[J] Et au bahut, qu'est-ce qu'il se passe?

GuDe, relis ça :

Elles: Hé ho, viens!
M: Non
Elles: Viens!
M (j'avance vers elles): Ok j'arrive, regardez j'arrive, je m'approche, voilà presque... (je change de chemin et je sors) ...eh ben non!

C'est super jerk, pas du tout dans l'esprit du game. J'étais comme ça

en lisant ce truc. Ca fait même flipper de voir qu'on peut en arriver à ces abus après avoir lu tout FTS...

Anonyme, il faut que tu ailles sarger avec un player confirmé de FTS, il te dira ce qui ne va pas. Et tu verras aussi ce qu'est un vrai game.
En attendant, pour t'inspirer, étudie ce numclose en moins de 5 minutes :

Bon opener, bonne répartie, bons kinos, bonnes sapes, bonne voix, bon BL, bonne gestion d'un set de 2, décontracté, gracieux... C'est ça que tu dois faire.

GuDe> J'ai réfélchi à tout ce que t'as dit, et cours de la semaine dernière, j'ai plus ou moins mis tout ça en pratique.
Il est clair que les résultats socialement s'améliorent, je ne sais pas trop comment, mais le fait d'arrêter de tout analyser fait que les gens nous apprécient plus.
Arrêter de sortir ce que tu qualifies de "tirades à deux balles", c'est à peu près pareil, sauf que vos conseils "j'assume, je suis naturel, je la suis, même si faut pas...etc", marchent un petit peu moins bien. Ou alors c'est que je les ai mal mis en oeuvre.

Bon, à vrai dire, jeudi, j'ai essayé de faire un report, mais tout le contenu de vingt minutes d'écriture a été effacé par je ne sais quelle manipulation. Ainsi, j'ai pas eu le courage ni le temps de tout réécrire.

Robespierre> Ton dernier message, je trouve que tu abuses un peu la situation quand même. Enfin bon, je vais pas m'étendre en détails, je vais manger un bout et je commence le FR résumant les deux dernières semaines...

Voilà...

Je vais commencer par les trois principalement concernées.
Miss transports en commun:
Il y a environ dix jours, un matin, on prend le bus ensemble, elle a l'air de mauvaise humeur/fatiguée...etc
Je ne me souviens plus tellement, mais il me semble qu'elle était pas vraiment intéressée, je m'y suis donc adapté. On parle vite fait, conversation vraiment histoire de discuter quoi.
Dans le bus, je lui dis de me suivre pour s'asseoir vers le fond du bus. Elle ne me suit pas et reste debout vers le milieu du bus. Moi, indifférent, je vais m'asseoir comme je l'ai annoncé. On ne se parle pas pendant le trajet. En fait on ne s'est plus parlé de la journée (en même temps, on ne s'est plus vus du reste de la journée).
Puis, je l'ai moins vue prendre le bus avec moi. Décision de sa part ou obligation? Je pencherais plutôt vers la première possibilité. Bon, c'est pas grave.
Jeudi dernier (matin), elle est là. intérieurement, je me dis à la fois "Zut!" et "Ah, super!". "Zut" parce qu'on risque de ne pas s'adresser la parole, parce que j'avais déjà commencé à socialiser avec une autre fille, et parce qu'on est le matin.
"Super" parce que c'est quand même une fille qui m'intéresse, et que malgré la dernière fois, je la trouve plutôt attirante.
Je lui dis bonjour, on échange quelques mots, et on ne se parle pas pendant le bus, malgré le fait qu'on soit à côté. L'important pour moi est surtout de laisser transparaître par mon BL que je ne suis pas angoissé/que je n'ai rien à dire, mais plutôt que je suis détendu, et que j'ai pas forcément envie de parler, et que c'est de sa faute.

