Je suis un peu dépassé par mon succès dernièrement...
Un rendez-vous très agréable en 30 minutes
Vendredi matin, avant le travail, j'aborde une femme à gros seins dans la rue, on prend un café, on s'embrasse... c'est déjà super hot rapidement. Je me demande même si je ne peux pas la prendre dans les toilettes. A sa façon de me mordiller partout, c'était vraiment chaud.
Elle porte des ballerines (une erreur pour un pote), un haut qui tient en apesanteur avec ses seins, un jean moulant, elle a des cheveux longs ondulés blonds, un visage un peu "fatigué, les yeux marrons, quelques plombages qu'on ne peut pas rater (au moins elle soigne ses dents), une peau tannée... c'est ... encore une brésilienne !
Je ne sais pas comment ça se fait mais en ce moment le hasard me fait tomber sur des brésiliennes. Je pense que le décalage de culture doit jouer.Une brésilienne fera sûrement plus facilement une instant date qui vire en coucherie qu'une française classique, tout simplement pour une question de moeurs plus libérés. C'est peut-être aussi cette différence de culture qui explique mon succès auprès des maghrébines (ou c'est peut-être juste parce que je les kiffe énormément). Mais j'ai entendu une algérienne dire "Nous les algériennes on aime les mecs macho". Je ne vais pas faire de généralités, mais j'aurais tendance à la croire. Parmi les filles les plus cash que j'ai rencontré, il y avait une tunisienne, elle me souriait, me chauffait très rapidement. C'est bien plus décomplexé d'être un peu "à la botte d'un mec" (ce qui ne veut pas dire être réellement soumise) et je pense que c'est qu'histoire de culture. Il doit y avoir quelques françaises "classiques" comme ça tout de même...
Day 2
Bref, j'avais convenu de la voir samedi soir, mais comme on se comprenait mal (comme avec la précédente), ou alors à cause d'autre chose, elle m'a "planté". Je suis venu mais pas elle. Rencart le samedi soir à 19h c'est dangereux de toute façon. Elle m'a rappelé un peu après me disant qu'elle était avec des copines à faire les courses en banlieue Est. Je lui ai dit que je n'aimais pas ça, je ne cachais pas ma déception / "colère", et que si elle me refaisait ça, je ne la rappellerai plus. Bref... J'avais convenu de la revoir dimanche soir.
Une femme qui prends les devants
Dans la journée je décale l'heure de rendez-vous car je suis en forêt avec des potes (cool ça, à refaire !). Le soir arrive et je ne crois plus qu'elle va m'appeler. C'est alors qu'elle me dit de "passer chez elle"... J'étais dingue à ce moment là. Mais ce n'était rien encore. Je constate qu'elle me dit habiter la banlieue Nord, mais qu'elle est dans la banlieue Est, ce qui a une incidence car si je pars la rejoindre aussi tard, j'avais plus de RER pour revenir et c'est bien plus loin de chez moi. Alors je prends mes affaires (une boite de préservatifs, et j'ai bien fait), des affaires de rechange pour repartir travailler, brosse à dents, etc... En la rejoignant j'ail'impression d'être la femme, que c'était le monde à l'envers... Pas tant que ça.
J'arrive à la gare, j'ai la sensation de dégager quelque chose car deux filles qui ne sont pas ensemble me mangent des yeux dans le RER. Je l'appelle, elle me rejoins dix minutes plus tard. Elle me conduit vers "chez elle", je lui dit que "j'ai envie de manger quelque chose" pour justifier que je monte chez elle. Mais je crois que ce n'était pas nécessaire. On arrive. L'appartement est vraiment grand, classe. Elle me dit plus tard que c'est celui d'une amie et son mec qui est parti en vacances 2 semaines. Elle me fait des "sandwich brésiliens". Ce qui me fait marrer parce que ses sandwich c'étaient juste des croque monsieur.
