[J] Gazzetta della Sarge !

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le 09.06.2011 par LittleNeapolis

14 réponses / Dernière par LittleNeapolis le 19.06.2011, 10h55

La vie est faite de virages, d'obstacles à surmonter, d'audace, de surprises et de rencontres décisives. Racontez votre histoire, entrez dans la légende; partagez vos cheminements, vos interrogations, vos rencontres, vos aventures - foirées ou réussies, c'est pas le plus important - et recevez les avis et conseils des autres membres.
Avant de commencer le Game à proprement parler, c’est-à-dire de l’intégrer dans ma vie, d’en faire le paradigme de mes relations, je répondrai à trois questions que propose Johnattan Wolf dans son post

avant-de-s-engager-dans-le-game-les-3-q ... 13793.html

Quel est réellement ton objectif ?

C’est une excellente question, la première qu’on devrait se poser et pourtant… tellement difficile à y répondre qu’on préfère bien souvent l’éviter.

Je dirais pour ma part qu’il y a plusieurs points, non-hiérarchisés.

Améliorer mon cercle social (y inclure des filles tout simplement). Habitant un petit village et étant en ville pour des raisons purement utilitaires (études la journée, courses etc…), il est difficile de faire des rencontres non-provoquées. J’ai décidé de me prendre ainsi en main.

Etre plus à l’aise dans les relations sociales en général, dans un esprit de développement personnel. Il m’était avant ma lecture de FTS et les classiques en la matière, impossible d’aborder des inconnu(e)s à part si j’avais une bonne raison en tête, l’impression de déranger m’empêche d’agir tranquillement.

Comprendre les mécanismes qui régissent les interactions entre humains en général et hommes-femmes en particuliers. Je sais bien sûr que la séduction n’est pas une branche scientifique (ouf!), en revanche je pense qu’apprendre les instruments permettant de jouer est essentiel, puis pratiquer le plus possible pour composer avec ce que je sais. La séduction est un Art, un artiste doit savoir jouer d’instruments, ce que je ne sais pour l’instant.

Tout se base, aujourd’hui dans notre type de société, sur la séduction : publicités, messages politiques, ventes, relations intéressées, invitations aux dons… tout ce qui nous entoure doit nous séduire, voir pour cela “Le capitalisme de séduction” de l’excellent Michel Clouscard. Celui qui comprend les mécanismes de la séduction comprend le fonctionnement de la société, excusez du peu.

Quels sont les moyens que tu comptes mettre en oeuvre ?


Là également, plusieurs points, mais je dirai que je suis prêt à mettre beaucoup de moyens. Le seul truc, c’est que je m’efforcerai pour ne pas me faire prendre par l’obsession du Game, de ne pas voir tout à travers les lunettes de celui-ci, mais de “simplement” l’incorporer, le poser comme philosophie de vie modelable. Ce ne sera pas ma foi, mon crédo, mais un savoir-faire, il fera partie de moi comme tant de chose, un élément contrôlable, pouvant être activé ou inhibé selon les situations.

Bien sûr, au début l’obsession est normale, presque nécessaire, puis viendra le dosage, la calibration, mais seulement avec l’expérience, ce n’est pas la théorie qui m’apprendra cela.

"La patience n’est que l’expression raffinée de la confiance"
Pook

J’ai confiance dans le Game ! Il m’a déjà énormément apporté, un espoir de nouveau départ, de possibilités infinies par l’expression de soi.

Revenons aux moyens :

Le temps. C’est ce que j’ai de plus précieux, le temps sera mon arme, on ne peut faire sans. Je suis bientôt en vacances, ces dernières vont être en grande partie consacrée à l’amélioration de mon Game.

L’argent. J’habite dans un petit village, entre deux petites villes, chacune à 30 km de chez moi. Le déplacement coûte, j’essaierai de dépenser un minimum, pendant les soirées ou les dates. D’un côté, tant mieux, cela m’obligera à renforcer au maximum mon Game, de mettre en avant autre chose que les pesetas !
”Alors les filles, vous êtes pour l’égalité des sexes :D ?”

Les femmes. Il m’en faudra beaucoup, beaucoup beaucoup pour que je m’améliore, ça ne me pose pas vraiment de problèmes ;)

Qu’es-tu prêt à sacrifier ?

Franchement, je ne pense pas avoir beaucoup à sacrifier. J’ai un cercle social assez restreint, des amis extras, ce ne sont ni des pantouflards ni des rabat-joies de première. S’il faut faire le ménage parmi les connaissances, alors il se fera tout seul et sans regrets. Mais je ne vois pas ce qui peut être sacrifié d'important à l'heure actuelle.
"L’anarchiste est celui qui a un tel besoin d’ordre, qu’il n’en admet aucune parodie"
Nabe

Situation actuelle - Théorie



Je (me) propose de faire un bilan dès le départ, enfin une mise au point disons, de ma situation, de mon niveau actuel.

