Il y a quelques différences fondamentales :
—> Le jerk baise, alors que l'AFC ne touche que dalle.
—> Le jerk connaît bien les femmes, et sait exploiter leurs faiblesses, alors que l'AFC ne comprends pas grand chose à la mentalité féminine.
—> Le jerk est un pur salaud. L'AFC est un garçon trop gentil.
Mais en y réfléchissant, il peut y avoir un recoupement entre le jerk et l'AFC : en effet, il pourrait exister quelques AFCs qui utilisent des techniques de jerk pour parvenir à leurs fins.
Ceux-ci, blasés de se faire tout le temps échaudés parce qu'ils sont trop gentils, tombent dans l'excès inverse : ils jouent les bâtards pour arriver à leurs fins.
Ils jouent sur la manipulation, le chantage affectif, bourrent la gueule des minettes pour les mettre dans leur lit, font croire au grand amour, etc...
La frustration accumulée, la misogynie naissante, un peu d'alcool dans le sang pourraient être autant d'éléments déclencheurs.
J'admets : là, on part en pleine branlette intellectuelle quantique, mais vu sous cet angle, il pourrait y avoir effectivement des types mi-AFCs, mi-jerks, ou plutôt des AFCs jouant les jerks. Mais ça doit être relativement rare, étant donné que les deux personnages sont plutôt contre-nature.
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Une personnalité cynique, sombre, égoïste, où même égotiste.Quinte_flush-royale a écrit :Mais au final, la jerk attitude, ça cache quoi comme personnalité !?
Je me souviens d'avoir toujours pris un malin plaisir à être infect de la sorte, de jubiler après avoir cocufié des pauvres types en me disant "Ca leur apprendra à être aussi mauvais." ou après m'être attrapé une fille : "Pas possible d'être aussi débile, si elle savait que je l'ai baratinée d'un bout à l'autre.".
Comme une façon de me prouver à moi-même que j'étais bien au-dessus de tout ça, bien au-dessus des autres.
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D'où le côté narcissique de la plupart des salauds. Entre ça et la dévalorisation de la femme, on a un formidable cocktail.l'elfe a écrit :Un jerk n'est peut-être pas frustré sur le plan sexuel, mais comme l'AFC, il manque cruellement de confiance en lui, c'est pourquoi il surcompense. Et comme il manque d'un "truc" pour être un mec équilibré bien dans sa tête, ça engendre une forme différente de frustration. du "jamais assez". Too much is not enough.