On a du mal à discuter, et je ne sais pas pourquoi mais elle a en tête que je suis marié depuis que je lui ai fait la blague au café. Il y a pas mal de blagues qu'elles ne comprend pas. Une fois je lui dis "je suis de la police" et j'ai pas l'impression que ça lui plaise, ou qu'elle comprenne. Je crains vraiment d'avoir cassé l'ambiance. Bref, ça aide pas toujours la barrière de la langue.
On boit nos verres de Schweppes agrume avec les glaçons, s'embrasse.
Là elle me dit :
"Tu as peur de moi. Je sens que tu as peur de moi".
Dans la "communauté", on entend souvent dire des filles qui ont du succès qu'elles lisent en vous comme dans un livre ouvert. Qu'elles sentent tout de suite si vous avez peur ou vous êtes à l'aise. Oui je suis bien stressé mais bien excité aussi. Pour un perfectionniste, elle n'a pas le visage "parfait", mais elle est quand même vraiment bien et le reste est vraiment à tomber parterre. Ce qui fait que ça danse le "boogie woogie" dans mon caleçon
Elle me dt "doucement". Ou "devagar" en portugais... Comprenant qu'il fallait qu'on prenne notre temps. Elle m'embrasse, me lèche dans le coup, autour de la bouche, etc... Parfois ça me déplaît ça, parce que c'est un peu comme si un chien léchait le visage (en tout cas, c'est associé à ça dans ma tête d'ancien loser). J'enlève mes vêtements en disant que j'ai chaud, ou que ça lui fait mal (comme ma ceinture) ...
Là, elle me dit : "Donne moi 5 minutes, ok ?". Elle part dans "sa" chambre. Et revient plus tard. Quand je la revois je suis époustouflé... Elle avait mis une de ses nuisettes noire transparente, qui tenait aussi en apesanteur avec ses gros seins, un petit string dans ses petites fesses fermes... Cette image m'a fait me demander plus tard devant la glace qu'il y avait chez eux :
"Mais qu'est-ce qui m'arrive ?" "C'est le hasard ?" "J'ai vraiment passé un cap ?" "Qu'est-ce que je fous là ?"...
Voilà le genre de monologue intérieur qui se passe (pfiou qu'est-ce qu'on se prend la tête, nous les mecs qui avons du mal avec les filles, n'est-ce pas ?)...
Elle me prend par la main et m'invite dans la chambre. Jamais une femme ne m'avait fait un coup pareil. C'est tellement classique mais classe je m'en souviendrai toute ma vie. Ou pas. C'est une trentenaire qui en veut, qui ME veut, qui s'assume, qui assume d'être une femme, de vouloir du sexe, de vouloir faire plaisir à un homme, de vouloir se faire prendre, qui assume de vouloir se faire prendre et pas par un bisounours ... mais qui aime les câlins aussi. Si je n'étais pas un minimum assumé comme elle l'est, je ne pense pas qu'elle se serait attardé sur mon cas. Cela fait maintenant plusieurs fois cette année, que j'amène au lit une fille au bout de 2 jours... Quand je pense que certains attendent 6 mois, ça me rend fou. Surtout que si on est pas satisfait au lit, cela peut avoir des conséquences sur la relation à mon avis.
Donc, on se caresse, elle a sa petite nuisette, je suis un peu flippé car mes préservatifs sont dans le pantalon qui est dans l'autre salle et je me demande si elle est prête à ce que je la prenne sans. J'ai entendu dire qu'il y avait pas mal de monde au Brésil qui avait le sida, donc j'ai pas envie de faire de bêtise. Parce qu'embarqué comme je suis j'étais parti pour la pénétrer sans capote. Il faut vraiment rester vigilant. Au moment opportun, je lui ai dit qu'il fallait des préservatifs et elle m'a dit "oui oui oui" avec l'air de dire que c'était un peu important quand même. Pourtant je ne suis pas sûr qu'elle en avait quelque chose à faire. C'est moi le mec, c'est moi qui gère la logistique de toute façon, donc elle ne doit pas avoir à y penser...
