Un rapport entre la rumination mentale et l'ego ?
Posté : 25.09.17
Bonjour à tous,
Pour faire bref et concis, il me semble être actuellement en proie à ce que l'on pourrait qualifier comme étant l'un des "nouveaux maux contemporains" : la rumination mentale. Seulement, je ne sais comment appréhender ce problème qui, de jour en jour, me plonge dans un état psychologique des plus anxiogènes. Le fait de développer (ou de chercher à développer) une conscience aiguë des choses m'empêche d'accéder à toute forme de sérenité sur le plan spirituel.
De plus, j'ai le sentiment que cette propension au perpétuel questionnement m'éloigne des autres et je n'arrive pas à cerner les causes me poussant dans une telle mécanique. Parfois (l'idée qui va suivre peut paraître saugrenue), je ne sais pas si je souhaite réellement trouver des réponses à mes questions existentielles ou si je cherche juste à renforcer cette marginalisation que je semble vouloir amorcer depuis quelques temps.
Lorsque je me prête à ces dîtes ruminations, je suis à la fois partagé entre la souffrance de ne pas trouver de réponse définitive à mes questions mais aussi, paradoxalement, celle d'avoir réussi à trouver de nouveaux angles, de nouveaux éléments qui viennent enrichir ma réflexion sur un sujet donné. Au fil de cet écrit, je me demande sérieusement si, derrière ces velléités de développement personnel et de recherche de sens, il n'y aurait également pas un ego à dompter. Autrement dit, serait-ce une injonction inconsciente de l'esprit qui nous impose cet exercice de réflexion afin que l'on développe une vision du monde et de ses dynamiques qui se voudrait singulière, nous plaçant ainsi dans une auto-satisfaction intellectuelle ?
Désolé si cette interrogation peut paraître loufoque et décousue mais j'en viens sérieusement à me demander si la recherche de vérités est réellement (tout) ce qui me (ou nous) motive.
En annexe de cela, est-ce que certains d'entre vous ont trouvé des méthodes leur permettant de maîtriser cette rumination de manière efficiente ?
Pour faire bref et concis, il me semble être actuellement en proie à ce que l'on pourrait qualifier comme étant l'un des "nouveaux maux contemporains" : la rumination mentale. Seulement, je ne sais comment appréhender ce problème qui, de jour en jour, me plonge dans un état psychologique des plus anxiogènes. Le fait de développer (ou de chercher à développer) une conscience aiguë des choses m'empêche d'accéder à toute forme de sérenité sur le plan spirituel.
De plus, j'ai le sentiment que cette propension au perpétuel questionnement m'éloigne des autres et je n'arrive pas à cerner les causes me poussant dans une telle mécanique. Parfois (l'idée qui va suivre peut paraître saugrenue), je ne sais pas si je souhaite réellement trouver des réponses à mes questions existentielles ou si je cherche juste à renforcer cette marginalisation que je semble vouloir amorcer depuis quelques temps.
Lorsque je me prête à ces dîtes ruminations, je suis à la fois partagé entre la souffrance de ne pas trouver de réponse définitive à mes questions mais aussi, paradoxalement, celle d'avoir réussi à trouver de nouveaux angles, de nouveaux éléments qui viennent enrichir ma réflexion sur un sujet donné. Au fil de cet écrit, je me demande sérieusement si, derrière ces velléités de développement personnel et de recherche de sens, il n'y aurait également pas un ego à dompter. Autrement dit, serait-ce une injonction inconsciente de l'esprit qui nous impose cet exercice de réflexion afin que l'on développe une vision du monde et de ses dynamiques qui se voudrait singulière, nous plaçant ainsi dans une auto-satisfaction intellectuelle ?
Désolé si cette interrogation peut paraître loufoque et décousue mais j'en viens sérieusement à me demander si la recherche de vérités est réellement (tout) ce qui me (ou nous) motive.
En annexe de cela, est-ce que certains d'entre vous ont trouvé des méthodes leur permettant de maîtriser cette rumination de manière efficiente ?