Everything's gonna be ok !

Un truc con: tu dis que tu t'es mis dans la FZ tout seul, mais en es-tu si sûr?

Parce qu'en réalité, plus important que ce qu'elle peut dire pendant la date, la chose la plus important à regarder est d'abord son attitude. C'est son attitude qui traduit si elle est intéressée ou non, et peut-être qu'elle était intéressée et que tu n'as pas su le voir.

Il y a un article je ne sais plus où sur le site qui t'explique les signes d'intérêt, essaye de le trouver et tu verras de quoi je parle

. Dis toi aussi qu'une fille intéressée peut t'accorder une deuxième chance, donc c'est pas forcément perdu

EDIT: je me suis planté, j'ai écrit les "centres d'intérêt", alors qu'en fait je voulais dire les "signes d'intérêt", c'est corrigé!

Je chercherai l'article et, je ne suis plus tout à fait sûr d'être en FZ après avoir analysé la soirée puisque je n'ai pas adopté un comportement de needy par exemple, je suis plutôt détaché pour le moment et je n'ai pas cherché à savoir qui était ce gars mystérieux qui se pointe chez elle le jour où je l'invite. Il faudrait que je la recontacte pour lui proposer une activité par exemple ou la voir lors d'une future soirée.

Sinon, lors de la date, elle n'a pas arrêtée de me poser des questions, ce qui m'a un peu pris au dépourvu, puisque je pensais que ça allait être l'inverse, peut-on y voir un signe d'intérêt ou une simple curiosité

?

tibdeconne a écrit :Un truc con: tu dis que tu t'es mis dans la FZ tout seul, mais en es-tu si sûr?

Parce qu'en réalité, plus important que ce qu'elle peut dire pendant la date, la chose la plus important à regarder est d'abord son attitude. C'est son attitude qui traduit si elle est intéressée ou non, et peut-être qu'elle était intéressée et que tu n'as pas su le voir.

Il y a un article je ne sais plus où sur le site qui t'explique les centres d'intérêt, essaye de le trouver et tu verras de quoi je parle . Dis toi aussi qu'une fille intéressée peut t'accorder une deuxième chance, donc c'est pas forcément perdu

Je suis d'accord avec tib. T'as encore une ou deux cartes à jouer.
Y'en a même qui disent que la friendzone, ça n'existe pas^^

J'ai encore des cartes à jouer, ne jamais renoncer lorsque l'on sait ne pas tomber dans la lourdeur. Mais sinon, un petit post qui en appellera d'autre, le voici :

L’autostoppeuse

L’autostop est très rarement pratiqué par les filles, du moins dans les petites villes comme celle où j’habite et où j’étudie. C’est le moyen de rencontre sûrement classé dernier dans le Top 100 des « meilleurs moyens de faire des rencontres ». Mais parfois, certaines filles effrontées et confiantes décident de lever le pouce.
Néanmoins, comme dirait Ted dans HIMYM, si je n’avais pas voulu perdre de temps en rentrant chez moi, jamais je n’aurai pris cette route et jamais je ne l’aurai rencontré. Je ne crois pas au destin mais lui croit peut-être en moi.

Il y a quatre mois environ, je décide de prendre une route que je prends rarement pour rentrer chez moi mais, étant donné que j’écoutais de la bonne musique grâce à mon poste CD, je décide de prolonger le plaisir et de continuer par cette route. Là, j’aperçois une fille, pas en mini-short mais qui faisait de l’autostop

Alléluia !

Je me suis donc arrêté, elle est montée dans ma voiture et m’a indiqué qu’elle voulait aller dans un patelin paumé mais pas très loin de chez moi.

Physiquement, elle ne m’attirait pas mais elle était intéressante. On a discuté durant ¾ d’heures parce que je roule comme un Papy mais aussi parce que j’avais envie de l’écouter. Elle disait qu’elle faisait souvent de l’autostop, que ça lui permettait de rencontrer des gens, glauques ou pas, et de rentrer chez elle comme elle n’a pas le permis. Et puis, elle me vouvoyait, un bon kif' sachant que j’avais qu’un an de plus qu’elle. Je lui ai quand même dit de me tutoyer mais de me vouvoyer une dernière fois pour le fun.
En partant, je lui ai demandé son numéro, elle me l’a donnée avec plaisir et depuis on reste régulièrement en contact via Skype, FB, Twitter, Google +, Msn, Friendster, appel téléphonique, Habbo, My Space,Foursquare, Gmail et on sort en ville, au ciné ou dans les magasins.

