Comment trouver les bonnes pistes pour comprendre la séduction - Suite
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Bonjour à tous, j’ai ouvert le sujet « Comment trouver les bonnes pistes pour comprendre la séduction » et c’est parti en clash général (parce que en ce moment je suis tendu et susceptible, et je me suis un peu senti provoqué, et quand c’est comme ça j’ai envie de tout casser, donc le modérateur l’a verrouillé, etc...)
Bon bref une fois que j’ai senti le calme revenir j’ai demandé au modérateur si il était possible de ré-ouvrir le sujet en supprimant les messages qui lui posaient problème si nécessaire, il m’a dit que il faudrait mieux que j’ouvre un nouveau sujet, donc c’est ce que je fais en ouvrant ce sujet
Donc le thème reste le même, pour la présentation de base je vous invite à regarder la version initiale du sujet, et à regarder un peu le déroulement des conversations, jusqu’au moment où c’est parti en vrille, à partir de là je vous déconseille de lire et de tenir compte de la suite car c’est pas constructif c’est juste des invectives qui ne servent à rien
Mais en gros le thème c’était ça, je vous re-situe le contexte:
Je suis un mec de 22 ans, qui est très (très très très) intéressé par les filles
Je drague depuis juillet 2018
Jusqu’à maintenant j’ai réussi à conclure avec 5 filles
Parmi elles 3 étaient des relations sérieuses (avec de l’amour) et 2 étaient des plans cul
Ma personnalité: j’ai des sautes d’humeur, de l’angoisse, un sentiment permanent de subir de l’injustice, je suis très colérique, depuis petit mais avec le désir sexuel ça s’est aggravé, mais étant petit j’étais déjà assez colérique, je savais pas trop me contrôler, je tapais mes camarades pendant mon enfance, pendant l’école maternelle, primaire, et collège (de façon non-sadique je précise, le but n’était pas de les faire souffrir mais d’extérioriser ma colère)
Je n’aime pas vraiment la société, je pense que la société est en déliquescence, je suis très pessimiste sur l’avenir de la société, très pessimiste tout court (je le souligne car ça influence beaucoup ma façon de vivre et de penser)
J’ai des grosses poussées d’adrénaline (je pense que c’est ça) qui me paralysent, et quand je vois une fille qui me plait j’éprouve de l’angoisse, et plus elle me plait plus l’angoisse est violente
J’éprouve de la jalousie pour les mecs qui s’en sortent mieux que moi au niveau des filles
J’ai la sensation que les choses n’évoluent pas, je me sens bloqué et je n’arrive plus à atteindre mes nouveaux objectifs en drague car j’ai mis la barre très haut
La sensation de blocage m’angoisse affreusement, je sens que les portes sont fermées
J’ai toujours cette sensation d’angoisse difficile à décrire dans la cage thoracique, avec des frissons, des sueurs froides, mon cœur palpite et une personne assise à côté de moi peut entendre les battements, cela se déclenche plusieurs fois par jour quand je constate que je n’ai pas avancé vers mes objectifs alors que j’y travaille beaucoup
Le premier moment de la journée où cette sensation se déclenche c’est au moment où je me réveille, c’est là qu’elle est la plus violente, j’ai la sensation que je la réalité me tombe dessus tous les matins depuis deux ans
Je précise une chose: elle se déclenche tous les matins SAUF les jours où j’ai quelque chose d’important qui est prévu
Mais sinon pour la routine c’est tous les jours sans faute que ça me torture
J’ai le sentiment que les portes sont fermées
J’aime pas aller en boîte, et je m’ennuie dans la plupart des relations sociales, sauf avec les filles
Je trouve que discuter avec une fille c’est plus interessant que discuter avec un mec
Je précise que ça n’a pas toujours été le cas, avant de draguer je pensais le contraire, et les filles ne m’intéressaient que physiquement
Aujourd’hui les filles m’intéressent physiquement, et limite encore plus psychologiquement, le fossé géant qui sépare les mecs des filles fait que c’est ça qui les rend intéressantes pour moi
Je ne sais pas quoi faire et dans quelle direction aller pour améliorer mes capacités en drague, j’essaye des conseils à droite et à gauche, à chaque fois je suis déçu
Donc j’ai l’impression d’être dans le noir complet et de pas savoir vers où me tourner pour m’améliorer, je ne sais même pas ce qu’il y a à améliorer
Je vois des conseils contradictoires partout (les uns me disent blanc, les autres le disent noir)
Donc je me sens totalement incapable, impotent, impuissant, perdu, et le seul truc qui m’empêche de tout lâcher c’est l’envie
J’ai largué mon ex-copine en octobre 2019
On s’était mis ensemble en juin 2019
Depuis juin j’ai rien réussi en terme de drague, je dépense une grosse énergie et j’ai pas de résultat
Donc je cherche la ou les méthode qui vont me permettre de m’en sortir parce que je ne peux pas accepter de ne pas m’en sortir, c’est interdit que j’échoue
Mais en attendant je ne sais absolument pas quoi faire concrètement, je ne sais même pas si je suis sur la bonne voie, sur les bons rails, si ça se trouve je suis entrain de m’enliser et je ne m’en rends même pas compte, ou alors je suis dans la bonne direction mais je ne m’en rends pas compte non plus, enfin bref je sais pas où je suis, l’obscurité totale, personne pour m’aider, j’ai que ma volonté, et je doute, tout le temps, le doute me rend ouf
Tous les jours j’essaye d’avancer, tous les jours je drague des filles dont j’ai le numéro ou le snap
Je cherche la boussole, je cherche la direction, je vois rien
Je vais pas en dire plus c’est déjà beaucoup, sinon je vais jamais m’arrêter
Comme j’ai dis au début, faites table rase du clash du sujet précédent car ce clash ne servait à rien
On continue le sujet sans les clash
Si des gens peuvent m’aider et m’enlever des doutes, me dire ce que je devrais faire, ça serait nickel et je l’en remercierai
Bon bref une fois que j’ai senti le calme revenir j’ai demandé au modérateur si il était possible de ré-ouvrir le sujet en supprimant les messages qui lui posaient problème si nécessaire, il m’a dit que il faudrait mieux que j’ouvre un nouveau sujet, donc c’est ce que je fais en ouvrant ce sujet
Donc le thème reste le même, pour la présentation de base je vous invite à regarder la version initiale du sujet, et à regarder un peu le déroulement des conversations, jusqu’au moment où c’est parti en vrille, à partir de là je vous déconseille de lire et de tenir compte de la suite car c’est pas constructif c’est juste des invectives qui ne servent à rien
Mais en gros le thème c’était ça, je vous re-situe le contexte:
Je suis un mec de 22 ans, qui est très (très très très) intéressé par les filles
Je drague depuis juillet 2018
Jusqu’à maintenant j’ai réussi à conclure avec 5 filles
Parmi elles 3 étaient des relations sérieuses (avec de l’amour) et 2 étaient des plans cul
Ma personnalité: j’ai des sautes d’humeur, de l’angoisse, un sentiment permanent de subir de l’injustice, je suis très colérique, depuis petit mais avec le désir sexuel ça s’est aggravé, mais étant petit j’étais déjà assez colérique, je savais pas trop me contrôler, je tapais mes camarades pendant mon enfance, pendant l’école maternelle, primaire, et collège (de façon non-sadique je précise, le but n’était pas de les faire souffrir mais d’extérioriser ma colère)
Je n’aime pas vraiment la société, je pense que la société est en déliquescence, je suis très pessimiste sur l’avenir de la société, très pessimiste tout court (je le souligne car ça influence beaucoup ma façon de vivre et de penser)
J’ai des grosses poussées d’adrénaline (je pense que c’est ça) qui me paralysent, et quand je vois une fille qui me plait j’éprouve de l’angoisse, et plus elle me plait plus l’angoisse est violente
J’éprouve de la jalousie pour les mecs qui s’en sortent mieux que moi au niveau des filles
J’ai la sensation que les choses n’évoluent pas, je me sens bloqué et je n’arrive plus à atteindre mes nouveaux objectifs en drague car j’ai mis la barre très haut
La sensation de blocage m’angoisse affreusement, je sens que les portes sont fermées
J’ai toujours cette sensation d’angoisse difficile à décrire dans la cage thoracique, avec des frissons, des sueurs froides, mon cœur palpite et une personne assise à côté de moi peut entendre les battements, cela se déclenche plusieurs fois par jour quand je constate que je n’ai pas avancé vers mes objectifs alors que j’y travaille beaucoup
Le premier moment de la journée où cette sensation se déclenche c’est au moment où je me réveille, c’est là qu’elle est la plus violente, j’ai la sensation que je la réalité me tombe dessus tous les matins depuis deux ans
Je précise une chose: elle se déclenche tous les matins SAUF les jours où j’ai quelque chose d’important qui est prévu
Mais sinon pour la routine c’est tous les jours sans faute que ça me torture
J’ai le sentiment que les portes sont fermées
J’aime pas aller en boîte, et je m’ennuie dans la plupart des relations sociales, sauf avec les filles
Je trouve que discuter avec une fille c’est plus interessant que discuter avec un mec
Je précise que ça n’a pas toujours été le cas, avant de draguer je pensais le contraire, et les filles ne m’intéressaient que physiquement
Aujourd’hui les filles m’intéressent physiquement, et limite encore plus psychologiquement, le fossé géant qui sépare les mecs des filles fait que c’est ça qui les rend intéressantes pour moi
Je ne sais pas quoi faire et dans quelle direction aller pour améliorer mes capacités en drague, j’essaye des conseils à droite et à gauche, à chaque fois je suis déçu
Donc j’ai l’impression d’être dans le noir complet et de pas savoir vers où me tourner pour m’améliorer, je ne sais même pas ce qu’il y a à améliorer
Je vois des conseils contradictoires partout (les uns me disent blanc, les autres le disent noir)
Donc je me sens totalement incapable, impotent, impuissant, perdu, et le seul truc qui m’empêche de tout lâcher c’est l’envie
J’ai largué mon ex-copine en octobre 2019
On s’était mis ensemble en juin 2019
Depuis juin j’ai rien réussi en terme de drague, je dépense une grosse énergie et j’ai pas de résultat
Donc je cherche la ou les méthode qui vont me permettre de m’en sortir parce que je ne peux pas accepter de ne pas m’en sortir, c’est interdit que j’échoue
Mais en attendant je ne sais absolument pas quoi faire concrètement, je ne sais même pas si je suis sur la bonne voie, sur les bons rails, si ça se trouve je suis entrain de m’enliser et je ne m’en rends même pas compte, ou alors je suis dans la bonne direction mais je ne m’en rends pas compte non plus, enfin bref je sais pas où je suis, l’obscurité totale, personne pour m’aider, j’ai que ma volonté, et je doute, tout le temps, le doute me rend ouf
Tous les jours j’essaye d’avancer, tous les jours je drague des filles dont j’ai le numéro ou le snap
Je cherche la boussole, je cherche la direction, je vois rien
Je vais pas en dire plus c’est déjà beaucoup, sinon je vais jamais m’arrêter
Comme j’ai dis au début, faites table rase du clash du sujet précédent car ce clash ne servait à rien
On continue le sujet sans les clash
Si des gens peuvent m’aider et m’enlever des doutes, me dire ce que je devrais faire, ça serait nickel et je l’en remercierai
Pour ce que ça vaut j'avais ouvert un sujet pour faire suite:
viewtopic.php?f=97&t=42690
Tu y trouveras peut-être des pistes (pas de clash dedans sérieusement)
Toutefois tu as ajouté plusieurs choses qui décrivent tes réactions comme extrêmes et relativement incontrôlées, entre ta colère et tes crises d'angoisses.