J’ai connu FTS en tout début d’année. 5 long mois de remise sur pieds, de soigner une one-itis qui n’est bien sûr toujours pas sortie de ma tête, tellement elle est entrée dans ma vie.

Soigne-toi mon vieux, tu as bientôt 22 ans, le temps passe et t’es encore un gamin, ou déjà un ancien, au choix ! Tu es en retrait, tu vis en dehors de tout ça, t’as des putain de capacités, il est temps d’entrer dans la danse ! La société est un vaste théâtre, crée-toi un rôle qui te corresponde, et fracasse-tout, va déranger cette superficialité qui se donne à voir, qui te dégoutait tant et va découvrir toutes les beautés de l’âme et de la chair humaine que cette salope de société superficielle cache par le voile des conventions sociales. Entre en scène et touche les acteurs, transporte les sur ta scène à toi, amuse-toi !

Les parties italiques sont les réflexions spontanées, ce qui me revient d’un coup en tête comme un boomerang intelligent pendant l’écriture de posts. Veuillez m’en excuser.

Mais arrête avec ça putain, FTS te le conseille mille fois, ne pas s’excuser juste par politesse alors que tu n’as rien fait de mal, assume tes choix !

:shock: Très juste, merci du rappel. :mrgreen:

Donc je disais que, à force de lectures, j’ai eu le temps d’assimiler pas mal de techniques, de tester sur des nouvelles connaissances sans que ce soit vraiment des cibles. Et ça marche ! Je vais pas dire que le succès est au rendez-vous, mais avec les UG's qui m’entourent ça marche du tonnerre, trois propositions assez nets en ce mois de mai. Gentiment refusée. On avance gentiment, on se soigne…

Quelques lectures et films étudiés plus ou moins en rapport avec la séduction :

FrenchTouchSeduction, l’intégrale !
Swinggcat
Mystery
Le journal du séducteur - Kierkegaard
Pitié pour les femmes - Henry de Montherlant
Trop gentil pour être heureux - Robert Glover
The Game et 30 jours pour séduire - Neil Strauss
Sociologie du dragueur, misère du désir et vers la féminisation - Alain Soral

J’agrandirai la liste lorsque ma mémoire reviendra et lors de nouvelles lectures, avec résumé pour les nouveaux livres.

Un tramway nommé désir
Fight Club
Hitch
Confession d’un dragueur
Quelques films de Fabrice Lucchini



Cela c’est pour la partie théorique !
"La nature féminine est un abandon sous forme de résistance”
Kierkegaard

Situation (critique) actuelle - Pratique

J’habite dans un village relativement endormi, rien ne s’y passe, autant dire impossible d’y pratiquer quelque chose. J’habite heureusement à 30 km d’une petite ville de 30’000 têtes, dont une certaine partie ne parlant pas le français, c’est mon field principal en ce début de vacances.
De l’autre côté, à 30 autres kilomètres, une ville de plus de 100’000 âmes, je suis sauvé ! M’enfin bref, la ville n’est pas non plus Paris ou Rome et on risque fortement de recroiser des sets openés, alors prudence !

J’ai décidé de pratiquer majoritairement (pour mes débuts) dans la petite ville, en indirect, car je n’y suis pas tous les jours, contrairement à la grande ville où je passe toutes mes journées (université). Je laisse ce field au chaud pour l’instant.

Petite ville n’est pas synonyme de Dirty Style et d’approches industrielles ! Alors c’est 1 soir sur 2 quelques openers de base, du genre : quel bar vous nous conseillez ? Hétéro opener etc…

Je mets sur papier mes trois dernières approches :

La première est en ville, SPU, il fait nuit, l’ambiance est calme, mystérieuse. Quelques opens basiques pour se chauffer, et d’un coup mon radar (en révision) détecte deux jolies galinacées (A pour les deux, une belle brune à la belle dentition :blbl: et une blonde au corps envoûtant) venant sur notre gauche. Arrêt immédiat, mais doux, déviation destination l’inconnu, bon BL, règle des 3 secondes, c’est parti :