Moralité ? « Une auto-stoppeuse est une jeune femme, généralement jolie et court vêtue, qui se trouve sur votre route quand vous êtes avec votre femme » - Woody Allen
Et là je dis « Menteur Woody » car une auto-stoppeuse, c’est un peu comme une biche au milieu des buildings ou un axolotl dans le lac à côté : c’est rare mais ça permet de créer une belle amitié.

Le quotidien

Une sortie en boîte avec deux filles que je ne connaissais pas (awesome !), le coming-out d’un pote, l’envie de plus en plus pressante d’un autre pote de quitter la société et de faire un road-trip, les concours qui s’enchaînent, bref, le quotidien offre tout de même quelques moments délicats et plus ou moins difficiles à négocier.
Néanmoins, je m’en sors toujours, avec plus ou moins de doutes sur ce que je veux réellement. Le fait est que je ne n’impose pas encore de réels objectifs en matière de séduction.

Ah ça, niveau études, j’y suis à fond mais en matière de social proof ou de filles, hormis le fait que je m’habille, me tienne et parle bien, j’ai toujours un stress croissant lorsque je croise certaines personnes, c’est assez inexplicable. A vrai dire, je peux très bien être « à l’aise » avec une HB5 ou 9 mais décontenancé par une HB4 ou 8, le physique n’y est pour rien, je cherche encore à comprendre.
C’est d’ailleurs ça le problème, je cherche réellement à tout comprendre depuis que j’ai commencé mon développement personnel et cela me stresse. Comme dirait Ben Arfa « Pourquoi ça, pourquoi ça, pourquoi ça, et je me posais des questions et je voyais les gens qui se posaient pas de questions… . J’suis quelqu’un qui réfléchit beaucoup quand même ». Concrètement, le stress me bloque réellement donc si vous avez de bonnes solutions pour y remédier - à part le sport qui, sur le moment il est vrai, permet de le libérer – je suis preneur, vous pouvez me balancez vos trucs contre le stress parce que je serai ravi.

Avant, un singe jouant des cymbales dans ma tête m’allait très bien mais mon quotidien était rongé encore plus par le stress et la timidité car je ne savais pas où j’allais et le fait de ne pas se connaître et de se laisser marcher dessus est très mauvais. Ce quotidien actuel me satisfait mais il manque quelque chose d’essentiel : la séduction. Un sacré paradoxe sur un forum basé sur la séduction qui m’a servi avant tout à me trouver et à définir ce que je veux être (ça a foutrement fait du bien).
Je veux donc me lancer des objectifs en séduction, aborder dans la rue -chose que je n’ai jamais faite- et tracer la route avec des filles mignonnes qui me courent derrière les seins à l’air.

Mais le hic, c’est que… je suis seul ! Prenons un exemple : il y a trois semaines environ, un samedi soir dans un bar ; moi et mon meilleur pote. Deux filles s’installent dans la table voisine, je dis à mon pote :

Elles seront à notre table dans 5 minutes

Il rigole et dit :

On verra bien, mais elles sont vilaines, j’en veux pas

Bon alors certes, ce n’étaient pas des canons, il n’y avait pas foule dans le bar mais il y avait de la Guinness, ça me suffit.
Il part aux toilettes et… TADAM ! Avec un simple :

Bonsoir les filles, je trouve ça triste de vous voir à deux mètres de moi sans qu’on puisse échanger quelques mots, vous voulez bien finir votre verre avec nous parce mon pote et moi en serions ravi ?

Les deux nanas étaient à notre table mais voici le début du grand n’importe quoi. Le fluff’ commence, je ne veux pas parler d’études un samedi soir mais je demande quand même ce qu’elles font dans la vie (mais je m’en souviens plus à vrai dire…). Je leur demande comment voient-elles le déroulement de cette soirée… Je leur demande… mais, MAIS, IL N’Y A QUE MOI QUI FAIT LA CONVERSATION !

Agacé de voir tout le temps mon pote être comme un poteau et voulant le booster, je prétexte une envie de fumer une cigarette avec lui pour faire une mise au point. Malheureusement, je vois que je suis seul sur mon bateau puisque la pause cigarette discussion a pris trop de temps et les filles étaient parties voguer vers d’autres cieux.

