Monologue d'un homme qui voulait vivre heureux

Merci de forker si vous voulez continuez le débat.

francwa a écrit :
Je tombe sur une bombe avec un culs comme il n'y en a pas deux. Je l'aborde. Je lui demande de me foutre un vent. Elle me dit Oui. Ok c'est honnête. Je m'en vais. Heureux.

Euh... y'a des fois je ne comprends pas...

Héhé. Vu comme ça. Je veux bien reconnaître que cela est totalement inutile. Mais cela a eu son intérêt comme l'as souligné Phobia.

Aujourd'hui, j'ai fait un petit SPU. Comme à mon habitude le samedi. En fait, j'ai aborder deux fois un set de 5 ou 6 femmes. Et voilà. Ca se résume à ça. Je suis content car je me suis rendu compte en faisant deux ou trois trucs cons, que en fait, le regard des autres ne m'affecte plus tellement. Bref.

Réflexion :

Demain, j'essaierai de partir en SPU solo. Cela fait trois semaines de SPU avec mon wing et je n'ai toujours pas passer le cap d'aborder celle qui me plaît pour lui avouer mon intérêt. Ca me fait vraiment chier. Je rentre à chaque fois chez moi avec un goût d'amertume. Malgré que je me sois bien éclaté. JE VEUX ABORDER UNE BOMBE. Et ça je le veux vraiment, profondément. Je veux aller à la rencontre de ce désir, cet immense désir. Je les veux, je les veux toutes. Voilà. Et sincèrement, je ne crois pas que ce soit hors de ma portée. Je suis pas moche, j'ai un esprit, un beau physique (merci Lafay), un vécu, du recul, des couilles malgré tout, du courage, de la persévérance, de la détermination, une volonté de fer, je suis toujours prêt à me remettre en cause, j'aime les autres, surtout les femmes

, j'ai des projets au-delà de la drague, je suis curieux, j'aime apprendre, aller de l'avant, je n'ai pas de prétentions, un grand sens du respect. Et je suis maladivement obsédé par la PROGRESSION. A tel point que j'ai fini par développer une "phobie de la stagnation". J'ai une peur panique de la stagnation.

Sur mon échelle de valeur, la non-stagnation est en tête de liste.

Bref. TOPO demain sur mon SPU solo. I MUST APPROACH FINE GIRLS !

En fait, j'ai remarqué que quand je passe à l'action. Je fais vite de la merde.

Je suis un schéma de fonctionnement qui se résume un peu à ça depuis un an ou deux:

Prise de conscience > Action > Echec > Déprime, remise en cause, réflexion > Prise de conscience... et on recommence la boucle.

Le moteur de ce schéma étant la volonté d'évoluer et de vivre. De vivre surtout. Car quand je vois des journaux comme ceux d'Holden, TinkyWinky ou OLFFF ou bien d'autres. Ou même quand je vois certains mec dans la réalité qui FONT. Et qui SONT. Je me dis putain. Mec ! Tu passes à coté de quelque chose. Regardes ! Ouvres les yeux ! Tu vois ça ! Ce mec là. Qui emmène cette bombe chez lui. Qu'est-ce qui fait qu'il fait ça ce mec ? Hein ? Est-ce qu'il est mieux que toi ? C'est quoi le secret de cet état de fait ? Quelle est cette réalité ? Quelle est cette chose qui porte certains hommes au dessus de tous les autres ? Hein ? Et pourquoi toi tu n'as pas ça ? Pourquoi toi tu ne pourrais pas te faire toutes les bonnasses qui te plaisent ? Pourquoi tu ne pourrais pas être cette réalité ? Pourquoi ne pourrais-tu pas ÊTRE la réussite ? Hein ?

Je me dis que dans la vie, il y a quelque chose qui se vit. Ce n'est pas :

Se lever > Travailler > Se coucher > Se lever...