Moi : Salut les filles, juste 10 seconde (False Time Constraint)(Sourire de leur part, ahh merci, le sourire facilite tout). Mon ami et moi cherchons un bar sympathique avec du monde ?
Elles : Oui alors il y a blablabla et blablabli
M : Ok super, on nous avait dit que le lundi soir était un soir animé en ville, avec beaucoup de monde dans la rue, sur les terrasses etc… nous aurait-on menti ?
E : Oui bah disons que normalement c’est les étudiants qui sortent, et là c’est la période d’examen donc c’est clair qu’il n’y a que peu de monde.
M : Première bonne nouvelle. Et vous, vous ne révisez pas ? Vous êtes des rebelles anti-conformistes c’est ça ?
E : Non non mais on a révisé toute la journée alors on en a marre.
M : Vous êtes à l’Uni ?
E : Non on est à Ecole… (du coup elles devaient avoir 18-19 ans)
M : Ok alors là vous devez rentrer à cause du couvre-feu c’est ça (grand sourire, EC lock)
E : Hihihihih mais non on est juste fatiguée mais on ressort après (invitation ?), mais vous êtes pas de PetiteVILLE ? Vous venez d’où (IOI) ?
M : Non non on vient de GrandeVille et on vient voir un pote qui est à l’uni ici, on risque de passer quelques jours ici
E : ihihi mais vous venez faire quoi ici il n’y a rien à faire
M : Vous vous trompez la ville est cool, speech sur la prise de tête des gens dans les grandes villes etc… elles sont hyper attentives, grand sourire et là… catastrophe
M : Bah en tout cas merci les filles, on vous redira comment est ce bar et si jamais… si jamais dit tout en partant
E : Ok ciao ciao un peu paumée par notre disparition soudaine
Et à haute voix à mon pote :
Putain mais je suis trop con, pourquoi j’ai dit et si jamais et je suis parti ? Il s’est passé quoi ? Suis-je trop con ? Je suis trop con ! Elles étaient belles, souriantes, ouvertes… et rien ???




Cela m’a refroidi pour toute la soirée. On continue notre tour et on arrive à une terrasse où étaient posées deux jeunes jolies filles
M : Salut les filles je vous pique 10 secondes, on cherche le bar blablabla ?
E : Oui alors tout droit sur la gauche, mais il n’y a que des gamins, ici c’est bien mieux (invitation) ?
M : je ne sais pas pourquoi mais j’étais un peu perdu face à cette réponse, alors le seul truc que j’ai réussi à dire c’est Oui ben on y va et s’il n’y a que des mineurs on sait où venir. Au revoir et merci.
:blbl: :blbl: :blbl:


Le seul truc positif, c’est que j'ai jamais eu l'air apeuré ou genre je ne savais pas quoi dire, ça a évité de cramer le 2-set si on le recroise un jour.

Ce que je remarque, c’est paradoxalement une peur du succès avec les filles qui me plaisent, dans le sens où un sourire m’enchante, mais malgré une envie d’aller plus loin, il y a quelque chose qui bloque. Très bien, essayons avec une cible moins intéressante mais tout de même pour rendre le jeu intéressant.

Autre soirée, bar dancing plein de monde.

Un ami et moi voyons un 3-set d’une C, une B- et une UG. Il me dit viens on va vers elles, règle des 3 secondes et j’open avec :

Moi : Bonjour les filles, on vous pique 15 secondes, on a une question totalement existentielle, est-ce que mon ami et moi faisons hétéro ?
Elles : Surprises, puis en souriant Ton ami oui mais toi tu fais homo Ahah merci merci!
M :Quoi ?? Je fais homo ?
E : Bah oui mais t’es pas homo ?
M : Le truc c’est qu’on s’est fait dragué par plein de filles ce soir, on en a un peu marre
E : Pliées de rire vous êtes drôles arrêtez vos bêtises
On continue de fluffer sur l’opener puis mon ami part avec les deux filles et je m’écarte avec la B-, là je déroule un Game plutôt correct à base d’humour, C&F, retournement de rôle, patterning etc… quelques passages dont je me rappelle :
Elle : on connaît même pas nos prénoms et on discute comme si on se connaissant depuis toujours (IOI!). Tu fais quoi dans la vie ?
M : Routine elléboniste.
M : Procédons au présentation alors, je te laisse commencer
E : Mélinda et toi ?
M : Charles-Louis de Secondat, Baron de Brève
E : Rire Ah oui tu es vraiment gay en fait
M : Parce qu’un gay ça se voit à son prénom ? Tu as beaucoup de préjugés cher Melinda. Elle pensait vraiment que je m’appelles ainsi, merci qui ? Merci Montesquieu !
E : De toute façon je sais que tu es pas gay, tu dragues trop bien, ou justement c’est parce que t’es gay, putain j’en sais rien tu m’énerves
M : Avec un BL très explicite, EC intenses, fixation des lèvres, Triangular Gaz à 3 ou 4 reprises Mais on s’en fout, actuellement c’est toi et moi, et quand il y a une intense connexion entre deux personnes, cette magie fait sauter (en insistant sur les mots de ce genre) toutes les étiquettes, les barrières, aussi duuures soient-elles. Je ne sais pas pour toi, mais les gens ne se parlent plus trop entre eux et je trouve cela dommage. Les rencontres spontanées, c’est un nouveau voyage à chaque fois, une découverte, ce sont nos émotions qui se parlent, d’où cette connexion si intense et inexplicable. D’ailleurs, ça ne sert à rien de vouloir la comprendre, c’est tellement mieux de s’aabaandooner, de sentir chaque parole comme un souffle sur sa peau etc etc…
E : tu es vraiment incroyable, je t’adore, je sais pas pourquoi je te dis ça mais je t’adore ! Viens on va boire un verre.
On s’en va boire un verre, discuter un peu, je lui raconte quelques histoires, puis je lui dis qu’un de mes potes s’en va le lendemain pour un séjour linguistique et qu’il faut que j’aille les retrouver (pas motivé à tenter le KC, trop de connaissances dans le local ce soir-là, j’aurai été grillé avec trop d’autres filles de la région, tout le monde se connaît). Bon mais c’était un bel entrainement.

