Graziella, on en avait parlé en Mp, mais là, excuse moi de te dire ça, j'ai l'impression qu'il ya substitution de motifs.
Ce que tu dit vouloir chercher (une relation avec un mec qui te convient) est juste à l'opposé des moyens que tu déploies.
On dirait moi il y a pas si longtemps; Ce qui prouve juste que tu n'es en fait pas à la recherche de ce que tu dit vouloir mais d'autre chose.
Moi une nana qui me teste et des conneries dans la genre, ça va pas me donner envie d'aller gratter.
Tu attends des autres ce que tu refuses de donner à ceux qui t’intéressent.
Ça va pas le faire, si en plus tu as cette attitude de défi constant sans rien donner en retour.
La fuite 0_o
Esthétiser la souffrance, c'est l'aimer et en faire un peu le roman de sa vie.Graziella a écrit :Oui, je crois q tas raison Kero. Je pose des enjeux, et il n'y a pas assez de lâcher prise. Je ne suis pas d'accord sur le fait que je recherche une histoire torturée. J'aimerai que ça aille de soi au contraire. Pour ce qui est desthetiser la douleur, je ne sais que dire, ne sachant ce que cela implique. ; )
Mais justement, ça va de soi, il ne tient qu'à nous d'en faire un parcours du combattant ou au contraire de vivre les choses sans se poser trop de questions.J'aimerai que ça aille de soi au contraire.
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- [0] A lire le 05.05.12, 13h50 par Mr.Smooth
Substitution de motifs, Smooth? : ) lol
Ce n'est parce que j'aspire à vivre une belle histoire d'amour, que j'ai nécessairement les outils en main pour y parvenir. Ce n'est pas parce que je sabote ces histoires en germe, que je ne désire pas profondément vivre cette belle histoire ou que j'y renonce. Je suis en guerre contre moi-même. Il y a un paradoxe, mais le paradoxe fait l'individu.
Ah, Kero, là je ne te suis plus du tout. Quand on souffre, on ne veut plus souffrir. Aimer la souffrance? Jamais. Qu'elle idée! : )
Après, je précise une chose. Je n'ai pas l'impression que les deux garçons que j'avais rencontré se sont sentis maltraités. Je crois qu'ils avaient trouvé légitimes mes peurs et interrogations, et au fond, ils étaient déjàséduits; ils avaient déjà une idée de ma personnalité (et j'ai qd mm qlq qualités)C'est moi qui ai pris mes distances, plus qu'eux. Alors, évidemment, j'ai un cas de conscience. Je respecte profondément les gens, et qu'ils aient pu après coup se sentir lésés, me gêne.
Mais, je crois que la solution serait de balayer tous mes questionnements, et laisser faire les choses.
Et puis y'a autre chose, que je n'ai pas envie d'avouer; c'est que j'ai tjs des sentiments pour l'autre idiot. J'essaye de m'en débarrasser, mais j'ai l'impression que plus je lutte contre, plus je me fais mal.
(... C'est assez bizarre pour moi d'avoir des conseils de mecs à ce sujet.)
Ce n'est parce que j'aspire à vivre une belle histoire d'amour, que j'ai nécessairement les outils en main pour y parvenir. Ce n'est pas parce que je sabote ces histoires en germe, que je ne désire pas profondément vivre cette belle histoire ou que j'y renonce. Je suis en guerre contre moi-même. Il y a un paradoxe, mais le paradoxe fait l'individu.
Ah, Kero, là je ne te suis plus du tout. Quand on souffre, on ne veut plus souffrir. Aimer la souffrance? Jamais. Qu'elle idée! : )
Après, je précise une chose. Je n'ai pas l'impression que les deux garçons que j'avais rencontré se sont sentis maltraités. Je crois qu'ils avaient trouvé légitimes mes peurs et interrogations, et au fond, ils étaient déjàséduits; ils avaient déjà une idée de ma personnalité (et j'ai qd mm qlq qualités)C'est moi qui ai pris mes distances, plus qu'eux. Alors, évidemment, j'ai un cas de conscience. Je respecte profondément les gens, et qu'ils aient pu après coup se sentir lésés, me gêne.
