Aborder une fille: Qui, Où et Quand (Sondage)

Note : 24

le 28.05.2019 par Whaleshark

31 réponses / Dernière par Owen le 02.06.2019, 07h30

Pour celles et ceux qui veulent discuter et demander des conseils rencontres et séduction; comment faire avec cette fille ou ce mec; et plus généralement, comment pécho / trouver l'amour à l'ère du swipe left, notamment quand on est ni mannequin, ni un ninja de la drague.
Petit sondage.

Relire les reports d’antan de certains PUA francophones et anglophones donne l’impression qu’ils accostent des filles n’importe ou, n’importe quand et dans n’importe quelle situation. Que ça devient presque leur vie et que c’est la seule façon de progresser.

Je suis curieux de savoir quelle est la réalité dans la communauté.


Abordez-vous des parfaites inconnues?

Si oui, dans quels contextes? (soirées, bars, rue, centre commercial, transports en commun, école, travail…)

Le faites-vous qu’avec des filles qui vous plaisent? Ou aussi avec d’autres, pour “s’entrainer”?

Y accordez-vous un moment hebdomadaire consacre a la sarge, ou uniquement lorsque l’opportunité se présente?

Etes-vous prêts a renoncer a quelque chose de plus urgent pour saisir une occasion qui ne se représentera peut être pas et aller parler a une fille qui vous plait?

Combien de personnes par semaine en moyenne?

Merci de vos réponses :)
    Notes et commentaires reçus par ce post :
  • [+1] Intéressant le 28.05.19, 22h21 par Safrania95
  • [+2] Bonne idée le 29.05.19, 13h18 par Nonchalance
Hello à tous !

Je me pose les mêmes questions et attends les réponses avec impatience :lol:
J'aborde personnellement les filles quand le contexte pour moi s'y prête.

Il y a cette caissière qui me plait à Carrefour, je sais qu'elle est attirée (ca se voit dans ses yeux, c'est assez troublant), mais j'ai décidé de ne pas y aller car elle est au taff et qu'il y a des gens. Cela la mettrait mal à l'aise. Du coup si un jour je la croise sans autres clients, je ferai peut être un mouvement, en attendant je me contente de savoir que je lui plais.

Du coup dans la rue c'est rare, mais comme je suis assez sociable, il m'arrive de discuter avec de parfaites inconnues, mais je n'ai pas forcément vocation à aller plus loin que le plaisir du flirt dans l'instant présent. C'est peut être un défaut, mais je me connais, si j'avais un méga coup de coeur, j'amorcerais quelque chose.

Donc : tout improvisé, et j'essaie de ne pas m'imposer dans la drague. En général une approche indirecte ca passe tres bien. Blusher (paix a son âme) parlait d'aborder en utilisant ce qui se trouve autour de soi comme prétexte à la discussion. Je trouve ca tres pertinent.
    Notes et commentaires reçus par ce post :
  • [+1] Intéressant le 31.05.19, 05h46 par Whaleshark
Abordez-vous des parfaites inconnues?
>Oui. Si ce ne sont pas de parfaites inconnues, c'est aller saluer quelqu'un, pas de l'abordage;)

Si oui, dans quels contextes? (soirées, bars, rue, centre commercial, transports en commun, école, travail…)
>Tout ce qui me parait approprié. Le plus important des contextes dans le contexte étant le mien, et celui de la fille.
Pour le mien, j'y reviendrai parce que ça répond à une autre question, et celui de la fille, c'est simplement si elle parait hostile à cela (pas juste fermée mais en mode activement défensif /évitant, ou en mode "va chier"), pas branchée sur cette longueur d'ondes là car pressée avec des trucs importants à faire et pas d'espace dans lequel me glisser dans sa vie.
Je sais qu'on peut être la jolie bulle d'oxygène dans la journée de merde de la nana, et si je sens que je peux l'être, je le fais, mais honnêtement; c'est bien trop rare quand la nana est préoccupée ou vraiment pas ouverte que ça sert à rien d'en rajouter pour faire partie de la cohorte de mecs qu'elle maudira à tort ou à raison entre copines.

Le faites-vous qu’avec des filles qui vous plaisent? Ou aussi avec d’autres, pour “s’entrainer”?
>Qu'avec des filles qui me plaisent exceptionnellement. Je n'aurai pas l'impulsion sinon. En tous cas, pour la drague. Pour l'entrainement, voir la suite.

