[Q] Comment développer son social prof, quand il est a 0,5%?

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le 09.07.2007 par Blunky

71 réponses / Dernière par stresam le 18.07.2007, 01h01

Etat d'esprit / psychologie / dev perso / vie intérieure.
Un forum pour celles et ceux qui s'intéressent au dev perso, à l'équilibre intérieur, à la psychologie. Surmonter ses blocages, ses croyances limitantes, nourrir et développer ses forces, etc.
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La boxe j'ai arrêté car j'ai commencé à voir que je ne voulais pas monter sur le ring et que les coups m'excitaient à un point que je voulais simplement mettre Ko mon adversaire, j'ai réussi plusieurs fois à sonner légèrement un adversaire et j'ai été dégoûté de devoir frapper, j'ai arrêté, car je déteste la violence. Je ne faisais plus de boxe par plaisir mais pour vaincre et c'est malsain. Même rentrer dans une logique de domination de l'autre par un quelconque moyen ce n'est pas pour moi.

Je fais des efforts mais ça provoque chez moi des crises d'angoisses, genre sueurs, maux de ventre, souffle coupé, boule dans la gorge, tremblements, donc j'évite.

Ce qui me gênais sur le ring c'est qu'on regarde et qu'on me juge, j'étais loin d'être mauvais, mais bon comme dit plus haut la violence ce n'est pas pour moi. Je fais des efforts, malheureusement je n'arrive pas à parler aux gens et à m'intégrer, c'est plus fort que moi.

Désormais je me force dans les magasins à aborder les vendeurs quand je cherche un livre ou des accessoires de sports pour mieux appréhender à m'exprimer face à une personne en présence de plein d'autres.

Je rajouterai même que j'ai peur de m'exprimer sur ce forum, de peur que les autres répondent.
En fait je prendrai confiance en moi le jour où j'arriverai à plaire aux filles
mauvais résonement car tu plaira aux filles le jour ou tu aura confiance en toi.

après la confiance en soi, ca se gagne, il est inutile d'espérer aller ce soir dans un bar et de socialiser avec tout le monde pour essayer d'en avoir plus, comence petit, genre sort de ta zone de confort, tu aime pas sortir le jour ? sort le jour, 10 minutes au début, le lendemain 15, puis 20 etc. fait des progres et un semblant de fierté apparaitra, celle de faire des efforts, et au fur et a mesure la confiance arriver.

mais vu le peu de confiance en toi que tu as je ne pense pas que ce site soit celui qu'il te faut pour travailler sur toi, ca demande n minimum de pré-requis quand même FTS
stresam a écrit :La boxe j'ai arrêté car j'ai commencé à voir que je ne voulais pas monter sur le ring et que les coups m'excitaient à un point que je voulais simplement mettre Ko mon adversaire, j'ai réussi plusieurs fois à sonner légèrement un adversaire et j'ai été dégoûté de devoir frapper, j'ai arrêté, car je déteste la violence. Je ne faisais plus de boxe par plaisir mais pour vaincre et c'est malsain. Même rentrer dans une logique de domination de l'autre par un quelconque moyen ce n'est pas pour moi.
Tout ça, c'est parce que tu es incapable de gérer tes émotions ou de concevoir l'affrontement. M'est avis que tu aurais dû continuer la boxe, ça t'aurais appris à gérer le flux d'émotion qui te traversent au cours du match et à comprendre que l'affrontement fait partie intégrante de la vie.

La séduction implique une relation de pouvoir, si ce type de logique n'est pas pour toi, tu peux déjà te résigner à la solitude.
Ouais voilà c'est ça je ne sais pas gérer les émotions, je demandais de ne pas monter sur le ring car je savais que l'autre en face voulais combattre, je lui disais de ne pas porter les coups forts, car je n'aimais pas, mais bon ça s'est soldé que je me suis luxé le coude en tapant sur un pote et légèrement déboité le petit doigt gauche, car j'avais la haine, je voulais le coucher et depuis j'ai arrêté car si durant un entraînement j'ai envie de pulvériser un pote, c'est un non sens. Affrontrer quelqu'un en combat sur un ring je ne peux que si je gagne, perdre est un affront, je ne supporte pas l'échec. Par contre dans la rue c'est pas la même chose, souvent ce n'est pas loyal, donc ma meilleure arme la fuite. Je ne souhaite pas affronter qui que ce soit, sinon mon but est de vouloir l'écraser le plus fort possible. Cette logique me fait penser au Darwinisme social avec la théorie de la survivance des plus aptes, c'est à dire qu'on est en perpétuel compétition pour aller plus haut que les autres. Les plus faibles sont éliminés, ça ne provoque pas d'émulation et de motivation, mais de la haine et de la jalousie.

