Besoin aide passer résistance pour longue relation

J'ai besoin d'aide. Une fille me plaît. Ca fait à peu près 1mois qu'on se voit très souvent dans un groupe d'amis.
En gros pour faire simple, on connecte bien, mais elle ne veut qu'un ami et de mon côté je lui dis que je ne veux pas d'amie.
Resultat une impasse sans fin. En gros elle ne veut plus souffrir, se mettre avec moi ce serait prendre le risque de souffrir...

Je sais ce que veut dire "On reste ami", je sais aussi ce que peu signifier "je ne veux pas souffrir" dans le sens "Tu ne me donne pas assez envie d'essayer" si je pose la question, c'est que je sens une connection plus forte. En gros, j'ai éliminé les autres prétendants, j'ai les qualités qu'elle recherche, mais j'ai une résistance de dernière minute.
Hier j'ai passé la soirée de 1h à 6h du mat chez elle seul avec elle à essayer de lui faire voir comment la vie serait géniale avec moi...Je suis reparti de chez elle toujours sur le fait que l'on va devoir mettre de la distance entre nous que c'est trop dommage, mais que ça n'a aucun sens.

Je la revois Samedi soir. Vos avis sur la situation et vos techniques si elles existent pour passer ce genre de résistance seront les bienvenues.

Je conçois que ce soit difficile pour toi, mais je pense qu’il faut respecter ce qu’elle t’a dit.

Une bonne connexion est réciproque, sinon c’est plus de la projection.

Les femmes ont tout intérêt à disposer d’ «amis » masculins alors que le nôtre est beaucoup plus limité. Il ne faut pas leur en vouloir pour ça.

Donc je pense qu’il vaut mieux rester courtois mais distant avec elle à l’avenir.

Salut Citadin, je comprends que la présentation peut laisser penser comme toi. Si je parle de résistance de dernière minute, c'est que la fille se projete aussi beaucoup dans la relation.
Par exemple, elle dit souvent, plusieurs fois par jour "quand on sera ensemble....tu n'auras pas le droit de..., il faudra que..."
Au point que j'ai du lui dire qu'elle devrait au moins prendre la peine d'utiliser le conditionnel.

Alors je suppose qu’il serait approprié de respecter son rythme, si elle a besoin de plus de temps.

Tu t'es aventuré sur un plan rationnel pour résoudre un problème qui est son sac de noeuds émotionnels.
Ce faisant tu cours le risque de passer pour un vilain forceur (ce qui est faux, tu cherches votre bien à tous deux, quand elle est immature émotionnellement et a besoin qu'on lui tienne la main), ou de rentrer dans des considérations tue l'amour pour elle, ou de tenter des approches qui pour elles ne vont pas être logiques (si elle ne l'est pas).
Pour lutter contre une résistance de dernière minute, il vaut mieux reculer de deux pas, puis reprendre comme si de rien n'était et faire monter le désir jusqu'à ce que ce soit elle qui craque et se jette sur toi.
Après sa résistance peut découler non d'un trouble émotionnel mais d'une circonstance particulière, comme le fait qu'elle pense que ça va changer la dynamique du groupe et la mettre en danger si ça ne marche pas, ou parce qu'elle aurait un ex dans le tas qu'elle ne veut pas mettre sur la touche définitivement (donc ne pas être en couple devant lui), ou autre (elle sait qu'elle va partir de la région à un moment, que sais-je...). Dans ce cas il faut la rassurer si possible ou être rusé comme un sioux, mais parfois tu te heurteras à un mur.
Aller à son rythme comme suggère Citadin est plutôt bon, mais ne rate pas le coche ou elle pourrait refroidir.

Note: considère bien tes options parce que connexion ou pas une nana qui commence à poser des conditions pour une relation et des interdictions que tu as prises au conditionnel ou au futur alors que pour moi c'est "applicable dès maintenant", ie elle voudrait te voir faire ainsi dès aujourd'hui avant de valider que vous puissiez être ensemble (ce n'est que mon impression pas forcément la réalité), ça reste un gros redflag. Je pense qu'on part sur des sujets typiques de droit d'interagir avec les autres et de jalousie et ça c'est sans moi. Même si elle te plaît, prends en compte que c'est vite étouffant et frustrant parce que tu n'en feras jamais assez dans ce domaine là et elle finira par te transformer en moine cistercien.

D’accord avec @Onmyoji .

Ça ressemble quand même à une mise en orbite en bonne et due forme : faire miroiter plus (à coup de « quand on sera ensemble »), tout en disant vouloir une « amitié »…

Dans l’hypothèse où elle serait vraiment intéressée, c’est tout de même un cruel manque de tact.

Donc je dirai de continuer tranquillement sur ta lancée, surtout pas de dérapages. Elle en a besoin pour son éventuelle réécriture de l’histoire en rejetant bien sûr la faute sur toi.