Il y a un plus. Un truc qui se comprend, puis se vit. La vie possède un secret qui est révélé à peu d'être humain. Et peu d'être humain connaissent et connaîtront la vie. Ca je l'ai comprit. D'où mon schéma d'action :

Prise de conscience > Action > Echec > Déprime, remise en cause, réflexion > Prise de conscience...

Ce schéma, à chaque tour de manège, m'amène au level up. Bref.

J'ai donc remarqué qu'à chaque fois que je passe à l'action, je fais vite de la merde. Deux exemples concrets ces deux derniers mois :

-Le SPU
-Les soirées

Le SPU :

C'est simple. Selon le schéma expliqué plus haut. Je fais du SPU par "salve". C'est à dire que je fais du SPU pendant quelques temps, porté par une prise de conscience antérieure. Puis je dévie sans m'en rendre compte de mes objectif, ce que j'appelle ECHEC dans mon jargon. Je me met donc à réfléchir puis y revient. Bref, pourquoi j'échoue à chaque fois ? Il y a bien un moyen de ne PAS échouer ? Dois-je à tout prix éviter l'échec ? NON, puisque ce n'est pas mon objectif. L'objectif que je convoite n'est pas "d'éviter l'échec à tout prix". NON, ce que je convoite est autre. Plus grand. Pourtant, dans mes moments d'actions, je n'ai pas l'impression de beaucoup agir. Enfin ça dépend. M'enfin si on regarde mes derniers FR : il ne s'est rien passé... du tout. Et ça, ça m'emmerde, GRAVE. Je n'agis pas en réalité. Rien ne change fondamentalement. Où est le bâton ? Est-ce que finalement c'est bien de ça que j'ai envie ? Est-ce que finalement draguer des femmes et les baisers est bien ce que je désir ? Hein ? Est-ce que ça n'est pas autre chose vers laquelle je tend ? Peut-être. Mais ça me fait mal de croire ça. CA ME FAIT MAL. Je veux des femmes dans ma vie..................... ?................... Peut-être que la méthode n'est pas la bonne... Peut-être que ça n'est pas comme ça que je veux avoir des femmes dans ma vie... Cela veut dire que je dois faire autrement... Chez moi, faire autrement, cela veut dire changer de dimension d'esprit... Changer de paire de lunette... Changer de vision de la réalité... L'interpréter AUTREMENT ! Voir différemment, changer de vision. Changer le système d'exploitation. Changer le logiciel. Pour ça mon cerveau est un pro. C'est un turbo diesel esclave de mon désir. Mon cerveau change de mode opératoire tout seul. Je n'ai rien besoin de lui dire il le fait. Bref...

... Le SPU. Autrement. Cela fait la 3 ou 4ème fois que je m'y remet avec une nouvelle paire de lunette, et visiblement la paire de lunette n'est toujours pas la bonne.

Alors, les soirées :

Bon. Après une vrai pause de plusieurs mois avec le monde de la nuit. Je m'y remet précautionneusement. Car je sais que beaucoup d'entre nous, être humain, finissons par se perdre dans ce monde plus complexe qu'il n'y paraît. Donc je fais gaffe en y revenant. J'y reviens petit à petit, à pas de chat. Pour vérifier que la méthode est la bonne, qu'elle me correspond. Et ne pas tomber dans l'excès. Et voilà, hier soir, fuck. J'ai échoué. Je suis tombé dans l'excès.
En fait, j'avais passé une super soirée avant hier. Suite à ce superbe évènement, j'ai décidé d'y retourner hier soir, bien que je fût extrêmement fatigué, et que sortir dans cet état soit quelque chose de totalement contre-productif. Et bien je suis comme même sortit, dans un plan de merde en plus parce que je préférais sortir faire un truc de merde que rester chez moi et rester sur cette bonne expérience que celle d'avant hier. C'est là que j'ai échoué. Je le sais maintenant. Je dois rester conscient de ça. Je devrais me tatouer sur le bras, bien visiblement "Don't go out if you're tired".

Bref.

