Un coup de cœur qui m'échappe, Quiproquo
Posté : 15.11.17
Bonsoir à tous,
J'ai rencontré il y a quelques semaines un gars sur un site.
Il faut savoir que mes réactions sont parfois assez compliqué, j'ai eu des expériences pas très cool, et j'ai assez peur. Les hommes bien souvent ne me comprennent pas.
Nous nous sommes vus plusieurs fois en rv tranquille où on a partagé des choses (expo, bar, restau...), , il me paraît assez posė et sympa, je ressens qu'il a des failles aussi, il m'appelle au tel, ca se passe plutôt bien, pour un soir finir rapidement chez moi, j'avais très envie de lui, lui aussi. Il part à 5 h du mat , le lendemain, un message : j'espère que j'ai pas été trop lourd, bisous... ( le sexe assez spid comme si j'allais lui échapper, il fait l'amour un peu brusquement, mais bon c'était cool)
je laisse filer, je sais pas trop quoi lui répondre en fait.. et ça me met un peu mal à l'aise, du coup, je n'en montre rien. et répond sur autre chose. Je lui propose de passer le soir deux jours après, On se loupe, on tente des rencards mais rien. Une expo qu'il rate et de mon côté un ciné que je décline. Je flippe un peu de ce manque de contact, je rencontre du coup d'autres gars pour faire baisser la tension. (Rencontre purement amicale). Lui n'est pas libre du tout, a prévu de voir ses potes, etc. Vexation.
Mais il propose toujours des dates.
On se revoit finalement une semaine après, dehors pour partager un moment qu'il propose. Il est assez distant, mais c'est plutôt cool, je me sens bien avec lui de mon côté. Il me parle de sa culpabilité qu'il soigne, je pige pas trop. Je me demande si je lui plais.
Deux jeours après, il repasse chez moi, on refait l'amour, c'est cool, mieux, il dort chez moi, dans ma tête, je commence à bien l'apprecier même si ca a tout l'air d'un plan cul. Ce qui ne me dérange pas du tout, je préfère y aller tranquillement, ca me fou moins la trouille. Mais je suis câline et je commence à bien l'aimer.
Je lui laisse un message le lendemain car il a pas dormi , il est mort, puis lui propose dans la foulée de voir un spectacle. Pas de réponse. je reitere le lendemain en lui demandant ce qu'il fait. Le ménage...
Je suis hyper vexée.
De là, silence radio des deux cotes pendant une semaine. Je me décide et lui envoie un texto lui disant que je trouve dommage que l'on ne se voit plus... il me répond de suite qu'il sera dispo la semaine pro pour boire un verre si je veux. Ok mais pourquoi ce silence ?
Il me répond que parfois il disparaît, de ne pas lui en vouloir.
Son silence m'a mise en insécurité et j'ai vraiment mal pris son dernier texto, silence plus disparition, ça fait bc). Le lendemain il me donne un jour pour se voir, chez moi. Je propose que l'on se voit plutôt dehors.
C'était hier.
Au resto, du blanc, du blanc, mais il me plaît, mais je lui en veux.
On va chez moi, comme pour aller passer la nuit ensemble mais j'entame la discussion : pourquoi le silence, pourquoi on se voit si peu ...
au départ, il me dit qu'il avait du taff, il est désolé.
Puis il finit par m'avouer qu'il a très peur de s'engager, qu'il se sent pas prêt, il culpabilise, etc... je lui dis que j'ai pas demandé un engagement mais de le voir, puis lui demande si il voit d'autre filles. Oui. Poignard... et qu'il pensait aussi que je voulais un plan cul, que moi aussi je suis mutique etc...
je me braque complètement forcément, lui dit que je recherche un compagnon, quelqu'un avec qui partager, pas un plan cul, que je veux savoir où je met les pieds, lui dit que moi aussi j'ai souffert, mais que vraiment je cherche une relation. Il est désolé, je lui dis qu'il fait bien ce qu'il veut, mais se traite de connard... veut que je lui dise ce que je pense de lui, ce que je refuse. Toute ce blabla dans une sorte d'affection partagée... j'étais dégoûtée , partagée entre l'envie de le garder à moi et de le foutre dehors.
je lui ai dis adieu lorsqu'il est parti, le cœur fendu. Il veut me prendre dans les bras, me dit de prendre soin de moi... (la phrase de trop)
Ma question maintenant : je ne comprend rien à ce type. Je suis hyper triste que ce soit terminé aussi vite. C'est quoi cette pseudo culpabilité à la con ? Demander à ce que je le traite de connard ? Une blague ?