Ce matin, je suis plutôt de bonne humeur malgré mon faible temps de sommeil. Elle est là. Je lui dis salut, ma bonne humeur se transmet à travers ma voix, mais je n'engagerai "réélement" la conversation, qu'à la sortie du bus, sur un sujet qui m'est passé par la tête au moment même.
Cette fois, elle est plus chaleureuse. Bien...

Ce soir pareil, on prend le bus ensemble, mais y a un gars du bahut qui m'a obligé à adopter des comportements menaçants la dernière fois parce qu'il me faisait chier juste devant une copine à moi. Elle l'a mal pris à ce que j'ai constaté.
Il s'agit de ne pas refaire la même erreur, surtout qu'il accompagne son petit frère, un pré-pubère en force, un je-t'insulte-à-volonté, qu'il vaut mieux pour ma réputation et pour ma confiance en moi, éviter à tout prix. Mais les deux me collent.
J'attends donc qu'il soient sortis du bus pour aller voir ma cible.

M: Salut
E: Ca va?
M (en même temps): T'as passé une bonne journée?
Je trouve cette façon de demander vraiment AFC, la prochaine fois, à éviter
E: Excellente
M: Alors tout va bien pour toi

Elle me parle d'école...etc
Dès qu'on sort, je me dis qu'il faut que je trouve un moyen de prolonger la conversation.

M: Dis, elles doivent être sympa tes musiques pour que t'aies un iPod tout le temps collé à l'oreille
E: Ouais, je suis une grande fan de musique
M: T'aimes quoi comme chansons?
E: Oh mais tu sais, il y a une chance sur mille pour que tu connaisses
M (je tourne la tête un moment): Bah dis quand même
Je vous dis, AFC-style
E (bizarrement, elle s'en va)
M: Salut
E: Salut

Quand je réécris tout ça, je me dis que j'ai vraiment été un AFC profond sur ce coup.
Pour le reste de ce report, ce sera pour tout à l'heure ou pour demain.

@+
?Anonyme?

Donc, la suite...

Du côté de Julie, ça stagne plutôt, on se parle de moins en moins, je suis allé leur parler deux fois, mais elles avaient l'air en plein dans leur conversation, et ne m'ont même pas entendu, je n'ai pas insisté.

Du côté de Séverine, ça devient plutôt "intéressant".
Donc, je vais vous citer les évènements notables.
Il y a une semaine, avant un cours elle me demande où je m'asseois

M: A côté de <Copain>
E: ?Anonyme? ? (tiens ça fait deux points d'interrogation )
M: Oui?
E: Tu veux pas plaquer <Copain> pour venir t'asseoir à côté de moi
M: Nan, c'est pas possible

1. Parce que je ne vais lâcher une pote pour une meuf
2. Parce que je suis très mal à l'aise quand je suis assis à côté des filles, il n'y a aucune discussion, je ne peux pas contrôler ma voix, mon rythme, et ma gestuelle, je suis obligé d'écouter les cours, donc ça mène à rien.

Donc je ne m'asseois pas à côté d'elle. En y réflechissant, je me demande si elle voulait vraiment s'asseoir à côté de moi ou si elle cherchait juste un bouche-trou, parce qu'aujourd'hui, la seule place qui restait était à côté d'elle (oui, j'ai une manie d'arriver tout le temps en retard aux cours), et puis, elle m'a dit que sa place était occupée par sa copine -ce qui était vrai, mais je ne m'en suis pas rendu compte- sans vraiment avoir l'air navrée ou proposer autre chose.

Autre chose, vendredi, je demande son Blackberry à une copine à elle pour voir les séances de ciné:

Séverine: Tu vas au ciné?
M: Ouais
S: Avec qui?
M: Avec <copain1> et <copain2>

Elle avait l'air de vouloir venir avec moi.