Dédicace à ma psy, sans qui je nagerai encore dans un océan brumeux de confusion.
Dédicace à Richard Bach, qui a su m'émouvoir avec son goéland qui me ressemble beaucoup.
Dédicace à tous ceux qui me font avancer.
Et plus que tout, dédicace à la vie.

Tu es sur la bonne voie. Quelque remarques pour mettre de l'huile dans les rouages

Tu es trop dur avec toi-même. Tu parles tout le temps d'échec, de te motiver, je crois que tu as juste besoin de voir les choses différemment

* A propos de te motiver, il n'y a pas besoin de se motiver pour sortir. Sortir c'est simple et naturel: en as besoin, ça nous fait du bien, on le fait, c'est tout. C'est comme tous ces gestes du quotidien, genre se laver les dents. Tu imagines un peu si tu vivais une guerre intérieure 3 fois par jour au moment de te laver les dents?
Les premières fois tu as dû te faire violence parce que c'était inhabituel. Le stress de l'inconnu et tout et tout... Mais tu as passé le cap. Prends-en conscience et valide ce progrès dans ton esprit.

* A propos d'échec, il n'y a pas d'échec. Tu sors, tu rencontres des gens pour t'amuser, pour te changer les idées, comme tout le monde. Regarde autour de toi dans les bars: les gens ne sont pas là pour mener un combat, ils passent une bonne soirée et c'est tout. ça rejoint le point précédent sur la motivation: t'es pas au boulot. Même les business-men à l'ancienne qui font des dîners d'affaire arrivent à profiter de l'instant présent. Pourtant ils sont là pour travailler. Mais pendant tout le dîner ils profitent, ils discutent de façon vraiment amicale, le business est en arrière-plan de leur esprit.

C'est pareil pour la séduction. Les gens qui ne se documentent pas sur la séduction, qui sont célibataires et qui aiment bien faire des rencontres amoureuses le soir, ils ne sont pas obsédés par cet objectif quand ils sortent. Si on n'arrive pas à être aussi cool qu'eux, à quoi ça nous sert d'essayer de penser la séduction, de travailler sur nous-même et tout et tout ???

* Le soir où tu étais crevé, même si c'est parti en plan lose, c'était pas un échec pour autant. Les plans lose c'est rigolo. Les soirées où tu te fais chier parce qu'un pote a exigé d'aller dans un bar que tu n'aimes pas, ou whatever, ça arrive. C'est pas grave, ça fait partie du jeu. D'autres soirs tu te forceras à sortir alors que tu es crevé et tu vivras des aventures de folie...

Exemple d'un mec qui n'avait pas envie de sortir:

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* Aborder une fille pour lui demander un râteau? Pourquoi pas, il y a aussi les abordages bidon du style "bonjour, tu veux être mon amoureuse?". C'est cool mais si tu fais ça une fois et ensuite tu rentres chez toi c'est un peu inutile. Aborde plein de filles de façons différente ou de la même façon pour voir comment ça varie d'une fille à l'autre. Tu ne t'en sens pas la force? Tu as tort, tu en as largement la force. La fatigue existe en SPU, dans son DVD Blusher en parle, mais il quantifie ça en une vingtaine de filles abordées

Mon point suivant est susceptible de t'aider à trouver cette énergie.

* En SPU aussi tu penses trop en termes d'échec-réussite. Tu ne joues pas ta vie avec chaque fille que tu abordes. Autorise-toi à être léger. Parle à la fille pour le plaisir de lui parler, pas pour te soigner de je ne sais quoi, ça c'est évident, et, ce qui est un peu plus fin: pas uniquement pour atteindre des objectifs. Je m'explique: des objectifs tu en as mais si tu n'as que ça en tête la fille va le voir. Tu ne seras qu'un vendeur à ses yeux. Même en étant performant tu resteras un vendeur performant. Et des vendeurs performants on en rembarre des kilos, on est tous armés pour ça.