Et voici donc le moment pour moi d’aller séduire et de tracer ma route en solo parce que la moisson de numéro s’est, jusqu’à présent, faite tout seul, lorsque mes potes n’étaient pas là et pour le moment, je ne vois pas comment cela peut changer. Je veux donc commencer le SPU mais j’aurai aimé vos trucs et astuces pour commencer parce que je ne trouve pas cela évident, ou alors je réfléchis peut-être trop et je devrai me lancer sans peur du râteau, putain de peur…

Ah au fait, je fais un saut à l’élastique le 10 Juin à 13H30, le pont d’où je sauterai fait 90 mètres, quelqu’un en a déjà fait ? Est-ce que tu es revenu en entier ? Est-ce-que tu as crié comme Magloire ?

Bon, là au moins, j’arrêterai de me poser des questions et je serai libre.

« Mes potes disent que je change, moi je dis que j’évolue » -Orelsan

La première approche hors soirée

Depuis mon arrivée sur FTS, le développement personnel était ma priorité. Désormais, le développement personnel est devenu une sorte d’ « habitude », et non pas un abrutissement permanent. En effet, j’essaye de vivre chaque jour tel que je l’ai décidé avec néanmoins, ce que j’appelle des « boosts » c’est-à-dire des citations que je me répète dans la tête, un modèle dont je pense et je m’inspire si jamais j’ai un petit coup de moins bien. Mais le quotidien doit être influé par ton envie, ta détermination, c’est en quelque sorte un quotidien équilibré et agréable pour toi qui fait que tu te sens bien dans la tête. Ensuite, le sport arrive naturellement et s’imbrique dans la manière d’être et de vouloir être.

Passé ce petit speech qui disait, en gros, que c’est la qualité de ton quotidien qui te faisait sentir bien, il me manquait un truc primordial que j’ai évoqué lors du précédent post pour me sentir comme Power Ranger force rouge : le SPU. A part en soirée, je n’ai jamais osé approcher une fille dans la rue, dans un magasin, chez « Marcel et Lulu ». Cette anomalie a été corrigée ce jeudi avec ma première approche… au don du sang.

En effet, je n’avais qu’une heure de pause entre 12H et 13H avant de reprendre mon stage à la Caisse d’Alloc de ma ville et, décidé à faire une bonne action et à manger gratuitement, je pars donner mon sang. Je l’avais déjà fait donc je connais le protocole : on te demande ton âge, ton sexe, ton poids, tes partenaires, quel type de slip tu portes, est-ce-que selon toi les vampires sont lex fléaux du don et ensuite on passe au lit.
Après, on mange (mais c’est super intéressant !) et là stop ! Il me semble apercevoir une ancienne amie à moi (on s’était embrouillé il y a deux ans) et, voulant effacer le passé, je décide de passer devant elle pour lui dire bonjour sauf que… ce n’était pas elle. Je décide alors d’aller dans le couloir pour faire semblant de téléphoner

Heureusement, après m’être remis à table car j’avais encore faim, j’aperçois Lara Croft en chair et en os : brune avec une longue tresse, un mini-short qui moulait bien les fesses et un débardeur digne de l’héroïne de Tomb Raider, autant dire que je lui attribue un jolie 8 !
Elle attendait son tour pour se faire piquer et, ni une ni deux, je décide d’aller la voir sans réfléchir.

Bonjour, non je ne viens pas te prendre ton sang mais par contre j’aimerai bien prendre ton numéro de téléphone parce que je te trouve très mignonne et (merde plus de salive, je m’arrête là)

Bonjour, désolé mais je suis fiancé (smile), c’est bien par ici que l'on doit passer pour remplir le questionnaire ?

Oui, ensuite tu vas bla bla bla…

Bon, elle avait une bague, reste à savoir si c’était une bague de fiançailles et je me suis aperçu qu’elle était quand même plus âgée que moi. Néanmoins, j’ai été vachement content d’avoir enfin osé aborder en dehors d’une soirée et j’ai passé une agréable journée, remplie d’Angelina Jolie, d’Illuminati et du générique de la PSOne.