A mon sens, ton rôle est de te montrer patient et serein, le sien de te montrer que ça vaut le coup d’attendre.

Merci de vos réponses, oui c'est ma stratégie slowly, serein, constant et beaucoup de Dhv.
Après la fille a 34ans, et a eu que 5 gars dans sa vie dont un mari pendant 17. Ce qui explique la Slut résistance exacerbée. Autre raison, on est dans un groupe d'amis premier groupe qu'elle a réussi à rejoindre après son divorce et elle veut surtout pas le perdre ou en être exclu.
Bon mes mouvements aujourd'hui, c'est d'arrêter de la voir dans le groupe d'ami et la voir en dehors.

Ps: Petite mise à jour, je ne l'ai toujours pas embrassée, mais j'ai passé la nuit dans son lit avec elle lundi/mardi. Elle m'a invité à revenir chez elle à 1h du mat, nuit du mardi/mercredi, mais j'ai pas compris le signal. En fait je l'ai réalisé le lendemain et elle m'a confirmée verbalement hier qu'elle m'avait bien invité. Parfois on est pas bon

Speedy Smile a écrit : ↑

28.07.22

Après la fille a 34ans, et a eu que 5 gars dans sa vie dont un mari pendant 17.

Pas sûr d’avoir compris. Elle a 34 ans et a été mariée pendant 17 ans ?

Speedy Smile a écrit : ↑

28.07.22

Ps: Petite mise à jour, je ne l'ai toujours pas embrassée, mais j'ai passé la nuit dans son lit avec elle lundi/mardi.

Tu n’es pas son frère. La prochaine fois, une petite activité manuelle de sa part, « en toute amitié », ça serait juste normal.

Si elle veut être allongée chastement près d’un homme qui l’écoute, il y a le divan du psy.

M’enfin, c’est que mon avis of course.

Mec rencontrait à 15ans. Mariage à 18. Divorce bientôt prononcé. Relation de 17ans si on compte la séparation avant divorce de 15 à 32. Donc un peu une enfant émotionnellement. Elle est sorti après son mariage avec un gars qu'elle connaissait depuis 2 ans. Puis avec un gars qui l'a séduite pendant 1mois. (On en est à peu près là), et une histoire d'un week-end en vacance en Espagne. Voilà toute sa vie affective. Pourtant très belle et qui plaît beaucoup.

Disons que la progression physique est lente. Trop à mon gout c'est sur. Mais qu'elle devient de plus en plus proche. J'ai essayé de l'embrasser dans la rue hier. Petit non, sans conséquences. Malgré le rejet elle est restée tactile et open. Elle me ramène chez elle.
J'ai redormi avec elle hier apres, un peu plus dénudé. Visage l'un contre l'autre à la limite.. ses fesses contre ma....toute la nuit...Petit claquage de fesses le matin...je suis pas son frère lol.
J'ai droit en permanence, au "on devrait pas", "T'exagères quand même", "Tu vois ce que tu me fais faire.""il faut pas que tu le dises"...
Ça reste très agréable pour moi et c'est très fluide entre nous.
Par contre la pauvre pour qu'on ait ces moments, elle dort 3h par nuit avant d'aller bosser...
Je suis son rythme, en restant serein et légèrement pushy. Voilà pour l'Update.

