Il faut un début à tout, même aux FR
Posté : 15.12.05
Allez, on se lance, et on déballe tout...
Contexte :
Ma crémaillère
80 personnes environ dont un paquet de monde que je connais pas, avantage de la coloc à 4
300 bières environ dans la baignoire.
Protagonistes :
G : moi-même
L : B- fort bien roulée, et ex d'un de mes colocs comme je ne vais pas tarder à l'apprendre
S : petite rousse souriante, très charmante. Allez, B+
Récit (laconique et plus qu'incomplet, comme mon souvenir de la soirée) :
Tiens, mon frère est un peu en avance. J'en profite pour lui montrer vite fait les photos de mes vacances himalayennes. L, que j'avais seulement entraperçu auparavant débarque également dans ma chambre, se met à les regarder avec nous, et me sort à un moment "elle est superbe celle-ci, tu peux me l'envoyer, voilà mon mail". Bon, ok, je note, ça ne mange pas de pain, et m'en vais accueillir les invités qui arrivent.
=> occasion de rebondir raté là
Parmi les invités, S, une petite rousse souriante et enjouée, très à l'aise, qui est vite aiguillée par mes colocs vers un ordi (elle bosse chez notre FAI et notre connexion déconne...). Comme le fait remarquer mon frère : "c'est bien la première fois que je vois une fille aussi mignonne faire des "pings" en soirée". => occasion de bon vieux C&F raté
Evidemment, ça ne marche pas, du coup elle me prend mon numéro de fixe pour régler ça de son taf. Là, je me mets des claques, l'échange de bons procédés était plus qu'évident.
Une petite mousse avec des potes s'ensuit. On se vautre dans les canapés, on commence à déconner. La musique démarre plus fort, personne ne danse encore, et voilà que S m'arrache ma bière d'autorité et m'entraîne dans une danse lascive
J'arrête le premier la danse et m'éloigne du salon-dancefloor, histoire d'aller serrer quelques louches, claquer quelques bises, faire mon petit tour. L'ambiance monte, un boa en plume se retrouve autour de mon cou, autour de celui de S aussi d'ailleurs et nous revoilà en train de danser => nombreux contacts.
Un peu plus tard dans la soirée, je recroise L.
Trop facile pour être honnête
Ca devient d'ailleurs récurrent dans la soirée, avec en prime son jeu de cache-cache pour échapper à son ex
=> j'aurais sans doute du me faire plus désirer, histoire de faire monter un peu la pression et de la cueillir à point
En parallèle, travail au corps de S qui nous amène dans une pièce isolée. Malheureusement, je me souviens juste de la conclusion :
Bilan :
Au lieu de closer, je me suis fait closer ! Ce n'est certes pas désagréable, mais pas terrible pour m'améliorer. Reste que ça donne une bonne pêche.
Y'a encore du boulot pour prendre des bons réflexes. Je dirais que je me suis un peu trop laissé vivre. Pas de maîtrise de la situation !
Suite à donner :
S : appelé - après un peu de fluff sur ma connexion,
Option 1 : en rester là
Option 2 : rappeler pour demander quand elle compte me prouver que les habitants de X sont plus chaleureux que ce qu'on dit et que c'est une ville accueillante
Comme j'ai une crainte du téléphone, option 2, histoire de me faire violence. Et si je me fais inviter ma foi...
L : Elle reviendra chez moi, ce sera le moment pour sexuer un peu les choses avec allusion à notre petit jeu de cache-cache, kino. A jeun, j'ai peur qu'elle perde de son enthousiasme
On verra bien, à moi de lui faire retrouver.
Morale de l'histoire :
Je me suis rendu compte d'un truc : quand je me demande si oui ou non c'est le bon moment, c'est que ça l'est, tout simplement ! Et même si ce n'est pas le cas à la base, penser que c'est le bon et agir en conséquence, c'est déjà faire la moitié du boulot.
Avis, conseils (entre autres sur la partie téléphone qui est ma bête noire), critiques sont les bienvenus !
Contexte :
Ma crémaillère
80 personnes environ dont un paquet de monde que je connais pas, avantage de la coloc à 4
300 bières environ dans la baignoire.
Protagonistes :
G : moi-même
L : B- fort bien roulée, et ex d'un de mes colocs comme je ne vais pas tarder à l'apprendre
S : petite rousse souriante, très charmante. Allez, B+
Récit (laconique et plus qu'incomplet, comme mon souvenir de la soirée) :
Tiens, mon frère est un peu en avance. J'en profite pour lui montrer vite fait les photos de mes vacances himalayennes. L, que j'avais seulement entraperçu auparavant débarque également dans ma chambre, se met à les regarder avec nous, et me sort à un moment "elle est superbe celle-ci, tu peux me l'envoyer, voilà mon mail". Bon, ok, je note, ça ne mange pas de pain, et m'en vais accueillir les invités qui arrivent.
=> occasion de rebondir raté là
Parmi les invités, S, une petite rousse souriante et enjouée, très à l'aise, qui est vite aiguillée par mes colocs vers un ordi (elle bosse chez notre FAI et notre connexion déconne...). Comme le fait remarquer mon frère : "c'est bien la première fois que je vois une fille aussi mignonne faire des "pings" en soirée". => occasion de bon vieux C&F raté
Evidemment, ça ne marche pas, du coup elle me prend mon numéro de fixe pour régler ça de son taf. Là, je me mets des claques, l'échange de bons procédés était plus qu'évident.
Une petite mousse avec des potes s'ensuit. On se vautre dans les canapés, on commence à déconner. La musique démarre plus fort, personne ne danse encore, et voilà que S m'arrache ma bière d'autorité et m'entraîne dans une danse lascive