Pour le reste, une fille vraiment mignonne, cherche à faire connaissance avec moi depuis environ deux semaines, mais à chaque fois qu'elle essaie de m'aborder, je ne lui réponds pas, peut-être parce que je mets du temps à assimiler, mais, j'aimerais bien moi aussi faire sa connaissance, et je pense que le mieux serait d'attendre la prochaine fois qu'elle essaie de me parler (si il y a une prochaine fois), et de faire la conversation.
Le truc c'est que je trouve ça vraiment frustrant de ne pas avoir encore socialisé avec elle. On verra par la suite...

Pour terminer, je me suis disputé avec une meuf qui m'a fait honte devant une partie de la classe (et qui m'a saoulé par la même occasion). Le problème, c'est qu'il y avait une diazine de filles autour qui assistaient à la dispute. Après le sport, j'ai fait un peu de SPU où j'ai enfin réussi à discuter longtemps avec une fille, et puis voilà...

@+
?Anonyme?

Salut

Alors, un petit up...

Côté Inner Game, ça va mal, ces derniers temps, j'ai eu droit à un gros déficit de sommeil, les trois quarts de mes derniers opens ratés, soit parce que je ne parlais pas assez fort et que les filles n'ont même pas tourné les yeux tellement dans un cas sur deux je ne donnais pas l'impression de m'adresser à elles -> loupé, ou alors c'est que je n'étais pas moins mou qu'un bout de réglisse, que j'étais de mauvaise humeur ou encore mal à l'aise à cause de circonstances pré-open qui ont eu un effet négatif sur moi. Dans ces cas-là j'ai eu le droit à des réponses en monosyllabe, ou désagréables.
Les devoirs m'ont inutilement arrachées mes heures de sommeil, et j'en ai encore qui m'attendent dans mon sac

.
Cerise sur le gateau, j'ai fait l'expérience de ce qu'est un racket, mon portable en a subit les conséquences, et ça n'a pas arrangé les choses, loin de là.

Après cette petite mise en bouche

, je vais raconter l'avancement de la situation.

Jeudi midi, je passe quelques minutes à la table de Jessica et ses amies, Julie, n'est pas là...

M: Salut
Jessica: ?Anonyme? ! Comment ça va?
M (voyant qu'une chaise de la table est vide): Tiens, il manque quelqu'un...
J: Ouais, c'est Julie

Cette fille est toujours de bonne humeur, c'est agréable

Je me contente de sa réponse, je ne réclame pas plus d'infos. On engage la conversation, on discute école, mais je ne me souviens plus des détails.
Puis je m'éjecte, prétextant quelque chose à faire, et je me dis qu'avec un peu de chance, Jessica racontera tout ça à Julie.

D'ailleurs, tout à l'heure, Julie me croise dans le couloir avec mes amis

E: Ah! ?Anonyme? et sa bande...

Je souris, mais je trébuche sur Jessica, sur le coup j'ai eu l'impression qu'elle l'a fait exprès, je la regarde, attendant des excuses, elle me dit qu'elle a pas fait exprès. Ce genre de situation était plutôt génant, m'enfin.

Pour Séverine, le dossier est en suspens.

D'ailleurs, c'est marrant, dans la classe, y a une fille très jolie, mais y a aucun mec pour aller la draguer. De son côté elle a l'air plutôt de ne connaître pas grand monde dans la classe. Et même entre mecs, il y a personne qui dit qu'elle lui plaît ou des trucs du genre. Et pourtant, j'hallucine pas, c'est une des plus mignonnes de la classe. Appelons-la Amanda, au cas où j'en parlerais par la suite.

