L'amour et le sexe sont ils nécessaires au bonheur humain ?
Ce membre a été banni de FTS, en raison de manquements répétés au règlement. Un membre peut être banni automatiquement si sa note descend trop bas (ou trop vite), ou manuellement par un modérateur. Les propos de ce membre n'engagent que lui et ne reflètent pas les opinions des utilisateurs de FTS.
je me demandais un truc l'autre jour, est il possible pour un humain de se passer de ça toute sa vie en étant heureux ?
La misère sentimentale et sexuelle est elle un facteur de dépression / suicide ?
Un homme , même si il pratique diverses activités et s'occupe tout le temps peut il refouler ses pulsions sans que ça nuise à son équilibre mental ?
La misère sentimentale et sexuelle est elle un facteur de dépression / suicide ?
Un homme , même si il pratique diverses activités et s'occupe tout le temps peut il refouler ses pulsions sans que ça nuise à son équilibre mental ?
C'est assez surprenant de trouver ce genre de question sur un tel forum. (et étrange)
Vu qu'on est tous là justement pour amour et sexe, relation, ce genre de question dégage quelque chose de dépressif.
Pour répondre à tes questions, il suffit d'observer les autres, et de t'observer toi.
Si on observe les autres, on s'aperçoit qu'on a tous besoin de relation avec les autres. Que ce soit l'extravertie, ou le timide, c'est un besoin. Le timide a peur d'aller vers les autres, de se dévoiler, mais au fond de lui, il adorerait aller vers les autres sans soucis, et avoir des interactions avec eux.
La création de FTS en est aussi la preuve. Si j'ai bien compris, la plupart des personnes qui viennent ici sont des timides de base (j'avais lu ça je ne sais plus où sur le forum), et ils sont là pour booster leur vie sociale.
Le film "Seul au monde" avec Tom Hanks, montre aussi très bien à quel point le contact avec les autres, est vital.
Mais nous sommes "conçu" pour se focaliser sur certaines personnes en particulier, s'attacher, et dans le cas de l'amour, sur une personne en particulier. De plus, dès notre naissance, nous sommes conditionnés notamment par nos parents, pour que plus tard, nous développions une relation amoureuse avec quelqu'un. Nous éprouvons aussi très tôt des sentiments amoureux. Le complexe d'Oedipe est un exemple; le fils qui aime sa mère, et qui est jaloux de son père.
L'amour est considéré comme un but dans la vie. Mais c'est aussi une porte d'accès au bonheur. Tu as du voir ça en Philosophie.
Et physiquement, lorsque tu es amoureux, et que la relation est saine, tu ressens un bien être, tu es décontracté, zen.
Ensuite, on peut dire que l'Homme est comme le lion, le loup etc... C'est un animal.
Il a été créé dans le but de se reproduire. Donc le sexe est naturel, ainsi que ses pulsions, et les refouler n'est pas sain. On ressent de la frustration, du mécontentement, de la tristesse.
On ajoute à ça nos hormones qui nous procurent du plaisir pendant l'acte, et je doute qu'un homme (et une femme) puisse s'en passer. C'est quelque chose qui le démangera toujours, à l'intérieur.
Donc oui, un homme pourrait dire non aux relations amoureuses, et faire voeux d'abstinence. Mais ce serait comme être torturé, il se battra contre sa nature, et je doute qu'il soit heureux. (THE but dans la vie au final)
Oui la misère sentimentale et sexuelle est un facteur de dépression/suicide. Tu n'as qu'à voir le nombre de personnes dépressives car elles sont seules.
Et non, refouler ses pulsions n'est pas une bonne idée; même en pratiquant diverses activités. Le sport, la lecture, la musique, sont des choses bien particulières. Les relations amoureuses et le sexe, en sont une autres, unique, et donc irremplaçable.
Ps : deuxième fois que j'écris ce message, le premier était plus développé, mais j'ai été déco pendant que j'écrivais. J'ai trouvé le force de le réécrire, mais j'ai peut être oublié des choses, et j'avais le seum.