Oui je sais ce qu qu'implique la séduction et la vie de couple sur le plan théorique en tant qu'intérêts sous-jacents et domination implicite, le libre-arbitre et les sentiments sont à occulter dans un premier temps se sont les déterminismes qui vont engendrer inconsciemment nos choix.
Salut stresam je me retrouve en certains points avec toi.

La dominante dans notre personnalité c'est je pense le besoin d'atteindre la perfection.

On a peur du regard des autres parce qu'on est pas parfait alors qu'on fait tout ce que l'on peut pour le devenir (fringues, muscu & co.) .

Perso, je supporte mal d'etre simple spectateur dans un groupe, je veux etre le leader, sinon je me sens mal (ca doit etre pour ca que je n'ai pas de groupes d'amis mais seulement des amis séparés les uns des autres).

Le problème est que devenir le leader, l'alpha du groupe, ben c'est dur quand on s'accepte pas soi même et qu'on a cette peur des autres, etant donné que l'alpha est normalement assez charismatique et intelligent pour se foutre completement du regard des autres.

De plus, un de mes soucis, c'est le fait de paraitre ininteressant. Je suis persuadé de paraitre ininteressant aux gens, car je n'ai pas souvent d'anecdotes a raconter ou de conneries a dire. J'ai pas cette aisance orale qui permet de raconter une histoire et d'y mettre de la vie, tout simplement car je réfléchis trop a ce que je vais dire. Du coup je me tais.

De plus on me fait souvent la remarque du sourire, je ne souris pas assez. Souvent j'ai l'impression de sourire pasque je souris interieurement, mais ca n'apparait pas assez sur mon visage, du coup tout le monde crois que je fais la gueule.


C'est pareil etant petit (entre 0 et 13 ans) je faisais tout le temps le con vachement extraverti, mais malheuresement je n'ai pas grandi (physiquement) aussi vite que les autres et je me suis fait persecuter (c'est le mot) durant deux ans au college par des connards surement jaloux de ma réussite scolaire et ca a ruiné ma confiance et mon égo, je me sentais vraiment comme une merde.

Depuis c'est dur de reprendre le dessus, ya tellement de boulot....


pfff je divague, je commence a etre completement hors sujet a parler de moi dsl...


Pour résumer je me demande comment devenir ce que l'on est dans son fort interieur ?
anxiété sociale:
faible estime de soi
catastrophisations (c'est français comme mot?)
peur du regard
très conscient de soi (que pensent-ils?)
mauvaise image de soi, ça peut être lié à de la dismorphophobie.


origines:
génétique en partie
sociétales
liées à l'histoire de vie (les enfants qui se moquent)
familiales (étonnement une mère qui évite de sortir de chez elle pour "éduquer ses enfants")


traitements:
psychothérapie
méthodes cognitivo comportementales

On en guérit!!!
Avant de sarger, regardez si vous êtes capable de marcher dans la rue et de vous foutre du regard des gens.
SouM, je me reconnaîs dans tes propos à quelques exceptions près. Je vais m'efforcer d'aérer mon post pour le rendre comparatif avec le tien.

- Je recherche la perfection physique, je fais beaucoup de sport pour y arriver, mais aussi culturelle, je lis énormément, les livres représentent un bugdet non négligeable. J'essaie de bien me sapper, jean, polo, petite veste, je me rase, je me laisse pousser les cheveux, je soigne mon langage. Si je ne suis pas parfait je pète une durite et je me mets en colère comme jamais je ne le fais parfois à ne plus arriver à me contrôler.

