Et puis faire l'apologie d'un handicapé, je peut penser que sa puisse géner un vitaliste... Paulo, tu fait pas un minimum de tri dans Nietzsche?
Pour ma part j'ai un de mes collègues en école d'ingénieur qui à eu un cancer et à perdu une jambe (il a une prothèse), mine de rien c'est l'un des plus sympa et souriants de la promo, encore un exemple que l'on peut surmonter les difficultés.
Alexandre Jollien
On peut admirer le personnage qui surmonte son handicap, mais je vais rejoindre PAULO sur le terrain du demi hors-sujet pour confirmer : Jollien écrit de la merde, j'ai lu "Le métier d'homme" y a quelques mois, c'est vraiment faible. Et j'ai exactement le même avis que PAULO sur Onfray.
Ce n'est peut-être pas un hasard puisque je préconise aussi de lire directement les classiques. Le calcul est simple : pour un lecteur modéré, y a largement de quoi occuper toute une vie uniquement avec de grands textes qui ont traversé l'épreuve du temps, plutôt que de perdre son temps avec de médiocres ressucés contemporains.
Sérieusement, tout ça n'est qu'une question de réferences. Quand on a vraiment lu des bons textes, donc en général des classiques, ben on développe et on affine ses goûts et nos exigences augmentent naturellement (attention, je parle pas des mondains dont le sport favori consiste à citer des oeuvres qu'ils n'ont pas lu ou pas comprises juste pour épater la gallerie, eux le contenu ils s'en foutent c'est la forme - en particulier la leur - qui compte).
C'est un peu comme si on comparait les goûts en matière de femmes d'un AFC et d'un PUA, chez l'un la sensibilité est un peu plus développée
Ben les gens qui me disent aimer Onfray [le philosophe], ils me font un peu penser aux AFCs qui prennent une B- pour une A.
edit : j'ai rajouté quelque chose entre crochets, je ne parle bien sûr que d'Onfray le philosophe. Le personnage en lui-même peut-être utile d'une certaine manière et il peut à côté de ça être un excellent prof. Mais enseigner n'est pas philosopher.
Ce n'est peut-être pas un hasard puisque je préconise aussi de lire directement les classiques. Le calcul est simple : pour un lecteur modéré, y a largement de quoi occuper toute une vie uniquement avec de grands textes qui ont traversé l'épreuve du temps, plutôt que de perdre son temps avec de médiocres ressucés contemporains.
Sérieusement, tout ça n'est qu'une question de réferences. Quand on a vraiment lu des bons textes, donc en général des classiques, ben on développe et on affine ses goûts et nos exigences augmentent naturellement (attention, je parle pas des mondains dont le sport favori consiste à citer des oeuvres qu'ils n'ont pas lu ou pas comprises juste pour épater la gallerie, eux le contenu ils s'en foutent c'est la forme - en particulier la leur - qui compte).
C'est un peu comme si on comparait les goûts en matière de femmes d'un AFC et d'un PUA, chez l'un la sensibilité est un peu plus développée

edit : j'ai rajouté quelque chose entre crochets, je ne parle bien sûr que d'Onfray le philosophe. Le personnage en lui-même peut-être utile d'une certaine manière et il peut à côté de ça être un excellent prof. Mais enseigner n'est pas philosopher.
Le score de cet utilisateur est négatif ce qui veut dire que ses messages sont globalement jugés problématiques par les autres utilisateurs.
J'ai lu le bouquin de Jollien. J'ai adoré.
Moi aussi son parcours m'a impressionné, ainsi que sa façon de parler, et sa pensée. J'ai eu envie grâce à lui de découvrir la philosophie comme moyen de mieux vivre.
Paulo t'as raison si tu veux de la philo, jette toi sur de grands auteurs, en revanche grace à lui je sais vers qui me tournait pour commencer, et ce qui ne m'interesse pas.
Il s'interroge sur l'art de la joie, voila tout.
Et c'est déjà un bien beau programme.
La philosophie et sa philosophie sont justement tout le contraire des schémas préétablis, des méthodes toutes faites, bourrées d'affirmation. Alors que tout est dans le questionnement.
Sa vie pourrait ressembler par certains cotés à la vision de FTS, il décrit sa vie comme une lutte, comme le lieu de tous les combats pour s'éléver, devenir meilleur.
Ca m'a vraiment donné envie d'aller plus loin, et me fait peut etre meme mieux vivre mon quotidien.
Moi aussi son parcours m'a impressionné, ainsi que sa façon de parler, et sa pensée. J'ai eu envie grâce à lui de découvrir la philosophie comme moyen de mieux vivre.
Paulo t'as raison si tu veux de la philo, jette toi sur de grands auteurs, en revanche grace à lui je sais vers qui me tournait pour commencer, et ce qui ne m'interesse pas.
Il a pas cette pretention.qu'est-ce que vous voulez qu'il vous apprenne sur votre vie...
Justement c'est la clé de voute, les formules toutes faites, les méthodes pour devenir riche et célébre en 2 leçons et demi, sont renvoyés au placard. Et on est bien lui de la méthode Cauet postsocratienne. Bref...si il y avait des formules magiques du bonheur cachées dans des bouquins de philo, ça se saurait depuis longtemps...
Il s'interroge sur l'art de la joie, voila tout.
Et c'est déjà un bien beau programme.
La philosophie et sa philosophie sont justement tout le contraire des schémas préétablis, des méthodes toutes faites, bourrées d'affirmation. Alors que tout est dans le questionnement.
Sa vie pourrait ressembler par certains cotés à la vision de FTS, il décrit sa vie comme une lutte, comme le lieu de tous les combats pour s'éléver, devenir meilleur.
Ca m'a vraiment donné envie d'aller plus loin, et me fait peut etre meme mieux vivre mon quotidien.