Vu qu'on est tous là justement pour amour et sexe, relation, ce genre de question dégage quelque chose de dépressif.
Pour répondre à tes questions, il suffit d'observer les autres, et de t'observer toi.
Si on observe les autres, on s'aperçoit qu'on a tous besoin de relation avec les autres. Que ce soit l'extravertie, ou le timide, c'est un besoin. Le timide a peur d'aller vers les autres, de se dévoiler, mais au fond de lui, il adorerait aller vers les autres sans soucis, et avoir des interactions avec eux.
La création de FTS en est aussi la preuve. Si j'ai bien compris, la plupart des personnes qui viennent ici sont des timides de base (j'avais lu ça je ne sais plus où sur le forum), et ils sont là pour booster leur vie sociale.
Le film "Seul au monde" avec Tom Hanks, montre aussi très bien à quel point le contact avec les autres, est vital.
Mais nous sommes "conçu" pour se focaliser sur certaines personnes en particulier, s'attacher, et dans le cas de l'amour, sur une personne en particulier. De plus, dès notre naissance, nous sommes conditionnés notamment par nos parents, pour que plus tard, nous développions une relation amoureuse avec quelqu'un. Nous éprouvons aussi très tôt des sentiments amoureux. Le complexe d'Oedipe est un exemple; le fils qui aime sa mère, et qui est jaloux de son père.
L'amour est considéré comme un but dans la vie. Mais c'est aussi une porte d'accès au bonheur. Tu as du voir ça en Philosophie.
Et physiquement, lorsque tu es amoureux, et que la relation est saine, tu ressens un bien être, tu es décontracté, zen.
Ensuite, on peut dire que l'Homme est comme le lion, le loup etc... C'est un animal.
Il a été créé dans le but de se reproduire. Donc le sexe est naturel, ainsi que ses pulsions, et les refouler n'est pas sain. On ressent de la frustration, du mécontentement, de la tristesse.
On ajoute à ça nos hormones qui nous procurent du plaisir pendant l'acte, et je doute qu'un homme (et une femme) puisse s'en passer. C'est quelque chose qui le démangera toujours, à l'intérieur.
Donc oui, un homme pourrait dire non aux relations amoureuses, et faire voeux d'abstinence. Mais ce serait comme être torturé, il se battra contre sa nature, et je doute qu'il soit heureux. (THE but dans la vie au final)
Oui la misère sentimentale et sexuelle est un facteur de dépression/suicide. Tu n'as qu'à voir le nombre de personnes dépressives car elles sont seules.
Et non, refouler ses pulsions n'est pas une bonne idée; même en pratiquant diverses activités. Le sport, la lecture, la musique, sont des choses bien particulières. Les relations amoureuses et le sexe, en sont une autres, unique, et donc irremplaçable.
Ps : deuxième fois que j'écris ce message, le premier était plus développé, mais j'ai été déco pendant que j'écrivais. J'ai trouvé le force de le réécrire, mais j'ai peut être oublié des choses, et j'avais le seum.
Je pense que c'est possible quoique rare dans la mesure ou tu sais ne pas en avoir besoin, si ces considérations ne sont pas subies et si tu es parfaitement à l'aise avec ça.
Maintenant vu ton historique ici ce n'est pas ton cas.
A la limite un mec qui a testé, qui a aimé, qui s'est fait aimer, qui a couché, vécu, et qui me sort ça, je pense que ça pourrais être véritable.
Si quelqu'un de très à l'aise avec lui même et les autres et sa vision du monde me sort ça, ça serait véritable aussi, je pense.
Mais la on est un peu loin du compte
Essaie avant d'abandonner
Maintenant vu ton historique ici ce n'est pas ton cas.
A la limite un mec qui a testé, qui a aimé, qui s'est fait aimer, qui a couché, vécu, et qui me sort ça, je pense que ça pourrais être véritable.
