Comme les autres je trouve ce post assez intéressant. En particulier le petit exercice qui consiste à soutenir le regard des filles qui nous intéressent n'importe ou n'importe quand avec des sourires en prime.
Perso j'ai aucune difficulté à aller taper la discute à droite à gauche mais je stresse à partir du moment ou je me dis qu"il faut que je profite de la discussion que j'ai entamé avec la fille en fasse de moi pour la séduire. Du coup je pense que ça peut être un bon exercice pour commencer à arrêter de bloquer à certains niveaux de la séduction.
hey les newbie, vous prenez pas la tete ! start camp
Pour ma part, la panique commence quand je me dis "je veux coucher avec cette fille, elle va le comprendre et me jeter" ... si a aucun moment je n'ai l'intention de finir au lit avec la nana, tout se passe bien, aucun blocage. A partir de l'instant où j'ai des vues sur la nana je passe mon temps a me dire qu'elle va très vite le comprendre.
Assume tes envies et ta masculinité, il n'y a pas de honte a communiquer à une femme que tu as envie d'elle, mais c'est différent que de la mater à mort comme un type qui est en manque, ça passe par une escalade de sexualisation du propos (en finesse), accompagnée d'une escalade de touché.
Il y a plein de routines à imaginer pour ça, laisse libre cour à ton imagination, et même, comme je l'ai fait, écris les quand elles te viennent à l'esprit, tu verras qu'à force elles te viendront naturellement à l'esprit.
Et puis si tu foires une date à cause de ça, réfléchis par la suite à ce que tu aurais pu dire, et écris le.
Tenir un journal et rédiger ma propre "méthode" ont été des éléments essentiels pour que je progresse.
Et surtout, que ça déplaise à vos parents, ou même à la société, ça n'est pas être un salaud que d'avoir envie de faire l'amour et de partager du plaisir avec une femme, tant qu'on est honnête avec soi même et qu'on est clair sur ce qu'on veut avec la personne en face (en gros, ne pas promettre des trucs rien que pour coucher, ce qui là, pour le coup est un comportement de salaud et de lâche, ménagez votre Karma)
Je voulais ajouter à propos du post d'origine la chose suivante :
au début de ma "socialisation", je me focalisais sur l'environnement pour en tirer un opener, en gros, je me mettais en mode observation (je n'ai jamais appris d'opener tout fait, même si je me suis servi de "l'avis féminin" parfois)
Se focaliser sur l'environnement permet de s'ancrer dans le présent et ça diminue l'anxiété.
L'anxiété sociale est une relation entre vous et la partie la plus merdique de vous même, comme nombre de relations, plus vous la combattez, plus elle se renforce, acceptez là, apprivoisez là.
Donc, commencer par observer, et même si vous n'abordez pas, relevez ce que vous auriez pu dire pour opener.
Au départ, j'en ai bavé.
Je me rappelle avoir souffert pas mal après certains open, non pas que j'avais totalement échoué vu que j'avais parlé, mais je me disais qu'à cette allure je n'y arriverais jamais, vu que je n'allais pas bien loin et que j'avais conscience que ma voix et mon BL étaient vraiment mauvais.
Sachez qu'avant cela je n'étais même pas capable de demander ma direction à quelqu'un dans la rue.
Mais, après m'être ramassé et m'être parfois dit que c'était trop d'effort pour un truc que d'autres font naturellement, j'ai repris les choses en main comme si c'était le sens de ma vie.
J'étais entre deux feux et c'était assez douloureux, d'une part je détestais de plus en plus tous les refuges que j'avais eu coutume d'utiliser pour me planquer (jeux video, drogues, web addiction, masturbation, dénigrement du reste de l'humanité), mais d'autre part, le "nouveau monde" n'était pas encore accessible.
L'age avançant (on se donne à soi même des contraintes de temps, parfois), je me suis dit que je ne pouvais pas passer à côté de ça, surtout qu'en bon AFC, tout échec ou toute réussite provoquaient en moi un apocalypse émotionnel (en gros, soit je voulais me suicider, soit j'étais amoureux)
Comme il est dit fort justement plus haut, il faut un déclic que personne d'autre que vous ne peut déclencher, un élan d'amour propre, et se dire, tant pis pour toutes les baffes que je vais prendre, c'est mon combat, ma vie ne peut continuer à être un gachis, je ferai mentir tout ce qui a fait que j'en suis arrivé là, j'aurai ma revanche sur la vie et tant pis pour ceux que ça perturbe.
Ah oui, un truc un peu étrange qu'une coach m'a donné et qui a marché pour moi :
prenez une photo de vous étant petit, une photo où vous avez l'air de vous amuser.
regardez là, écrivez ce que vous ressentez.
Personnellement ça me faisait carrément pleurer.
écrivez derrière quelque chose du genre "Je vais faire en sorte de t'aider à rester spontané et à réaliser ce que tu as toujours voulu faire, tu es l'enfant que j'aime le plus au monde".
gardez cette photo sur vous comme si c'était votre propre gosse et regardez là souvent.