Un homme qui prend les arrières
Elle me met sa jambe entre les jambes, mon sexe étant sur sa peau toute épilée, me caresse, me lèche partout... Jamais une fille ne s'y était pris comme ça. J'ai rencontré d'autres filles décomplexées (notamment la "kabyle du 93") mais pas comme elle. Puis, je la doigte. Je n'ai pas envie de faire de cunnilingus, l'ivoirienne de 2009 m'avait traumatisé avec ça, je ne voulait plus le faire. Mais elle était sèche. J'ai continué. Ça avait l'air d'aller jusqu'au moment où je lui ai fait mal avec mes ongles. J'ai arrêté. Je lui ai dit que je ne voulais pas lui faire de mal et l'ai prise dans mes bras, même si j'avais le gourdin comme pas permis. Quelques câlins plus tard, je regarde ma main, je la vois toute bariolée. Je me demande ce que j'ai, si je suis malade. En fait ce n'était pas moi, c'était elle qui saignait. J'ai vraiment eu peur. Je me suis confondu en excuses, me tenant pour responsable de lui avoir fait ça, et l'ai reprise dans mes bras.
Les draps sont sales, elle les change (c'est une femme de ménage ! lol) et me propose de prendre une douche. On y va ensemble, on s'embrasse, on se lave l'un l'autre, c'est super. Il est tard, je suis un peu fatigué. On se met "en "pyjama" chacun... Elle son pyjama : un top qui fait bomber ses seins, un petit shorty, en dessous duquel elle reste en string... wow !
Evidemment, ça ne descend pas dans mon caleçon, elle me rend trop fou. Puis, on se caresse, elle met la main sur mes fesses dans mon caelçon, je lui fait pareil à sa demande. Et elle me dit "Gostoso"..."Gostoso"..."Gostoso"... Je ne comprends pas trop. Ça ressemble à "me gusto" alors je lui dis que ça me plaît aussi. Puis, comme je suis un mec un peu chelou, je me dis "et si j'empruntais des chemins que l'on a pas l'habitude d'emprunter ?".
Alors, je lui soulève son string, en l'embrassant, elle se colle toujours à moi, se laisse faire, met ses fesses en arrière, bombe ses seins... je lui appuie un peu sur l'anus avec l'auriculaire. Je l'embrasse. La "pulpe" du doigt y rentre. Je continue de l'embrasser, la caresser. Plus tard, j'ai rentré une phallange. Je me rends compte que c'est ok pour elle. A ce moment là, je suis super excité, je n'ai jamais fait ça avec une fille. Encore moins le premier soir. Encore moins avec une fille comme elle. Je mets un doigt un peu plus gros, je vais progressivement, je fais attention... Je me rend compte que c'est tout propre contrairement à ce que je croyais. Elle aime beaucoup ça. Je lui doigte l'anus, ça lui plaît, elle me fait des grimaces sexy, ça a vraiment l'air de lui plaire. Je mets deux doigts. Elle me dit "ça... Gostoso..." (Je suis allé voir dans le dictionnaire : Gostoso = délicieux, mais ça peut avoir une connotation très sexuelle).
Puis, je bondis du lit, et cherche du lubrifiant... Je ne le trouve pas pourtant je cherche partout. Tant pis Je continue quand même. Je reste doux. La prochaine fois ce sera bien parce que j'ai super peur de casser les préservatifs comme certains d'entre vous le font. Je mets mon chapeau. Et là, lorsque je suis sur le point de rentrer, "Quick draw Mc Draw !", c'est comme dans American Pie, le coup part avant que quoi que ce soit soit commencé... En même temps que voulez-vous, je ne pouvais pas là... Elle se moque gentiment, je l'accuse d'être trop sexy, que c'est de sa faute, je lui dit "pardon" alors que je suis super content de pouvoir lui prendre le ... (mais peut-être pas autant qu'elle, certaines filles sont peut-être tellement plus cochonnes que nous finalement...)
