Elle est issue d’un autre pays et/ou d’un milieu très conservateur ?
Même sans ça, il est vrai que certaines très jeunes femmes avec qui je couchais (quand j’étais moi-même très jeune, je précise) pensaient que « ça durerait pour la vie ». De là à se marier à 18 ans, quand même pas …
Au stade où j’en suis de ma propre vie, je ne trouve plus rien de mignon à l’immaturité émotionnelle, ou alors de loin. Sembler devoir expliquer à une femme que si elle veut une relation avec un homme autre que son père ou son frère, il va falloir coucher avec pour de vrai, pas juste dans ses rêves, et sous un délai raisonnable, perso ça me gonfle. Mais ça, ça me regarde.
On peut néanmoins supposer que, de son point de vue, laisser un homme dormir dans son lit constitue une sorte de marque de confiance.
Vu qu’elle te plaît et que tu perçois une progression, je suppose qu’il faut continuer piano sans la brusquer. Tu n’es pas à l’abri d’un total revirement au prétexte d’un minuscule détail insignifiant.
Besoin aide passer résistance pour longue relation
C'est bien le côté infirmier qui m'inquiète un peu. Vous avez raison de mettre le doigt dessus.
Merci pour les conseils de ne pas rester statique, mais y a pas de souci la dessus. ')) Je suis pas un si gentil garçon. Vous croyez que je dors sur la béquille à l'autre bout du lit
Je dors avec elle en cuillère et peux vous dire qu'en dehors des zones purement sexuelle son corps a été parcouru de long en large.
- Oui je caresse son ventre et ses hanches en permanence,
-Oui je respire près de son oreille pour caller nos rythmes et qu'elle sente mon soufle,
-Oui je carresse ses cheveux et surtout sa nuque à pleine main plusieurs fois pour créer cette sensation d'abandon,
-Oui je deplace avec assurance son bassin pour coller ses fesses à mon pubis,
- Oui j'enlace nos bras et nos jambes,
- Oui je l'embrasse dans le cou
- Oui en cuillère, je prends ses mains pour écraser sa poitrine et coller le haut de son corps contre moi.
- Oui ostensiblement et à plusieurs reprises je respire ses cheveux
- Oui je déplace les mèches de ses cheveux pour les recaler derrière ses oreilles et je parcours les arretes de son visage avec mes doigts.
-Oui je lui ai claqué gentiment les fesses.
- Oui je la mordille.
- Oui quand elle s'est retournée pour venir se blottir contre moi, j'ai posé mon visage contre le sien, nos lèvres à quelques centimètres en la tenant par la nuque et synchronisant nos respirations.
Je pense aussi que je préfère la sensualité à la sexualité et que cette montée de désir et ce que je préfère par dessus tout.
Je pense que dormir ensemble a permis de créer cette complicité sensuelle, qui me plaît quand même énormément, j'aime qu'elle m'abandonne son corps. En tout cas plus qu'à Berlin ou notre complicité physique se limitait à la saisir par les hanches, coller ses fesses à mon sexe, synchroniser nos rythmes et lui mettre des coups de bassin pendant plus de 3h dans les parties underground des boîtes techno.
Bon j'en reviens toujours à ma question comment passer les résistances émotionnelles de dernières minutes? Si vous avez des tricks je reste preneur.
Merci pour les conseils de ne pas rester statique, mais y a pas de souci la dessus. ')) Je suis pas un si gentil garçon. Vous croyez que je dors sur la béquille à l'autre bout du lit
Je dors avec elle en cuillère et peux vous dire qu'en dehors des zones purement sexuelle son corps a été parcouru de long en large.
- Oui je caresse son ventre et ses hanches en permanence,
-Oui je respire près de son oreille pour caller nos rythmes et qu'elle sente mon soufle,
-Oui je carresse ses cheveux et surtout sa nuque à pleine main plusieurs fois pour créer cette sensation d'abandon,
-Oui je deplace avec assurance son bassin pour coller ses fesses à mon pubis,
- Oui j'enlace nos bras et nos jambes,
- Oui je l'embrasse dans le cou
- Oui en cuillère, je prends ses mains pour écraser sa poitrine et coller le haut de son corps contre moi.
- Oui ostensiblement et à plusieurs reprises je respire ses cheveux
- Oui je déplace les mèches de ses cheveux pour les recaler derrière ses oreilles et je parcours les arretes de son visage avec mes doigts.
-Oui je lui ai claqué gentiment les fesses.
- Oui je la mordille.
- Oui quand elle s'est retournée pour venir se blottir contre moi, j'ai posé mon visage contre le sien, nos lèvres à quelques centimètres en la tenant par la nuque et synchronisant nos respirations.
Je pense aussi que je préfère la sensualité à la sexualité et que cette montée de désir et ce que je préfère par dessus tout.