Bon, effectivement immature émotionnellement, ou en tous cas sans expérience, si elle a pu murir au cours des années (ce n'est plus une colombe de l'année tout de même. Si elle se comporte comme une enfant à 32 ans elle a besoin d'un psy pas d'un mec) et qui a besoin qu'on lui tienne la main. Dans un tel cas, j'aurais tendance tout de même à jouer avec elle pour lui faire peser le pour et le contre, en plus tu as un argument tout trouvé :
"Non, ce soir je te laisse dormir seule, je ne veux pas que tu te fatigues pour rien, tu pourras venir dans mes bras plus tard."
Déjà ça la fait gamberger sur le fait que tu vas lui manquer, que ta présence est une addition à sa nuit, et il y a un petit sous-entendu pas méchant mais qui lui rappelle qu'elle viendra te chercher à un moment dans tous les cas (avec un léger double sens pour ceux qui ont l'esprit mal tourné).
Après j'en reviens à l'idée que s'il faut respecter son rythme, lui donner envie jusqu'à ce qu'elle se contrôle plus c'est bien aussi. Parce que les "ce que tu me fais faire", ça va bien (moi si elle me dit ça j'éclate de rire et je lui réponds qu'elle est pas prête pour ça)
Parce que la toucher, la prendre dans tes bras c'est bien, mais je ne pense pas que je t'apprendrai la valeur de gestes anodins comme le fait de décaler ta bouche de sa joue à sa nuque, ou son cou, légèrement pour l'effleurer, sans même l'embrasser. Ou contre son oreille pour qu'elle sente ta respiration (parce que bon là elle doit pouvoir sentir assez clairement que tu es en forme, mais si elle est encore hésitante à rentrer sur le champ de tir, il faut qu'elle se projette dans l'acte).
Tu peux aussi prendre sa main pour envelopper la sienne, ou son poignet, et déplacer son bras avec le tien à l'occasion. C'est con mais la synchronicité, c'est aussi ce qu'on retrouve dans la danse, et on sait bien que beaucoup de nanas se projettent de la danse verticale à la danse horizontale...
Et puis, effleurer son échine, descendre un peu vers sa chute de reins. Ne reste pas statique, juste une statue. Elle t'offre son corps comme paysage. Explore un peu aventureusement même si elle voudra parfois que tu restes sur les chemins balisés (elle saura te le dire), ne reste pas bloqué sur le même "point de vue".
Parce que c'est pas impossible de se retrouver friendzoné même après que la nana ait dormi en string nuisette contre ta bite en se frottant à toi inconsciemment toute la nuit (been there, done that, même si je fais pas l'erreur à chaque fois), voire y a même de grosses chances si tu ne prends pas l'initiative (ce qui semble un peu prématuré), ou si tu ne lui donnes pas envie de se jeter sur toi en oubliant toutes ses préventions (elle pourra toujours te le reprocher après, et tu pourras toujours lui montrer qu'elle n'en est pas morte même si elle a connu une "petite mort", et qu'elle a kiffé et que ça ne change rien si ce n'est que vous vous êtes faits du bien et qu'il n'y a aucune raison de ne pas continuer).
Get her Tiger;)

Elle est issue d’un autre pays et/ou d’un milieu très conservateur ?

Même sans ça, il est vrai que certaines très jeunes femmes avec qui je couchais (quand j’étais moi-même très jeune, je précise) pensaient que « ça durerait pour la vie ». De là à se marier à 18 ans, quand même pas …

Au stade où j’en suis de ma propre vie, je ne trouve plus rien de mignon à l’immaturité émotionnelle, ou alors de loin. Sembler devoir expliquer à une femme que si elle veut une relation avec un homme autre que son père ou son frère, il va falloir coucher avec pour de vrai, pas juste dans ses rêves, et sous un délai raisonnable, perso ça me gonfle. Mais ça, ça me regarde.

On peut néanmoins supposer que, de son point de vue, laisser un homme dormir dans son lit constitue une sorte de marque de confiance.

Vu qu’elle te plaît et que tu perçois une progression, je suppose qu’il faut continuer piano sans la brusquer. Tu n’es pas à l’abri d’un total revirement au prétexte d’un minuscule détail insignifiant.

C'est bien le côté infirmier qui m'inquiète un peu. Vous avez raison de mettre le doigt dessus.

Merci pour les conseils de ne pas rester statique, mais y a pas de souci la dessus. ')) Je suis pas un si gentil garçon. Vous croyez que je dors sur la béquille à l'autre bout du lit

Je dors avec elle en cuillère et peux vous dire qu'en dehors des zones purement sexuelle son corps a été parcouru de long en large.
- Oui je caresse son ventre et ses hanches en permanence,
-Oui je respire près de son oreille pour caller nos rythmes et qu'elle sente mon soufle,
-Oui je carresse ses cheveux et surtout sa nuque à pleine main plusieurs fois pour créer cette sensation d'abandon,
-Oui je deplace avec assurance son bassin pour coller ses fesses à mon pubis,
- Oui j'enlace nos bras et nos jambes,
- Oui je l'embrasse dans le cou
- Oui en cuillère, je prends ses mains pour écraser sa poitrine et coller le haut de son corps contre moi.
- Oui ostensiblement et à plusieurs reprises je respire ses cheveux
- Oui je déplace les mèches de ses cheveux pour les recaler derrière ses oreilles et je parcours les arretes de son visage avec mes doigts.
-Oui je lui ai claqué gentiment les fesses.
- Oui je la mordille.
- Oui quand elle s'est retournée pour venir se blottir contre moi, j'ai posé mon visage contre le sien, nos lèvres à quelques centimètres en la tenant par la nuque et synchronisant nos respirations.

Je pense aussi que je préfère la sensualité à la sexualité et que cette montée de désir et ce que je préfère par dessus tout.

Je pense que dormir ensemble a permis de créer cette complicité sensuelle, qui me plaît quand même énormément, j'aime qu'elle m'abandonne son corps. En tout cas plus qu'à Berlin ou notre complicité physique se limitait à la saisir par les hanches, coller ses fesses à mon sexe, synchroniser nos rythmes et lui mettre des coups de bassin pendant plus de 3h dans les parties underground des boîtes techno.