Y accordez-vous un moment hebdomadaire consacré à la sarge, ou uniquement lorsque l’opportunité se présente?
>Quand ça se présente. Je n'ai jamais pu sarger en sessions. C'était contre-nature en fait pour moi. L'abordage à la demande (et pour s'entrainer), bizarrement je n'y suis jamais arrivé. Par contre, le faire à l'envie, dans la rue ça a toujours marché très positivement (pour me bouger, et pour les résultats, donc c'est très incitatif pour rester dans cette dynamique).
Et en sorties nocturnes, disons que dans ce contexte là, on est vraiment dans un contexte où tout le monde drague, ça n'a plus rien qui sort de l'ordinaire, donc .Juste d'être plus ou moins centré sur le milieu où tu sors et l'amusement, ou juste centré sur les nanas/

Êtes-vous prêts à renoncer à quelque chose de plus urgent pour saisir une occasion qui ne se représentera peut être pas et aller parler a une fille qui vous plait?
>ça m'est arrivé par le passé. Aujourd'hui, je ne suis plus sur mon field d'origine, et j'ai sans doute une perception moins fine de la situation ce qui a tendance à me faire renoncer, et souvent plus en mouvement pour le boulot. Et c'est con, mais j'ai pas envie de me mettre dans des situations compliquées pour la moindre nana. Parce que même si elle a une putain d'allure, en général, notre ressenti est faussé et c'est juste qu'elle a un beau cul et de beaux yeux. Ou un bon rimmel et un jean form fitting.
Je drague non plus pas du tout dans le cadre du taf. C'est pas parce que ça passerait pas, parce que je ferais pas ça comme un bourrin. C'est juste que ça me paraît pas adéquat, et j'ai du mal à sortir de cette impression.
Je me dis aussi que où que j'aille, y aura souvent des nanas à aborder. Donc à moins que la nana ait montré un truc unique dans une micro-interaction, je vais souvent pas sortir de ma voie pour en faire trop juste pour elle.
Jusqu'à ce que tu en fasses une vraie rencontre, elle est interchangeable et remplaçable. C'est après que ça devient unique. Mais sinon, si stylée, si belle, si énergique qu'elle soit, il y en aura d'autres comme elles ou mieux.
Donc pas vraiment de raisons de le faire s'il y a plus important.
Quand j'ai le temps, par contre, ça peut très bien devenir ma priorité.

Combien de personnes par semaine en moyenne?
>quand j'avais du temps, ça pouvait être 2 ou 3 fois par semaine en fonction des rencontres, en dehors des sorties nocturnes. Aujourd'hui, c'est plus de l'ordre d'une fois ou deux par mois au quotidien (hors sorties), mais c'est parce que je vais moins sortir de mon chemin pour aller aborder une nana dans des contextes en mouvement, et aussi parce que faut être honnête, j'ai perdu l'état d'esprit et je bloque un peu (alors qu'avant, je ne me posais jamais la question, même au début). Alors qu'aborder hors flirt ne me pose pas vraiment de problème.
    Notes et commentaires reçus par ce post :
  • [+2] Intéressant le 31.05.19, 05h45 par Whaleshark
Owen a écrit : J’aborde personnellement les filles quand le contexte pour moi s'y prête.

Il y a cette caissière qui me plait à Carrefour, je sais qu'elle est attirée (ça se voit dans ses yeux, c'est assez troublant), mais j'ai décidé de ne pas y aller car elle est au taff et qu'il y a des gens. Cela la mettrait mal à l'aise. Du coup si un jour je la croise sans autres clients, je ferai peut être un mouvement, en attendant je me contente de savoir que je lui plais.

Du coup dans la rue c'est rare, mais comme je suis assez sociable, il m'arrive de discuter avec de parfaites inconnues, mais je n'ai pas forcément vocation à aller plus loin que le plaisir du flirt dans l'instant présent. C'est peut être un défaut, mais je me connais, si j'avais un méga coup de coeur, j'amorcerais quelque chose.

Donc : tout improvisé, et j'essaie de ne pas m'imposer dans la drague. En général une approche indirecte ca passe tres bien. Blusher (paix a son âme) parlait d'aborder en utilisant ce qui se trouve autour de soi comme prétexte à la discussion. Je trouve ca tres pertinent.