Mais, je crois que la solution serait de balayer tous mes questionnements, et laisser faire les choses.
Et puis y'a autre chose, que je n'ai pas envie d'avouer; c'est que j'ai tjs des sentiments pour l'autre idiot. J'essaye de m'en débarrasser, mais j'ai l'impression que plus je lutte contre, plus je me fais mal.
(... C'est assez bizarre pour moi d'avoir des conseils de mecs à ce sujet.)
Graziella a écrit :Substitution de motifs, Smooth? : ) lol
Ce n'est parce que j'aspire à vivre une belle histoire d'amour, que j'ai nécessairement les outils en main pour y parvenir. Ce n'est pas parce que je sabote ces histoires en germe, que je ne désire pas profondément vivre cette belle histoire ou que j'y renonce. Je suis en guerre contre moi-même. Il y a un paradoxe, mais le paradoxe fait l'individu.
Ah, Kero, là je ne te suis plus du tout. Quand on souffre, on ne veut plus souffrir. Aimer la souffrance? Jamais. Qu'elle idée! : )
C'est amusant de constater que tu dis exactement le contraire de ce que tu fais !
Tu aspire à vivre une belle histoire d'amour mais tu sabote tes relations. Tu dis ne plus vouloir souffrir mais tu te mets dans des situations tout à fait propices à cela et, de surcroît, tu le sais Au regard de ce que tu écris dans tes messages, j'ai l'impression que tu aimes te plaindre. C'est embêtant quand on essaie d'être heureux parce la pensée négative, c'est mal."Je suis en guerre contre moi même"...
Solution ? Consulter un psy
Il n'y a aucun mal à ça, c'est même une démarche tout à fait constructive.
Le mieux pour toi ce serait même une thérapie comportementale à mon avis.
PS: ma façon de m'exprimer est peut-être, ici, brutale et crue mais je pense que tu n'es pas là pour qu'on te prennes avec des pincettes et qu'on t'explique gentiment que tu peux rien faire.
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [0] +1 le 06.05.12, 12h06 par Mr.Smooth
Non, je n'aime pas me plaindre. Je sollicite les avis pour avancer. Bcp de choses sont très compliquées dans ma vie, et crois moi, j'avance en me taisant beaucoup plus qu'il le faudrait.
J'apprécie les conseils, mais ni les simplifications hasardeuses, ni les grotesques caricatures.
Quand on est en guerre contre soi, c'est qu'il y a quelque chose qu'on n'arrive pas à contrôler, et l'impression que la difficulté est insurmontable. Que j'ai conscience de cela, ça veut simplement dire que j'essaye de parler avec moi même.
Aimer se plaindre. Tss
s. Je n'accepte pas ce genre de commentaire.
J'apprécie les conseils, mais ni les simplifications hasardeuses, ni les grotesques caricatures.
Quand on est en guerre contre soi, c'est qu'il y a quelque chose qu'on n'arrive pas à contrôler, et l'impression que la difficulté est insurmontable. Que j'ai conscience de cela, ça veut simplement dire que j'essaye de parler avec moi même.
Aimer se plaindre. Tss
s. Je n'accepte pas ce genre de commentaire.Je vais conclure.
J'ai posté ici avec la conscience d'avoir un pb depuis quelques temps, et la volonté de trouver quelques pistes. Il y a des commentaires intéressants, mais je réprouve certains propos : aimer souffrir, aimer se plaindre. Au delà du fait que c'est faux, vous oubliez peut être que je suis une fille, et que je n'ai pas la même construction intellectuelle que vous, ni la même sensibilité.
Je vais continuer à y réfléchir seule. Merci.
J'ai posté ici avec la conscience d'avoir un pb depuis quelques temps, et la volonté de trouver quelques pistes. Il y a des commentaires intéressants, mais je réprouve certains propos : aimer souffrir, aimer se plaindre. Au delà du fait que c'est faux, vous oubliez peut être que je suis une fille, et que je n'ai pas la même construction intellectuelle que vous, ni la même sensibilité.
Je vais continuer à y réfléchir seule. Merci.