J'arrête le premier la danse et m'éloigne du salon-dancefloor, histoire d'aller serrer quelques louches, claquer quelques bises, faire mon petit tour. L'ambiance monte, un boa en plume se retrouve autour de mon cou, autour de celui de S aussi d'ailleurs et nous revoilà en train de danser => nombreux contacts.
Un peu plus tard dans la soirée, je recroise L.
Et blam, kiss-close.L : [Début oublié] ou sinon je pourrais suivre mes envies
G : Je serais curieux de voir ça
Trop facile pour être honnête

Ca devient d'ailleurs récurrent dans la soirée, avec en prime son jeu de cache-cache pour échapper à son ex
=> j'aurais sans doute du me faire plus désirer, histoire de faire monter un peu la pression et de la cueillir à point
En parallèle, travail au corps de S qui nous amène dans une pièce isolée. Malheureusement, je me souviens juste de la conclusion :
Boum, kiss-closeS : j'aime les gens qui savent ce qu'ils veulent
G (à moi-même) : ça tombe bien, j'ai envie de t'embrasser
Bilan :
Au lieu de closer, je me suis fait closer ! Ce n'est certes pas désagréable, mais pas terrible pour m'améliorer. Reste que ça donne une bonne pêche.
Y'a encore du boulot pour prendre des bons réflexes. Je dirais que je me suis un peu trop laissé vivre. Pas de maîtrise de la situation !
Suite à donner :
S : appelé - après un peu de fluff sur ma connexion,
Depuis, coup de fil express de sa part concernant son dépannage, je faisais les courses, j'ai donc abrégé.G : Si jamais tu reviens sur Paris, n'hésite pas à me tenir au courant (elle habite le Sud)
S : Et si jamais tu veux venir à X, pareil
G : méfie-toi, ce n'est pas tombé dans l'oreille d'un sourd (histoire de tester si c'était une simple formule de politesse ou non)
S : ce n'est pas le but !
Option 1 : en rester là
Option 2 : rappeler pour demander quand elle compte me prouver que les habitants de X sont plus chaleureux que ce qu'on dit et que c'est une ville accueillante
Comme j'ai une crainte du téléphone, option 2, histoire de me faire violence. Et si je me fais inviter ma foi...
L : Elle reviendra chez moi, ce sera le moment pour sexuer un peu les choses avec allusion à notre petit jeu de cache-cache, kino. A jeun, j'ai peur qu'elle perde de son enthousiasme

Morale de l'histoire :
Je me suis rendu compte d'un truc : quand je me demande si oui ou non c'est le bon moment, c'est que ça l'est, tout simplement ! Et même si ce n'est pas le cas à la base, penser que c'est le bon et agir en conséquence, c'est déjà faire la moitié du boulot.
Avis, conseils (entre autres sur la partie téléphone qui est ma bête noire), critiques sont les bienvenus !