Bon j'en reviens toujours à ma question comment passer les résistances émotionnelles de dernières minutes? Si vous avez des tricks je reste preneur.

Bon l'avantage c'est que tu finiras pas en Fz...


Maintenant c'est quoi sa résistance? "J'ai peur de souffrir si on se met ensemble?"
Si oui, tu peux lui montrer qu'elle a toujours pu avoir confiance en toi (au moins dans cette partie de l'histoire). Et que si tu avais pas une certitude d'avoir envie de faire les choses au mieux avec elle, tu te lancerais pas parce que pour toi aussi c'est une relation précieuse.
Après y a toujours une ou deux vannes absurdes pour répondre à côté, histoire de lui faire débrancher le cerveau et arrêter sa boucle de prise de tête.
Tu peux aussi lui faire le côté "physique", mais ça les nanas en sont assez conscientes et faut jouer sur du velours, en étant justement irréprochable:
Tu la prends dans tes bras parce qu'elle est en stress à cause de la situation, et tu la "détends", tu la fais s'asseoir confortablement contre toi, tu "ouvres" ses bras, tu t'assures qu'elle respire, et déjà elle sera pas dans une spirale irrationnelle si c'est un peu le genre anxieux. Et tu lui fais mettre en parallèle le moment présent et la projection de votre relation.
En lui montrant que là, elle n'a pas peur alors qu'elle est avec toi. Alors que rien ne garantit que ça se passe bien. Pourtant là elle a confiance. Mais ce qu'elle projette dans votre relation c'est sa propre peur de se lancer.
Si elle te sort
"Tu ne me donnes pas assez envie d'essayer":
"Lance toi, voilà l'instant fatidique où tu peux choisir d'être heureuse ou de vivre avec ta peur...
Et je suis là pour te tenir la main si tu as peur de faire le grand saut".
ie: à un moment c'est sa vie. Elle n'a pas confiance dans ses décisions, elle voudrait que tu la prennes pour elle, que tu fasses tout le travail, qu'elle n'ait plus qu'à se dire que tu l'as poursuivie et qu'elle n'a fait que céder en bonne et due forme devant tes efforts. Sauf que vous êtes égaux. Faut la mettre sur le grand plongeoir et lui proposer de sauter dans l'océan, ou de rester à compter les cailloux sur la falaise.
Tu ne vaincras pas une résistance sans donner un peu d'énergie.
Alexandre le Grand a tranché le noeud Gordien. Tu pourrais trouver le bon fil et défaire le noeud par un coup de génie mais elle se place un peu en position de princesse à qui tu dois donner envie.
Big news: tu n'attends pas après elle et de ce que tu dis c'est pas la fille pour qui n'importe qui se lancerait les yeux fermés parce qu'elle n'a aucun bagage lourd/aspect compliqué dans sa personnalité.
Encore une fois fais lui sentir son corps: "si tu en as envie, tu veux juste que je franchisse tous les précipices pour toi. Mais il y a un point où tu dois te lancer, toi et toi seule.".
ie elle a son destin en main. Quand elle se sera décidée, tu pourras la pousser, la traîner, la porter. Mais il faut que pour commencer elle te donne la main et accepte de te suivre.
Et là ça à l'air d'être une argumentation mais on est pas en train de dire "non mais vas y le bilan comptable du truc c'est ça et tu t'en sors bien je suis ton meilleur rapport qualité prix".
Tu lui dis juste "tu sais que c'est bien quand tu te prends pas la tête pour aucune raison valable". Tu n'as juste pas le courage de le faire mais je peux pas te forcer. Donc faut que tu me fasses confiance.
Et là tu la mets directement en relation avec ses émotions pour les arbitrer.
Mais tu vas pas l'enchaîner à toi pour lui montrer que oui tu es motivé.

Après elle a peut-être exprimé des peurs spécifiques qui seraient justement des freins mais je te conseille pas de rentrer dans une logique comptable de la chose. Si c'est sans fond factuel en tout cas, et sinon savoir en quoi elle a raison ça peut être important pour toi.
Elle a peut-être aussi peur de l'image dans votre groupe, mais cette histoire de "ne pas lui donner envie", c'est du bullshit, ça cache autre chose. Bien sûr qu'elle en a envie et qu'elle a envie de te garder, parce que sinon elle ne te verrait plus, elle ne te ferait pas un "on reste amis". Elle veut le positif sans le risque du négatif mais le risque est toujours là. C'est la vie. Elle s'empêche pas de vivre donc pourquoi elle s'empêche d'être avec toi?
Mais il y a un côté "je veux être courtisée et que tu fasses tes preuves" et un côté peut-être plus lié à votre groupe, à quelque chose qui pourrait affecter son image et ses options.
Tu es sûr qu'un ex ou un autre prétendant ne traîne pas sous un tapis?