Je pense que dormir ensemble a permis de créer cette complicité sensuelle, qui me plaît quand même énormément, j'aime qu'elle m'abandonne son corps. En tout cas plus qu'à Berlin ou notre complicité physique se limitait à la saisir par les hanches, coller ses fesses à mon sexe, synchroniser nos rythmes et lui mettre des coups de bassin pendant plus de 3h dans les parties underground des boîtes techno.
Bon j'en reviens toujours à ma question comment passer les résistances émotionnelles de dernières minutes? Si vous avez des tricks je reste preneur.
Bon l'avantage c'est que tu finiras pas en Fz...
Maintenant c'est quoi sa résistance? "J'ai peur de souffrir si on se met ensemble?"
Si oui, tu peux lui montrer qu'elle a toujours pu avoir confiance en toi (au moins dans cette partie de l'histoire). Et que si tu avais pas une certitude d'avoir envie de faire les choses au mieux avec elle, tu te lancerais pas parce que pour toi aussi c'est une relation précieuse.
Après y a toujours une ou deux vannes absurdes pour répondre à côté, histoire de lui faire débrancher le cerveau et arrêter sa boucle de prise de tête.
Tu peux aussi lui faire le côté "physique", mais ça les nanas en sont assez conscientes et faut jouer sur du velours, en étant justement irréprochable:
Tu la prends dans tes bras parce qu'elle est en stress à cause de la situation, et tu la "détends", tu la fais s'asseoir confortablement contre toi, tu "ouvres" ses bras, tu t'assures qu'elle respire, et déjà elle sera pas dans une spirale irrationnelle si c'est un peu le genre anxieux. Et tu lui fais mettre en parallèle le moment présent et la projection de votre relation.
En lui montrant que là, elle n'a pas peur alors qu'elle est avec toi. Alors que rien ne garantit que ça se passe bien. Pourtant là elle a confiance. Mais ce qu'elle projette dans votre relation c'est sa propre peur de se lancer.
Si elle te sort
"Tu ne me donnes pas assez envie d'essayer":
"Lance toi, voilà l'instant fatidique où tu peux choisir d'être heureuse ou de vivre avec ta peur...
Et je suis là pour te tenir la main si tu as peur de faire le grand saut".
ie: à un moment c'est sa vie. Elle n'a pas confiance dans ses décisions, elle voudrait que tu la prennes pour elle, que tu fasses tout le travail, qu'elle n'ait plus qu'à se dire que tu l'as poursuivie et qu'elle n'a fait que céder en bonne et due forme devant tes efforts. Sauf que vous êtes égaux. Faut la mettre sur le grand plongeoir et lui proposer de sauter dans l'océan, ou de rester à compter les cailloux sur la falaise.
Tu ne vaincras pas une résistance sans donner un peu d'énergie.
Alexandre le Grand a tranché le noeud Gordien. Tu pourrais trouver le bon fil et défaire le noeud par un coup de génie mais elle se place un peu en position de princesse à qui tu dois donner envie.
Big news: tu n'attends pas après elle et de ce que tu dis c'est pas la fille pour qui n'importe qui se lancerait les yeux fermés parce qu'elle n'a aucun bagage lourd/aspect compliqué dans sa personnalité.
Encore une fois fais lui sentir son corps: "si tu en as envie, tu veux juste que je franchisse tous les précipices pour toi. Mais il y a un point où tu dois te lancer, toi et toi seule.".
ie elle a son destin en main. Quand elle se sera décidée, tu pourras la pousser, la traîner, la porter. Mais il faut que pour commencer elle te donne la main et accepte de te suivre.
Et là ça à l'air d'être une argumentation mais on est pas en train de dire "non mais vas y le bilan comptable du truc c'est ça et tu t'en sors bien je suis ton meilleur rapport qualité prix".
Tu lui dis juste "tu sais que c'est bien quand tu te prends pas la tête pour aucune raison valable". Tu n'as juste pas le courage de le faire mais je peux pas te forcer. Donc faut que tu me fasses confiance.
Et là tu la mets directement en relation avec ses émotions pour les arbitrer.
Mais tu vas pas l'enchaîner à toi pour lui montrer que oui tu es motivé.
Après elle a peut-être exprimé des peurs spécifiques qui seraient justement des freins mais je te conseille pas de rentrer dans une logique comptable de la chose. Si c'est sans fond factuel en tout cas, et sinon savoir en quoi elle a raison ça peut être important pour toi.
Elle a peut-être aussi peur de l'image dans votre groupe, mais cette histoire de "ne pas lui donner envie", c'est du bullshit, ça cache autre chose. Bien sûr qu'elle en a envie et qu'elle a envie de te garder, parce que sinon elle ne te verrait plus, elle ne te ferait pas un "on reste amis". Elle veut le positif sans le risque du négatif mais le risque est toujours là. C'est la vie. Elle s'empêche pas de vivre donc pourquoi elle s'empêche d'être avec toi?