ça peut vous paraître tordu mais pensez y.
Quand j'étais petit j'avais envie d'être pote avec tous les autres enfants, et surtout j'étais amoureux d'une italienne, et devinez quoi ?
Il y a plein de routines à imaginer pour ça, laisse libre cour à ton imagination, et même, comme je l'ai fait, écris les quand elles te viennent à l'esprit, tu verras qu'à force elles te viendront naturellement à l'esprit.
Et puis si tu foires une date à cause de ça, réfléchis par la suite à ce que tu aurais pu dire, et écris le.
Tenir un journal et rédiger ma propre "méthode" ont été des éléments essentiels pour que je progresse.
Et surtout, que ça déplaise à vos parents, ou même à la société, ça n'est pas être un salaud que d'avoir envie de faire l'amour et de partager du plaisir avec une femme, tant qu'on est honnête avec soi même et qu'on est clair sur ce qu'on veut avec la personne en face (en gros, ne pas promettre des trucs rien que pour coucher, ce qui là, pour le coup est un comportement de salaud et de lâche, ménagez votre Karma)
Je voulais ajouter à propos du post d'origine la chose suivante :
au début de ma "socialisation", je me focalisais sur l'environnement pour en tirer un opener, en gros, je me mettais en mode observation (je n'ai jamais appris d'opener tout fait, même si je me suis servi de "l'avis féminin" parfois)
Se focaliser sur l'environnement permet de s'ancrer dans le présent et ça diminue l'anxiété.
L'anxiété sociale est une relation entre vous et la partie la plus merdique de vous même, comme nombre de relations, plus vous la combattez, plus elle se renforce, acceptez là, apprivoisez là.
Donc, commencer par observer, et même si vous n'abordez pas, relevez ce que vous auriez pu dire pour opener.
Au départ, j'en ai bavé.
Je me rappelle avoir souffert pas mal après certains open, non pas que j'avais totalement échoué vu que j'avais parlé, mais je me disais qu'à cette allure je n'y arriverais jamais, vu que je n'allais pas bien loin et que j'avais conscience que ma voix et mon BL étaient vraiment mauvais.
Sachez qu'avant cela je n'étais même pas capable de demander ma direction à quelqu'un dans la rue.
Mais, après m'être ramassé et m'être parfois dit que c'était trop d'effort pour un truc que d'autres font naturellement, j'ai repris les choses en main comme si c'était le sens de ma vie.
J'étais entre deux feux et c'était assez douloureux, d'une part je détestais de plus en plus tous les refuges que j'avais eu coutume d'utiliser pour me planquer (jeux video, drogues, web addiction, masturbation, dénigrement du reste de l'humanité), mais d'autre part, le "nouveau monde" n'était pas encore accessible.
L'age avançant (on se donne à soi même des contraintes de temps, parfois), je me suis dit que je ne pouvais pas passer à côté de ça, surtout qu'en bon AFC, tout échec ou toute réussite provoquaient en moi un apocalypse émotionnel (en gros, soit je voulais me suicider, soit j'étais amoureux)
Comme il est dit fort justement plus haut, il faut un déclic que personne d'autre que vous ne peut déclencher, un élan d'amour propre, et se dire, tant pis pour toutes les baffes que je vais prendre, c'est mon combat, ma vie ne peut continuer à être un gachis, je ferai mentir tout ce qui a fait que j'en suis arrivé là, j'aurai ma revanche sur la vie et tant pis pour ceux que ça perturbe.
Ah oui, un truc un peu étrange qu'une coach m'a donné et qui a marché pour moi :
prenez une photo de vous étant petit, une photo où vous avez l'air de vous amuser.
regardez là, écrivez ce que vous ressentez.
Personnellement ça me faisait carrément pleurer.
écrivez derrière quelque chose du genre "Je vais faire en sorte de t'aider à rester spontané et à réaliser ce que tu as toujours voulu faire, tu es l'enfant que j'aime le plus au monde".
gardez cette photo sur vous comme si c'était votre propre gosse et regardez là souvent.
ça peut vous paraître tordu mais pensez y.
Quand j'étais petit j'avais envie d'être pote avec tous les autres enfants, et surtout j'étais amoureux d'une italienne, et devinez quoi ?
Je crois effectivement que le point à retenir est la partie pratique, mystery (par ex) indiquait notamment que intégrer complétement la MM nécessitait plusieurs mois à raison de 4 sorties par semaine avec plusieurs interactions à chaque fois.olivier a écrit : Comme le disent beaucoup "d'anciens" de FTS :'Toutes les méthodes marchent... à condition de ne pas faire n'importe quoi"
L'énergie et la remise en question par la pratique comptent beaucoup plus que la justesse idéologique de votre 'gourou'.
Direct, indirect, metaframes, etc; Je pense qu'il est juste important à la lecture d'une méthode de se dire 'ca me correspond' et d'aller l'appliquer.
Je suis d'ailleurs de l'avis de Style, il y a du bon à prendre un peu partout.
