Hum... le confort? ^^ Les câlins à domicile, les repas tout prêts. Bon, si on est un homme indépendant comme tu as l'air d'en être, Blusher, je comprends que vivre chacun de son côté est plus avantageux.
Il y a pourtant des moments de complicité qui valent leur pesant de moutarde, comme aménager le nid à deux... Mais chacun est différent.
Vivre avec votre LTR [--]
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Les moments de complicite on peut aussi les vivre trois fois par semaine l'un chez l'autre non?Coquinetcaline a écrit :Hum... le confort? ^^ Les câlins à domicile, les repas tout prêts. Bon, si on est un homme indépendant comme tu as l'air d'en être, Blusher, je comprends que vivre chacun de son côté est plus avantageux.
Il y a pourtant des moments de complicité qui valent leur pesant de moutarde, comme aménager le nid à deux... Mais chacun est différent.
Non je cherche un avantage vraiment specifique a la cohabitation. A part economiser quelques centaines d'euros par mois en loyer, je ne trouve pas.
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C'est différent Blusher. Pour ta LTR tu vas te pomponner, te raser de près, te casser la tête pour trouver des idées sympa pour la soirée...
en couple "classique" on apprécie chaque moment passé ensemble, pour peu que chacun ait son univers de son côté. Et puis il y a l'aventure de la parentalité.
Encore une fois, il est vraiment question de point de vue... Chacun peut aujourd'hui trouver sa distance idéale avec sa partenaire.
en couple "classique" on apprécie chaque moment passé ensemble, pour peu que chacun ait son univers de son côté. Et puis il y a l'aventure de la parentalité.
Encore une fois, il est vraiment question de point de vue... Chacun peut aujourd'hui trouver sa distance idéale avec sa partenaire.
Je rejoins ton point de vue et suis dans la même situation! J'aime être indépendant et libre de faire et inviter chez moi qui je veux!Arsène Lupin a écrit :Dans ma somme toute faible expérience de la vie en commun avec une nana, la meilleure configuration était d'être séparé en semaine, chacun dans sa ville, et ensemble le week-end tantôt chez l'une, tantôt chez l'autre.
donc contre la vie en commun en ltr, à moins d'avoir des enfants!
Avec ma LTR, avons décidé d'emménager ensemble après un peu plus de deux ans.
ENORME ERREUR!
N'ayant vécu prédédement qu'en famille, j'ai laissé des contraintes pour en trouver d'autres, certes un peu différentes mais tout aussi frustrantes.
Qui plus est, je déconseille vivement à tout couple, un peu jeune, de faire la même erreur. La routine guette, les disputes se focalisent sur le superflu du quotidient, l'amour a tendance à se muer en attachement (l'autre devient une grille de repères, on ne reste plus par amour mais par nécessité) et envisager la rupture devient de plus en plus difficile pour des questions sans rapport (qui va garder l'appartement? Les meubles? Le chat?) avec les questions véritables au coeur de tout union (suis-je encore amoureux? heureux? Notre couple a-t-il encore raison d'être?).
Je noircis un peu le tableau, je le concède mais je suis maintenant persuadé, qu'à moins d'avoir vécu assez d'expérience pour supposer que cette LTR est la femme de notre vie, qu'on aura un chien, un petit pavillon en banlieu et 2,3 enfants ensemble et que nous sommes prêts pour ça, il est dommage de précipiter les choses.
ENORME ERREUR!
N'ayant vécu prédédement qu'en famille, j'ai laissé des contraintes pour en trouver d'autres, certes un peu différentes mais tout aussi frustrantes.
Qui plus est, je déconseille vivement à tout couple, un peu jeune, de faire la même erreur. La routine guette, les disputes se focalisent sur le superflu du quotidient, l'amour a tendance à se muer en attachement (l'autre devient une grille de repères, on ne reste plus par amour mais par nécessité) et envisager la rupture devient de plus en plus difficile pour des questions sans rapport (qui va garder l'appartement? Les meubles? Le chat?) avec les questions véritables au coeur de tout union (suis-je encore amoureux? heureux? Notre couple a-t-il encore raison d'être?).
Je noircis un peu le tableau, je le concède mais je suis maintenant persuadé, qu'à moins d'avoir vécu assez d'expérience pour supposer que cette LTR est la femme de notre vie, qu'on aura un chien, un petit pavillon en banlieu et 2,3 enfants ensemble et que nous sommes prêts pour ça, il est dommage de précipiter les choses.
Le score de cet utilisateur est négatif ce qui veut dire que ses messages sont globalement jugés problématiques par les autres utilisateurs.
Et s'il fallait tout simplement vivre un minimum seul avant d'envisager revivre avec quelqu'un?
L'indépendance permet de prendre ses repères personnels, de savoir comment on apprécie de vivre.
Alors la question de se mettre à deux se pose peut-être avec plus de recul... et permet de prendre une bonne décision.
L'indépendance permet de prendre ses repères personnels, de savoir comment on apprécie de vivre.
Alors la question de se mettre à deux se pose peut-être avec plus de recul... et permet de prendre une bonne décision.
Là je suis complètement d'accord. Avoir comme première expérience de logement un appart avec sa LTR d'études, c'est pas le bon plan.
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Mes amis qui sont en couple se sont installés à deux après avoir eu un job... et pas avant 22-23 ans.
Tout a fait d'accord avec coquinetcaline , je pense que chacun ai son petit coin dans l'appartement est necessaire au bon devellopement du couple !Par ailleurs moi personellement j'y vois beaucoup d'avantages après je pense qu'il faut prendre toutes les occasions qui se présentent (ici dans ce cas vivre avec ma belle ) et puis voir comment les choses se derouleront !Et puis les chaussettes qui trainent comme citées précedement sont des détails de la vie banals a mon goût !Et puis ne dis t'on pas pour le meilleur et pour le pireCoquinetcaline a écrit : en couple "classique" on apprécie chaque moment passé ensemble, pour peu que chacun ait son univers de son côté. Et puis il y a l'aventure de la parentalité.
Encore une fois, il est vraiment question de point de vue... Chacun peut aujourd'hui trouver sa distance idéale avec sa partenaire.
Je dirais que vivre à deux permet d'affronter ensemble les problèmes qu'on n'aurait jamais eu seul 