Salut Owen,

Ton approche en tant qu'ancien de FTS me surprend.
Je me souviens encore de l'époque de FTS ou on s'encourageait à aborder toute fille qui nous plait, dans le but de progresser et de ne pas manquer une opportunité. Et je pense que quand bien même ça pouvait être émotionnellement fatiguant, cette approche avait beaucoup d'avantages.
Un sentiment de proactivité et une amélioration constante.
Pour reprendre l'exemple de la caissière, quand je me retrouve dans une situation semblable et que je ne tente rien, je me sens coupable. Ses collègues sont à côte, et alors ? En effet, c'est gênant. Mais c'est aussi une excellente raison de montrer que j'ai encore plus de couilles en le faisant en face d'eux sans me cacher. Sans compter que tu repousses tes limites et ta zone de confort.
Après j'ai aussi beaucoup de moments de trouille ou je ne bouge pas, mais dans l'idéal je ne considère pas ça comme quelque chose de bien.

Si tu te contentes d'aborder que les filles qui te plaisent de façon extraordinaire, n'as-tu pas peur de perdre tes moyens ?
De plus, aborder beaucoup de filles donne le sentiment que tout le monde est accessible et est rempli d'une infinité de belles partenaires potentielles, et ça permet de ne pas se focaliser sur une seule le moment venu.


Onmyoji a écrit : Abordez-vous des parfaites inconnues ?
>Oui. Si ce ne sont pas de parfaites inconnues, c'est aller saluer quelqu'un, pas de l'abordage;)

Si oui, dans quels contextes ? (soirées, bars, rue, centre commercial, transports en commun, école, travail…)
>Tout ce qui me parait approprié. Le plus important des contextes dans le contexte étant le mien, et celui de la fille.
Pour le mien, j'y reviendrai parce que ça répond à une autre question, et celui de la fille, c'est simplement si elle parait hostile à cela (pas juste fermée mais en mode activement défensif /évitant, ou en mode "va chier"), pas branchée sur cette longueur d'ondes là car pressée avec des trucs importants à faire et pas d'espace dans lequel me glisser dans sa vie.
Je sais qu'on peut être la jolie bulle d'oxygène dans la journée de merde de la nana, et si je sens que je peux l'être, je le fais, mais honnêtement ; c'est bien trop rare quand la nana est préoccupée ou vraiment pas ouverte que ça ne sert à rien d'en rajouter pour faire partie de la cohorte de mecs qu'elle maudira à tort ou à raison entre copines.
Salut Onmyoji,
J'aime ta réponse et je suis plutôt d'accord avec, même si j'ai tendance à ignorer le fait qu'une fille ait l'air fermée. C'est difficile de vraiment savoir à l'avance, et souvent on peut avoir de très bonnes surprises. Et parfois, quand bien même elle est réellement fermée, n'est pas un challenge supplémentaire d'arriver la faire s'ouvrir et changer son mood?
Onmyoji a écrit : Le faites-vous qu’avec des filles qui vous plaisent ? Ou aussi avec d’autres, pour “s’entrainer” ?
>Qu'avec des filles qui me plaisent exceptionnellement. Je n'aurai pas l'impulsion sinon. En tous cas, pour la drague. Pour l'entrainement, voir la suite.
Après avoir relu l'article "Ayez envie de baiser", j'aurais tendance à aussi aborder celles qui me plaisent tout court. Aussi parce que le caractère de la personne peut beaucoup compenser son physique pas transcendant.
Onmyoji a écrit : Êtes-vous prêts à renoncer à quelque chose de plus urgent pour saisir une occasion qui ne se représentera peut-être pas et aller parler à une fille qui vous plait ?
>ça m'est arrivé par le passé. Aujourd'hui, je ne suis plus sur mon field d'origine, et j'ai sans doute une perception moins fine de la situation ce qui a tendance à me faire renoncer, et souvent plus en mouvement pour le boulot. Et c'est con, mais j'ai pas envie de me mettre dans des situations compliquées pour la moindre nana. Parce que même si elle a une putain d'allure, en général, notre ressenti est faussé et c'est juste qu'elle a un beau cul et de beaux yeux. Ou un bon rimmel et un jean form fitting.
Je drague non plus pas du tout dans le cadre du taf. C'est pas parce que ça passerait pas, parce que je ferais pas ça comme un bourrin. C'est juste que ça me paraît pas adéquat, et j'ai du mal à sortir de cette impression.
Je me dis aussi que où que j'aille, y aura souvent des nanas à aborder. Donc à moins que la nana ait montré un truc unique dans une micro-interaction, je vais souvent pas sortir de ma voie pour en faire trop juste pour elle.
Jusqu'à ce que tu en fasses une vraie rencontre, elle est interchangeable et remplaçable. C'est après que ça devient unique. Mais sinon, si stylée, si belle, si énergique qu'elle soit, il y en aura d'autres comme elles ou mieux.
Donc pas vraiment de raisons de le faire s'il y a plus important.
Quand j'ai le temps, par contre, ça peut très bien devenir ma priorité.