Si quelqu'un de très à l'aise avec lui même et les autres et sa vision du monde me sort ça, ça serait véritable aussi, je pense.
Mais la on est un peu loin du compte

Essaie avant d'abandonner
Il y a des hommes, des sages qui sont très heureux en étant chastes, mais je pense qu'ils sont très rares.
A mon avis, tant que le désir d'amour et de sexe est présent, le renoncement et le refoulement ne peuvent qu'entrainer de la frustration et du malheur. Au contraire, je pense qu'on peut d'autant plus se libérer de ce désir qu'on arrive (ou du moins qu'on essaye) à le combler.
A mon avis, tant que le désir d'amour et de sexe est présent, le renoncement et le refoulement ne peuvent qu'entrainer de la frustration et du malheur. Au contraire, je pense qu'on peut d'autant plus se libérer de ce désir qu'on arrive (ou du moins qu'on essaye) à le combler.
Ce membre a été banni de FTS, en raison de manquements répétés au règlement. Un membre peut être banni automatiquement si sa note descend trop bas (ou trop vite), ou manuellement par un modérateur. Les propos de ce membre n'engagent que lui et ne reflètent pas les opinions des utilisateurs de FTS.
Roro117 a écrit : Et non, refouler ses pulsions n'est pas une bonne idée; même en pratiquant diverses activités. Le sport, la lecture, la musique, sont des choses bien particulières. Les relations amoureuses et le sexe, en sont une autres, unique, et donc irremplaçable.
Et pourtant certains types sont bien obligés non ? Ils deviennent quand même pas tous fous frustrés ou dérangés ( les types n'ayant jamais eu de rapports avec les filles arrivé à un certain âge )
Smooth


Oui, il y a des mecs vierges de 40 ans, oui, il y a des ermites.SpaceOdyssey a écrit :Roro117 a écrit : Et non, refouler ses pulsions n'est pas une bonne idée; même en pratiquant diverses activités. Le sport, la lecture, la musique, sont des choses bien particulières. Les relations amoureuses et le sexe, en sont une autres, unique, et donc irremplaçable.
Et pourtant certains types sont bien obligés non ? Ils deviennent quand même pas tous fous frustrés ou dérangés ( les types n'ayant jamais eu de rapports avec les filles arrivé à un certain âge )
SmoothAprès sinon c'était juste pour savoir , et savoir à quoi m'attendre si jamais ça marchait pas dans mon cas
Après, je ne pense pas que ça soit des situations enviables.
La question sonne irrémédiablement comme "Voilà, si j'abandonne avec les filles, vous pensez que je pourrais vivre quand même ?", et la réponse est simple. Bouge ton gros cul. Mais j'ai abandonné depuis longtemps de conseiller certaines personnes qui se sont enlisés dans l'inaction la plus totale. Au pire, loi de la nature oblige, ça en fera plus pour d'autres.
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [+1] Post responsable le 30.01.14, 02h47 par Onmyoji
Ce membre a été banni de FTS, en raison de manquements répétés au règlement. Un membre peut être banni automatiquement si sa note descend trop bas (ou trop vite), ou manuellement par un modérateur. Les propos de ce membre n'engagent que lui et ne reflètent pas les opinions des utilisateurs de FTS.
Raven
Normal que tu réponde comme ça parce que t'as déjà posté sur un de mes topics donc tu connais ma situation , sauf que bon ça peut très bien être une question purement théorique
On a déjà parlé de l'inaction dans mon topic , ouais je suis totalement incapable d'aborder une inconnue que je croise dans le bus ou la rue , mais c'est pas la question tout a été dit dans le topic qui a été locké.
Si je pose ces questions c'est que j'ai des raisons et je demande juste des réponses en rapport avec mes questions , rien de plus.


On a déjà parlé de l'inaction dans mon topic , ouais je suis totalement incapable d'aborder une inconnue que je croise dans le bus ou la rue , mais c'est pas la question tout a été dit dans le topic qui a été locké.