Go mec, plus qu'à continuer

Bref, j'ai fait un saut à l'élastique et j'ai 20 ans

Bonjour à toutes et à tous, voici un post spécial : j'ai eu 20 ans le 22 Juin 2012 à 15 heures 10 et je suis né à l'heure où les vieux mataient "Rex", "Derrick" ou encore "Le Renard" sur la vieille télé cathodique flambant neuve occupant ainsi les 3/4 de la pièce avec le meuble en chêne massif.

20 ans et un parcours chaotique avec pas mal de moment de pur bonheur.
Je peux parler de mon saut à l'élastique mais ce fût un moment assez spécial. Spécial de par le fait que mes potes d'enfance n'ont pas daigné se déplacer : l'un s'est barré à Toulouse avec sa copine, l'autre n'avait pas compris que le saut était le dimanche 10 Juin et le deuxième autre... ah le deuxième autre, trop saoul après avoir noyé sa peine due à la défaite du Portugal face à l'Allemagne en phases de poule de l'Euro. Il a pioncé et j'ai sauté.

Un moment magique où la nature environnante et le vide sont tes seuls repères. Ta conscience, elle, s'est déjà barrée bien au-delà du mur du vide à la recherche d'un endroit confortable et sans prise de risque. La peur, ce sentiment qui n'existe pas, fabriqué par un refus de découverte, m'a paralysé les jambes au moment où j'ai monté les marches du petit escabeau menant à la rambarde du pont.

Mes potes, l'autostoppeuse (celle des posts précédents) et ma famille me regardaient, anxieux, se demandant comment j'ai pu passer du mec irréfléchi au mec calme et posé, voulant tracer sa route.

Malheureusement, la peur, tel un ennemi implacable, m'a niqué tout mon body language. Le saut de l'ange s'est transformé en un vulgaire saut à la piscine et j'ai eu non pas la sensation de voler mais la sensation de m'écraser tel un moucheron dans ton bol de lait demi-écrémé stérilisé UHT du matin.

Après le saut, j'étais fier mais frustré : comment avoir pu laisser passer une occasion pareille de réaliser un saut gracieux, du moins "normal". Il faut que je refasse un deuxième saut, pourquoi pas à la fin des vacances.

Et mes 20 ans dans tout ça ? Un post détaillé de la soirée de malade mental atteint d'alzheimer par moment va peut-être suivre celui-ci mais avant, une pause WTF.
J'ai donc 20 ans et je me sens beau, drôle, sexy, stylé et cultivé (mes chevilles ont explosé) et je n'utilise pas les nouveaux mots du dictionnaire comme "lol" ou "oscariser".
A quand les mots "kikoo" et "tchou" ? Voici ce que cela pourrait donner selon ma vision des choses :

kikoo : adolescent pré-pubère ou homme attardé usant d'abréviations ou d'expressions abracadabrantesques. Passe ses journées sur Facebook pour liker les photos de lolitas perverses, sur Habbo ou sur Youporn pour se faire la main.
Exemple d'expression kikoo : "Pouce vert si toi aussi en 2012, tu écoutes toujours Sinik feat Vitaa <3"

tchou : composant du mot "tchou-tchou". Signifie "Je te laisse, Les Anges de la téléréalité vont bientôt commencer". S'accompagne obligatoirement de l'autre tchou afin que le petit train puisse partir poser son cul sur le canap', des Oreo dans une main et son Iphone dans l'autre où Angry Birds et le coussin péteur sont allumés.

My God is blue... après ce moment WTF, je peux dire que j'ai très bien fêté mes 20 ans. En famille d'abord puis le Samedi à Mimizan, avec un pote de l'IUT et ses potes. Une coupure innovante et salvatrice car, en plus d'avoir connu de nouvelles personnes, j'ai peut-être passé la meilleure soirée de ma vie. Bon, j'ai pas eu les numéros de jolies filles parce qu'on était qu'entre testicules mais j'avance dans le bon sens, il me faut juste :

- oublier la peur
- aborder plus de jolies filles
- fixer des objectifs à court terme
- renforcer la route que je me suis tracé

Parce que mine de rien, j'ai quand même 20 ans bordel !

Where is my mind ?