Combien de personnes par semaine en moyenne?
>quand j'avais du temps, ça pouvait être 2 ou 3 fois par semaine en fonction des rencontres, en dehors des sorties nocturnes. Aujourd'hui, c'est plus de l'ordre d'une fois ou deux par mois au quotidien (hors sorties), mais c'est parce que je vais moins sortir de mon chemin pour aller aborder une nana dans des contextes en mouvement, et aussi parce que faut être honnête, j'ai perdu l'état d'esprit et je bloque un peu (alors qu'avant, je ne me posais jamais la question, même au début). Alors qu'aborder hors flirt ne me pose pas vraiment de problème.
Ça m'intéresse de savoir qu'est qui a opère le changement qui fait que tu bloques maintenant et que tu ne bloquais pas avant. Si aujourd'hui tu abordes une ou deux fois par mois (et je suppose que tu ne closes pas à chaque fois), quelle est ta façon privilégiée de rencontrer des filles ? En soirée ?
    Notes et commentaires reçus par ce post :
  • [+1] Constructif le 31.05.19, 09h55 par Onmyoji
Whaleshark a écrit :Ton approche en tant qu'ancien de FTS me surprend.
Je me souviens encore de l'époque de FTS ou on s'encourageait à aborder toute fille qui nous plait, dans le but de progresser et de ne pas manquer une opportunité. [...]
Ses collègues sont à côte, et alors ? En effet, c'est gênant. Mais c'est aussi une excellente raison de montrer que j'ai encore plus de couilles en le faisant en face d'eux sans me cacher. Sans compter que tu repousses tes limites et ta zone de confort.
Que tu cherches à repousser tes limites c'est cool et si c'est gênant pour toi, c'est ton affaire.
Le problème c'est quand c'est gênant / stressant pour la fille aussi. Et typiquement sur un lieu de travail, ou tard le soir dans une ruelle sombre, etc. il y a des contextes qui ne se prêtent pas forcément bien à la drague. Question d'intelligence sociale et d'empathie.
    Notes et commentaires reçus par ce post :
  • [+1] Constructif le 31.05.19, 09h54 par Onmyoji
  • [+1] Absolument le 31.05.19, 14h57 par Perlambre
Ton approche en tant qu'ancien de FTS me surprend.
Je me souviens encore de l'époque de FTS ou on s'encourageait à aborder toute fille qui nous plait, dans le but de progresser et de ne pas manquer une opportunité. Et je pense que quand bien même ça pouvait être émotionnellement fatiguant, cette approche avait beaucoup d'avantages.
Un sentiment de proactivité et une amélioration constante.
Pour reprendre l'exemple de la caissière, quand je me retrouve dans une situation semblable et que je ne tente rien, je me sens coupable. Ses collègues sont à côte, et alors ? En effet, c'est gênant. Mais c'est aussi une excellente raison de montrer que j'ai encore plus de couilles en le faisant en face d'eux sans me cacher. Sans compter que tu repousses tes limites et ta zone de confort.
Après j'ai aussi beaucoup de moments de trouille ou je ne bouge pas, mais dans l'idéal je ne considère pas ça comme quelque chose de bien.
Je suis un ancien de FTS, peut être, mais je n'ai jamais été trop à l'aise avec le SPU et ce genre d'abordage incessant.

Pourquoi? Car en réalité c'est très tendancieux de draguer une fille à son travail. La plupart des meufs mignonnes se font draguer au travail, et ce de maniere pas forcément subtile ou classe. Plutot que se démarquer en étant plus couillu, je préfère me démarquer en prenant ca en compte et en n'étant pas un gros lourd.

Donc ma position c'est :

Je ne drague pas une fille au travail, sauf si on a eu une interaction vraiment cool, que je sens que c'est ok, et qu'il n'y a pas de collègues autour qui pourraient la faire chier avec ca. Alors faut rester subtil, y'a parfois des boulevards ouverts au chopage de numéro, mais dans l'incertitude, je m'en abstient.