- Cependant je ne cherche pas à m'imposer dans un groupe, bien au contraire je déteste les leaders de toute sorte, les chefs....... Bref je n'ai pas d'ordre à recevoir et ce de qui que ce soit. Pour moi chacun est libre de s'épanouir au sein d'un groupe sans être influencé par un leader, d'ailleurs si il y a un leader, j'essaie de lui faire quitter cette place. Je suis assez grand pour savoir ce que je dois faire, je ne vais pas me soumettre à quelqu'un de charismatique, car son charisme c'est souvent de la poudre aux yeux, rien que le fait d'aspirer à diriger c'est de la faiblesse et le pire des vices. (Ne prend pas pour toi cette remarque)

- L'alpha généralement possède des atouts qui font qu'il peut dominer les autres inconsciemment sans que cela soit ressenti comme de la domination en tant que telle. Je dirai une supériorité sociale ou économique bien souvent, ils ont un truc que personne a et donc l'utilise pour diriger le groupe à leur guise, mais moi je cultive un certai anticonformisme, donc je le fait remarquer et ça explose. :D Car je pense que c'est soumettre les autres par des chemins tellement détournés que c'est gerbant, une sorte de totalitarisme psychologique implicite. Je ne supporte pas les choses oppressantes et autoritaristes, en gros la contrainte.

- Moi aussi justement j'ai cette impression de paraître inintéressant aux yeux des autres, pourtant en soirée, je débite le moins de conneries, enfin bon je ne suis pas le pitre de la soirée, ou le vieux loveur avec sa guitare, moi je recherche des discussions plus profondes, que des moments de liesse générales que l'on partage parce qu'on a de l'alcool dans les veines, ça me débecte ce genre de chose. Je ne suis pas du genre à me mettre en avant non plus ou à me moquer. Il faut savoir rester humble. Je me tais du peur du jugement des autres car souvent ils se foutent de ma gueule, même si c'est pertinent donc je me tais, ou alors j'explose tout le monde......... Et la violence ne me plaîs pas.

Je ne souri jamais car je suis aigri et je vis avec la haine des autres au fond du coeur. Sourire pour quoi faire? Je ne souris qu'à mon ami et bien sûr à ma famille, c'est primordial.

Moi petit aussi je faisais le pitre, j'étais la joie de vivre incarnée, mais me confronter aux autres et leurs réactions méprisantes, hautaines et froides quotidiennes, ça m'a blasé, donc je suis associal. Même j'étais tout le temps rabaissé par mes camarades, j'étais insulté, on se moquait de moi, on me jalousait pour mes notes et aussi pour ma culture( c'est sans prétention que je dis ça, j'essaie d'être le plus objectif possible, je peux aussi avoir quelques qualités :D). Même en sport on me considérais comme une merde toujours à se foutre de ma gueule ou à me bizuter à plusieurs. En colonnie de même j'étais humilié, ils se mettaient à plusieurs contre moi, je me faisais traiter de tous les noms. Disons que jusqu'à ce que j'aille à la fac, ce fut dur. Moi aussi, je me sens comme une merde. Mais je pense que la réaction des gens est due à de la jalousie d'agir comme ça, je le vois aujourd'hui, on se fout de ma gueule parce que je fais de la muscu....... Mais j'ai décidé de changer, je me suis musclé, je fais 1m75 pour 86 kgs, je ne sui pas gros mais costaud, je me suis rasé le crâne, on ne se moque plus de moi et les anciens connards et connasses de ma scolarité quand ils me voient ils baissent les yeux.

Je vais essayer de m'affirmer encore plus en faisant du close-combat ou du Krav-Maga.
stresam a écrit :SouM, je me reconnaîs dans tes propos à quelques exceptions près. Je vais m'efforcer d'aérer mon post pour le rendre comparatif avec le tien.