[Exemple extrême:]tous ceux qui ont un téléphone fixe se font régulièrement démarcher la gueule à 9h 30 du matin par une personne qui joue sa vie pour nous vendre des fenêtres. On n'a pas besoin de nouvelles fenêtres, merci. En on n'a pas envie de boire un café avec des gens comme ça...

Amuse-toi un peu. Donne du plaisir, donne de la joie... Si tu veux travailler ton mojo sans viser le num-close c'est cool, mais prends plaisir à le faire. Sinon encore une fois c'est la corvée. De toute façon le plaisir, profiter de l'instant, tout ça tout ça, on en a besoin pour séduire...

J'avais écrit ça un jour. C'est pas la révolution du game mais ça peut t'aider: Petite anecdote, pour les timides

Comme je l'ai dit au tout-début de mon message, tu es sur la bonne voie. Continue comme ça et...

...Amuse-toi bien

Merci Terrigan, je pense que l'essentiel est là, dans ce que tu dis. Ca me rassure de savoir que je suis sur la bonne route et que d'autres reconnaissent mon bon cheminement me fait plaisir, au-delà de me rassurer.

Bon, désolé les amis y'a pas des tonnes de Fields Reports croustillants sur mon journal. J'intellectualise vachement. Je passe pas beaucoup à l'action également, niveau drague et relations sociales en tout cas. Malgré tout, j'ai la conviction profonde qu'un jour ou l'autre je serai un "Pick Up Artist". J'aime bien ce terme. Bref.

Tout à l'heure, dans ma chambre, j'ai eu la soudaine envie de sortir. Sortir pour faire je ne sais quoi. Je voulais juste sortir et, je sais pas, m'exprimer. Sortir et me lâcher. Me donner le droit d'aller vers les autres, peu importe qui, quand et où. Aller vers les autres, juste parce que j'aime ça. Parce que j'aime les gens. Me donner le droit de me défouler, juste pour moi, pour ressentir cette ardeur en moi que l'on ressent quand on danse. Quand on danse, et que notre attention est focalisé vers l'intérieur, vers notre cœur. Que le monde autour de nous s'arrête et tout. Je sais pas, il y a une source en nous. Une source qu'il faut savoir écouter et tout.

Tout ça pour dire que je crois qu'il me manque ça. Cette chose qui fait que nous kiffons simplement l'instant, sans limites, sans penser, juste en étant là. Un peu comme un foutu truc magique. J'ai pas spécialement envie de m'étaler ici, mais pourtant les sites et forums de la communauté sont les seuls endroits (virtuels ou réels) où je me sens l'envie de raconter ces trucs intimes que je ressent (les foutus trucs magiques et tout). Parce que j'ai l'impression que ce sont les seuls endroits où mes paroles ne s'oublieront pas. Les seuls endroits où elles seront entendues. Les seuls endroits où je pourrai être entendu.

Bref. Comme dit dans ma présentation, je vois un psy enfin une psy. Et je crois que les fondements de nos plus grandes limites et de nos plus grandes ignorances tient à ces choses que beaucoup de gens traînent toute leur vie sans s'en apercevoir. Tout ce qui nous entoure, notre monde, notre réalité, n'est que le reflet de nous même. Bien des choses sont plus simples qu'elles ne paraissent.

Sénèque a écrit :"Ce n’est pas parce que les choses sont difficiles que nous n’osons pas, c’est parce que nous n’osons pas qu’elles sont difficiles."