Ce matin, arrivant à l'école (en retard comme d'habitude), je m'asseois à une table, mais personne n'y est assis.
Je déteste m'asseoir tout seul, mais j'ai dû faire avec.
Amanda, aussi est en retard (mais plus que moi), la seule place qui reste est à côté de moi, elle se dirige vers cette place, jette rapidement un oeil au reste de la classe pour voir si y a rien d'autre de dispo (mon ego en a pris un coup, mais c'était peut-être juste pour se prizer), puis s'asseoit à côté de moi.
On se connaissait vite fait avant, et ça a pas trop changé après ce moment-là, une salle de classe remplie d'élèves silencieux à recopier tranquillement ce que le prof dicte, ça vaut pas une rue en plein air où on peut maîtriser librement sa gestuelle, contrôler sa voix, et parler de ce qu'on veut.
A la fin de l'heure, elle s'apprête à changer de place (vive le désintêret!), mais le prof lui dit de rester. On s'échange quelques mots durant l'heure qui suit, mais ça vaut pas trop la peine d'être écrit ici. L'heure d'après, sans me demander l'autorisation, elle me déplace mes affaires pour que sa meilleure amie vienne me supplanter.

Je déteste quand on me fait ça, mais je laisse passer, parce que sinon, je me retrouve catalogué "collant".

Je vais conclure ce post par le report de la conversation d'aujourd'hui avec HBTransports, un après-midi cette fois, mais avec mon moral, c'est comme si c'était le matin.
Elle vient avec une copine à elle, avec qui j'avais déjà socialisé, une fille qui est vraiment sympa.
On se salue, on entre dans le bus. J'amène le sujet vers mon histoire de racket (alors, je sais, y en a qui vont dire que ça abaisse ma valeur sociale ou d'autres trucs du genre, en fait, j'y ai bien réflechi avant, et comme j'en ai parlé à une grande partie de mes potes, que ce sujet a tenu une demie heure et qu'on m'a posé plein de questions...).
L'histoire en elle-même peut être différemment perçue en fonction de la façon de la raconter et d'aborder le sujet.
Evidemment, je m'occupe soigneusement de ces détails, j'en profite pour glisser de petites anecdotes de temps en temps (genre "d'ailleurs, y un ami qui m'avait dit..."), je fais gaffe à ma gestuelle, à bien regarder tour à tour dans les yeux les deux copines, et à bien raconter l'histoire.
Sur ce point, je suis content de moi.

A la fin de mon récit:

HBTransports: C'est marrant, t'as l'air de t'en foutre complètement qu'on t'aie volé ton téléphone, comme si ça ne t'affectait pas, ou que ça ne te choquait pas

Je perçois la remarque comme positive. Je suis content, je sens que je relance (peut-être temporairement) une machine qui a très mal marché pendant une dizaine de jours, et ça fait plaisir de voir qu'il y a enfin quelque chose qui marche.

Puis, on se dit au revoir.

Il faut juste que je me rappelle de mettre à jour mon carnet d'auto coaching, ça me fera un peu de bien...

Voilà, à vos comms...
@+
?Anonyme?

Salut,

Tu a fais des efforts pour raconter sans trop te focaliser sur tout les détailles, mais j'ai toujours l'impression que tu analyse un peu trop.

La hb_transport-machin honnêtement, au vu de ce que tu écrit, c'est mort de chez mort. Vous vous dites bonjour, vous parlez presque pas, tu lui dit de te suivre, elle y va pas, c'est qu'elle est pas interessé. Une fille interessé recherche ta compagnie, et parle en général beaucoup avec toi (en tout cas pour moi c'est comme sa).

La fille toute seul que personne n'ose draguer, sa va être chaud aussi étant donné ses réactions (je ne dis pas que c'est mort, mais tu vas devoir ramer).

Tu te qualifierais comment au sein de ta classe ? Tout le monde t'aime bien ? Tu es timide / grande guele ? Tu es en quelle classe ?

A+

Twi> Bah en fait, j'ai plutôt l'impression que c'est plus grillé pour Amanda que pour autre chose parce que draguer une fille de sa classe n'est vraiment pas chose aisée.