Plus tard, on s'allonge, elle reste très câline, bisou bisou, c'est vraiment super. Elle profilte : elle est 2 semaines sans son mec (parti en vacances sans elle), dans l'appartement super de ses amis, avec un mec qu'elle vient de rencontrer et qu'elle kiffe visiblement

Ses quelques dents en fer, etc... ou quelque chose que je ne saurai expliquer font que j'ai eu mal au ventre toute la journée aujourd'hui...
Dans la nuit, et le matin... elle me réclame "Gostoso..." "Gostoso..." avec sa petite voix douce, sexy (mais pas une voix de nunuche comme j'ai pu en entendre tout à l'heure). Je trouvais ça à la fois mignon et tellement excitant. J'étais un peu plus vide, donc ça allait mieux: 3h30 / 4h du matin, je sodomisais en levrette une jolie fille, sexy dans les attitudes, à l'attente de son partenaire, que j'avais rencontré deux jours plus tôt dans le hasard des couloirs de métro parisien. C'est comme quand je suis allé en Californie. J'y étais et j'étais en train de m'efforcer de penser : "Mais c'est génial d'être là" ! Depuis le temps que je fantasmais sur ce genre de choses...
Ce n'est pas tout, le matin, elle m'a fait un petit café, donné des madeleines, on est parti ensemble (elle était en retard), elle m'a payé mon ticket de RER, elle avait aussi failli payer le café tout au début... Pourtant je suis sûr que je gagne plus qu'elle. Dans le RER, elle me dit "Gosoto ?" en plaisantant... "Sir Gostoso ?". Je lui dit au revoir et elle me demande si je vais la rappeler en mimant un téléphone avec sa main.
Conclusion
En résumé, après la kabyle du 93, c'était je crois que c'est l'une de mes aventures les plus bouleversantes (dans le bon sens du terme) jusqu'à lors. C'est dans ses moments que je sais pourquoi j'ai fait tout ce que j'ai fait en termes de développement personnel / changement de style de vie / de cercle social / etc...
Cela demande beaucoup de courage. Je suis convaincu que ce n'est pas parce que c'est juste "l'été", parce que je suis "grand" et pas moche, que j'ai de la famille qui a de l'argent... Non, non et non. J'ai mangé une centaine de rateaux. J'ai fait beaucoup de choses qui me faisaient peur : apprendre à danser avec les filles, faire du chant, aborder, appeler pour la première fois, montrer mon intérêt, montrer mes émotions [négatives aussi], oser inviter quelqu'un chez soi, aller voir un psy, dire merde à son employeur quand il veut te licencier, changer de ville, quitter chez ses parents, faire de l'improvisation, écouter et appliquer seul ce que les américains disent quand les "PUA" français prétendent tout savoir mais n'ont aucun conseil applicable ou censé ("sois intéressant"...pfff), se remettre en cause, travailler sur ses mauvaises croyances et commencer à les détruire, se séparer des gens qui posent trop de problèmes, oser draguer devant devant les collègues, devant ses anciens amis AFC (devant la famille sera le stade ultime)...
J'étais encore vierge à 25 ans. J'ai mis 3 ans mais j'avais déjà commencé à me brusquer un peu avant. Surtout ces trois dernières années qu'il y a eu un très gros coup de collier. Au début, lorsque l'on poste sur FTS, on n'arrête pas de s'excuser, on se dit qu'on ne vaut pas la peine pour qu'on poste quelque chose, qu'on va nous parler "méchamment". C'est pas faux. Mais je comprends pourquoi, quand on est plus avancé, on a tendance à avoir ce franc parler, qui ne devrait finalement être vu que pour de l'émulation.
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Je suis encore quelqu'un de très négatif (c'est encore mon gros problème) et j'ai cru en lisant cet article que je n'y arriverai pas. Et bien non. Un acharné y arrivera. Il faut expérimenter, remettre en cause, et réexpérimenter. Pour ça, il faut oser. Pour ça il faut du courage, et vous l'avez ce courage. Je suis quelqu'un de très émotif à la base, un "emotional rollercoaster". Mais si vous avez lu ce long post jusque là, vous en avez très certainement et vous saurez vous battre contre ses émotions qui vous consument pour en goûter de bien meilleures.