Je pense que c'est en partie vrai. En partie. Parfois, le schéma n'est pas aussi simple. Je pense par là aux états psychologiques des individus. Certaines choses fondamentales nous affectent, particulièrement quand nous les avons refoulées. Je prendrais mon propre exemple : J'ai pendant très longtemps été obsédé par l'envie d'être heureux, de savoir où j'étais et où j'allais. Parallèlement j'ai pendant très longtemps refoulé une situation familiale particulière qui était source de malheur profond et inconscient. Le simple fait d'aller voir un psy m'a permis d'être beaucoup plus heureux et beaucoup moins perdus. A partir de ça, m'a situation sociale, mon aisance, ma situation avec les filles ce sont naturellement et nettement amélioré. Simplement parce que j'avais éliminé une source de frustration, de distorsion de ma vision de la réalité, de distorsion de ma vision de moi-même. Qui venaient altérer ma confiance en moi et mon estime personnelle.
D'ailleurs en ce moment je travail sur une deuxième chose que je pense avoir refoulé beaucoup plus fondamentale. La première séance paye déjà. Je sais que je suis sur la bonne voie avec ça. Le travail sur soi, c'est la clef. Le travail sur soi... Ahah. Incroyable. Quand je pense que certains (je parle en connaissance de cause, j'ai constaté de mes propres yeux) s'exténuent à la tâche en SPU. Pour quoi ? Pour changer ? Mais ça n'est pas comme ça qu'ils changeront ces mecs là. Tout cela, le SPU, le NPU, le théâtre, les arts martiaux, c'est du pipeau. Ce ne sont que des moyens d'épanouissements pour celui qui est dejà. Sinon cela ne change rien. Ce qui fait changer c'est la remise en cause. C'est avoir le courage d'aller chercher là où ça fait mal. D'accepter, de pardonner, de passer outre, d'aller au-delà. Assumer ses problèmes. Bref.

Je m'élève, je m'élève. Lentement certes, (quoique pas tant que ça) mais sûrement.

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J'ai dit quelques lignes plus haut que je draguais pas beaucoup, en fait je me suis rendu compte en rédigeant mon pavé de réflexions inutiles que si, il y avait comme même deux ou trois choses à faire remarquer, néanmoins. Hé ouai. TrueLife lives his life.

J'ai envoyé un message à une meuf par facebook. Cette meuf, elle était dans mon bahut l'année dernière. J'avais réussi à l'époque à baiser sa copine. Elle, en revanche, je lui avait juste palpé les fesses et emballé. Rien de très correct. Je lui ai donc envoyé un message.

"Tu es libre ?

TrueLife"

Bref. Elle m'a répondu. Affaire à suivre. Le plus chiant avec cette meuf là étant de faire en sorte qu'elle vous réponde. Et pour elle, j'ai l'ambition des chacals. J'veux la tringler sèchement derrière une poubelle ou quoi. Pas de pitié en fait.

Sinon, une autre, que c'est probable que je fasse rien avec elle mais qui parfois attise ma fougue. Elle est plutôt mignonne, je lui plaît, elle me plaît (objectivement...) et ça fait 6 mois que j'ai pas baiser, je suis en mode mendiant sexuel donc elle est potentiellement tirable. Tout cela en bonne et due forme. Je ne ferais que la mentionner pour l'instant parce que :
-Le game est On, donc ça vaut le coup de raconter ça ici, au cas où suite il y aurait
-Elle est vraiment trop étrange pour que ça vaille le coup de tartiner plus mon post

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Objectif :

-Arriver à porter mes couilles, seul. Par cela, je veux dire que je souhaite réussir à sortir seul, pour aller draguer. Pour faire ce que je veux et tout. Pour faire ma vie quoi. Arriver à ne pas avoir besoin de quoi que ce soit pour sortir faire ma vie. Arriver à être une sécurité pour moi-même (sur cette phrase maladroite repose un concept important).

-Scolarité... Pas grand chose à dire en fait. Le mot se suffit à lui-même.

-Sport, sommeil, alimentation, esthétisme. Donc musculation et tout.

-Arts Martiaux. Aller jusqu'à la ceinture noire au Krav-maga. Et j'aimerais me mettre un de ces quatre à la boxe pour tâter un peu la compétition (le krav-maga n'assurant pas de compétitions).

(-Théâtre ou danse. Pour m'exprimer. Quand mon emploi du temps sera moins contraignant.)