Au sein de la classe, je dirais que ma côte de popularité varie en fonction des jours (comme la bourse), dès fois, il peut y avoir du monde qui recherche souvent mon attention, d'autres fois ça peut être normal, je m'asseois à côté de mes potes habituels, on se parle comme d'habitude, la routine, ou alors d'autres fois c'est pire (mais au fur et à mesure que je "grandis" -si on peut appeler ça grandir-, ça va de mieux en mieux à ce que je constate, et à mon grand bonheur), c'est-à-dire que je peux être dans une mauvaise passe et je me prends de temps en temps railleries ou trucs du genre qui me mettent bien mal à l'aise.
Pareil des fois j'ai droit à 70% de sourires quand j'aborde, des fois c'est 15%, va savoir pourquoi.

Pour ajourd'hui, je vais pas faire long, je vais juste raconter une petite partie de ma journée qui a son importance pour moi.

Cet après-midi je rentrais chez moi, je prenais le bus, et y avait deux filles et un mec (ma cible n'était pas avec eux, heureusement d'ailleurs), j'avais déjà socialisé avec les trois, et quand ils sont venus prendre le bus, ils étaient dans un délire fou, super énergique, le mec avec un inner game que je voudrais avoir tous les jours, il était au top, il avait la pêche, les filles riaient dès qu'il disait quelque chose, alors moi, quand je leur ai dit salut, avec mon 2 de tension, ils m'ont répondu mais ma bonne humeur était bien inférieure à la leur.

Résultat, durant tout le trajet dans le bus, ils étaient au fond à délirer, et moi, je me suis mis à part parce que je ne me sentais pas de taille...

Voilà pour ajourd'hui,
@+
?Anonyme?

Un petit résumé des derniers jours.

Comme vous le savez sûrement, il y a environ un an, alors que je découvrais à peine FTS, j'avais décidé que Julie deviendrait ma cible. Je ne l'ai pas closée, j'ai déjà précisé dans mon premier post pourquoi. Ainsi, on est restés plusieurs mois sans s'adresser la parole, ni à elle, ni à ses copines. Puis, elle est revenue sur le devant de la scène.
Les causes de mon précédent échec étaient sûrement dûes à une profonde incongruence, des lines que je venais de lire sorties à tout va, et une pincée de needysme.

Je traînais donc derrière moi un passé pas très glorieux en ce qui concerne nos relations. Jeudi, je suis allé m'asseoir à leur table, on a discuté...etc
Et là, Julie m'a parlé de je ne sais plus quelle tirade style "j'ai une amie qui m'invite à une fête je sais plus trop quoi" que j'ai dû lui dire un de ces jours et dont le souvenir me revenait très vaguement.
Et à ce moment-là, j'ai dû subir LA question anti-mensonge à laquelle je ne m'attendais pas, mais alors pas du tout.

Julie: Tu te souviens de cette histoire?
M: Ouais vaguement
Julie: Eh ben tu m'avais dis le prénom de la copine qui t'a invité, je m'en souviens, mais toi, est-ce que tu t'en souviens?...

Je me sentais rougir, je ne m'en souvenais pas. Je lui ai dit un prétexte hésitant comme quoi je ne lui ai pas dit son prénom, et que c'est juste une astuce pour le connaître.
Deux minutes plus tard, je me tirais de leur table.

Mais qu'est-ce que ça pouvait être ce fichu prénom?

Rah, plus jamais je ne me ferai griller de cette façon.
Le soir, chez moi, le prénom m'est subitement revenu, mais je n'étais pas vraiment sûr que c'était elle.
Tant pis, j'ai tenté le tout pour le tout pour le tout.

Quand je suis allé le lui dire -le lendemain- elle affichait un formidable désintérêt (tu m'étonnes...). Tant pis, c'est foutu. Moi aussi, je commençais à me lasser alors...