Bonjour à tous, cela me fait très plaisir de dépoussiérer mon carnet de « séducteur », enfin dépoussiérer… me connecter sur FTS plutôt et enfin oser reprendre en main ce carnet en ligne !
J’ai suivi par intermittence ce qui se passait sur FTS cet été, ai posté trois fois il me semble (wahou !) mais je ne voulais pas revoir mon carnet. Pourquoi ? Parce qu’il n’y a pas d’exploits accomplis comme dans d’autres carnets ? Pas de FC depuis un moment ? Et merde, c’est bien cela qui m’a poussé à revenir parce que j’ai quelques certitudes mais aussi pas mal d’incertitudes.

En fait, les certitudes sont pour la plupart devenues des habitudes. J’ai la certitude de bien m’habiller, du moins dans un style qui me correspond, de faire du sport, de tenir n’importe quel alcool sauf le Jack Daniel’s que j’adore, de bien parler et de manger cinq fruits et légumes par jour.
Je sais aussi que je préfère la branlette intelectuelle mais non, Tyler Durden, je ne cherche pas à être parfait mais à être paré pour affronter le quotidien.

Mais les incertitudes menacent et me poussent à une certitude forte désagréable : perdre mon statut de RAFC pour repasser à celui de AFC ? Non, je déconne, cela n’a aucun sens que j’écrive cela, c’est vraiment des statuts à la mords-moi le nœud créées uniquement dans le but d’avoir un challenge à compléter, une vengeance, une revanche à assouvir pour monter en grade et… STOP ! Le lifestyle, il n’y a que ça de vrai pour oublier ce parcage et obtenir ce que je veux réellement.

Mais quel a été mon summer’s lifestyle ?

- un saut à l’élastique où j’ai cru mourir

- une cuite presque parfaite à Mimizan ! Non, elle était parfaite et non, elle n’a même pas existé, j’ai tenu comme un chef !

- un job au MacDo qui m’a forgé le caractère

- un concours parrainé par le Crédit Agricole que j'ai gagné et qui m’a permis de réaliser une vidéo de 3’30 sur un patrimoine de ma région (et au passage d’engranger la somme de 500€)

- l’abandon d’un pote que j’ai jugé inutile mais Dieu seul sait que ce mec-là partageait les mêmes idées que moi mais qu’il me critiquait pas mal l’enfoiré

- la première nuit dans mon appartement mais avec mon pote « gay ». On a passé une soirée bien sympa avec ses amis et amies dans les bars. Bon, je n’avais pas peur hein mais je n’ai pas beaucoup dormi, j’ai mis ça sur le coup de la chaleur (true story)

- l’abandon de l’auto-stoppeuse après ma tentative foireuse de l’embrasser

Elle : Mais tu sais que j’ai un copain ?

Moi : Bah pourquoi à l’heure actuelle, tu es dans mon pieu alors ?!

Il faut que je précise que l’on a regardé Lesbian Vampire Killers chez moi (enfin chez mes parents), que j’étais à deux doigts de dire que son film était à chier et que les vampires lesbiennes ont toujours été mon fantasme et que j’ai essayé un rapprochement avant de me prendre un vent et qu’elle dorme dans mon lit pendant que moi je dormais dans celui de ma sœur…

- les férias de Dax avec mon ami « Jack » qui m’a fait faire trois fois le tour de la ville. Je n’aurais jamais dû m’arrêter pour dire bonjour à une amie, j’ai perdu mon groupe de potes et j’ai ensuite erré en compagnie d’un Parisien bien marrant qui engageait le contact avec toutes les filles qu’ils voyaient et Dieu (encore lui ?!) seul sait qu’il y en avait beaucoup !

- l’emménagement à Toulouse et la rencontre avec La Moldave que j’ai prévu de revoir puisque j’ai obtenu son numéro. Elle est so sexy !

- la connaissance d’un mec bien sympa au MacDo et qui peut (va) devenir un bon pote, je le sens bien

- l’obtention du numéro d’une des filles du Mac Do que j’ai prévu de revoir. Mais merde, qui de La Moldave ou de cette fille vais-je inviter au final ?