Qu'est ce que tu as essayé pour maîtriser ça?
En dehors du fait que tu mettes énormément d'enjeu, ce qui n'aide pas à être détaché, il y a quand même des choses qui sont d'ordre pathologique et qui ne font qu'aggraver ça. C'est sûr que si tous les matins tu as l'impression que le ciel te tombe sur la tête ça aide pas à aller faire du small talk drôle à une nana (bon ok ça t'ennuie mais si l'interaction n'est pas que ça c'est aussi agréable si la fille est drôle ou s'il y a de la séduction).
Je reviens dessus: changer ta vision devrait t'aider sur certains points.
Échouer n'est pas permis: trop de pression. Et tu échoues finalement. C'est humain. Ce qu'il faut ce n'est pas s'interdire l'échec mais se former à la résilience face à celui-ci (les anglais disent "grit", le terme le plus proche qu'on ait c'est la gnaque, en gros savoir ne pas lâcher l'affaire, pas juste se relever face à l'échec, mais savoir continuer quand ça exige des efforts etc).
Le fossé de géant: la femme est un Homme comme les autres. Ce qui crée le fossé c'est justement de peiner à le voir. Autant de notre côté que du leur. La société joue aussi un rôle mais niveau individuel ça reste vrai. La majorité des femmes aiment le sexe, ont envie d'être aimées, et sont finalement attirées par des choses communes même si ça peut s'exprimer différemment. Que ce soit social ou évolutif j'en sais rien, mais j'imagine qu'au Brésil tu as quand même beaucoup plus intérêt à être beau vu le culte du corps, que dans les cultures slaves où c'est très secondaire derrière le fait de porter ses couilles en bandoulière et de pouvoir défoncer des ours à mains nues:
dans les deux cas ce qui compte c'est que tu paraisses avoir un statut intrinsèquement élevé dans la meute, parce que personne - la majorité- n'aime pas se contenter de quelqu'un de moyen ou de bas sur l'échelle, à moins d'être dépressif ou d'avoir une confiance en soi proche du niveau résignation/ désespoir.
Mais évidemment les choses s'équilibrent car ça ne se traduit pas d'une manière totalement logique:
Faut savoir à ce propos que certaines études sur les sites de rencontres montrent que c'est vrai pour tout le monde et particulièrement pour les mecs, qui ont tendance à se surévaluer et viser plus haut que leur niveau d'attractivité.
Pour les femmes, même si elles ne descendent jamais sous un certain niveau (pas forcément dépendant d'elles-mêmes, les observations varient), elles ont tendance à viser moins haut qu'elles-mêmes, même si comme les autres elles fantasment évidemment sur le mec qui sort du lot.
Donc les mecs ont de la marge pour "progresser" dans l'échelle.
La jalousie, le plaisir: pourquoi ne pas essayer d'apprendre de ces mecs et d'émuler leur comportement? D'une certaine manière ils te montrent l'objectif, la voie et que c'est possible. Être envieux, te sentir en compétition et badder deux fois plus en cas d'échec, ça n'aide pas à prendre du plaisir dans la séduction. Et c'est fondamental.
Parce que tu dis t'ennuyer beaucoup mais si tu ne te satisfais qu'à un certain niveau, pendant toute l'ascension tu vas te faire chier et ça va te coûter. Et une fois arrivé tu voudras juste monter encore d'un cran et le calvaire va continuer.
Si tu prends du plaisir tu es plus détaché, et tu n'auras pas la même vibe. Tu seras pas en manque pareil.
Ces conseils sont plus de l'ordre psychologique pour préparer le terrain, mais ça aide beaucoup sur le long terme et sans doute directement au point où tu en es.
Ça te fera pas tripler tes stats mais ce sera pas le seul bénéfice.
Pour ton apprentissage, ne pas your remettre en question trop facilement. Certains conseils sont bons et peuvent marcher. Des fois on les exécute pas bien car on comprend pas de quoi il s'agit, ou on les pervertit (le neg), ou l'on tombe d'affilée sur deux trois nanas pas réceptives parce qu'on est pas dans une bonne vibe ou parce qu'elles sont pas ouvertes, mais ça veut pas dire qu'il faut les rejeter. Juste trouver le bon moment. Ou le truc sous-jacent qui l'a parasité.
Aussi un truc qui va te permettre de t'améliorer à une "étape" n'est pas forcément contributif aux étapes suivantes: s'i tu doubles tes numéros mais que ça te fait diviser tes dates par trois à l'arrivée tu baisses.
Sauf si évidemment toutes ces dates finissent par coucher avec la fille et que c'est ce que tu veux, contre presque jamais avant. Question d'objectif et de balance.
Pour faire le tri, aussi: on pourra jamais te dire ce qui marchera forcément pour toi à part avec des trucs qui relèvent du développement perso et de l'intrinsèque (être beau, avoir une meilleure vie sociale, un meilleur statut, etc). Faut que tu trouves ta propre voie. Certains mecs te parlent de trucs qui fonctionnent pour eux mais qui fonctionneront pas pour toi, ou pas à ce moment de ta vie mais quand tu réuniras d'autres conditions.
Pour savoir quoi te conseiller du point de vue "technique", il faudrait déjà savoir aussi ce qui marche et marche pas pour toi, soit pour les débloquer soit pour trouver les alternatives.
viewtopic.php?f=97&t=42690
Tu y trouveras peut-être des pistes (pas de clash dedans sérieusement)
Toutefois tu as ajouté plusieurs choses qui décrivent tes réactions comme extrêmes et relativement incontrôlées, entre ta colère et tes crises d'angoisses.
Qu'est ce que tu as essayé pour maîtriser ça?
En dehors du fait que tu mettes énormément d'enjeu, ce qui n'aide pas à être détaché, il y a quand même des choses qui sont d'ordre pathologique et qui ne font qu'aggraver ça. C'est sûr que si tous les matins tu as l'impression que le ciel te tombe sur la tête ça aide pas à aller faire du small talk drôle à une nana (bon ok ça t'ennuie mais si l'interaction n'est pas que ça c'est aussi agréable si la fille est drôle ou s'il y a de la séduction).
Je reviens dessus: changer ta vision devrait t'aider sur certains points.
Échouer n'est pas permis: trop de pression. Et tu échoues finalement. C'est humain. Ce qu'il faut ce n'est pas s'interdire l'échec mais se former à la résilience face à celui-ci (les anglais disent "grit", le terme le plus proche qu'on ait c'est la gnaque, en gros savoir ne pas lâcher l'affaire, pas juste se relever face à l'échec, mais savoir continuer quand ça exige des efforts etc).
Le fossé de géant: la femme est un Homme comme les autres. Ce qui crée le fossé c'est justement de peiner à le voir. Autant de notre côté que du leur. La société joue aussi un rôle mais niveau individuel ça reste vrai. La majorité des femmes aiment le sexe, ont envie d'être aimées, et sont finalement attirées par des choses communes même si ça peut s'exprimer différemment. Que ce soit social ou évolutif j'en sais rien, mais j'imagine qu'au Brésil tu as quand même beaucoup plus intérêt à être beau vu le culte du corps, que dans les cultures slaves où c'est très secondaire derrière le fait de porter ses couilles en bandoulière et de pouvoir défoncer des ours à mains nues:
dans les deux cas ce qui compte c'est que tu paraisses avoir un statut intrinsèquement élevé dans la meute, parce que personne - la majorité- n'aime pas se contenter de quelqu'un de moyen ou de bas sur l'échelle, à moins d'être dépressif ou d'avoir une confiance en soi proche du niveau résignation/ désespoir.
Mais évidemment les choses s'équilibrent car ça ne se traduit pas d'une manière totalement logique:
Faut savoir à ce propos que certaines études sur les sites de rencontres montrent que c'est vrai pour tout le monde et particulièrement pour les mecs, qui ont tendance à se surévaluer et viser plus haut que leur niveau d'attractivité.
Pour les femmes, même si elles ne descendent jamais sous un certain niveau (pas forcément dépendant d'elles-mêmes, les observations varient), elles ont tendance à viser moins haut qu'elles-mêmes, même si comme les autres elles fantasment évidemment sur le mec qui sort du lot.
Donc les mecs ont de la marge pour "progresser" dans l'échelle.
La jalousie, le plaisir: pourquoi ne pas essayer d'apprendre de ces mecs et d'émuler leur comportement? D'une certaine manière ils te montrent l'objectif, la voie et que c'est possible. Être envieux, te sentir en compétition et badder deux fois plus en cas d'échec, ça n'aide pas à prendre du plaisir dans la séduction. Et c'est fondamental.
Parce que tu dis t'ennuyer beaucoup mais si tu ne te satisfais qu'à un certain niveau, pendant toute l'ascension tu vas te faire chier et ça va te coûter. Et une fois arrivé tu voudras juste monter encore d'un cran et le calvaire va continuer.
Si tu prends du plaisir tu es plus détaché, et tu n'auras pas la même vibe. Tu seras pas en manque pareil.
Ces conseils sont plus de l'ordre psychologique pour préparer le terrain, mais ça aide beaucoup sur le long terme et sans doute directement au point où tu en es.
Ça te fera pas tripler tes stats mais ce sera pas le seul bénéfice.
Pour ton apprentissage, ne pas your remettre en question trop facilement. Certains conseils sont bons et peuvent marcher. Des fois on les exécute pas bien car on comprend pas de quoi il s'agit, ou on les pervertit (le neg), ou l'on tombe d'affilée sur deux trois nanas pas réceptives parce qu'on est pas dans une bonne vibe ou parce qu'elles sont pas ouvertes, mais ça veut pas dire qu'il faut les rejeter. Juste trouver le bon moment. Ou le truc sous-jacent qui l'a parasité.
Aussi un truc qui va te permettre de t'améliorer à une "étape" n'est pas forcément contributif aux étapes suivantes: s'i tu doubles tes numéros mais que ça te fait diviser tes dates par trois à l'arrivée tu baisses.
Sauf si évidemment toutes ces dates finissent par coucher avec la fille et que c'est ce que tu veux, contre presque jamais avant. Question d'objectif et de balance.
Pour faire le tri, aussi: on pourra jamais te dire ce qui marchera forcément pour toi à part avec des trucs qui relèvent du développement perso et de l'intrinsèque (être beau, avoir une meilleure vie sociale, un meilleur statut, etc). Faut que tu trouves ta propre voie. Certains mecs te parlent de trucs qui fonctionnent pour eux mais qui fonctionneront pas pour toi, ou pas à ce moment de ta vie mais quand tu réuniras d'autres conditions.
Pour savoir quoi te conseiller du point de vue "technique", il faudrait déjà savoir aussi ce qui marche et marche pas pour toi, soit pour les débloquer soit pour trouver les alternatives.