Concernant les approches, j’ai bien sûr toujours une adrénaline forte avant l’open. J’arrive à opener des sets de filles en SPU sans problème, à parler un peu sans encore arriver à rien de concret mais c’est déjà une grande amélioration, même si ce n’est que le début. J’ai du mal à opener, en revanche, dans des endroits fermés. Le meilleur opener en SPU est simplement de demander un renseignement et de balancer le plus vite possible C&F. En bar, je n’arrive en revanche pas encore, surtout s’il y a beaucoup de monde, ce qui est paradoxal.

On se soigne, on s'améliore même :) ! C'est d'ailleurs pour cela que je pense qu'il est utile d'ouvrir un journal à ce niveau-là, même si la crainte que du monde tombe dessus me refroidis un peu mais bon ma fois ça fait partie des risques à prendre et des sacrifices :wink:

Voilà pour l'actualité du jour !
Je crois qu'un post supplémentaire est nécessaire, pour bien comprendre d'où je viens et pourquoi, ah ça va faire mal !

Séquence nostalgie (putain de Bob!) / Histoire d'une One-Itis

Alpha-Baby


Image


Tous les enfants sont des séducteurs ! Je l'étais aussi, on parle de tout, kino à tout va, si une dit non on nexte avec plaisir, on envoie chier celles qui nous respectent pas, c'est la découverte qui nous guide, pas nos peurs, nos insécurités, des idéologies externes! Je l'étais, jusqu'à la majorité ! On se construit qu'ils disent les autres ! Hah ! On m'a loupé ? Est-ce qu'on se déconstruit pas finalement ? Vous me direz fallait les bonnes briques, une bonne dans ma poire au moment voulu oui ! J'avoue que j'étais plutôt du style Jerk (léger tout de même). Je ne pense pas être le seul à avoir supporté telle situation mais les conséquences ont été lourdes tout de même : divorce des parents pourtant couple modèle à 14 ans, un monde qui s'effondre, on apprend alors à protéger son coeur. Le p'tit commence à sortir, les fêtes alcoolisées pour découvrir les filles c'est pas l'idéal, toutes des salopes j'me dis, mais ça me déplait pas ! H2G, nextage, ne pas se prendre au sérieux, quantité industrielles de râteaux et de pelles, social proof, alpha mâle et j'en passe, mais ça marche ! Tout cela sans théorie bien sûr. Ma vie se calme un peu, je rencontre une fille, un ange, peut-être parce-qu'elle me rapelle sous beaucoup de points ma mère :shock: Je la catalogue différente, qu'il faut pas que je déconne avec, pas envie de la faire souffrir, je suis trop un salaud pour elle etc... Instinct de mâle, j'attaque la poupoune !


Culpidon j'ai touché, Stupidon m'a coulé

Des seins magnifiques, un corps envoûtant, un système encéphalique développé, je me sentais enfin aimé sincèrement. Je découvrais avoir moi aussi (oui oui moi aussi!) des émotions profondes, que la forteresse entourant mon coeur avait été abattue, et c'était si bon. Comment la remercier ? En lui donnant tout ! Je ne voulais absolument pas qu'elle puissent croire que je suis ou j'ai été un salaud ou un dragueur, je suis dévoué, romantique, je renie tout mon passé.
Lecteur de FTS, ne rigole point, tu n'as rien vu encore !
Après quelques mois de bonheur, nous devons nous quitter pour les vacances d'été. Synonyme de bonheur d'habitude, j'ai passé le pire moment de ma vie. J'ai pleuré :lol: :lol: :oops: Et pas qu'une fois, l'appelant de l'étranger, jusqu'à 15 euros par appel !
Lecteur de FTS, non, le fou rire n'est point pour maintenant, prends ton mal en patience !
J'avais du monde autour de moi, mais c'était le vide, horrible sensation, le genre humain commence à vous dégoûter, seule la présence de votre déesse vous calme. C'est le fameux piédestal !
J'ai tout fait à l'envers, d'abord toutes des salopes, ensuite le piédestal ! Soral si tu fais une suite à sociologie des dragueurs appelle-moi.
Les autres filles ? Next ? WTF ? Elles n'existaient simplement pas à mes yeux !
On se retrouve après trois semaines, on s'aime, on s'isole de plus en plus, je sortais un w-e tous les trois mois, et j'aimais ça ! Et dire que je pensais qu'elle aussi...

