortement pressé la main de la sienne.
Et moi je me retrouve là comme un con, à 4h du mat, à pas savoir si mon kiss-close est un vrai ou pas. Pffff
! Il faut pas qu'elle ait le temps de se faire chier.