Beaucoup (trop?) a été écrit et dit sur la séduction; souvent pour ne pas faire comme les prédécesseurs; c'est un business après tout pour pas mal de gens.
La confiance en soi repose sur des succès, ces succès on ne les obtient qu'en abordant, avec donc des râteaux au départ parce qu'on est pas bon
. Pour rebondir sur ce qui a été dit dans ce thread, je dirais qu'à mon avis:
-il ne faut pas hésiter à s'aider d'une méthode 'reconnue' (il y en a quand même quelques unes qui provoquent le consensus) ou/et par quelqu'un ayant du succès (attention à l'aveugle qui guide l'aveugle lol), afin de sans cesse corriger ses erreurs (c'est pour cela typiquement que les sessions sarge m'intéressent)
-il faut aussi être raisonnable sur ces objectifs tout au moins au départ: un ami à moi disait que sortir avec une fille raisonnablement belle permettait de se construire une expérience et de booster sa confiance; je crois que c'est un des meilleurs conseils qu'on m'ait donné
-
Et n'oubliez pas cette devise des Shadocks :
C'est à force d'essayer qu'on finit par réussir, donc plus ça rate, plus ça a de chances de marcher.
la pratique donne du sens aux théories.
les théories sont des mots, elles ne deviennent pleinement compréhensibles et "ressenties" bien souvent qu'après echec et reflection sur celui ci.
L'echec est un bien, l'echec est necessaire.
il est primordial de lacher prise sur l'égo, et d'avoir conscience qu'en général tout le monde s'en fout complètement de votre petite vie, même si c'est dur à accepter.
Personne ne se souvient vraiment de vous, y compris de vos pires maladresses.
Toute connerie est excusable tant qu'elle vous conduit vers votre progrès.
Oubliez vous et intéressez vous sincèrement aux autres, et surtout, surtout, ne vous donnez pas d'ordre, personne n'aime les ordres, un "il faut que je", est un ordre envers vous même, parlez vous à vous même comme à quelqu'un que vous aimeriez voir realiser des choses pour son bien, en toute liberté, lisez pour cela des must have comme "comment se faire des amis" et "petit manuel de manipulation...", et appliquez les à vous même.
Comprendre que vous n'avez d'ordre à recevoir de personne y compris de vous même est un grand pas vers le lacher de l'emprise de l'égo.
Toute injonction envers vous même vous conforte, si vous n'y êtes pas arrivés, dans l'idée que vous êtes un incapable, toute envie réalisée en toute liberté vous conforte dans l'idée que vous êtes capable.
Pensez à vous récompenser, mais avec une récompense à faible coût, car une récompense forte est comme un ordre car elle vous engage trop.
les théories sont des mots, elles ne deviennent pleinement compréhensibles et "ressenties" bien souvent qu'après echec et reflection sur celui ci.
L'echec est un bien, l'echec est necessaire.
il est primordial de lacher prise sur l'égo, et d'avoir conscience qu'en général tout le monde s'en fout complètement de votre petite vie, même si c'est dur à accepter.
Personne ne se souvient vraiment de vous, y compris de vos pires maladresses.
Toute connerie est excusable tant qu'elle vous conduit vers votre progrès.
Oubliez vous et intéressez vous sincèrement aux autres, et surtout, surtout, ne vous donnez pas d'ordre, personne n'aime les ordres, un "il faut que je", est un ordre envers vous même, parlez vous à vous même comme à quelqu'un que vous aimeriez voir realiser des choses pour son bien, en toute liberté, lisez pour cela des must have comme "comment se faire des amis" et "petit manuel de manipulation...", et appliquez les à vous même.
Comprendre que vous n'avez d'ordre à recevoir de personne y compris de vous même est un grand pas vers le lacher de l'emprise de l'égo.
Toute injonction envers vous même vous conforte, si vous n'y êtes pas arrivés, dans l'idée que vous êtes un incapable, toute envie réalisée en toute liberté vous conforte dans l'idée que vous êtes capable.
Pensez à vous récompenser, mais avec une récompense à faible coût, car une récompense forte est comme un ordre car elle vous engage trop.
Ne JAMAIS tenter de se motiver avec des "il faut que je fasse telle ou telle chose ...". C'est la phrase préférée des procrastinateurs.
Dites vous plutôt "aller hop je fais ça maintenant" et faites-le.
Dites vous plutôt "aller hop je fais ça maintenant" et faites-le.
Le score de cet utilisateur est négatif ce qui veut dire que ses messages sont globalement jugés problématiques par les autres utilisateurs.
A vrai dire, même sa sa ne fonctionne pas.
La meilleur chose à faire c'est de ne même pas y penser ! En se disant chaque matin j'aurai ce que je veux.
Mais a trente ans quand même, rien qu'en y pensent sa me fait réagir.
La meilleur chose à faire c'est de ne même pas y penser ! En se disant chaque matin j'aurai ce que je veux.
Mais a trente ans quand même, rien qu'en y pensent sa me fait réagir.