Bonjour,
J'ai vu une vidéo de l'écrivain Robert Greene très intéressante sur la différence entre l'enfance et l'âge adulte. En fait, il explique que l'enfant est une personne à part entière et qu'en devenant adulte, la personnalité se "divise", se dissocie entre la part que l'on montre et celle que l'on cache. Je trouvais cela très intéressant et très véridique. J'ai l'impression que l'on à tous une part que l'on montre aux autres et une part que l'on cache, soit une part de lumière et une part d'ombre. Et ainsi l'on passe notre vie à retrouver notre unicité.
C'est à partir de 21:35
Qu'en pensez-vous ? Comment accepter notre part d'ombre ?
Division de l'être âge adulte
Il y a les contradictions qu'on peut accepter et intégrer à soi, mais certains éléments de sa part d'ombre sont nocifs pour soi et pour les autres et à éviter ou contrôler ou éliminer.
Tu parles ailleurs d'addictions: ça par exemple c'est typiquement ce qu'il faut éviter, contrôler ou transformer par la base. Après on ne change pas son équipement cérébral mais on peut avoir une influence sur le reste en jouant sur tout un tas d'éléments. Au moins au départ
Tu parles ailleurs d'addictions: ça par exemple c'est typiquement ce qu'il faut éviter, contrôler ou transformer par la base. Après on ne change pas son équipement cérébral mais on peut avoir une influence sur le reste en jouant sur tout un tas d'éléments. Au moins au départ
J’ai la plupart des bouquins de Greene, c’est un auteur que je trouve intéressant.
Ça nécessite selon moi de renoncer à une vision idéalisée de soi-même, donc à priori infantile.
L’acceptation se fait en son for intérieur. Il est inconvenant de la verbaliser.
C’est bénéfique parce que ça soulage et déculpabilise. Ça permet aussi d’être plus facile à vivre pour les autres.
Les personnes qui nient trop leur part sombre se voient, se conduisent, veulent être reconnues et traitées comme des sortes de victimes vertueuses. C’est pénible pour les autres et ça ne trompe à peu près personne.
Je dirais que la part sombre est à rapprocher des besoins naturels : pour le dire crûment, pisser et chier. Tout le monde le fait, tout le monde sait que tout le monde le fait, mais ça ne se fait pas devant les autres.
Ça nécessite selon moi de renoncer à une vision idéalisée de soi-même, donc à priori infantile.
L’acceptation se fait en son for intérieur. Il est inconvenant de la verbaliser.
C’est bénéfique parce que ça soulage et déculpabilise. Ça permet aussi d’être plus facile à vivre pour les autres.
Les personnes qui nient trop leur part sombre se voient, se conduisent, veulent être reconnues et traitées comme des sortes de victimes vertueuses. C’est pénible pour les autres et ça ne trompe à peu près personne.
Je dirais que la part sombre est à rapprocher des besoins naturels : pour le dire crûment, pisser et chier. Tout le monde le fait, tout le monde sait que tout le monde le fait, mais ça ne se fait pas devant les autres.