Le score de cet utilisateur est négatif ce qui veut dire que ses messages sont globalement jugés problématiques par les autres utilisateurs.
Oui je vois ce que vous voulez dire, alors:
Je ne comprends vraiment pas quand vous dites que la femme est comme l’homme, on m’a déjà dit ça avant et j’ai essayé d’observer puis j’ai pas relevé de ressemblance, je sens vraiment le fossé personnellement simplement quand je parle, j’ai l’impression que j’ai pas la même zone du cerveau qui s’active pendant les conversations selon le sexe des gens, ça je l’ai ressenti très tôt
Et puis au niveau de l’humour (un des piliers il me semble pour draguer) ça a vraiment rien a voir, genre j’ai l’impression que dès que je parle avec quelqu’un ou même quand je me tiens à proximité de quelqu’un, je ressens des ondes de la personne, et les ondes des femmes sont hyper différentes des celles des hommes. Mais je sais pas peut être que je suis « trop masculin », c’est un psy qui m’avait dit ça, « tu as un cerveau trop masculin, tu as très peu de féminité alors que la plupart des hommes ont une certaine part de féminité » du coup ça me coupe de certains trucs
Pour calmer mon stress, angoisse, colère, pendant plusieurs années (de 2012 à début 2019) je prenais du zoloft (antidépresseur très puissant) et j’ai essayé plusieurs choses plus naturelles qui n’ont pas marché.
J’ai l’impression que je sens toujours les effets du sevrage du zoloft alors que ça fait presque un an que j’ai arrêté
L’alcool me rend mélancolique (tant mieux), le chit me trouble l’esprit, j’arrive plus à parler, c’est pas très agréable, et la clope me fait vomir
La tisane, les huiles essentielles, tout ça je considère que c’est du placebo
Psychologiquement j’ai trouvé une « solution » qui n’en est pas une mais qui me permet de m’apaiser, genre m’anesthésier la tête momentanément, c’est de parler, j’ai un besoin de parler comme une pulsion (c’est pour ça si certains se demandent pourquoi je fais des pavés ici, certes c’est chiant à lire mais ça me déstresse, c’est pour m’apaiser que je fais des textes aussi longs, et encore là je me freine sinon c’est imbuvable pour les gens)
Sinon en solution spirituelle la seule chose qui a marché c’est la prière (je suis chrétien) mais ma foi elle baisse, par exemple je crois toujours en Dieu mais depuis genre un an ou deux je crois plus dans le paradis et l’enfer, avant j’étais sur que j’allais au paradis, maintenant je me dis « y’a que cette vie, si tu réussis c’est bon, sinon t’es niqué »
La prière ça me sert surtout à pas trop culpabiliser (parce que comme ça peut se voir, j’ai beaucoup de blocages, de chaînes mentales, et quand je fais un truc pas bien je culpabilise, y’a rien a faire c’est plus fort que moi et un jour il va falloir que j’arrache ça de moi, ça fait longtemps que j’essaye et longtemps que j’échoue) donc quand je drague, ben souvent je baratine un peu, et donc je mens, et quand je mens y’a un truc dans ma tête qui doit venir de l’éducation ou de l’ADN, qui fait que je me sens pas bien, genre comme si y’a un « esprit » qui veut me faire payer mes conneries et du coup qui me fait tout foirer
Donc la prière c’est pour évacuer ça et me réaligner avec les principes, la morale, etc...
Mais je pense de plus en plus à essayer de m’émanciper de la morale et de la culpabilité, c’est une des pires chaines que j’ai, la plupart des dragues que je rate c’est à cause de la culpabilité.
Un fléau pour moi mais pour l’instant j’arrive pas à faire sans
Depuis que je crois plus dans le paradis et l’enfer je sens que la vie est plus pesante, je suis plus pessimiste,
Sinon le yoga je comprends même pas en quoi ça consiste, on a beau m’expliquer ça rentre pas
La méditation pareil
Y’a que la prière qui me fait quelque chose
Jusqu’à présent ce qui m’a fait réussir à conclure c’est deux choses: la volonté, et surtout la chance, à chaque fois que j’ai conclu (5 fois) c’était avec une chance de fou
Vous parlez de pathologie, en effet je me sens bourré de pathologies et de chaînes mentales, de névrose, de parasites dans la tête
Et à part la prière et les médocs j’ai rien trouvé de mieux pour l’instant
Enfaite je me sens incapable de faire les choses moi-même, je sens toujours qu’il va me falloir une aide extérieure (medoc ou Dieu), mais je me sens vulnérable tout seul, j’ai l’impression que je manque de ressources
Un jour il va falloir que je me charge de faire peter toutes ces chaines, si je fais sauter mes chaines j’accède à mes vraies capacités, à tous les niveaux donc ça comprend la drague
Mais j’en reviens à: je sais pas comment je fais, les tentatives pour casser les chaînes ont pas fonctionné jusqu’à aujourd’hui, j’ai du composer avec mes blocages, donc avec un gros manque d’efficacité
Pour la jalousie: j’ai un copain qui est hyper fort en drague, lui je l’observe et j’en apprends plus à le regarder faire qu’avec n’importe quelle vidéo. À chaque fois qu’il parle avec une fille, je prends une leçon.
C’est le seul mec que je connais qui sache se prendre un râteau en riant, et en continuant à rire avec la fille, et il lache même pas la sexualisation, alors que moi il m’est déjà arrivé d’insulter des filles qui m’avaient mis un râteau, à chaque shit test que la fille m’envoie mon visage s’assombrit (j’ai un visage qui laisse paraître les émotions sans que je le fasse exprès, genre si je suis en colère impossible de le cacher ça se voit direct)
Mais quand c’est des amis j’ai pas de vraie jalousie, lui c’est plutôt qu’il me régale. Des fois je lui dis des trucs genre « sale batard t’es vraiment fort » mais c’est que de l’amitié évidemment
Par contre un gars que j’aime pas et qui reussit mieux que moi là c’est tendu
Mais vous avez raison, à chaque échec je vais badder le double: le manque en soit + la jalousie
Dans ce que vous dites à la fin y’a le truc central: en effet y’a des choses qui marchent pas pour les autres et qui marchent pour moi et vice versa, c’est simple à déterminer vu que pour moi ça a marché que 5 fois, voilà la liste:
-Être au bout du rouleau, dans la merde totale et arriver à plaire en étant spontané, mais c’était une chance inespérée que j’arrive même pas à concevoir
Ma première copine je l’ai rencontré sur un site de rencontre septembre 2018, elle a eu un « coup de foudre » au bout du troisième message, alors que j’avais presque rien dit, et deux jours après on se voyait et on couchait ensemble, hyper jolie, pile ce que je voulais, la plus belle période de ma vie, genre elle était « folle de moi » et elle m’a trop fait du bien dans ma vie, pour moi ça c’est un cadeau on peut pas faire mieux
-Sinon je suis mal à l’aise avec le mensonge même si je sais que c’est important pour la drague, et quand je mens c’est écrit sur ma tête donc je peux mentir que par message et encore c’est dur
-Pour les vêtements je suis vraiment pas à l’aise quand je suis « bien sapé » genre tout ce qui est jean déjà j’ai du mal, chemise impossible, gel dans les cheveux impossible, costard impossible, et qu’on me pende le jour où j’ose mettre un foulard autour du coup
Je suis à l’aise qu’en sportswear pratiquement
-Je sais que mon principal problème c’est pas ma condition économique puisque pour ça au moins je m’en sors bien
Ma plus grosse difficulté c’est d’arriver à me connecter mentalement avec la fille, je sais plus si je l’ai déjà dis mais je suis asperger donc ça me met des bâtons dans les roues
Si j’arrive à me mettre sur la même longueur d’onde que la fille c’est du tout cuit
Mais c’est sur ça que je galère le plus, c’est impalpable mais c’est le truc le plus important et je sais pas comment développer ça
Je ne comprends vraiment pas quand vous dites que la femme est comme l’homme, on m’a déjà dit ça avant et j’ai essayé d’observer puis j’ai pas relevé de ressemblance, je sens vraiment le fossé personnellement simplement quand je parle, j’ai l’impression que j’ai pas la même zone du cerveau qui s’active pendant les conversations selon le sexe des gens, ça je l’ai ressenti très tôt
Et puis au niveau de l’humour (un des piliers il me semble pour draguer) ça a vraiment rien a voir, genre j’ai l’impression que dès que je parle avec quelqu’un ou même quand je me tiens à proximité de quelqu’un, je ressens des ondes de la personne, et les ondes des femmes sont hyper différentes des celles des hommes. Mais je sais pas peut être que je suis « trop masculin », c’est un psy qui m’avait dit ça, « tu as un cerveau trop masculin, tu as très peu de féminité alors que la plupart des hommes ont une certaine part de féminité » du coup ça me coupe de certains trucs
Pour calmer mon stress, angoisse, colère, pendant plusieurs années (de 2012 à début 2019) je prenais du zoloft (antidépresseur très puissant) et j’ai essayé plusieurs choses plus naturelles qui n’ont pas marché.
J’ai l’impression que je sens toujours les effets du sevrage du zoloft alors que ça fait presque un an que j’ai arrêté
L’alcool me rend mélancolique (tant mieux), le chit me trouble l’esprit, j’arrive plus à parler, c’est pas très agréable, et la clope me fait vomir
La tisane, les huiles essentielles, tout ça je considère que c’est du placebo
Psychologiquement j’ai trouvé une « solution » qui n’en est pas une mais qui me permet de m’apaiser, genre m’anesthésier la tête momentanément, c’est de parler, j’ai un besoin de parler comme une pulsion (c’est pour ça si certains se demandent pourquoi je fais des pavés ici, certes c’est chiant à lire mais ça me déstresse, c’est pour m’apaiser que je fais des textes aussi longs, et encore là je me freine sinon c’est imbuvable pour les gens)
Sinon en solution spirituelle la seule chose qui a marché c’est la prière (je suis chrétien) mais ma foi elle baisse, par exemple je crois toujours en Dieu mais depuis genre un an ou deux je crois plus dans le paradis et l’enfer, avant j’étais sur que j’allais au paradis, maintenant je me dis « y’a que cette vie, si tu réussis c’est bon, sinon t’es niqué »
La prière ça me sert surtout à pas trop culpabiliser (parce que comme ça peut se voir, j’ai beaucoup de blocages, de chaînes mentales, et quand je fais un truc pas bien je culpabilise, y’a rien a faire c’est plus fort que moi et un jour il va falloir que j’arrache ça de moi, ça fait longtemps que j’essaye et longtemps que j’échoue) donc quand je drague, ben souvent je baratine un peu, et donc je mens, et quand je mens y’a un truc dans ma tête qui doit venir de l’éducation ou de l’ADN, qui fait que je me sens pas bien, genre comme si y’a un « esprit » qui veut me faire payer mes conneries et du coup qui me fait tout foirer
Donc la prière c’est pour évacuer ça et me réaligner avec les principes, la morale, etc...
Mais je pense de plus en plus à essayer de m’émanciper de la morale et de la culpabilité, c’est une des pires chaines que j’ai, la plupart des dragues que je rate c’est à cause de la culpabilité.