Rapport de terrain :

Hier, j'ai encore senti une progression. Depuis quelques temps, je me sens progresser dans tous les sens. C'est fou ! Parfois, ça me perturbe même carrément. C'est perturbant de faire un truc alors qu'on pense quelque part dans son inconscient que ce qu'on est en train de faire, c'est pas possible. C'est vraiment bizarre. D'ailleurs en l'écrivant ça me fait penser à l'article "dissonance cognitive" de FTS (me semble-t-il). Il est bien possible que ce soit ça. Ce ressenti. Mais c'est vraiment bizarre. Ca paraît totalement irréel dans l'instant. Pourtant, ça l'est bien, réel.

Hier, c'était donc... nouveau. Et en même temps ça l'était pas (bizarre je vous dit).

J'était donc en grosse déprime le matin en me réveillant. Je savais pas trop où j'était, ni trop ce que je voulais. J'était un peu une loque et ça faisait un moment que je m'était pas senti aussi perdu. Les affres d'une mauvaise nuit surement. Tellement perdu que j'avais ces vielles sensations de timide complexé. Vous savez, ces sensations que tout le monde nous regarde quand on marche dans la rue. Ben, j'avais ça. C'était lourd et tout. En plus, le matin, mon cours de krav-maga à été annulé. A cause des passages de ceintures. La journée s'annonçait mal.

Du coup je me suis dit, "TrueLife, bouges toi, va faire un truc". Je me suis pris mon après-midi pour aller lire à la bibliothèque, acheter trois pauvres fringues que je devais acheter depuis un paquet de temps, et bosser un peu mes histoires de cours. Et là, sans déconner. En une après-midi, j'ai repris le goût de la vie. C'était magique. J'était heureux de m'être pris en main et d'avoir pu, par mes propres moyens et sans l'aide de personne, seul donc, me ressourcer et me refiler un coup de pep's. J'était tellement heureux que je suis revenu sur ma décision initial du matin de ne pas sortir le soir. Et j'ai bien fait.

C'est donc avec le sourire que je pars me poser dans un bar avec mes potes. Notre bar habituel en fait. On papote et tout. Deux meufs se ramènent. L'une a déjà baiser avec mon pote et maintenant ils se font la gueule (

). L'autre... elle est étrange. Et pas vraiment belle. Bon, pour le sport je fais la conversation. Surtout que mes potes les calculaient même pas. Elles étaient isolés du reste du groupe et tout. Bref, gentleman. Mais j'ai pas cherché plus loin.

Deux autres meufs se ramènent, dont celle que j'avais voulu me faire à une soirée y'a... trois semaines je crois. Peut-être deux enfin on s'en fout. Elle est brune, plus petite que moi, plutôt bien roulée et souriante. Tout ce qu'il faut quoi. Je la draguerai pendant toute la soirée avec un jeu de séduction plutôt bordélique. Je dragouillais sa pote en même temps, parce qu'elle était marrante mais en fait je m'en foutais pas mal. Finalement j'ai pas eu le numéro de ma tendre. J'ai eu le facebook. Et je suis sur que d'une : elle s'est arrangé pour ne pas me filer son numéro parce qu'elle était devant sa pote et que cette foutue salope a tiré une putain de sale gueule quand j'ai voulu prendre le numéro. Et que de deux : elle n'était pas inquiète de refuser de donner son numéro parce qu'elle avait au préalable donner son nom complet facebook. En fait elle a bien gérer son coup la coquine.

Bon après, on est parti au champs de mars voir des gens mais c'est pas intéressant et on s'en fout.

Bon voilà. C'est déjà ça, je suis content. Et puis j'ai pas bu une seule goutte d'alcool pour le coup, je suis content aussi. Pour faire une remarque sur mon game, c'est n'importe quoi. Je fais rien de structuré, je fais tout à l'arrache, y'a pas de logique dans mes touchers (kino). Par contre je suis bougrement sexuel. Je m'en suis rendu compte pendant la soirée. Et parfois même un peu trop mais tant mieux. Je communique vachement "viens là, tu es à moi". Et en fait ça plaît.