J'ai une inspiration amoureuse incroyable, j'écris des poèmes :blbl: Par Toutatis, Mauvaise Copie de Verlaine, sort de ce corps ! Ahhhh



Ouf !

Ensuite, routine, mais j'ai rien vu venir, je pensais qu'on allait se marier pardis !, la routine c'est normal ! J'étais l'homme Oui-Oui, je n'allais contre aucune opinion, j'évitais tout conflit.



Break, oui mais j'aurai préféré un cabrio !

On est fin de l'année, elle en peut plus, me dit qu'elle m'aime, mais a besoin de souffler, demande de faire une pause. De mon côté, par un tel comportement, j'étais devenu une bombe à retardement. A force de tout prendre sur soit, ça finit par péter, et quand ça pète, c'est du lourd. Donc ça pète ! J'accepte pas, mais google est mon ami : Search Sens du break.

Et là : OMG OMG OMG OMG


FrenchTouchSeduction !

Je lis de façon effrénée

"Chaque nuit d'amour est un livre de moins"
De je ne sais plus qui (je chercherais)

Autant dire que je me suis concentré sur la lecture !



Oh vie, Oh espoir

Sans rien exagérer, ce site m'a été d'une utilité phénoménale pour me remettre sur pattes. Bien conscient qu'il ne s'agit pas d'une bible, mais tout de même. Les articles de FrenchKiss, Asles, Johnattan Wolf et tous ceux qui ont contribué à ce site, merci du fond du coeur !

Non, FTS n'est pas mon nouveau One-Itis, pas de souci !

Bien sûr c'est toujours difficile, on se voit toujours (sans être ensemble, sorte de FF) et j'envisage de nexter définitivement mais la région est petite, elle est dans la même Fac'. Elle n'est peut-être plus mon One-Itis mais elle reste mon succulant succube.

Voilà la petite histoire d'une grande désillusion, c'est la vie ! J'ai reçu un sms de sa part pendant l'écriture, elle nous fait encore vibrer la coquine, moi et mon portable !
Il est tard, je n'arrive pas à dormir, je pense à mon comportement, ce que j'ai amélioré et où je bloque encore. Je ne traine que rarement avec des filles, enfin des filles qui m'intéressent ; à la fac' je suis la majorité du temps avec des filles, mais ce ne sont pas des cibles.
Du coup lorsque je suis avec une cible potentielle, pour ne pas montrer que je suis dans le besoin - qui est effectivement un conseil précieux - je remarque que je tends trop à me la jouer H2G. Est-ce que j'en ai les moyens ? Non ! Je crame mon Game comme cela.

Essayons de comprendre la neediness.

Le besoin

Neediness signifie le fait d'être en besoin, ce dernier désignant ce qui nous est nécessaire.
Pour faire un parallèle avec la sarge, le type de besoin le plus connu est ce qu'on appelle les besoins vitaux, prenons exemple du besoin de se nourrir.
Sans manger, on meurt. Qu'est-ce qu'on peut manger ? Enormément de choses, des fruits, des légumes, des féculents, du poisson etc... Je suis obligé de manger quelque chose, en revanche je peux me passer de pommes si je mange des kiwis et des poires à la place, les pommes ne me sont objectivement pas nécessaires.

Montesquieu distingue quatre types de lois universelles, dont :

- Le besoin de se nourrir
- La pulsion sociable (sociabilité naturelle)

Nous sommes naturellement poussés à parler avec les autres. La solitude nous étouffe comme la faim nous tue.

L'individu needy est esclave de l'objet de convoitise. Nous sommes donc tous fondamentalement needy, sauf que, à défaut de la faire disparaître, nous pouvons inhibé cette neediness par l'abondance.

On a faim, on a besoin de manger, mais on désire une poire plutôt qu'une pomme, c'est un choix conscient et personnel. La nourriture est en abondance autour de nous, il nous est ainsi possible de se libérer des chaînes du besoin, ou simplement de l'oublier.

On est guidé par notre pulsion sociable, on a besoin de femmes, mais on désire une artiste plutôt qu'une party girl (là les catégories vont à l'infini, c'est pas l'important), c'est un choix conscient et personnel. La Femme est en abondance autour de nous, il nous est ainsi possible de se libérer des chaînes du besoin, ou simplement de l'oublier. A nous d'aller la cueillir :blbl: !

Le bon mangeur ne va jamais s'accrocher à une pomme s'il peut avoir une salade de fruit quand il veut.
Le bon player ne va jamais s'accrocher à une poupoune en particulier s'il peut en avoir par dizaine.

Ainsi, il est contraire à la raison d'être needy avec une simple cible. Je crois que nous projetons sur la personne en face ce qui nous manque, nous nous mentons à nous-même car nous voyons la fille à travers cette projection et non pas comme elle est réellement. Ce qui ferait effectivement fuir n'importe qui !