Un fléau pour moi mais pour l’instant j’arrive pas à faire sans
Depuis que je crois plus dans le paradis et l’enfer je sens que la vie est plus pesante, je suis plus pessimiste,
Sinon le yoga je comprends même pas en quoi ça consiste, on a beau m’expliquer ça rentre pas
La méditation pareil
Y’a que la prière qui me fait quelque chose
Jusqu’à présent ce qui m’a fait réussir à conclure c’est deux choses: la volonté, et surtout la chance, à chaque fois que j’ai conclu (5 fois) c’était avec une chance de fou
Vous parlez de pathologie, en effet je me sens bourré de pathologies et de chaînes mentales, de névrose, de parasites dans la tête
Et à part la prière et les médocs j’ai rien trouvé de mieux pour l’instant
Enfaite je me sens incapable de faire les choses moi-même, je sens toujours qu’il va me falloir une aide extérieure (medoc ou Dieu), mais je me sens vulnérable tout seul, j’ai l’impression que je manque de ressources
Un jour il va falloir que je me charge de faire peter toutes ces chaines, si je fais sauter mes chaines j’accède à mes vraies capacités, à tous les niveaux donc ça comprend la drague
Mais j’en reviens à: je sais pas comment je fais, les tentatives pour casser les chaînes ont pas fonctionné jusqu’à aujourd’hui, j’ai du composer avec mes blocages, donc avec un gros manque d’efficacité
Pour la jalousie: j’ai un copain qui est hyper fort en drague, lui je l’observe et j’en apprends plus à le regarder faire qu’avec n’importe quelle vidéo. À chaque fois qu’il parle avec une fille, je prends une leçon.
C’est le seul mec que je connais qui sache se prendre un râteau en riant, et en continuant à rire avec la fille, et il lache même pas la sexualisation, alors que moi il m’est déjà arrivé d’insulter des filles qui m’avaient mis un râteau, à chaque shit test que la fille m’envoie mon visage s’assombrit (j’ai un visage qui laisse paraître les émotions sans que je le fasse exprès, genre si je suis en colère impossible de le cacher ça se voit direct)
Mais quand c’est des amis j’ai pas de vraie jalousie, lui c’est plutôt qu’il me régale. Des fois je lui dis des trucs genre « sale batard t’es vraiment fort » mais c’est que de l’amitié évidemment
Par contre un gars que j’aime pas et qui reussit mieux que moi là c’est tendu
Mais vous avez raison, à chaque échec je vais badder le double: le manque en soit + la jalousie
Dans ce que vous dites à la fin y’a le truc central: en effet y’a des choses qui marchent pas pour les autres et qui marchent pour moi et vice versa, c’est simple à déterminer vu que pour moi ça a marché que 5 fois, voilà la liste:
-Être au bout du rouleau, dans la merde totale et arriver à plaire en étant spontané, mais c’était une chance inespérée que j’arrive même pas à concevoir
Ma première copine je l’ai rencontré sur un site de rencontre septembre 2018, elle a eu un « coup de foudre » au bout du troisième message, alors que j’avais presque rien dit, et deux jours après on se voyait et on couchait ensemble, hyper jolie, pile ce que je voulais, la plus belle période de ma vie, genre elle était « folle de moi » et elle m’a trop fait du bien dans ma vie, pour moi ça c’est un cadeau on peut pas faire mieux
-Sinon je suis mal à l’aise avec le mensonge même si je sais que c’est important pour la drague, et quand je mens c’est écrit sur ma tête donc je peux mentir que par message et encore c’est dur
-Pour les vêtements je suis vraiment pas à l’aise quand je suis « bien sapé » genre tout ce qui est jean déjà j’ai du mal, chemise impossible, gel dans les cheveux impossible, costard impossible, et qu’on me pende le jour où j’ose mettre un foulard autour du coup
Je suis à l’aise qu’en sportswear pratiquement
-Je sais que mon principal problème c’est pas ma condition économique puisque pour ça au moins je m’en sors bien
Ma plus grosse difficulté c’est d’arriver à me connecter mentalement avec la fille, je sais plus si je l’ai déjà dis mais je suis asperger donc ça me met des bâtons dans les roues
Si j’arrive à me mettre sur la même longueur d’onde que la fille c’est du tout cuit
Mais c’est sur ça que je galère le plus, c’est impalpable mais c’est le truc le plus important et je sais pas comment développer ça
Bon je t'avoue que j'ai lu rapidement, mais si j'ai un seul conseil à te donner :
Apprends à être heureux dans ta vie, à avoir confiance en toi de façon générale. Pas que vis à vis des meufs, mais confiance en tes qualités en tant qu'être humain, en ce que tu es intrinsèquement.
Je dis pas que c'est évident mais une fois que tu en seras la, tout sera beaucoup, beaucoup plus simple avec les femmes.
Apprends à être heureux dans ta vie, à avoir confiance en toi de façon générale. Pas que vis à vis des meufs, mais confiance en tes qualités en tant qu'être humain, en ce que tu es intrinsèquement.
Je dis pas que c'est évident mais une fois que tu en seras la, tout sera beaucoup, beaucoup plus simple avec les femmes.
Le score de cet utilisateur est négatif ce qui veut dire que ses messages sont globalement jugés problématiques par les autres utilisateurs.
Intrinsèquement je ne suis pas grand chose, donc je ne sais pas sur quelles qualités me reposerNewStart a écrit : ↑12.12.19 Bon je t'avoue que j'ai lu rapidement, mais si j'ai un seul conseil à te donner :
Apprends à être heureux dans ta vie, à avoir confiance en toi de façon générale. Pas que vis à vis des meufs, mais confiance en tes qualités en tant qu'être humain, en ce que tu es intrinsèquement.
Je dis pas que c'est évident mais une fois que tu en seras la, tout sera beaucoup, beaucoup plus simple avec les femmes.
Être fier de soi j’ai essayé, pas très concluant malheureusement
Je préfère devenir quelqu’un que j’ai décidé, que être content de ce que je suis comme ça gratuitement, parce que pour ma part de tout ce que j’ai fais jusqu’à présent y’a pas grand chose qui me rend fier
Salut Romain,
Je vais te répondre en tant que femme.
Perso j'ai l'impression que tu as une vision hyper erronée des relations hommes-femmes, j'ai lu ton post de départ sur l'autre topic... tu rejettes apparemment tout ce qui est développement personnel.
Alors que pour moi, et je dis ça SANS JUGEMENT, ça te serait certainement très utile.
Je le dis encore une fois sans jugement, d'autant que moi-même je suis aussi dans une démarche visant à m'améliorer, j'ai beaucoup de choses à apprendre en termes de relations humaines... En gros ce que je te conseille c'est ce que je me conseille à moi-même en ce moment donc n'y vois aucune condescendance, il n'y en a pas. Ce qu'on recoupe sous le terme "développement personnel", en très simplifié résumé, c'est l'idée de travailler sur soi pour être mieux dans sa peau et dans sa vie. Y a rien de mal à ça hein ! Et ce n'est pas forcément réservé aux gens en échec ou aux cas soc'.
Ce qui me pousse à dire que ça te serait utile, c'est que tu as l'air d'être en permanence tendu, anxieux, à penser en termes de rapports de force, de rendement, de résultats...
Tu parles de réussir ou d'échouer...
On parle de relations humaines là :/ Pas de performances athlétiques ou professionnelles par exemple, où tu te mets en jeu toi contre des limites physiques, matérielles, des obstacles plus ou moins concrets. On parle d'un domaine qui implique d'autres êtres humains. Tu ne pourras JAMAIS faire en sorte que tout se passe comme tu le veux avec tes semblables... tout simplement parce qu'ils ont leur volonté, leur libre-arbitre, leurs désirs etc., dont tu n'es pas responsable. Tu peux certes travailler sur toi et devenir une personne attirante qui aura de plus en plus de succès, mais tu n'acquerras jamais de superpouvoirs qui feront que toutes les filles que tu veux te suivront. Jamais. Parce que ça n'arrive jamais à personne, même Casanova s'est pris des râteaux... Peu, sur les doigts d'une main si on considère ses dizaines de conquêtes, mais il s'en est pris.
Si tu penses "j'ai échoué et je n'avais pas le droit d'échouer" quand une drague ne fonctionne pas, c'est toi qui crées les conditions de ton propre échec parce que tu appliques un schéma (réussite/rendement/échec) qui est complètement inadapté aux relations humaines.
Pour moi, c'est un peu comme si tu te disais "désormais, il fera beau tous les jours, je l'ai décidé, si le soleil ne brille pas comme je veux, c'est que je suis en échec".
A te lire j'ai l'impression que tu voudrais qu'il "fasse beau" pour toi avec chaque fille qui te plaît. C'est pas possible hein
(et même en sens inverse, pour nous les filles, c'est pas possible que ça marche comme on veut avec TOUS les mecs qui nous plaisent... parce que non, on n'est pas des créatures surpuissantes qui obtiennent tout ce qu'elles veulent en claquant des doigts non non plus).
Chaque personne que tu croiseras aura son univers personnel avec ses paramètres, qui le pousseront à telle ou telle décision, cet univers tu peux l'appréhender habilement et t'y adapter, mais non le créer à la place de l'autre.
Les gens sont des ressources d'interaction "variables" et non "fixes" en quelque sorte. Tu peux mettre les chances de ton côté pour leur donner envie au maximum de rayonner pour toi : évidemment qu'un gars intelligent, drôle et sexy a plus ses chances qu'un Calimero hargneux avec des pellicules dans la tignasse. Mais tu ne peux pas FORCER les gens - et donc les filles - à produire lumière et chaleur pour toi, ils ont leur météo personnelle, tu peux influencer non décider. En te percevant comme le seul et unique décideur d'une situation impliquant DEUX volontés (= si elle ne veut pas de moi, j'échoue), tu t'imposes une pression colossale. Tu te crées une perception des choses où tout ne dépend que de toi - alors que cela dépend de toi, ET de l'autre. Donc, dans cette perception, si tout ne se passe pas comme prévu, c'est de ta faute, c'est toi qui as mal géré, du coup sentiment d'échec, du coup pression encore accrue pour la suite, et du coup re-mal-être, sentiment d'échec, etc.
Peut-être qu'avant de te tourner vers le monde extérieur en voulant à toute force qu'il corresponde à tes attentes (= "il faut que les filles que je veux veulent de moi aussi, je DOIS faire en sorte d'obtenir ce que je veux"), tu pourrais te tourner vers ton monde intérieur et te demander pourquoi c'est à ce point une tension, une question de vie ou de mort. Parce que tu parles comme quelqu'un qui voudrait être en position de pouvoir, sauf que là, en y mettant de tels enjeux, c'est toi qui donnes un pouvoir démesuré sur toi aux filles, comme si leur acceptation de toi pouvait te valider à tes propres yeux, te dire que tu as "réussi"... Alors que peut-être que si tu avais peut-être déjà de base des sentiments plus cool envers toi-même, tes relations avec les autres seraient détendues et améliorées (d'où aussi le fait que les sites de drague insistent sur le développement personnel etc. C'est pas pour faire joli^^)
Perso quand un mec qui ne me connaît pas ou très peu m'aborde et que je sens que derrière sa façade il y a un programme "tout ou rien" qui s'est mis en place, un programme "celle-là j'ai décidé de la pécho, il faut que je l'aie" ma première réaction c'est le recul. Ca m'effraie.