Les incertitudes découlent de ce qui s’est passé durant ces vacances.
Est-ce-que je vais réussir à conjuguer premier appart’ à Toulouse, études et mon « futur » club de boxe (ou travail chez Carrefour Market mais ça le fait moins…) ?
Est-ce-que j’ai envie de revoir l’autostoppeuse qui m’appelle tous les samedis après-midi à la même heure environ (14H26, so scared !)
Mais surtout, est-ce-que je vais arrêter mon attitude de looser que j’ai repris cet été pour me décider à tenir la conversation avec les gens. La timidité ou alors une fainéantise extrême m’a transformé en une loque verbale incapable d’enchaîner les phrases tout au long des mois de Juillet et Août. Seule la musculation pour entretenir mon physique primait dans ma tête

Il faut que j’ai un corps d’acier pour pratiquer la boxe à la rentrée !

J’en ai même oublié mes études puisque je ne suis toujours pas inscrit en Licence 3 Marketing, j’ai oublié tous mes papiers pour l’inscription chez mes parents, j’ai senti le savon passer !

« Le doute est un état mental désagréable, mais la certitude est ridicule. » - Voltaire

Ma première session SPU

Je poste rarement dans mon journal mais jamais je ne le lâcherai. Certains, désireux de repartir du bon pied, décident d'en ouvrir un autre, moi je trouve cela inutile. Ma ligne de conduite n'a pas changé car j'ai toujours envie de tracer ma route un peu comme les deux amigos dans le film On the road (le film est boiteux mais son message est si incroyable !)

Désireux depuis un long moment de faire du SPU dans Toulouse qui regorge de jolies filles, j'ai saisi l'occasion lorsque Award, membre de FTS, m'a proposé de cavaler dans les rues Toulousaines avec lui. Je vais relater mes abordages et sabordages, Award se chargera de relater les siennes dans son journal s'il arrête de procrastiner

.
Ma première session SPU a duré pas mal de temps et a commencé par une série de prétextes :

"Non, elle est trop petite, je suis trop grand pour elle"

"Non, on ne sait pas si elle a 16 piges ou 18"

"Non..."

STOP !

Après m'être acheté un joli cardigan chez Zara, j'ai ouvert le bal en accostant une jolie demoiselle qui s'apprêtait à partir en scooter :

"Bonjour, je vois que tu es pressé par le temps donc je vais te dire ceci : tu es très mignonne et partager un verre avec toi me ferait très plaisir "

"Ouè mais non, j'ai pas l'temps !"

Mais ça, je l'ai vu que tu n'avais pas le temps ! Content d'avoir néanmoins débuté la session, c'est avec entrain qu'Award et moi marchons, marchons, marchons, p***** nous avons marché sans arrêt !

En effet, toutes les nanas étaient en groupe et, désireux de bien faire pour nos débuts en SPU, nous nous sommes mis en tête de n'aborder que des filles seules. Bon, nous en avons eu marre de marcher et, après la bière, l'entrain diminuait et les vieux démons venus tout droit des flemmes de l'enfer ont ressurgi.
Award est rentré mais je m'étais promis d'aborder deux nanas et, alors que je repartais chez moi, un ange s'est posé sur le trottoir opposé. Dix minutes avant, c'était une Chinoise mais j'ai eu peur de l'aborder parce que... bon, je n'aime pas tellement les Asiatiques mais elle était mignonne, enfin je crois.
Donc cet ange m'a regardé et le eyes contact s'est fait. Blonde, cheveux ondulés, légèrement bouclés formant une coupe en carré, manteau blanc du plus bel effet, minois sublimissime, je me devais d'aller la voir.

J'ai donc fait demi-tour, couru après elle et, une fois le bonjour prononcé, je n'ai pas oublié de me présenter :

Moi : "Bonjour, moi c'est Kanou, enchanté "

"Bonjour "

Moi : "J'ai effectué un marathon pour venir te voir et... attend, je reprends mon souffle parce que j'ai quand même couru 42 kilomètres"

" ... " (bon, retranscrire les émotions avec des émoticones ça craint mais c'est du système D)

Moi : "Et dès que j'ai vu, j'ai dit "Mince !" Non, j'ai dit "Putain !", il faut que j'aille la voir parce qu'elle est trop mignonne !"

"C'est gentil "

Moi : "Donc acceptes-tu de prendre un verre avec moi un de ces jours ?"

"Oui, avec plaisir !"

Et on s'est échangé les numéros et depuis, je l'ai revu mais ça, ce sera dans la prochain épisode, j'ai encore des tonnes de trucs à vous écrire ! Quelques mots-clés du prochain post : boxe anglaise, nouvelle rencontre, whisky and weed"

"Les gagnants n'abandonnent jamais."