Comment alors trouver l'abondance ?

Ce n'est pas tant de l'abondance féminine qu'il s'agit, mais des relations sociales en général. C'est peut-être cela qu'il me manque encore. Je peux aller parler à une jolie inconnue parce que j'ai comme objectif de la numcloser (et plus si affinités), mais je remarque souvent que dans un large cercle social, je ne suis pas complètement à l'aise, je ne suis pas l'"Alpha".

Peut-être que la neediness est cette projection du manque de capacité sociable sur le pick-up, et que le mieux est d'agir en amont. Cela fait beaucoup de points sur lesquels travailler !

Je pensais être guéri de mon côté needy, je me rends compte que le H2G est simplement l'autre côté d'une même pièce dont je voudrais me débarrasser.

Je compléterai le sujet lorsque j'aurai approfondi la réflexion, fais de nouvelles expériences, si vous avez d'autres remarques, idées ou approfondissement c'est avec plaisir que je les reçois ?
En ce début de week-end, avant une sarge intensive, un peu de théorie !

Je poste une partie du résumé du livre L'invention de la drague - Jean-Claude Bologne, je ne le mets pas en entier car il est assez long (résumé assez complet), alors pour ne pas ennuyer le lecteur vaut mieux le mettre par épisode.

Il ne me semble pas que quelqu'un ait déjà signalé le livre dans la partie reviews.

L'invention de la drague - Jean-Claude Bologne / Seuil Poche / 2010

Episode 1 (Introduction, Origine et Antiquité)

Introduction

«Le sujet d'étude est foisonnant, fascinant. Une seule constante : la réponse n'est jamais assurée, et le premier pas est celui du risque. Le refus, la gifle, le ridicule guettent le séducteur le plus confirmé. Même si l'on se blase, même si le taux de réussite bat des records, on n'est jamais indifférent au succès du premier pas. C'est en cela que l'homme n'est pas une machine à séduire ; c'est en cela qu'il m'intéresse». P.10

Jean-Claude Bologne analyse le phénomène de la séduction par une approche socio-historique, à partir de manuels de séduction (dont soixante-trois sur cent datant d'avant 1980, très intéressant), de journaux intimes, de Mémoires, de correspondances amoureuses et d'archives judiciaires sur les dragues interdites (homosexualité et rupture de fiançailles).

L'auteur nous dit d'abord que le tombeur, le volage, le fidèle, le timide sont des types qui ont toujours existés et qui existeront toujours. La drague comme on l'entend aujourd'hui ne peut cependant se détacher des années 1950-1970, qui correspond à une liberté de choix de la part des jeunes filles, sans le consentement préalable des géniteurs. Si les séducteurs se sont de tout temps manifestés, ce sont les termes pour les désigner qui sont propres à chaque époque, ainsi que les techniques particulières, s'adaptant aux us et coutumes du contexte socio-historique.
Le contexte culturel influe sur les techniques mais également sur les motivations individuelles. Si Casanova s'élevait dans la société grâce à ses conquêtes, aujourd'hui la pratique de la séduction semble faire partie d'un développement personnel plus large.

« La drague doit donc connaître les codes pour les transgresser, dans un sens ou dans l'autre ». P.12

Les origines, préhistoire et mythologie

Comme toute recherche d'origine, celle-ci est floue et finalement pas très importante, si ce n'est pour mettre un peu d'ordre. D'autant plus que la préoccupation sur la réciprocité et la liberté en amour n'aboutit qu'à l'époque de la codification de la chevalerie et de l'amour courtois (fin'amor) illustré par Tristan et Iseult, buvant le philtre qui assure la réciprocité d'aimer. Une fois le philtre inhibé, l'amour persiste, preuve de sa réalité. Jusque là la séduction du point de vue masculin ne se préoccupe généralement pas du consentement de la femme, rapts, voire viols sont condamnés théoriquement mais en pratique ils sont récurrents (conquêtes de villages, batailles etc...).
Non pas que la femme n'est point séductrice, mais elle est déconsidérée. Elle a recours aux techniques passives (on a pas beaucoup évolué finalement :) ), ainsi Circé séduit les compagnons d'Ulysse par l'art du tissage.

Une des premières scènes de drague de l'histoire, c'est Abraham qui, voulant marier son fils Isaac, demande à un de ses serviteurs d'aller lui chercher une femme, ce dernier doit la convaincre. -> méthode très indirecte !

Antiquité

Les Grecs

Là encore, le consentement d'une femme passe au second plan, le désir est à sens unique.