Je me sens un peu comme un objet, un moyen, comme s'il était dans un combat entre lui et lui d'où je suis purement et simplement exclue. J'ai l'impression dans ces moments-là que ce qui intéresse le mec, ce n'est pas que j'existe, en tant qu'individu, avec ma personnalité, mes pensées, ou même simplement mon désir et mon corps, la seule chose qui l'intéresse, c'est que j'acquiesce, que je suive, que je "plie".
En tout cas c'est ce que je ressens.
Et c'est horriblement rédhibitoire. Je FUIS ce genre de situation ou l'autre me semble tout entier braqué sur un seul et unique but : obtenir quelque chose de moi.
(Je ne sais pas comment le vivent les autres filles du forum et je suis curieuse de leurs réactions si elles me lisent.)
Je ne suis pas contre l'idée de coucher avec un mec que je connais peu s'il y a une bonne alchimie mais pour qu'il y ait une bonne alchimie il faut que l'approche soit décontractée, que je me sente traitée en égale. Coup d'un soir pourquoi pas, mais ce qui va m'attirer, ce n'est pas un mec décidé à faire du chiffre, c'est un mec décidé à passer un bon moment AVEC moi.
Bien sûr peut-être que dans la foulée ça va lui permettre de faire du chiffre, mais ce n'est pas ce que j'aurai ressenti en premier, ce que j'aurai ressenti, c'est quelqu'un prêt à apprécier l'instant présent avec moi.
Je crois que dans ton topic précédent tu disais quelque chose (au sujet du développement personnel etc.) : être gentil, zen, ça sert à rien.
Ben si... ça sert à nous attirer
Je ne parle pas d'être une carpette hein ! Bien sûr qu'une personne qui s'efface sans arrêt ce n'est pas attirant.
Mais je crois que tu confonds au moins en partie gentillesse et faiblesse, équilibre et mollesse...
Si tu inverses la situation, toi, quand tu es face à un groupe de filles, tu es attiré par les filles hargneuses qui tirent la gueule ? Qui crient, qui s'énervent pour un rien, qui sont tendues et stressées ? Ou par les filles qui sont cool, rayonnantes, pétillantes ? Ou pas forcément souriantes mais qui ont quand même une aura de confiance (fille calme et mystérieuse par exemple) ? A physique égal, tu choisis qui ?
Enfin je ne sais pas ce qu'en pensent les mecs qui me lisent mais je crois que c'est attirant pour personne ça :/
Tous les derniers mecs pour lesquels j'ai eu des coups de coeur ou des regards intéressés étaient des types souriants et sympathiques qui avaient l'air bien dans leur peau.
Qui avaient AUSSI l'air d'avoir confiance en eux (tout en étant souriants et sympathiques, pas besoin d'être un bad boy).
Toi, si tu es tendu à l'idée qu'une fille que tu as choisie "t'échappe", bah, ça va se sentir et ça révèle un manque de confiance en soi. Le type qui a confiance en lui, il s'en fout qu'une fille lui "échappe" ou pas, sa perception de sa valeur personnelle ne dépend pas du fait que la fille lui dise oui ou lui mette un râteau.
Ceci dit, j'ai AUSSI déjà ressenti des coups de coeur pour des mecs qui manquaient visiblement de confiance en eux mais qui essayaient quand même de prendre la vie du bon côté (sourire, autodérision, et attitude agréable avec moi, une attitude qui semblait me dire, non pas "j'ai décidé que je t'aurai et je serai anxieux si je ne t'obtiens pas", mais simplement : "tu me plais, je suis bien dans l'instant présent avec toi.").
Les mecs entreprenants ça peut être très séduisant. Mais il y a une subtilité entre être entreprenant et être envahissant par exemple. Le mec "juste" entreprenant te fait sentir très clairement qu'il te désire. MAIS il est à l'écoute de tes réactions. Il essaie de te faire te sentir bien (blaguer avec toi par exemple), s'il tente une approche tactile et qu'il voit que tu te crispes ou que tu n'es pas réceptive il va éviter l'erreur de te coller. Il va attendre de voir si "le" bon moment se produit et si ça ne se produit pas, il ne force pas. Il sait parler de lui mais te pousse aussi à parler de toi, te relancer, te mettre à l'aise... Il est dans la relation à l'autre. Bien sûr qu'il essaie d'occuper une position qui lui est favorable dans cette relation - bien sûr qu'il a envie que tu aies une bonne image de lui, que tu aies envie de lui toi aussi, etc., mais il essaie de gérer ça en te proposant implicitement une place attirante dans son moment de vie, pas en t'écrasant.
Le mec envahissant il a tellement le programme "celle-là il me la faut" qui tourne dans sa tête et qui occulte tout le reste que du coup il perd tout sens de l'écoute. Si tu n'es pas intéressée par ce qu'il dit il insiste, il veut ton attention. Si tu ne relances pas la conversation (une façon polie parfois de montrer que ton affinité avec lui s'arrête là) c'est pas grave, il la reprend, et il l'occupe à lui tout seul en essayant désespérément de se faire valoir (pendant que toi tu dis "hum", "OK", "ah oui" en commençant clairement à penser à autre chose). Si tu changes de pièce il te suit. Si tu lui "échappes" pour aller parler à une autre personne il revient quatre-vingt-dix secondes plus tard en ayant trouvé un nouveau prétexte ou alors il essaie de se glisser dans ta nouvelle conversation. S'il te passe la main sur l'épaule et que tu te crispes un peu, il va quand même réessayer et réessayer le contact physique en se disant qu'à la fin tu vas bien finir par te laisser faire, sans s'apercevoir qu'il devient vraiment lourd. S'il y a un autre mec qui vient te parler il a des tendances à "marquer le territoire" en te collant comme si tu lui appartenais déjà (au secours).
Le mec entreprenant il a confiance en lui, il "ose", mais ne force pas et s'il n'obtient pas ce qu'il veut il a l'élégance de ne pas en faire une affaire d'Etat. Il se "propose" en quelque sorte (et bien sûr s'il a une bonne maîtrise de lui il fait tout pour apparaître comme une proposition attirante et il a de fortes chances d'y arriver), mais il ne s'impose pas. Le mec envahissant fait peur parce que tu as l'impression que ta volonté n'existe pas dans son équation personnelle, il te veut, il te veut POINT et il te collera jusqu'à ce qu'il t'aie (ou que tu trouves un moyen pour t'en débarrasser).
Et le truc horriblement crispant aussi c'est que même si le mec envahissant ne va pas forcément aller jusqu'à des extrêmes du genre agresser la fille, il peut avoir un côté ultra mauvais perdant qui fout bien le malaise ("t'es sûûûre ? tu veux pas rester ? Bon ben je peux te raccompagner alors. T'habites où ? Bah tu veux pas me le dire ? tu pourrais avoir confiance hein, je ne vais pas t'agresser *sourire insistant*. Bon OK OK c'est comme tu veux, mais moi c'était juste pour être utile hein, enfin tu veux pas tant pis pour toi""pourquoi tu veux pas qu'on se revoie ? Ca pourrait être cool. En plus tu as dit que tu étais musicienne moi je pourrais venir te voir jouer tu sais, ça serait sympa... tu ne veux pas me dire où tu joues ? Oui ? Non ? C'est dommage hein franchement"). Bref, il t'en VEUT de ne pas lui donner ce qu'il veut et derrière ses sourires, son insistance, etc., tu le sens parfaitement qu'il t'en veut (ou qu'il s'en veut à lui-même, ou qu'il t'en veut parce qu'à cause de toi il se retrouve en position de s'en vouloir à lui-même... bref). C'est vraiment désagréable parce que toi, à la base, tu ne lui dois rien du tout, et qu'il a fini par se comporter comme si tu lui devais quelque chose. C'est pas attirant. Du tout.
Alors attention hein, je ne suis pas en train de dire que TOI tu es envahissant. Je n'en sais rien, je ne t'ai pas rencontré et je n'ai pas été ta "cible".
Je dépeins juste un extrême dans lequel on peut tomber (j'ai bien conscience que c'est un extrême et une caricature et que peu d'hommes sont dedans) si on a un manque de confiance en soi trop poussé et recoupé à des mauvais schémas de "je veux d'elle, si elle ne veut pas de moi en retour j'échouerai et je ne DOIS PAS échouer".
Tu dis que tu veux des conseils sur ce que tu dois "faire", moi je serais plutôt partante pour te conseiller, non pas sur ce que tu DOIS, mais sur ce que tu PEUX être, pas faire, ETRE, à savoir : quelqu'un qui se met moins la pression et surtout ne pense pas ses relations en termes d'échec/réussite.
Si tu rencontres une femme qui te plaît, apprécie le moment, apprécie l'échange, donne-lui envie de l'apprécier aussi.
Ca marche ça marche, ça marche pas... c'est pas grave. Ca ne fait pas de toi quelqu'un qui a "échoué". C'est comme ça c'est tout. Il faut l'accepter. Il n'y a aucune recette miracle pour que tu obtiennes des "oui" à 100 %.
Et si elle te sent trop tendu vers un but avec le côté "question de vie ou de mort", ça peut être rédhibitoire.
Si tu es trop habité par tes manques, que ça te bouffe et que ça influence trop ton approche, tu peux essayer toutes les "techniques" du monde, au bout d'un moment ça aura ses limites.
C'est pour ça aussi que je te conseillerais de travailler sur toi. Si tu te sens mieux dans ta peau, sans ce manque et cette logique d'échec/réussite qui biaise complètement ton approche, je suis persuadée qu'il y aura un changement positif dans la façon dont le monde autour de toi te percevra - et par ricochet, dans ton pouvoir d'action sur ce monde qui t'environne.
Je ne suis pas forcément très douée pour avoir des mots compatissants ou réconfortants, mais sache que si ton sujet ne m'avait pas touchée, je n'aurais pas pris le temps de te répondre. Je te souhaite de parvenir à te sentir mieux avec toi-même et avec les autres.
Je vais te répondre en tant que femme.
Perso j'ai l'impression que tu as une vision hyper erronée des relations hommes-femmes, j'ai lu ton post de départ sur l'autre topic... tu rejettes apparemment tout ce qui est développement personnel.
Alors que pour moi, et je dis ça SANS JUGEMENT, ça te serait certainement très utile.
Je le dis encore une fois sans jugement, d'autant que moi-même je suis aussi dans une démarche visant à m'améliorer, j'ai beaucoup de choses à apprendre en termes de relations humaines... En gros ce que je te conseille c'est ce que je me conseille à moi-même en ce moment donc n'y vois aucune condescendance, il n'y en a pas. Ce qu'on recoupe sous le terme "développement personnel", en très simplifié résumé, c'est l'idée de travailler sur soi pour être mieux dans sa peau et dans sa vie. Y a rien de mal à ça hein ! Et ce n'est pas forcément réservé aux gens en échec ou aux cas soc'.