Mais il y a un côté "je veux être courtisée et que tu fasses tes preuves" et un côté peut-être plus lié à votre groupe, à quelque chose qui pourrait affecter son image et ses options.
Tu es sûr qu'un ex ou un autre prétendant ne traîne pas sous un tapis?
Maintenant c'est quoi sa résistance? "J'ai peur de souffrir si on se met ensemble?"
Si oui, tu peux lui montrer qu'elle a toujours pu avoir confiance en toi (au moins dans cette partie de l'histoire). Et que si tu avais pas une certitude d'avoir envie de faire les choses au mieux avec elle, tu te lancerais pas parce que pour toi aussi c'est une relation précieuse.
Après y a toujours une ou deux vannes absurdes pour répondre à côté, histoire de lui faire débrancher le cerveau et arrêter sa boucle de prise de tête.
Tu peux aussi lui faire le côté "physique", mais ça les nanas en sont assez conscientes et faut jouer sur du velours, en étant justement irréprochable:
Tu la prends dans tes bras parce qu'elle est en stress à cause de la situation, et tu la "détends", tu la fais s'asseoir confortablement contre toi, tu "ouvres" ses bras, tu t'assures qu'elle respire, et déjà elle sera pas dans une spirale irrationnelle si c'est un peu le genre anxieux. Et tu lui fais mettre en parallèle le moment présent et la projection de votre relation.
En lui montrant que là, elle n'a pas peur alors qu'elle est avec toi. Alors que rien ne garantit que ça se passe bien. Pourtant là elle a confiance. Mais ce qu'elle projette dans votre relation c'est sa propre peur de se lancer.
Si elle te sort
"Tu ne me donnes pas assez envie d'essayer":
"Lance toi, voilà l'instant fatidique où tu peux choisir d'être heureuse ou de vivre avec ta peur...
Et je suis là pour te tenir la main si tu as peur de faire le grand saut".
ie: à un moment c'est sa vie. Elle n'a pas confiance dans ses décisions, elle voudrait que tu la prennes pour elle, que tu fasses tout le travail, qu'elle n'ait plus qu'à se dire que tu l'as poursuivie et qu'elle n'a fait que céder en bonne et due forme devant tes efforts. Sauf que vous êtes égaux. Faut la mettre sur le grand plongeoir et lui proposer de sauter dans l'océan, ou de rester à compter les cailloux sur la falaise.
Tu ne vaincras pas une résistance sans donner un peu d'énergie.
Alexandre le Grand a tranché le noeud Gordien. Tu pourrais trouver le bon fil et défaire le noeud par un coup de génie mais elle se place un peu en position de princesse à qui tu dois donner envie.
Big news: tu n'attends pas après elle et de ce que tu dis c'est pas la fille pour qui n'importe qui se lancerait les yeux fermés parce qu'elle n'a aucun bagage lourd/aspect compliqué dans sa personnalité.
Encore une fois fais lui sentir son corps: "si tu en as envie, tu veux juste que je franchisse tous les précipices pour toi. Mais il y a un point où tu dois te lancer, toi et toi seule.".
ie elle a son destin en main. Quand elle se sera décidée, tu pourras la pousser, la traîner, la porter. Mais il faut que pour commencer elle te donne la main et accepte de te suivre.
Et là ça à l'air d'être une argumentation mais on est pas en train de dire "non mais vas y le bilan comptable du truc c'est ça et tu t'en sors bien je suis ton meilleur rapport qualité prix".
Tu lui dis juste "tu sais que c'est bien quand tu te prends pas la tête pour aucune raison valable". Tu n'as juste pas le courage de le faire mais je peux pas te forcer. Donc faut que tu me fasses confiance.
Et là tu la mets directement en relation avec ses émotions pour les arbitrer.
Mais tu vas pas l'enchaîner à toi pour lui montrer que oui tu es motivé.
Après elle a peut-être exprimé des peurs spécifiques qui seraient justement des freins mais je te conseille pas de rentrer dans une logique comptable de la chose. Si c'est sans fond factuel en tout cas, et sinon savoir en quoi elle a raison ça peut être important pour toi.
Elle a peut-être aussi peur de l'image dans votre groupe, mais cette histoire de "ne pas lui donner envie", c'est du bullshit, ça cache autre chose. Bien sûr qu'elle en a envie et qu'elle a envie de te garder, parce que sinon elle ne te verrait plus, elle ne te ferait pas un "on reste amis". Elle veut le positif sans le risque du négatif mais le risque est toujours là. C'est la vie. Elle s'empêche pas de vivre donc pourquoi elle s'empêche d'être avec toi?
Mais il y a un côté "je veux être courtisée et que tu fasses tes preuves" et un côté peut-être plus lié à votre groupe, à quelque chose qui pourrait affecter son image et ses options.
Tu es sûr qu'un ex ou un autre prétendant ne traîne pas sous un tapis?