Pour faire court, si je suis totalement déstructuré dans le rapport de séduction c'est parce que je manque d'assurance. Donc je sais pas trop comment faire pour respecter les étapes. Enfin les étapes... En fait je m'en fous des étapes. J'trouve que il n'y a pas d'étapes. Ces choses là ça marche au feeling, sinon c'est comme le culs d'un esquimau, c'est froid, et ça fais chier.

Donc voilà, écoutez, il n'y a pas grand chose à dire. Il faut que je m'améliore. Donc : pratique ! J'avais dit dans mon précédent post :

TrueLife a écrit : Objectif :

-Arriver à porter mes couilles, seul. Par cela, je veux dire que je souhaite réussir à sortir seul, pour aller draguer. Pour faire ce que je veux et tout. Pour faire ma vie quoi. Arriver à ne pas avoir besoin de quoi que ce soit pour sortir faire ma vie. Arriver à être une sécurité pour moi-même (sur cette phrase maladroite repose un concept important).

Il n'y a pas d'excuses pour être un homme. Un homme il fait ce qu'il veut quand il veut. Je pèse le mot "homme" dans cette phrase. Oui ! Un homme est quelqu'un de respectable, qui n'a point de désir compromettant pour autrui. Et c'est pour cela qu'il peut faire ce qu'il veut quand il veut. Là-dessus je pourrais bien rédiger un bouquin entier, sur ce qu'est un homme et ce qu'il n'est pas. Mais j'ai pas la foi là tout de suite, je suis pas venu pour ça à la base.

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Nouveaux objectifs :

-Faire les choses seul, quand cela me plaît, sans me soucier des règles du "bon-agissement" que la société a peureusement érigé.

-Faire des arts martiaux, parce que ça me plaît. Pas parce que je sais pas quoi.

-Bosser mes cours, et en cours.

-Bien manger, bien dormir, bien me réveiller, bien kiffer, tout ça, tout ça.

-Assumer

That's all, thanks guys for reading.

C'est bien mon Wing, je crois qu'on est sur la bonne voie

. Nos discussions-recadrages hebdomadaires, on garde, je crois que ça a marché pour toi et moi ;) . Je vois des progrès là chez toi, rien à voir avec le TrueLife plein de doutes et d'insécurités d'il y a encore peu qui me disait qu'il craignait constamment le regard d'autrui.

Bon faut encore développer l'organe de l'action, mais je sais comment ça se passera: quand t'auras fini de faire des progrès intérieurs, l'action suivra de manière fracassante. Je sais plus si tu te souviens quand on disait: "La séduction, le SPU, ça viendra à la fin, quand on aura plus de problèmes. Et là ça viendra tout seul". Ça rejoint l'article "le game est pour les gens normaux", de Malcor: le-game-est-pour-les-gens-normaux-vt17833.html

Aaaaah le plaisir de boire l'apéro avec les potes au soir d'une journée bien remplie...

Salut,

Je chemine toujours. Inlassable. Je marche vers la réussite. Et décidément, je m'en rapproche, de plus en plus. Je sens une source de bonheur, qui jaillit, chaque jour de plus en plus fort. J'ai la méga banane quand je me lève. Je suis heureux de vivre et d'avancer.

D'ailleurs c'est marrant, je ne sais absolument pas comment je fais pour progresser. Ma croissance est exponentielle. Chaque jour je suis meilleur que la veille. Plus fort, plus construit, plus heureux, plus sage. Chaque jour s'accompagne de plus de bonheur. C'est un miracle. Je suis heureux sa mère.

Bon, alors, oui, désolé. Confrères et consoeurs, y'a pas de post de la mort qui tue où je choppe une millionnaire japonaise avant de m'enfuir les jambes à mon coup, bourré, par un escalier de 20 étages. Ce n'est pas comme cela que je progresserai. Point.