Ce qui me pousse à dire que ça te serait utile, c'est que tu as l'air d'être en permanence tendu, anxieux, à penser en termes de rapports de force, de rendement, de résultats...
Tu parles de réussir ou d'échouer...
On parle de relations humaines là :/ Pas de performances athlétiques ou professionnelles par exemple, où tu te mets en jeu toi contre des limites physiques, matérielles, des obstacles plus ou moins concrets. On parle d'un domaine qui implique d'autres êtres humains. Tu ne pourras JAMAIS faire en sorte que tout se passe comme tu le veux avec tes semblables... tout simplement parce qu'ils ont leur volonté, leur libre-arbitre, leurs désirs etc., dont tu n'es pas responsable. Tu peux certes travailler sur toi et devenir une personne attirante qui aura de plus en plus de succès, mais tu n'acquerras jamais de superpouvoirs qui feront que toutes les filles que tu veux te suivront. Jamais. Parce que ça n'arrive jamais à personne, même Casanova s'est pris des râteaux... Peu, sur les doigts d'une main si on considère ses dizaines de conquêtes, mais il s'en est pris.
Si tu penses "j'ai échoué et je n'avais pas le droit d'échouer" quand une drague ne fonctionne pas, c'est toi qui crées les conditions de ton propre échec parce que tu appliques un schéma (réussite/rendement/échec) qui est complètement inadapté aux relations humaines.
Pour moi, c'est un peu comme si tu te disais "désormais, il fera beau tous les jours, je l'ai décidé, si le soleil ne brille pas comme je veux, c'est que je suis en échec".
A te lire j'ai l'impression que tu voudrais qu'il "fasse beau" pour toi avec chaque fille qui te plaît. C'est pas possible hein

Chaque personne que tu croiseras aura son univers personnel avec ses paramètres, qui le pousseront à telle ou telle décision, cet univers tu peux l'appréhender habilement et t'y adapter, mais non le créer à la place de l'autre.
Les gens sont des ressources d'interaction "variables" et non "fixes" en quelque sorte. Tu peux mettre les chances de ton côté pour leur donner envie au maximum de rayonner pour toi : évidemment qu'un gars intelligent, drôle et sexy a plus ses chances qu'un Calimero hargneux avec des pellicules dans la tignasse. Mais tu ne peux pas FORCER les gens - et donc les filles - à produire lumière et chaleur pour toi, ils ont leur météo personnelle, tu peux influencer non décider. En te percevant comme le seul et unique décideur d'une situation impliquant DEUX volontés (= si elle ne veut pas de moi, j'échoue), tu t'imposes une pression colossale. Tu te crées une perception des choses où tout ne dépend que de toi - alors que cela dépend de toi, ET de l'autre. Donc, dans cette perception, si tout ne se passe pas comme prévu, c'est de ta faute, c'est toi qui as mal géré, du coup sentiment d'échec, du coup pression encore accrue pour la suite, et du coup re-mal-être, sentiment d'échec, etc.
Peut-être qu'avant de te tourner vers le monde extérieur en voulant à toute force qu'il corresponde à tes attentes (= "il faut que les filles que je veux veulent de moi aussi, je DOIS faire en sorte d'obtenir ce que je veux"), tu pourrais te tourner vers ton monde intérieur et te demander pourquoi c'est à ce point une tension, une question de vie ou de mort. Parce que tu parles comme quelqu'un qui voudrait être en position de pouvoir, sauf que là, en y mettant de tels enjeux, c'est toi qui donnes un pouvoir démesuré sur toi aux filles, comme si leur acceptation de toi pouvait te valider à tes propres yeux, te dire que tu as "réussi"... Alors que peut-être que si tu avais peut-être déjà de base des sentiments plus cool envers toi-même, tes relations avec les autres seraient détendues et améliorées (d'où aussi le fait que les sites de drague insistent sur le développement personnel etc. C'est pas pour faire joli^^)
Perso quand un mec qui ne me connaît pas ou très peu m'aborde et que je sens que derrière sa façade il y a un programme "tout ou rien" qui s'est mis en place, un programme "celle-là j'ai décidé de la pécho, il faut que je l'aie" ma première réaction c'est le recul. Ca m'effraie.
Je me sens un peu comme un objet, un moyen, comme s'il était dans un combat entre lui et lui d'où je suis purement et simplement exclue. J'ai l'impression dans ces moments-là que ce qui intéresse le mec, ce n'est pas que j'existe, en tant qu'individu, avec ma personnalité, mes pensées, ou même simplement mon désir et mon corps, la seule chose qui l'intéresse, c'est que j'acquiesce, que je suive, que je "plie".
En tout cas c'est ce que je ressens.
Et c'est horriblement rédhibitoire. Je FUIS ce genre de situation ou l'autre me semble tout entier braqué sur un seul et unique but : obtenir quelque chose de moi.
(Je ne sais pas comment le vivent les autres filles du forum et je suis curieuse de leurs réactions si elles me lisent.)
Je ne suis pas contre l'idée de coucher avec un mec que je connais peu s'il y a une bonne alchimie mais pour qu'il y ait une bonne alchimie il faut que l'approche soit décontractée, que je me sente traitée en égale. Coup d'un soir pourquoi pas, mais ce qui va m'attirer, ce n'est pas un mec décidé à faire du chiffre, c'est un mec décidé à passer un bon moment AVEC moi.
Bien sûr peut-être que dans la foulée ça va lui permettre de faire du chiffre, mais ce n'est pas ce que j'aurai ressenti en premier, ce que j'aurai ressenti, c'est quelqu'un prêt à apprécier l'instant présent avec moi.
Je crois que dans ton topic précédent tu disais quelque chose (au sujet du développement personnel etc.) : être gentil, zen, ça sert à rien.
Ben si... ça sert à nous attirer

Je ne parle pas d'être une carpette hein ! Bien sûr qu'une personne qui s'efface sans arrêt ce n'est pas attirant.
Mais je crois que tu confonds au moins en partie gentillesse et faiblesse, équilibre et mollesse...
Si tu inverses la situation, toi, quand tu es face à un groupe de filles, tu es attiré par les filles hargneuses qui tirent la gueule ? Qui crient, qui s'énervent pour un rien, qui sont tendues et stressées ? Ou par les filles qui sont cool, rayonnantes, pétillantes ? Ou pas forcément souriantes mais qui ont quand même une aura de confiance (fille calme et mystérieuse par exemple) ? A physique égal, tu choisis qui ?
Enfin je ne sais pas ce qu'en pensent les mecs qui me lisent mais je crois que c'est attirant pour personne ça :/
Tous les derniers mecs pour lesquels j'ai eu des coups de coeur ou des regards intéressés étaient des types souriants et sympathiques qui avaient l'air bien dans leur peau.
Qui avaient AUSSI l'air d'avoir confiance en eux (tout en étant souriants et sympathiques, pas besoin d'être un bad boy).
Toi, si tu es tendu à l'idée qu'une fille que tu as choisie "t'échappe", bah, ça va se sentir et ça révèle un manque de confiance en soi. Le type qui a confiance en lui, il s'en fout qu'une fille lui "échappe" ou pas, sa perception de sa valeur personnelle ne dépend pas du fait que la fille lui dise oui ou lui mette un râteau.
Ceci dit, j'ai AUSSI déjà ressenti des coups de coeur pour des mecs qui manquaient visiblement de confiance en eux mais qui essayaient quand même de prendre la vie du bon côté (sourire, autodérision, et attitude agréable avec moi, une attitude qui semblait me dire, non pas "j'ai décidé que je t'aurai et je serai anxieux si je ne t'obtiens pas", mais simplement : "tu me plais, je suis bien dans l'instant présent avec toi.").
Les mecs entreprenants ça peut être très séduisant. Mais il y a une subtilité entre être entreprenant et être envahissant par exemple. Le mec "juste" entreprenant te fait sentir très clairement qu'il te désire. MAIS il est à l'écoute de tes réactions. Il essaie de te faire te sentir bien (blaguer avec toi par exemple), s'il tente une approche tactile et qu'il voit que tu te crispes ou que tu n'es pas réceptive il va éviter l'erreur de te coller. Il va attendre de voir si "le" bon moment se produit et si ça ne se produit pas, il ne force pas. Il sait parler de lui mais te pousse aussi à parler de toi, te relancer, te mettre à l'aise... Il est dans la relation à l'autre. Bien sûr qu'il essaie d'occuper une position qui lui est favorable dans cette relation - bien sûr qu'il a envie que tu aies une bonne image de lui, que tu aies envie de lui toi aussi, etc., mais il essaie de gérer ça en te proposant implicitement une place attirante dans son moment de vie, pas en t'écrasant.
Le mec envahissant il a tellement le programme "celle-là il me la faut" qui tourne dans sa tête et qui occulte tout le reste que du coup il perd tout sens de l'écoute. Si tu n'es pas intéressée par ce qu'il dit il insiste, il veut ton attention. Si tu ne relances pas la conversation (une façon polie parfois de montrer que ton affinité avec lui s'arrête là) c'est pas grave, il la reprend, et il l'occupe à lui tout seul en essayant désespérément de se faire valoir (pendant que toi tu dis "hum", "OK", "ah oui" en commençant clairement à penser à autre chose). Si tu changes de pièce il te suit. Si tu lui "échappes" pour aller parler à une autre personne il revient quatre-vingt-dix secondes plus tard en ayant trouvé un nouveau prétexte ou alors il essaie de se glisser dans ta nouvelle conversation. S'il te passe la main sur l'épaule et que tu te crispes un peu, il va quand même réessayer et réessayer le contact physique en se disant qu'à la fin tu vas bien finir par te laisser faire, sans s'apercevoir qu'il devient vraiment lourd. S'il y a un autre mec qui vient te parler il a des tendances à "marquer le territoire" en te collant comme si tu lui appartenais déjà (au secours).
Le mec entreprenant il a confiance en lui, il "ose", mais ne force pas et s'il n'obtient pas ce qu'il veut il a l'élégance de ne pas en faire une affaire d'Etat. Il se "propose" en quelque sorte (et bien sûr s'il a une bonne maîtrise de lui il fait tout pour apparaître comme une proposition attirante et il a de fortes chances d'y arriver), mais il ne s'impose pas. Le mec envahissant fait peur parce que tu as l'impression que ta volonté n'existe pas dans son équation personnelle, il te veut, il te veut POINT et il te collera jusqu'à ce qu'il t'aie (ou que tu trouves un moyen pour t'en débarrasser).
Et le truc horriblement crispant aussi c'est que même si le mec envahissant ne va pas forcément aller jusqu'à des extrêmes du genre agresser la fille, il peut avoir un côté ultra mauvais perdant qui fout bien le malaise ("t'es sûûûre ? tu veux pas rester ? Bon ben je peux te raccompagner alors. T'habites où ? Bah tu veux pas me le dire ? tu pourrais avoir confiance hein, je ne vais pas t'agresser *sourire insistant*. Bon OK OK c'est comme tu veux, mais moi c'était juste pour être utile hein, enfin tu veux pas tant pis pour toi""pourquoi tu veux pas qu'on se revoie ? Ca pourrait être cool. En plus tu as dit que tu étais musicienne moi je pourrais venir te voir jouer tu sais, ça serait sympa... tu ne veux pas me dire où tu joues ? Oui ? Non ? C'est dommage hein franchement"). Bref, il t'en VEUT de ne pas lui donner ce qu'il veut et derrière ses sourires, son insistance, etc., tu le sens parfaitement qu'il t'en veut (ou qu'il s'en veut à lui-même, ou qu'il t'en veut parce qu'à cause de toi il se retrouve en position de s'en vouloir à lui-même... bref). C'est vraiment désagréable parce que toi, à la base, tu ne lui dois rien du tout, et qu'il a fini par se comporter comme si tu lui devais quelque chose. C'est pas attirant. Du tout.