Donc, dans le cas de la caissière, je sens que je lui plais, mais qu'elle n'ose pas forcément communiquer du fait de la présence d'autre client, je vais pas moi en rajouter une couche.

Si je la croise dans la rue, je lui dirai "eh tu serais pas la caissière de carrefour?" je discuterai avec elle et je l'espere finirai par l'embrasser quelques jours plus tard.

(L'avantage des petites villes c'est que c'est envisageable).

Petit point : je veux pas diaboliser l'idée de s'entrainer, mais il faut vraiment se poser la question de ce qui compte le plus entre son progres perso et le fait d'être potentiellement un creep ou un gros lourd. Réussir à trouver cette nuance c'est une des clés de la séduction, et je pense qu'elle n'est pas à mettre de côté pendant qu'on aborde.

(Et puis encore une fois, une petite approche polie et ouverte avec un "je sais que le contexte s'y prete mal, mais je me demandais si vous vouliez boire un café cette semaine?" ca fonctionne tres bien).

De maniere général, les filles n'aiment pas sentir qu'elles sont percues comme un objet, un trophée, un but à atteindre.
Il serait sympa/opportun d'avoir l'avis des demoiselles concernant l'abordage en rue & co :)

J'ai vu il y a deux jours un mec aborder une fille en pleine rue en journée en lui disant qu'elle est belle, la fille l'a remercié et est partie comme s'il lui avait demandé de l'argent, alors que le mec présentait bien, n'avait pas été intrusif, avait gardé ses distances, ...

En soirée je pense que c'est un mythe que les filles veulent être abordées, elles sortent avant tout pour s'amuser entre copines. Après oui il y a aussi des chasseuses, mais je pense que c'est plus fréquent chez les mecs de sortir pour (tenter de) ramener.

Moi j'aborde plutôt en bar dansant/boîte, quand l'envie me prend, je pense que c'est ça le plus important.

La réceptivité de la personne dépendant aussi de son état d'esprit à l'instant t.
En réalité, les trois quarts des fois (voire plus), c'est tres désagréable d'être abordé dans la rue / au travail (si j'en crois mes copines).

Evidemment, elles apprécient toutes une approche respectueuse faite par un type beau, cool, fun etc. etc.

Pas de souci quand c'est BIEN fait.

Le probleme c'est le paradigme de "pour bien aborder, il faut aborder un max", qui sous entend que la plupart du temps, on débute sans le faire bien (logique). Donc pour passer de la case "relou" à la case "mec cool qui aborde sans avoir l'air d'y toucher", on va faire chier un bon nombre de nanas.

Du coup, est ce vraiment pertinent (éthique?) comme stratégie?

Mais sur ce sujet ce serait plus opportun de forker (quoique le débat m'intéresse pas mal : quelles sont les alternatives à l'abordage à la chaine? aborder un max est il signe qu'on est quelqu'un de séduisant? de mes propres observations, c'est a mettre en perspective. Genre BEAUCOUP).
D'autant plus que dans la rue c'est rare que les gens s'y baladent par plaisir (du moins en Belgique, le temps ne s'y prête pas trop), donc si une personne y est c'est pour une raison bien précise : faire une course, aller chercher son enfant, rendez-vous médical, entre deux entretiens professionnels, ... du coup la personne a la tête ailleurs (pas réceptive) et verra ça comme une perte de temps.

C'est aussi une question de mentalité : je pense qu'en Espagne, Italie, les pays chauds, ... les abords sont beaucoup plus fréquents et acceptés, alors que chez nous les gens sont " coincés ".
Je pense que c'est aussi pour ça que les applis de rencontres ont beaucoup de succès.

Mais je reste persuadé que c'est la femme qui décide si elle rentre avec un gars ou pas (mon côté féministe ^^), je pense que le meilleur entraînement c'est de sociabiliser un maximum et avec tout le monde, être à l'aise, savoir faire rire, avoir de la répartie, ... et ne pas voir les femmes comme des proies mais des êtres à part entière.
Je connais des mecs qui ne savent voir les femmes autrement que comme à baiser/à ne pas baiser, une soirée réussie est une soirée où on a ramené, ... ils ont beaucoup de succès sur des soirées, mais dans la vie vraie aucune amitié féminine réelle...
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