Dis lui que tu t'inquiètes pour lui, que tu vois bien qu'il n'est pas pressé de s'en occuper mais que toi ça te fait du "mal" de ne pas savoir s'il est vraiment à 100% hors de danger.
Ne lui demande pas de le faire, mais fais lui bien comprendre que tu es très inquiet.
Normalement par empathie et s'il est vraiment ton meilleur ami, il s'en occupera immédiatement je pense.
La procrastination.
Je pense qu'il fait le raisonnement suivant: "tant que je n'ai pas fait d'analyse, je suis en bonne santé". Du moment où il l'a faite et si le résultat est négatif, il ne l'est plus.
La manière d'y répondre dépends beaucoup de la maladie même et là si tu en sais plus que nous. Si c'est une maladie qui nécessite un traitement long et difficile, avec un résultat très incertain, je comprends l'argument qui consiste à ne pas vouloir savoir et prendre le risque de vivre normalement jusqu'au jour où... en espérant que ça dur longtemps possible. A l'inverse, si ça se soigne relativement facilement (ou que le résultat du traitement est plus ou moins garanti), il a tout intérêt à avoir cette analyse le plus rapidement possible.
Selon la maladie, c'est donc deux manières très différentes d'en discuter avec lui.
La manière d'y répondre dépends beaucoup de la maladie même et là si tu en sais plus que nous. Si c'est une maladie qui nécessite un traitement long et difficile, avec un résultat très incertain, je comprends l'argument qui consiste à ne pas vouloir savoir et prendre le risque de vivre normalement jusqu'au jour où... en espérant que ça dur longtemps possible. A l'inverse, si ça se soigne relativement facilement (ou que le résultat du traitement est plus ou moins garanti), il a tout intérêt à avoir cette analyse le plus rapidement possible.
Selon la maladie, c'est donc deux manières très différentes d'en discuter avec lui.
C'est ça. Bien que je pense que le traitement ne sois pas si long et difficile et incertain (quoique vu que c'est pas moi qui suis concerné, j'ai peut-être plus de recul que lui).Valmont a écrit :Je pense qu'il fait le raisonnement suivant: "tant que je n'ai pas fait d'analyse, je suis en bonne santé". Du moment où il l'a faite et si le résultat est négatif, il ne l'est plus.
La manière d'y répondre dépends beaucoup de la maladie même et là si tu en sais plus que nous. Si c'est une maladie qui nécessite un traitement long et difficile, avec un résultat très incertain, je comprends l'argument qui consiste à ne pas vouloir savoir et prendre le risque de vivre normalement jusqu'au jour où...
Niveau discussion, déjà fait, et je pense que quand je le reverrai (changement de programme de dernière minute, on s'est pas vu finalement), je redirai plus ou moins les mêmes choses en approfondissant. Mais bon, comme je disais, je crains que ce ne sois pas si efficace...