Alors attention hein, je ne suis pas en train de dire que TOI tu es envahissant. Je n'en sais rien, je ne t'ai pas rencontré et je n'ai pas été ta "cible".
Je dépeins juste un extrême dans lequel on peut tomber (j'ai bien conscience que c'est un extrême et une caricature et que peu d'hommes sont dedans) si on a un manque de confiance en soi trop poussé et recoupé à des mauvais schémas de "je veux d'elle, si elle ne veut pas de moi en retour j'échouerai et je ne DOIS PAS échouer".
Tu dis que tu veux des conseils sur ce que tu dois "faire", moi je serais plutôt partante pour te conseiller, non pas sur ce que tu DOIS, mais sur ce que tu PEUX être, pas faire, ETRE, à savoir : quelqu'un qui se met moins la pression et surtout ne pense pas ses relations en termes d'échec/réussite.
Si tu rencontres une femme qui te plaît, apprécie le moment, apprécie l'échange, donne-lui envie de l'apprécier aussi.
Ca marche ça marche, ça marche pas... c'est pas grave. Ca ne fait pas de toi quelqu'un qui a "échoué". C'est comme ça c'est tout. Il faut l'accepter. Il n'y a aucune recette miracle pour que tu obtiennes des "oui" à 100 %.
Et si elle te sent trop tendu vers un but avec le côté "question de vie ou de mort", ça peut être rédhibitoire.
Si tu es trop habité par tes manques, que ça te bouffe et que ça influence trop ton approche, tu peux essayer toutes les "techniques" du monde, au bout d'un moment ça aura ses limites.
C'est pour ça aussi que je te conseillerais de travailler sur toi. Si tu te sens mieux dans ta peau, sans ce manque et cette logique d'échec/réussite qui biaise complètement ton approche, je suis persuadée qu'il y aura un changement positif dans la façon dont le monde autour de toi te percevra - et par ricochet, dans ton pouvoir d'action sur ce monde qui t'environne.
Je ne suis pas forcément très douée pour avoir des mots compatissants ou réconfortants, mais sache que si ton sujet ne m'avait pas touchée, je n'aurais pas pris le temps de te répondre. Je te souhaite de parvenir à te sentir mieux avec toi-même et avec les autres.
Tu n'es pas grand chose ? Deviens le.Romain1997 a écrit : ↑12.12.19 Intrinsèquement je ne suis pas grand chose, donc je ne sais pas sur quelles qualités me reposer
Être fier de soi j’ai essayé, pas très concluant malheureusement
Je préfère devenir quelqu’un que j’ai décidé, que être content de ce que je suis comme ça gratuitement, parce que pour ma part de tout ce que j’ai fais jusqu’à présent y’a pas grand chose qui me rend fier
Tu n'es pas fier de toi ? Fais des choses qui te rendent fier. (j'ai parlé de confiance en soi, pas de fierté d'ailleurs).
Tu n'es pas content de ce que tu es ? Change, et deviens celui que tu veux être.
Mais ne centre pas ta construction de soi sur les femmes. C'est à mon sens malsain et toxique. Ça peut en être un élément évidemment, mais pas la base.
Y a un truc intéressant dans ce que tu dis : "je préfère devenir quelqu'un que j'ai décidé". C'est exactement ça. C'est un processus qui n'est ni facile ni rapide, mais qui au final paye énormément plus tard.
Bref, bon courage.
PS : essaye de t'intéresser au développement personnel. On trouve de tout, du bon comme du mauvais mais si tu arrives à faire le tri, c'est super intéressant.
Le score de cet utilisateur est négatif ce qui veut dire que ses messages sont globalement jugés problématiques par les autres utilisateurs.
OkAlniyat a écrit : ↑12.12.19 Salut Romain,
Je vais te répondre en tant que femme.
Perso j'ai l'impression que tu as une vision hyper erronée des relations hommes-femmes, j'ai lu ton post de départ sur l'autre topic... tu rejettes apparemment tout ce qui est développement personnel.
Alors que pour moi, et je dis ça SANS JUGEMENT, ça te serait certainement très utile.
Je le dis encore une fois sans jugement, d'autant que moi-même je suis aussi dans une démarche visant à m'améliorer, j'ai beaucoup de choses à apprendre en termes de relations humaines... En gros ce que je te conseille c'est ce que je me conseille à moi-même en ce moment donc n'y vois aucune condescendance, il n'y en a pas. Ce qu'on recoupe sous le terme "développement personnel", en très simplifié résumé, c'est l'idée de travailler sur soi pour être mieux dans sa peau et dans sa vie. Y a rien de mal à ça hein ! Et ce n'est pas forcément réservé aux gens en échec ou aux cas soc'.
Ce qui me pousse à dire que ça te serait utile, c'est que tu as l'air d'être en permanence tendu, anxieux, à penser en termes de rapports de force, de rendement, de résultats...
Tu parles de réussir ou d'échouer...
On parle de relations humaines là :/ Pas de performances athlétiques ou professionnelles par exemple, où tu te mets en jeu toi contre des limites physiques, matérielles, des obstacles plus ou moins concrets. On parle d'un domaine qui implique d'autres êtres humains. Tu ne pourras JAMAIS faire en sorte que tout se passe comme tu le veux avec tes semblables... tout simplement parce qu'ils ont leur volonté, leur libre-arbitre, leurs désirs etc., dont tu n'es pas responsable. Tu peux certes travailler sur toi et devenir une personne attirante qui aura de plus en plus de succès, mais tu n'acquerras jamais de superpouvoirs qui feront que toutes les filles que tu veux te suivront. Jamais. Parce que ça n'arrive jamais à personne, même Casanova s'est pris des râteaux... Peu, sur les doigts d'une main si on considère ses dizaines de conquêtes, mais il s'en est pris.
Si tu penses "j'ai échoué et je n'avais pas le droit d'échouer" quand une drague ne fonctionne pas, c'est toi qui crées les conditions de ton propre échec parce que tu appliques un schéma (réussite/rendement/échec) qui est complètement inadapté aux relations humaines.
Pour moi, c'est un peu comme si tu te disais "désormais, il fera beau tous les jours, je l'ai décidé, si le soleil ne brille pas comme je veux, c'est que je suis en échec".
A te lire j'ai l'impression que tu voudrais qu'il "fasse beau" pour toi avec chaque fille qui te plaît. C'est pas possible hein(et même en sens inverse, pour nous les filles, c'est pas possible que ça marche comme on veut avec TOUS les mecs qui nous plaisent... parce que non, on n'est pas des créatures surpuissantes qui obtiennent tout ce qu'elles veulent en claquant des doigts non non plus).
Chaque personne que tu croiseras aura son univers personnel avec ses paramètres, qui le pousseront à telle ou telle décision, cet univers tu peux l'appréhender habilement et t'y adapter, mais non le créer à la place de l'autre.
Les gens sont des ressources d'interaction "variables" et non "fixes" en quelque sorte. Tu peux mettre les chances de ton côté pour leur donner envie au maximum de rayonner pour toi : évidemment qu'un gars intelligent, drôle et sexy a plus ses chances qu'un Calimero hargneux avec des pellicules dans la tignasse. Mais tu ne peux pas FORCER les gens - et donc les filles - à produire lumière et chaleur pour toi, ils ont leur météo personnelle, tu peux influencer non décider. En te percevant comme le seul et unique décideur d'une situation impliquant DEUX volontés (= si elle ne veut pas de moi, j'échoue), tu t'imposes une pression colossale. Tu te crées une perception des choses où tout ne dépend que de toi - alors que cela dépend de toi, ET de l'autre. Donc, dans cette perception, si tout ne se passe pas comme prévu, c'est de ta faute, c'est toi qui as mal géré, du coup sentiment d'échec, du coup pression encore accrue pour la suite, et du coup re-mal-être, sentiment d'échec, etc.
Peut-être qu'avant de te tourner vers le monde extérieur en voulant à toute force qu'il corresponde à tes attentes (= "il faut que les filles que je veux veulent de moi aussi, je DOIS faire en sorte d'obtenir ce que je veux"), tu pourrais te tourner vers ton monde intérieur et te demander pourquoi c'est à ce point une tension, une question de vie ou de mort. Parce que tu parles comme quelqu'un qui voudrait être en position de pouvoir, sauf que là, en y mettant de tels enjeux, c'est toi qui donnes un pouvoir démesuré sur toi aux filles, comme si leur acceptation de toi pouvait te valider à tes propres yeux, te dire que tu as "réussi"... Alors que peut-être que si tu avais peut-être déjà de base des sentiments plus cool envers toi-même, tes relations avec les autres seraient détendues et améliorées (d'où aussi le fait que les sites de drague insistent sur le développement personnel etc. C'est pas pour faire joli^^)
Perso quand un mec qui ne me connaît pas ou très peu m'aborde et que je sens que derrière sa façade il y a un programme "tout ou rien" qui s'est mis en place, un programme "celle-là j'ai décidé de la pécho, il faut que je l'aie" ma première réaction c'est le recul. Ca m'effraie.
Je me sens un peu comme un objet, un moyen, comme s'il était dans un combat entre lui et lui d'où je suis purement et simplement exclue. J'ai l'impression dans ces moments-là que ce qui intéresse le mec, ce n'est pas que j'existe, en tant qu'individu, avec ma personnalité, mes pensées, ou même simplement mon désir et mon corps, la seule chose qui l'intéresse, c'est que j'acquiesce, que je suive, que je "plie".
En tout cas c'est ce que je ressens.
Et c'est horriblement rédhibitoire. Je FUIS ce genre de situation ou l'autre me semble tout entier braqué sur un seul et unique but : obtenir quelque chose de moi.
(Je ne sais pas comment le vivent les autres filles du forum et je suis curieuse de leurs réactions si elles me lisent.)
Je ne suis pas contre l'idée de coucher avec un mec que je connais peu s'il y a une bonne alchimie mais pour qu'il y ait une bonne alchimie il faut que l'approche soit décontractée, que je me sente traitée en égale. Coup d'un soir pourquoi pas, mais ce qui va m'attirer, ce n'est pas un mec décidé à faire du chiffre, c'est un mec décidé à passer un bon moment AVEC moi.
Bien sûr peut-être que dans la foulée ça va lui permettre de faire du chiffre, mais ce n'est pas ce que j'aurai ressenti en premier, ce que j'aurai ressenti, c'est quelqu'un prêt à apprécier l'instant présent avec moi.
Je crois que dans ton topic précédent tu disais quelque chose (au sujet du développement personnel etc.) : être gentil, zen, ça sert à rien.