Tiens, pour anecdote, aujourd'hui, j'étais assis juste derrière Séverine, à côté d'une meuf qui a l'air vraiment sympa, et je discutais tranquillement et silencieusement avec celle qui était à côté, en cherchant à éviter les regards et l'oreille attentive de la prof.
Tout à coup, il m'est venu à l'idée de faire une petite remarque sur les cheveux de Séverine qui étaitde dos, juste devant moi

M: Tiens c'est marrant, Séverine, ses cheveux ils...
Séverine, se retourne subitement et, avec le sourire, quand même: Qu'est-ce qu'ils ont mes cheveux?
Je continue ma phrase
Séverine: Répond je ne sais plus quoi, puis se retourne, en faisant virevolter ses cheveux, comme dans les pubs "parce que je le vaut bien"

Même si ce n'est pas phénoménal et que je ne pense y arriver un jour avec elle, c'est toujours ça.

Autre chose, la fille dont je parlais qui a essayé de m'aborder plusieurs fois, je passais devant elle, elle était avec un mec que je connaisssais vite fait, et moi, je débattais tranquillement avec un copain, je la voyais me regarder fixement, j'ai jeté deux ou trois rapides coups d'oeil, et le mec qui est avec elle m'a arrêté:

Lui: Hé, elle t'a dit bonjour, tu réponds pas?
M: Elle m'a dit bonjour? Pas entendu...
Je la regarde
M: Bonjour

J'ai continué mon chemin comme si de rien n'était (d'ailleurs, c'était peut-être une erreur...). Ca fait toujours plaisir

.

Voilà, ce sera tout pour aujourd'hui.

@+
?Anonyme?

Une fille que ne connais pas te dis bonjour ?
Si j'ai bien compris elle est mignone et toi à chaque fois tu l'ignores ?

Mais qu'est-ce que t'attend, une fille qui vient te parler comme sa faut sauter sur l'occasion (pour une fois que tu n'as rien a faire).

Sinon j'ai rien compris avec Julie et l'histoire du prénom...

A+

Pour ceux qui n'auraient pas compris l'histoire avec Julie:

Il y a un an, je fakais quasiment tout ce que je disais, j'étais incongruent au possible. Le problème n'est pas encore tout à fait réglé, m'enfin, ça avance.
Donc, il y a un an, j'ai voulu lui demander son opinion sur ce que je devais offrir pour l'anniversaire d'une copine.
Visiblement, ça l'a marquée.
Elle m'a demandé comment s'appelait la fille en question. J'ai dû lui sortir un prénom au hasard.

Il y a quelques jours, cette histoire revient sur le devant de la scène (alors que je m'en rappelle à peine), et pour vérifier la véracité de mes dires, Julie m'a demandé comment s'appelait la fille en question.
J'ai pas su lui répondre. Je suis tombé dans la case FAKE ajouté de MENTEUR.
Le lendemain, le prénom m'est revenu, mais je n'étais pas vraiment sûr que c'était ça.
Je suis allé le lui dire. Elle ne m'a rien répondu et était visiblement désintéressée.
A partir de ce moment-là, j'ai décidé de lâcher l'affaire.

Quant à la fille qui essayait de me parler, bah en effet, c'est ce que je devrais faire, mais maintenant que je ne lui ai répondu qu'une fois sur quatre, il va falloir être cohérent et y aller très doucement.

Et puis, moi, je n'ai aucune idée sur la façon d'engager la discussion. Pour rajouter au problème, je crois qu'elle me fait peur (j'ai plus tellement le temps de faire du street en ce moment, la peur des filles m'est un peu revenue).
Cerise sur le gâteau, sa meilleure amie se trouve être mon ex-one-itis d'il y a presque deux ans, à qui je n'ai plus parlé depuis très longtemps et elle est souvent entourée de deux ou trois mecs.

Ca complique les choses...

Mdr le sac de noeud :p

Pour Julie j'avoue que sa va être dur.

Pour l'autre prend tes couilles et game la, la fille elle mache la moitié du travail et toi tu fais rien (alors que tu t'époumone à en draguer d'autres qui en ont rien a foutre...).

Go go go !

A+