[Q] Neg abuse [++]

Je pense saisir ton idée. Dans les exemples que tu donnes ressort une attitude.
J’y vois cependant 2 grandes difficultés :

La premiere :

Blusher a écrit :
Lundi je vais voir des copines, Mardi j'ai danse, Mercredi theatre, Jeudi je fais du yoga...On peut se voir vendredi soir?

Ca me ressemble par quelques aspects… toujours besoin de faire plein de choses le plus souvent à l’improviste… et pas forcement avec elles. Rebondir très facilement sur les propositions de sortie, ou alors des occupations personnelles à terminer. Malgré les quelques activités qu’on peut leur proposer, elles se plaignent de ne rien avoir à faire… pas évident de trouver une fille assez « motrice » pour elles même et pour le couple.
Maintenant reste à savoir si c’est vraiment une erreur d’avoir choisi ces compagnes (théorie SBN), ou une erreur de comportement (théorie Blusher):
- Est-ce qu’on peut espérer trouver une fille qui soit capable de proposer au moins une fois sur trois de faire des choses en couple ? Ou est-ce qu’il faut apprendre à avoir le DHV au top constamment et ne compter QUE sur moi-même pour initier des activités ?

La seconde :
Il arrive d’avoir envie de faire des choses pour soi uniquement (je ne vis personnellement que par des passions). Et je ne tolère pas qu’elles m’en fassent le reproche.
Alors mettre de l’eau dans son vin, c’est ce que je faisais assez souvent, mais très dur de jouer à chaque fois la carte de l’humour, le game ou la manipulation pour apaiser la demoiselle…
--> Clash

Je recadre :- J’en déduis que le but est de trouver un moyen de faire s’équilibrer les frames pour ne pas tomber dans l’écueil de la vanne à répétition (expression de la frustration) par exemple (c’est le sujet).
- Tu dois bien avoir des débordements, ou du moins en sentir venir de temps en temps… comment gères-tu ça de manière ponctuelle ?

Blusher a écrit :Ne repond rien. Deshabille la sans dire un mot et prend la dans tous les sens. C'est la meilleure reponse a cette question.

Bonne strategie...

Ce que tu dis dans le message precedent (et qui ferait se dresser les cheveux sur les tetes des feministes) a ete decris de l'antiquite jusqu'a nos psychologues actuels, Jung compris.
Meme Mondrian composait ses tableaux en gardant cette dynamique en tete: l'homme vertical car il cherche le depassement de soi, la femme horizontale car elle cherche "l'equilibre".

(Completement HS. Mrs les Modos, je vous presente des excuses tellement plates qu'on pourrait les faxer.)

Je repensais récemment, Kahinda, à un article que j'avais commencé mais jamais terminé, au sujet de ceux façonnent leur LTR.

Il y a dans les vidéos de la Nuit du Zapping une séquence très émouvante avec cette femme très très grosse et son mari (quand je dis très grosse c'est au point de :

bien que je ne sois pas sur que c'est la même).

En voyant le mari s'occuper d'elle tous les jours avec dévouement, on veut nous faire penser qu'il a bien du courage et de l'amour pour faire tant de sacrifices.

Mais une sombre impression m'a toujours occupé l'esprit à chaque fois que j'ai vu cette vidéo : et si c'était elle qui était si amoureuse et si dévouée qu'elle aurait sacrifié sa santé pour son mari ? J'explique : quand on entend le mari interviewé on sent clairement qu'il a besoin de s'occuper de quelqu'un et de se sentir indispensable. A un tel point qu'il n'est pas à exclure que sa femme (qui n'était pas dans cet état quand ils se sont mariés, à ce qu'il paraît) se soit laisser aller inconsciemment pour combler ce manque.
(la vidéo est très glauque, si tu as déjà été à une nuit du zapping tu as du la voir)

Tout ça pour dire que souvent, quand notre LTR a un "travers" acquis pendant la relation, c'est parce qu'on a nous même laissé faire ou provoqué ça. C'est aussi vrai pour les qualités (cf post de blusher). Je me pose régulièrement la question, quand un point que je n'avais pas remarqué avant, m'agace chez ma LTR ou me déçoit un peu (ex : la mienne a arrêté de faire du sport) : suis-je la cause de ça ? (pour le sport c'est peut etre bien le cas)

Est-ce que tu ne prends pas justement trop le pas sur leur vie socio/sportivo/associative au début ?

J'ai eu beaucoup de mal à comprendre ton post Sèb.

Maintenant je vois mieux. Elles s'habituent aux périodes ou on veut faire plein de choses et qu'on les trimbale partout.

Du coup, lorsqu'on a envie de faire autre chose (pas forcement avec elles), elles sont là plantées comme des poissons aux grands yeux dans l'attente qu'il se passe quelquechose venant de nous.

Est-ce que je t'ai bien compris?

Un portrait de mes ex LTR

Sébastien Night a écrit :et si c'était elle qui était si amoureuse et si dévouée qu'elle aurait sacrifié sa santé pour son mari ? J'explique : quand on entend le mari interviewé on sent clairement qu'il a besoin de s'occuper de quelqu'un et de se sentir indispensable. A un tel point qu'il n'est pas à exclure que sa femme (qui n'était pas dans cet état quand ils se sont mariés, à ce qu'il paraît) se soit laisser aller inconsciemment pour combler ce manque.

Tres bon point. La question est: comment reconnaiter ce phenomene? Et comme il marche dans les deux sens, comment etre sur de l'origine du probleme?

Focus a écrit :..Ce n'est que la déclinaision d'un principe plus général, celui selon lequel les femmes s'en remettent à l'homme d'une partie de leur existence...

Je ne connaissais pas ce principe. Quelle(s) partie(s) de leur existance? Plus facile de s'adapter si on connait TOUS les aspects de la demande.