Ben si... ça sert à nous attirer
Je ne parle pas d'être une carpette hein ! Bien sûr qu'une personne qui s'efface sans arrêt ce n'est pas attirant.
Mais je crois que tu confonds au moins en partie gentillesse et faiblesse, équilibre et mollesse...
Si tu inverses la situation, toi, quand tu es face à un groupe de filles, tu es attiré par les filles hargneuses qui tirent la gueule ? Qui crient, qui s'énervent pour un rien, qui sont tendues et stressées ? Ou par les filles qui sont cool, rayonnantes, pétillantes ? Ou pas forcément souriantes mais qui ont quand même une aura de confiance (fille calme et mystérieuse par exemple) ? A physique égal, tu choisis qui ?
Enfin je ne sais pas ce qu'en pensent les mecs qui me lisent mais je crois que c'est attirant pour personne ça :/
Tous les derniers mecs pour lesquels j'ai eu des coups de coeur ou des regards intéressés étaient des types souriants et sympathiques qui avaient l'air bien dans leur peau.
Qui avaient AUSSI l'air d'avoir confiance en eux (tout en étant souriants et sympathiques, pas besoin d'être un bad boy).
Toi, si tu es tendu à l'idée qu'une fille que tu as choisie "t'échappe", bah, ça va se sentir et ça révèle un manque de confiance en soi. Le type qui a confiance en lui, il s'en fout qu'une fille lui "échappe" ou pas, sa perception de sa valeur personnelle ne dépend pas du fait que la fille lui dise oui ou lui mette un râteau.
Ceci dit, j'ai AUSSI déjà ressenti des coups de coeur pour des mecs qui manquaient visiblement de confiance en eux mais qui essayaient quand même de prendre la vie du bon côté (sourire, autodérision, et attitude agréable avec moi, une attitude qui semblait me dire, non pas "j'ai décidé que je t'aurai et je serai anxieux si je ne t'obtiens pas", mais simplement : "tu me plais, je suis bien dans l'instant présent avec toi.").
Les mecs entreprenants ça peut être très séduisant. Mais il y a une subtilité entre être entreprenant et être envahissant par exemple. Le mec "juste" entreprenant te fait sentir très clairement qu'il te désire. MAIS il est à l'écoute de tes réactions. Il essaie de te faire te sentir bien (blaguer avec toi par exemple), s'il tente une approche tactile et qu'il voit que tu te crispes ou que tu n'es pas réceptive il va éviter l'erreur de te coller. Il va attendre de voir si "le" bon moment se produit et si ça ne se produit pas, il ne force pas. Il sait parler de lui mais te pousse aussi à parler de toi, te relancer, te mettre à l'aise... Il est dans la relation à l'autre. Bien sûr qu'il essaie d'occuper une position qui lui est favorable dans cette relation - bien sûr qu'il a envie que tu aies une bonne image de lui, que tu aies envie de lui toi aussi, etc., mais il essaie de gérer ça en te proposant implicitement une place attirante dans son moment de vie, pas en t'écrasant.
Le mec envahissant il a tellement le programme "celle-là il me la faut" qui tourne dans sa tête et qui occulte tout le reste que du coup il perd tout sens de l'écoute. Si tu n'es pas intéressée par ce qu'il dit il insiste, il veut ton attention. Si tu ne relances pas la conversation (une façon polie parfois de montrer que ton affinité avec lui s'arrête là) c'est pas grave, il la reprend, et il l'occupe à lui tout seul en essayant désespérément de se faire valoir (pendant que toi tu dis "hum", "OK", "ah oui" en commençant clairement à penser à autre chose). Si tu changes de pièce il te suit. Si tu lui "échappes" pour aller parler à une autre personne il revient quatre-vingt-dix secondes plus tard en ayant trouvé un nouveau prétexte ou alors il essaie de se glisser dans ta nouvelle conversation. S'il te passe la main sur l'épaule et que tu te crispes un peu, il va quand même réessayer et réessayer le contact physique en se disant qu'à la fin tu vas bien finir par te laisser faire, sans s'apercevoir qu'il devient vraiment lourd. S'il y a un autre mec qui vient te parler il a des tendances à "marquer le territoire" en te collant comme si tu lui appartenais déjà (au secours).
Le mec entreprenant il a confiance en lui, il "ose", mais ne force pas et s'il n'obtient pas ce qu'il veut il a l'élégance de ne pas en faire une affaire d'Etat. Il se "propose" en quelque sorte (et bien sûr s'il a une bonne maîtrise de lui il fait tout pour apparaître comme une proposition attirante et il a de fortes chances d'y arriver), mais il ne s'impose pas. Le mec envahissant fait peur parce que tu as l'impression que ta volonté n'existe pas dans son équation personnelle, il te veut, il te veut POINT et il te collera jusqu'à ce qu'il t'aie (ou que tu trouves un moyen pour t'en débarrasser).
Et le truc horriblement crispant aussi c'est que même si le mec envahissant ne va pas forcément aller jusqu'à des extrêmes du genre agresser la fille, il peut avoir un côté ultra mauvais perdant qui fout bien le malaise ("t'es sûûûre ? tu veux pas rester ? Bon ben je peux te raccompagner alors. T'habites où ? Bah tu veux pas me le dire ? tu pourrais avoir confiance hein, je ne vais pas t'agresser *sourire insistant*. Bon OK OK c'est comme tu veux, mais moi c'était juste pour être utile hein, enfin tu veux pas tant pis pour toi""pourquoi tu veux pas qu'on se revoie ? Ca pourrait être cool. En plus tu as dit que tu étais musicienne moi je pourrais venir te voir jouer tu sais, ça serait sympa... tu ne veux pas me dire où tu joues ? Oui ? Non ? C'est dommage hein franchement"). Bref, il t'en VEUT de ne pas lui donner ce qu'il veut et derrière ses sourires, son insistance, etc., tu le sens parfaitement qu'il t'en veut (ou qu'il s'en veut à lui-même, ou qu'il t'en veut parce qu'à cause de toi il se retrouve en position de s'en vouloir à lui-même... bref). C'est vraiment désagréable parce que toi, à la base, tu ne lui dois rien du tout, et qu'il a fini par se comporter comme si tu lui devais quelque chose. C'est pas attirant. Du tout.
Alors attention hein, je ne suis pas en train de dire que TOI tu es envahissant. Je n'en sais rien, je ne t'ai pas rencontré et je n'ai pas été ta "cible".
Je dépeins juste un extrême dans lequel on peut tomber (j'ai bien conscience que c'est un extrême et une caricature et que peu d'hommes sont dedans) si on a un manque de confiance en soi trop poussé et recoupé à des mauvais schémas de "je veux d'elle, si elle ne veut pas de moi en retour j'échouerai et je ne DOIS PAS échouer".
Tu dis que tu veux des conseils sur ce que tu dois "faire", moi je serais plutôt partante pour te conseiller, non pas sur ce que tu DOIS, mais sur ce que tu PEUX être, pas faire, ETRE, à savoir : quelqu'un qui se met moins la pression et surtout ne pense pas ses relations en termes d'échec/réussite.
Si tu rencontres une femme qui te plaît, apprécie le moment, apprécie l'échange, donne-lui envie de l'apprécier aussi.
Ca marche ça marche, ça marche pas... c'est pas grave. Ca ne fait pas de toi quelqu'un qui a "échoué". C'est comme ça c'est tout. Il faut l'accepter. Il n'y a aucune recette miracle pour que tu obtiennes des "oui" à 100 %.
Et si elle te sent trop tendu vers un but avec le côté "question de vie ou de mort", ça peut être rédhibitoire.
Si tu es trop habité par tes manques, que ça te bouffe et que ça influence trop ton approche, tu peux essayer toutes les "techniques" du monde, au bout d'un moment ça aura ses limites.
C'est pour ça aussi que je te conseillerais de travailler sur toi. Si tu te sens mieux dans ta peau, sans ce manque et cette logique d'échec/réussite qui biaise complètement ton approche, je suis persuadée qu'il y aura un changement positif dans la façon dont le monde autour de toi te percevra - et par ricochet, dans ton pouvoir d'action sur ce monde qui t'environne.
Je ne suis pas forcément très douée pour avoir des mots compatissants ou réconfortants, mais sache que si ton sujet ne m'avait pas touchée, je n'aurais pas pris le temps de te répondre. Je te souhaite de parvenir à te sentir mieux avec toi-même et avec les autres.
Sauf une chose: les concept de réussite/échec et performance ne sont pas antinomique avec les relations humaines, d’ailleurs c’est antinomique avec rien puisque tout se perfectionne, la preuve ce forum existe
Sinon c’est très gentil mais vous êtes une femme donc essentiellement vous ne draguez pas, vous vous faites draguer :/
C’est comme si le consommateur disait au producteur comment il doit organiser sa journée de travail, je sais pas si vous voyez ce que je veux dire
Par contre quand le consommateur dit au producteur ce qu’il veut consommer, là ça fait avancer et c’est bon pour le producteur
(Métaphore)
Donc c’est compliqué de dire à un homme dans quel état d’esprit il doit se mettre, quand on est pas un homme
Puisque pour ça il faudrait que vous ayez un cerveau d’homme :/
Par contre quand vous dites ce qui vous plaît ça c’est très intéressant et ça confirme des choses que je pensais (j’ai horreur d’avoir cette sensation de forcer une fille)
Le score de cet utilisateur est négatif ce qui veut dire que ses messages sont globalement jugés problématiques par les autres utilisateurs.
À part les rapports avec femmes, je suis satisfait de tout dans ma vie.NewStart a écrit : ↑12.12.19Tu n'es pas grand chose ? Deviens le.Romain1997 a écrit : ↑12.12.19 Intrinsèquement je ne suis pas grand chose, donc je ne sais pas sur quelles qualités me reposer
Être fier de soi j’ai essayé, pas très concluant malheureusement
Je préfère devenir quelqu’un que j’ai décidé, que être content de ce que je suis comme ça gratuitement, parce que pour ma part de tout ce que j’ai fais jusqu’à présent y’a pas grand chose qui me rend fier
Tu n'es pas fier de toi ? Fais des choses qui te rendent fier. (j'ai parlé de confiance en soi, pas de fierté d'ailleurs).
Tu n'es pas content de ce que tu es ? Change, et deviens celui que tu veux être.
Mais ne centre pas ta construction de soi sur les femmes. C'est à mon sens malsain et toxique. Ça peut en être un élément évidemment, mais pas la base.
Y a un truc intéressant dans ce que tu dis : "je préfère devenir quelqu'un que j'ai décidé". C'est exactement ça. C'est un processus qui n'est ni facile ni rapide, mais qui au final paye énormément plus tard.
Bref, bon courage.
PS : essaye de t'intéresser au développement personnel. On trouve de tout, du bon comme du mauvais mais si tu arrives à faire le tri, c'est super intéressant.
Donc je centre mes efforts sur là où se situe la lacune, c’est à dire les rapports avec les femmes (pourquoi travailler ce qui me satisfait déjà?)
C'est totalement contradictoire avec ce que tu as répondu à mon premier message. Relis toi.
Sur ce, bonne journée.
Sur ce, bonne journée.