J'ai rencontré il y a quelques semaines un gars sur un site.
Il faut savoir que mes réactions sont parfois assez compliqué, j'ai eu des expériences pas très cool, et j'ai assez peur. Les hommes bien souvent ne me comprennent pas.
Nous nous sommes vus plusieurs fois en rv tranquille où on a partagé des choses (expo, bar, restau...), , il me paraît assez posė et sympa, je ressens qu'il a des failles aussi, il m'appelle au tel, ca se passe plutôt bien, pour un soir finir rapidement chez moi, j'avais très envie de lui, lui aussi. Il part à 5 h du mat , le lendemain, un message : j'espère que j'ai pas été trop lourd, bisous... ( le sexe assez spid comme si j'allais lui échapper, il fait l'amour un peu brusquement, mais bon c'était cool)
je laisse filer, je sais pas trop quoi lui répondre en fait.. et ça me met un peu mal à l'aise, du coup, je n'en montre rien. et répond sur autre chose. Je lui propose de passer le soir deux jours après, On se loupe, on tente des rencards mais rien. Une expo qu'il rate et de mon côté un ciné que je décline. Je flippe un peu de ce manque de contact, je rencontre du coup d'autres gars pour faire baisser la tension. (Rencontre purement amicale). Lui n'est pas libre du tout, a prévu de voir ses potes, etc. Vexation.
Mais il propose toujours des dates.
On se revoit finalement une semaine après, dehors pour partager un moment qu'il propose. Il est assez distant, mais c'est plutôt cool, je me sens bien avec lui de mon côté. Il me parle de sa culpabilité qu'il soigne, je pige pas trop. Je me demande si je lui plais.
Deux jeours après, il repasse chez moi, on refait l'amour, c'est cool, mieux, il dort chez moi, dans ma tête, je commence à bien l'apprecier même si ca a tout l'air d'un plan cul. Ce qui ne me dérange pas du tout, je préfère y aller tranquillement, ca me fou moins la trouille. Mais je suis câline et je commence à bien l'aimer.
Je lui laisse un message le lendemain car il a pas dormi , il est mort, puis lui propose dans la foulée de voir un spectacle. Pas de réponse. je reitere le lendemain en lui demandant ce qu'il fait. Le ménage...
Je suis hyper vexée.
De là, silence radio des deux cotes pendant une semaine. Je me décide et lui envoie un texto lui disant que je trouve dommage que l'on ne se voit plus... il me répond de suite qu'il sera dispo la semaine pro pour boire un verre si je veux. Ok mais pourquoi ce silence ?
Il me répond que parfois il disparaît, de ne pas lui en vouloir.
Son silence m'a mise en insécurité et j'ai vraiment mal pris son dernier texto, silence plus disparition, ça fait bc). Le lendemain il me donne un jour pour se voir, chez moi. Je propose que l'on se voit plutôt dehors.
C'était hier.
Au resto, du blanc, du blanc, mais il me plaît, mais je lui en veux.
On va chez moi, comme pour aller passer la nuit ensemble mais j'entame la discussion : pourquoi le silence, pourquoi on se voit si peu ...
au départ, il me dit qu'il avait du taff, il est désolé.
Puis il finit par m'avouer qu'il a très peur de s'engager, qu'il se sent pas prêt, il culpabilise, etc... je lui dis que j'ai pas demandé un engagement mais de le voir, puis lui demande si il voit d'autre filles. Oui. Poignard... et qu'il pensait aussi que je voulais un plan cul, que moi aussi je suis mutique etc...
je me braque complètement forcément, lui dit que je recherche un compagnon, quelqu'un avec qui partager, pas un plan cul, que je veux savoir où je met les pieds, lui dit que moi aussi j'ai souffert, mais que vraiment je cherche une relation. Il est désolé, je lui dis qu'il fait bien ce qu'il veut, mais se traite de connard... veut que je lui dise ce que je pense de lui, ce que je refuse. Toute ce blabla dans une sorte d'affection partagée... j'étais dégoûtée , partagée entre l'envie de le garder à moi et de le foutre dehors.
je lui ai dis adieu lorsqu'il est parti, le cœur fendu. Il veut me prendre dans les bras, me dit de prendre soin de moi... (la phrase de trop)
Ma question maintenant : je ne comprend rien à ce type. Je suis hyper triste que ce soit terminé aussi vite. C'est quoi cette pseudo culpabilité à la con ? Demander à ce que je le traite de connard ? Une blague ?