« L'acceptation de la femme n'est pas plus utile que celle du poisson que l'on pêche ». P.29

C'est plutôt le père de la belle qu'il faut convaincre. Il y a bien sûr à cela quelques exceptions, comme l'on en trouve dans le Roman de Leucippé et Clitophon (IIème siècle Ap JC). Clitophon demande des conseils de drague pour s'approcher de Leucippé et a recours à un stratagème digne de FTS :P : il fait semblant d'être piqué par une abeille sur la lèvre et va demander à la fille de prononcer une suite de paroles magiques sur la blessure et l'embrasse dès que celle-ci se rapproche de ses lèvres.

Les Grecs connaissaient-ils la drague ? Oui, et pas qu'un peu ! Sauf qu'ils l'appliquaient sur des hommes. En effet, l'homme étant libre du consentement de son père, pour le convaincre, il faut le séduire. Le bel Alcibiade séduit ainsi Socrate, mais sans succès. C'est dans ce contexte d'homosexualité que se développent certaines techniques de drague. En est témoin la ruse de Sophocle pour arriver à ses fins avec un jeune grec : il feint qu'une brindille est tombée dans sa coupe et demande au jeune homme de souffler dedans pour l'ôter en profitant de se rapprochement pour l'embrasser.

Les Romains

Les Romains n'accordent, non plus, pas beaucoup de place au consentement. Et la littérature homosexuelle y est mineure. Les actes de copulations sont encadrées par des lois sévères entre les citoyens romains, la relation est vénale. Pourtant, c'est chez eux que l'on retrouve le premier manuel de séduction : L'art d'aimer d'Ovide, poète latin. L'acte de persuasion est important, il y décrit alors un certain nombre d'astuces afin de convaincre ses cibles. Voyons-en quelques unes :
- Tout d'abord il parle de terrain de chasse. Il faut l'étudier, connaître ses spécificités. Son terrain favoris était les théâtres et les cirques. Il est intéressant de noter que la métaphore de la chasse, de la pêche a traversé les siècles. « Tu n'as qu'à tendre tes filets » qu'il nous dit ! Est-ce un hasard si hamare en latin (prendre avec un hameçon) et l'homonyme d'amare (aimer) ? Et que le terme draguer veut à l'origine dire pêcher huîtres et coquillages, qu'une drague est un filet raclant les fonds marins ?
- Le premier contact est physique et se joue sur la maladresse (bousculade ou autre), il est ainsi ensuite aisé de commencer la discussion.
- Lui offrir du vin, cette boisson décomplexe. Faire un baiser symbolique en buvant à la même coupe, juste sur l'endroit où elle a auparavant déposé ses lèvres

Tel est le premier manuel du séducteur !

Prochain épisode : Le Moyen-Age, séduire ou épouser
Transformer un passé négatif en énergie positive

Il y a quelque chose que j'ai remarqué depuis que je sarge et d'après la lecture/participation à ce site, c'est que je laisse beaucoup plus de place à l'expression de ma personne intérieure.

Toute ma vie j'ai appris, ayant du affronter des situations auxquelles je n'étais pas préparé ou ne voulais pas assister, à prendre sur moi, à m'effacer. J'étais jusqu'à il y a quelques mois, ce qu'on appelle un faux calme, une bombe à retardement. J'écris ce post car je ne pense pas être le seul, et j'expérimente ces temps comment utiliser ce passé apparemment à rejeter pour l'accepter et en tirer quelque chose de positif.

Tout ce potentiel ensevelli, toutes ces choses à dire qui sont restées à l'intérieur, toute cette rage accumulée ont créé une sorte de prison à l'intérieur de mon corps. Concrétement, qu'est-ce qui y est enfermé ? Les idées que je veux partager, mes émotions, ma créativité, l'expression de ma personne ! J'ai donné à cette dernière l'image d'un lion (pas très original mais bon :) ).

Cette prison est toujours présente, l'animal au fond de moi également, mais il sort quelque fois,et plus pour tout détruire comme avant, ce qui est une grande nouveauté.

Alors quel rapport avec la Sarge ?

J'ai pu remarquer que les pick-up's les plus réussis sont ceux où j'ai laissé sortir l'animal qui est en moi. Parce-que quand il sort, ça pète, mais du positif !
C'est comme si je commence à réussir à transformer la haine intérieure en énergie extérieure.
Maintenant, pour m'aider à affronter mes peurs en général, dont celle d'aborder la jolie inconnue, je m'imagine ce lion rugissant à l'intérieur de moi, essayant de se débattre pour sortir de cette cage fabriquée par l'expérience sociale, donc modelable, il me reste ainsi à écarter les barreaux pour que l'animal qui est en moi attaque. Avec un mix d'intelligence sociale et de calibration (qui me reste à acquérir!), y a de bonnes perspectives !

RRRRRRRHHHHHHAAAAAAAAAAA

Avec ce post je voulais montrer comment utiliser à bon escient quelque chose de négatif. L'idéal est bien sûr que cette cage soit démolie à tout jamais et que l'animal n'ait plus à être si agressif... mais ça, ça se fait avec le temps !
Par cette image, j'arrive à affronter mes peurs et puiser dans ce qui me bloquait l'énergie nécessaire !