- Je recherche la perfection physique, je fais beaucoup de sport pour y arriver, mais aussi culturelle, je lis énormément, les livres représentent un bugdet non négligeable. J'essaie de bien me sapper, jean, polo, petite veste, je me rase, je me laisse pousser les cheveux, je soigne mon langage. Si je ne suis pas parfait je pète une durite et je me mets en colère comme jamais je ne le fais parfois à ne plus arriver à me contrôler.
Pareil, Je fais des fixettes sur mes défauts... On m'en a fait baver en cours pour de petits défauts physiques, et depuis, une remarque bien placée peut me faire tomber en morceaux. J'essaie de corriger ça en ce moment: au lieu de faire une fixette sur mon image dans la rue, j'observe les gens, les vitrines de magasins, les filles... Sinon j'avance tête baissée ou en marchant dans le vague, obsédé par un défaut de mes fringues ou de mon physique...
Genre tu traverses la rue, en te disant "putain de spot que j'ai sur la gueule" (en boucle bien entendu), et des que quelqu'un sourit et que tu croises son regard "Ce connard se fout de ma gueule ou quoi?"...
Vous voyez le travail d'Inner Game à faire, j'essaie de décentrer mon regard de ma propre personne pour voir autre chose (pas tout le temps, mais bon j'vais pas commencer une introspection de mon âme alors que je me balade dehors, c'est ça que je veux dire). De toute façon, qui peut se regarder sans déformer sa propre image? A force de le faire tout le temps, le niveau de distorsion atteint le rouge et là, ça devient dangereux. Faut que t'oublies un peu ta petite personne et que tu fasses comme moi ;)

- Cependant je ne cherche pas à m'imposer dans un groupe, bien au contraire je déteste les leaders de toute sorte, les chefs....... Bref je n'ai pas d'ordre à recevoir et ce de qui que ce soit. Pour moi chacun est libre de s'épanouir au sein d'un groupe sans être influencé par un leader, d'ailleurs si il y a un leader, j'essaie de lui faire quitter cette place. Je suis assez grand pour savoir ce que je dois faire, je ne vais pas me soumettre à quelqu'un de charismatique, car son charisme c'est souvent de la poudre aux yeux, rien que le fait d'aspirer à diriger c'est de la faiblesse et le pire des vices. (Ne prend pas pour toi cette remarque)
Encore pareil... J'ai un réel problème avec l'autorité, je suis incapable de m'y soumettre, à tel point que j'ai été viré de plusieurs clubs de sport.. Je ne peux me soumettre à l'autorité que si la personne qui la détient est clairement au-dessus de moi dans son domaine. J'ai tout fait pour pourrir la vie aux profs que j'estimait incompétents, aux entraineurs qui te disent "fais ci, fais ça" (sans bouger son gros cul pour te le montrer avant alors que t'es nouveau)

Solution (Inner Game):
Ce serait bien que tu arrêtes de voir le mal dans le pouvoir, si quelqu'un est au-dessus des autres dans un groupe, et que tout le monde est content, alors pourquoi s'en faire?
En raisonnant un peu, on peut se rendre compte que si un enfoiré détient le pouvoir dans un groupe, que tu l'éjectes en laissant la place vacante, il y a de fortes chances que le prochain "alpha" soit encore plus gerbant...

- L'alpha généralement possède des atouts qui font qu'il peut dominer les autres inconsciemment sans que cela soit ressenti comme de la domination en tant que telle. Je dirai une supériorité sociale ou économique bien souvent, ils ont un truc que personne a et donc l'utilise pour diriger le groupe à leur guise, mais moi je cultive un certai anticonformisme, donc je le fait remarquer et ça explose.
Idem encore une fois :D... Je cultive l'image d'une sorte de mec Freelance et totalement au-dessus de ça, mais ça, je le changerais pour rien au monde :). En
Car je pense que c'est soumettre les autres par des chemins tellement détournés que c'est gerbant, une sorte de totalitarisme psychologique implicite. Je ne supporte pas les choses oppressantes et autoritaristes, en gros la contrainte.
Détrompe toi, les gens ne sont pas contraints, il acceptent le pouvoir de plein gré et sont heureux comme ça..
Je pense que sur ce point, il y a une "fausse lucidité". Tu es incapable de te soumettre, tant mieux pour toi, mais très peu de gens souffrent de la domination des autres, et très peu s'en aperçoivent. Tu as tendance à extrapoler ton mode de pensée aux autres personnes, et tu penses qu'elle sont conscientes de la domination de l'alpha et s'y soumettent car elles sont faibles :/

