pareil. J'ai souvent été le meilleur, et en gros quand tu travailles en groupe soit tu te tape la majorité du boulot, soit tu passes ton temps à expliquer aux autres des trucs que tu connais par coeur. Tu passes donc moins de temps à travailler.
j'ai toujours éviter au maximum de bosser en groupe et de réviser avec les autres. En plus en groupe, tu vas forcément délirer, plaisanter, et ca peut très vite être du grand n'importe quoi. Résultat, tu as perdu une après midi de boulot.
Donc si tu en a rien à foutre, je dis vive le travail de groupe et vive la déconne, si il faut un minimum de sérieux, je dis non
Le groupe de travail scolaire
hop hop par ici...
http://fr.wikipedia.org/wiki/Eug%C3%A8n ... _du_projet
Dans mon cas, j'ai toujours trouvé qu'il fallait une majorité de membres assez matures pour prendre les devants et faire sentir aux plus "kékés" l'obligation de se bouger le cul. S'il n'y en a qu'un, on arrive à une sorte de dynamique moutonnière et peu productive niveau originalité. Si y'a personne, on vire à la cata type procrastination.
Ma dernière expérience en date est assez marrante, seul mec dans un groupe de 5 filles (dont 3 qui n'avaient rien à faire dans le module, une affectée de troubles hystrioniques et une perverse narcissique). On a failli virer à la cata: délégations par mauvaise foi, séductions à deux euros cinquante niveau lycéenne, silence radio, 1 semaine restante et toujours rien de produit pour le projet. Un gros coup de psychologie de base (mirroir, suivi d'une engueulade canalisée par de la TA, c'était la grosse poilade de leur faire la morale ensuite) pour enfin aboutir à un effet de dissonance cognitive (traduction: comme je ne suis pas professionnel thérapeute et que ce n'est pas l'environnement idéal pour nettoyer les cerveaux d'une LSE et d'une tordue démunie d'empathie, autant viser une cohésion de groupe temporaire pour la fin et suffisemment potable, moins pire qu'avant pour sortir un ppt qui tienne la route). La chose la plus importante dans ce cas particulier, c'était d'avoir plus de temps dispo pour envisager une tactique moins dans la castagne et plus axée sur l'admiration du leader, mais avouez que le nombre de personnes et sans doute un peu trop élévé (?)
http://fr.wikipedia.org/wiki/Eug%C3%A8n ... _du_projet
Dans mon cas, j'ai toujours trouvé qu'il fallait une majorité de membres assez matures pour prendre les devants et faire sentir aux plus "kékés" l'obligation de se bouger le cul. S'il n'y en a qu'un, on arrive à une sorte de dynamique moutonnière et peu productive niveau originalité. Si y'a personne, on vire à la cata type procrastination.
Ma dernière expérience en date est assez marrante, seul mec dans un groupe de 5 filles (dont 3 qui n'avaient rien à faire dans le module, une affectée de troubles hystrioniques et une perverse narcissique). On a failli virer à la cata: délégations par mauvaise foi, séductions à deux euros cinquante niveau lycéenne, silence radio, 1 semaine restante et toujours rien de produit pour le projet. Un gros coup de psychologie de base (mirroir, suivi d'une engueulade canalisée par de la TA, c'était la grosse poilade de leur faire la morale ensuite) pour enfin aboutir à un effet de dissonance cognitive (traduction: comme je ne suis pas professionnel thérapeute et que ce n'est pas l'environnement idéal pour nettoyer les cerveaux d'une LSE et d'une tordue démunie d'empathie, autant viser une cohésion de groupe temporaire pour la fin et suffisemment potable, moins pire qu'avant pour sortir un ppt qui tienne la route). La chose la plus importante dans ce cas particulier, c'était d'avoir plus de temps dispo pour envisager une tactique moins dans la castagne et plus axée sur l'admiration du leader, mais avouez que le nombre de personnes et sans doute un peu trop élévé (?)