Bon samedi soir à tous !
Pfff... (oui, cet article commence bien) ! Coup de gueule !

Il est samedi soir, j'ai étudié toute la journée. J'avais prévu de sortir avec un pote, tous les autres ne souhaitant pas sortir pour se reposer en vue des examens... il me téléphone, il est malade ! Heilands tonn'rr (par Jupiter) !

Bon Nea', ne te démotive pas, au lieu de te plaindre transforme ce bad state en énergie positive... 3...2...1

Voilà qui est fait ! Ma soirée est toute trouvée, je vais profiter pour expérimenter quelque chose qui m'a toujours intrigué, qui me file la frousse : sortir seul un samedi soir.

Soit, mais la grande ville (Lausanne) est morte pour cause de fête géante dans une autre ville, j'ai pas pris de billets. Je me dis tant mieux, affronter ma ville quotidienne seul un samedi soir aurait été trop impressionnant. Je vais à PetiteVille (30'000 âmes), je sais pas ce qui me prend mais je suis tout excité, les dieux de la Sarge m'envoient leur super pouvoir, je sens que ce soir est mon soir !

J'arrive en ville, il est 22h, je me parque, dos droit, épaule droite, respire/pète un coup, j'open direct un 3-set d'UG's, pour l'échauffement : quel bar me conseillez-vous, fluff, calibration de la voix, je m'éjecte. Je croise un 2-set avec une C et une B, mais elles rentraient chez elles, pas moyen d'avancer dans le pick-up, je m'éjecte. Et là... plus aucun set de filles potables pendant une très longue heure ! Je erre dans la rue, philosophe avec moi-même, révise mon game plan, essaie de garder le mojo, pas facile. J'entre dans un bar branché... pour brancher ! Je prends une bière, une Duff :D Toh !

Toujours aucune HB en vue... j'aperçois à l'autre bout du bar 2 jolies dames, 35-40 ans. Ai-je le niveau ? Objectivement non ! Alors j'open, hétéro opener, ça reçoit, ça relance un peu, mais la situation gêne ces mesdames, je le sens de plus en plus, je m'éjecte non peu fier de mon approche tout de même :) Je ressors dans la rue pour m'adonner à ma nouvelle passion, le SPU. Je vois un 4-set, 2 B+, une C et un mec, ce dernier a une voix grave et de la barbe, j'y vais !
Dites-moi, vous qui avez l'air de vous amusez, savez-vous s'il y a des boîtes ou endroits pour danser dans cette ville ?
Mais ce que je craignais s'avéra : les filles étaient vraiment jeunes.Elles sont un peu éméchées, une d'entre elle accroche particulièrement bien. Deux filles me fusillent de questions, une autre du regard, je prends du plaisir, max de C&F, complicité avec le mec du groupe, on se marre bien. Ma cible vient d'avoir 17 ans, bah... j'arrive pas ! Ca bloque...
Sur ce, salutations, fin de soirée. Je touche le fond, belle désillusion. L'échec ne me touche pas, mais c'est rester sur un échec qui me mange de l'intérieur ! Je suis trop loin des grandes villes, je rentre écrire dans mon journal...

N'est-ce donc pas possible de sarger seul les soirs de w-e dans une toute petite ville ?

Dans tous les cas j'ai vu que ce n'était pas dramatique de sortir seul, je me réjouis même d'y aller en boîte !
Je n'aime pas ce pays, je n'aime pas cette région du monde, je la déteste encore plus ce soir ! Quel field dois-je me farcir... j'ai toujours été mû par un sentiment, un désir, que dis-je un besoin de vengeance sur cette société. Suis-je fou ? Peut-être, heureusement même ! Elle (oui, je personnifie la société, n'en déplaise à mes prof's de sociologie !) a essayé à plusieurs reprise de canaliser, jusqu'à annihiler ma fantaisie, ma créativité, ce qui fait mon unicité. J'ai toujours trouvé en La Femme un refuge, une transcendance, un papier souple où mon pinceau exprime toute sa virilité, dont les traits tracent un mouvement magique de déhanché dément. Alors oui je suis accro à La Femme, totalement même, j'assume cette drogue. C'est une addiction positive. Elle fait parler mon génie, c'est à elle, et elle seule que je dois toute mon inspiration, celle qui me permet de tremper ma plume dans du miel plutôt que de l'acide. Un doux baiser féminin est une injection d'héroïne, mes héroïnes vous êtes ma diamorphine. Alors quand vous désertez les rues, les bars, je ne me sens plus vraiment moi-même, je ressens toute l'inutilité de ma présence.

Mes muses, sortez, que l'on s'amuse !

En attendant, que la nuit tombe sur mes paupières !
J'aime beaucoup ton style d'écriture et je me devais de te remercier pour ce dernier message.
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