Pour illustrer mon état actuel, quelques anecdotes. Bon pas de drague. A part si, j'ai aborder une femme l'autre jour, elle avait pas entendu ce que j'avais dit et j'ai répéter. Elle m'a fait un beau sourire et s'est taillée. Non, en fait, du plus concret, du plus profond, du plus vrai.
J'ai dépassé certaines de mes peurs dernièrement, et ça m'a fait... Un bien FOU. C'est simple, ça ne mange de pain, mais, bordel, ça fait du bien. De l'air, voilà ce que ça fait. Cela me fait de l'air dans ma tête, je peux respirer. C'est bon bordel. C'est trop bon.

J'ai dépassé ma peur de l'autre. Enfin, pardonnez-moi ce n'est pas clair, je ne sais pas trop comment le dire mais vous comprendrez. J'ai invité un pote un peu plus âgé que moi à venir fêter un week-end chez moi. C'est tout. C'est con hein ? Mais c'est énorme. Je ne m'était pas fait d'amis depuis un bon moment. Et là, j'ai inviter cette personne, à venir me voir. Elle était d'accord, on s'est marrés comme des boeufs tout le week-end. Et voilà.

Par ailleurs, le week-end suivant, je suis partit en province voir un trèèès bon pote (

). Il était avec un autre mec, et j'était normal avec lui. J'était normal avec ce mec. Sérieux. J'était un mec normal. Un mec cool même. Qui discute, qui rigole, qui profite d'un bon moment passé avec d'autres. Sérieux, c'est ouf.

Pareil il y a quelques semaines. J'était à une soirée. Et il y avait une femme qui me plaisait. J'lui ai lancé quelques petits regards aguicheurs comme j'aime les faires. Et elle a kiffé. Et puis on a parlé. Normalement. Je l'ai draguouillé, parce que c'est bon de draguouiller une femme. Et voilà. C'est tout. C'est rien mais c'est fou. (Et puis elle m'a recontacté et tout ahah

). Sérieux, c'est pas une vie ça ?

Encore pareil, l'autre jour. J'était avec ce fameux trèèèès bon pote. Et je me suis retrouvé dans le foutu appartement où il pionçait avec ses potes. Et il y avait tous ses potes. Et ben je me sentais bien. À ma place.

Et encore plus fou. Ce qui me fait terriblement kiffer. Je rentrais dans le métro et tout. Et en m'asseyant dans le carré, comme ça, il y avait un arabe qui portait un maillot de l'OM. Je fixe à mort son maillot et je me dis "putain, il a du culot ce marseillais". Je lève les yeux vers le mec et tout. Il m'observait. Il me lance "tu serais pas pour le PSG ?". Et on a tapé une discussion d'au moins dix minutes dans le métro comme ça. Il était bondé ce métro. Et j'étais à l'aise. Sérieux. J'étais à l'aise. Moi, Truelife, l'introverti.

Alors oui, vous me direz tous "Pff, mais c'est quedal ton truc ! Moi j'aborde des mannequins dans le métro !"

Effectivement, c'est rien. Mais c'est tout. C'est la base. C'est le bonheur sous sa forme la plus simple. La réussite c'est ça.

J'ai la base. Maintenant je construit l'édifice.

Je dois continuer sur cette route. Et... Qui vivra verra. La confiance en soi se bâtit là-dessus. Pas de building sans fondations solides.

Je remercie la vie.

A la rentrée, après quelques voyages bien mérités, je rencontre un wing de FTS. Je compte... TOUS EXPLOSER ! Exploser toutes mes limites. Prendre cette confiance que j'attends patiemment depuis des lunes. Et m'ouvrir.

Je suis ouvert à toutes demandes de wings. Je vous ferai voir l'invisible, messieurs !

I must show you how great I am.

http://www.youtube.com/watch?v=34JirZ11 ... ure=fvwrel

Nick Vujicic

http://www.youtube.com/watch?v=ZOPf8rHV-Tk

Afrojack Ft Shermanology - Can't stop me now

http://www.youtube.com/watch?v=3eKXsEI4B38

Je sais désormais tout ce qu'il y a savoir. Maintenant, je dois avancer