- Moi aussi justement j'ai cette impression de paraître inintéressant aux yeux des autres, pourtant en soirée, je débite le moins de conneries, enfin bon je ne suis pas le pitre de la soirée, ou le vieux loveur avec sa guitare, moi je recherche des discussions plus profondes, que des moments de liesse générales que l'on partage parce qu'on a de l'alcool dans les veines, ça me débecte ce genre de chose. Je ne suis pas du genre à me mettre en avant non plus ou à me moquer. Il faut savoir rester humble. Je me tais du peur du jugement des autres car souvent ils se foutent de ma gueule, même si c'est pertinent donc je me tais, ou alors j'explose tout le monde......... Et la violence ne me plaîs pas.
Pareil... Exactement pareil.. Je suis un peu bluffé par le fait que je me reconnaisse dans chaque ligne de tes propos :s. J'ai pas encore de solution à ça, mais au moins je suis heureux de pas être tout seul ^^
Je ne souri jamais car je suis aigri et je vis avec la haine des autres au fond du coeur. Sourire pour quoi faire? Je ne souris qu'à mon ami et bien sûr à ma famille, c'est primordial.
Idem, se balader dans la rue avec un petit sourire, c'est au-dessus de mes forces :(. Je suis trop méprisant.
Mais quand je suis content j'ai toujours un sourire sur la face, pour ça pas de problème ^^
Une HB qui me parle ---> smile ^^
En revanche, lors de soirées, si y'a un blanc ou si je ne parle pas pendant quelques minutes, je tire la gueule :|, ce qui décourage ceux qui voudraient me parler :]. Essaie donc d'avoir toujours un sourire, pense à un truc marrant, genre un article dans charlie hebdo ou une blague que ton pote t'as raconté :/
Moi petit aussi je faisais le pitre, j'étais la joie de vivre incarnée, mais me confronter aux autres et leurs réactions méprisantes, hautaines et froides quotidiennes, ça m'a blasé, donc je suis associal. Même j'étais tout le temps rabaissé par mes camarades, j'étais insulté, on se moquait de moi, on me jalousait pour mes notes et aussi pour ma culture( c'est sans prétention que je dis ça, j'essaie d'être le plus objectif possible, je peux aussi avoir quelques qualités :D). Même en sport on me considérais comme une merde toujours à se foutre de ma gueule ou à me bizuter à plusieurs. En colonnie de même j'étais humilié, ils se mettaient à plusieurs contre moi, je me faisais traiter de tous les noms.
Ah ah pareil, mais bon je pense que les gens nous maltraitaient car on leur renvoyait une image d'eux qui ne leur plaisait pas. Nous étions extravertis, libres, eux avaient une vie fade, étaient dominés par leurs peurs comme beaucoup de jeunes...
Disons que jusqu'à ce que j'aille à la fac, ce fut dur. Moi aussi, je me sens comme une merde. Mais je pense que la réaction des gens est due à de la jalousie d'agir comme ça, je le vois aujourd'hui, on se fout de ma gueule parce que je fais de la muscu....... Mais j'ai décidé de changer, je me suis musclé, je fais 1m75 pour 86 kgs, je ne sui pas gros mais costaud, je me suis rasé le crâne, on ne se moque plus de moi et les anciens connards et connasses de ma scolarité quand ils me voient ils baissent les yeux.

Je vais essayer de m'affirmer encore plus en faisant du close-combat ou du Krav-Maga.


Moi je pense plutot étouffer la chose dans l'oeuf... Je veux qu'on me respecte, et quand on me manque de respect je balance des bombes au milieu des conversations, ça a calmé beaucoup de gens.. Ils me savent différents d'eux, mais ont cessé d'insulter mes hobbies et de se moquer de choses qui me passionnent.
Merde mec, t'as cultivé un anticonformisme toute ta vie, et v'la que tu deviens conformiste :D
Les gens te dictent ta conduite, ils se sont moqués de toi alors tu changes. Moi j'emmerde les gens, je veux qu'ils m'acceptent comme je suis. Je ne ferais rien pour me faire accepter des autres, mais je fais du sport (plus dans un club :D) et je me soigne (coupe de cheuveux nickel, rasé de près, toujours propre) pour m'accepter moi-même.

Désolé pour cette tartine... en fait non, j'ai pas envie de m'excuser, demerdez-vous.
En te lisant, j'ai comme l'impression que tu as cessé de combattre, que tu te resigne a être associal (peut être est-ce ton désir, bien que j'en doute), pourquoi cela ?

Perso je ne supporte pas ma condition et je veux que les choses changent (mais je ne fais rien pour...)
Si j'ai changé c'est pour que les autres craignent ma réaction et donc ne me disent plus rien. :D j'étofferai ce soir, car là je pars travailler.
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