Si je pose ces questions c'est que j'ai des raisons et je demande juste des réponses en rapport avec mes questions , rien de plus.
Salut,
Pour l'amour, j'ai souvenir d'une étude sur les bébés abandonnés, recueillis dans un orphelinat et dont la mortalité variait en fonction de l'amour que le personnel donnait (désolée je n'ai pas la patience ni la précision d'un Blusher pour les références). De manière générale, on ne peut pas vivre sans amour, sans au moins l'empathie de membres d'un groupe social (là je pense à une étude sur la mortalité des SDF intégrés dans un "réseau" de SDF). L'homme est un animal social.
Après, j'imagine que tu penses à un type d'amour bien particulier
L'amour qu'on trouve dans un couple bien souvent. J'aurais tendance à dire que ce n'est pas indispensable ni à la survie (tant que d'autres sources d'amour subsistent), ni au bonheur car j'ai été heureuse avant de tomber amoureuse (je dirais même que j'étais plus heureuse avant mais ça c'est une autre histoire). Etre aimée par un amant ne conditionne pas non plus l'accès au bonheur, surtout s'il y a une asymétrie dans les sentiments. Mais ça peut donner plus d'intensité au bonheur, surtout quand il y a une réciprocité, un équilibre et une maturité. Quel bonheur cherches-tu ? celui de l'absence de trouble (absence de manque, satisfaction des besoins, fuite de la passion) l'ataraxie ou celui d'une vie plus rock n roll avec des hauts, des bas, de la passion, de l'intensité ? On est clairement dans une société qui promeut la seconde forme de bonheur et méprise la première. Je soupçonne des motifs économiques à cela. Je pense que les deux se valent, ça dépend des caractères des personnes. Si tu cherches l'ataraxie, non seulement être amoureux n'est pas indispensable mais en plus il faut fuir la passion amoureuse qui génère un manque perpétuel, une insatisfaction chronique des besoins. Là je peux te donner LA référence : Lucrèce, La Nature des Choses
Pour ce qui est du sexe, je pense que nous ne sommes pas tous égaux "hormonalement", la libido n'est pas présente dans l'esprit de chacun de la même manière. Il y a une part d'inné mais aussi d'acquis : dans un environnement sans occasion d'avoir des rapports sexuels, la libido diminue. Dans les périodes de disette, les humains sont moins d'humeur coquine. Des personnes (là je pense à feu l'abbé Pierre) ont du désir mais trouvent insatisfaisant les relations sexuelles. Ou leurs autres activités les fatiguent/les comblent suffisamment pour que le sexe soit moins important au fil du temps. Question d'entraînement.
Je n'ai pas lu l'autre sujet dont il est question et je trouve celui-ci intéressant. C'est une question que je me suis déjà posée quand j'avais ton âge (ça fait fossile) ! A l'époque je ne me trouvais pas digne d'intérêt et par aigreur, je me suis dit "si c'est comme ça, si personne ne veut de moi et bien moi non plus je ne veux de personne, je boude". Ca te donne un temps l'impression que tu contrôles, que tu es maître de ton destin et que tu choisis la solitude par sagesse et dignité. En fait, par la suite, j'ai continué ma route, j'ai fait des rencontres qui m'ont fait oublier cette amertume et m'ont ouvert les yeux sur le fait que je subissais cette solitude. J'ai adoré être aimée, je te souhaite de le vivre, ne serait-ce que pour faire un vrai choix entre ataraxie et passion et non subir.
Pour l'amour, j'ai souvenir d'une étude sur les bébés abandonnés, recueillis dans un orphelinat et dont la mortalité variait en fonction de l'amour que le personnel donnait (désolée je n'ai pas la patience ni la précision d'un Blusher pour les références). De manière générale, on ne peut pas vivre sans amour, sans au moins l'empathie de membres d'un groupe social (là je pense à une étude sur la mortalité des SDF intégrés dans un "réseau" de SDF). L'homme est un animal social.
Après, j'imagine que tu penses à un type d'amour bien particulier

Pour ce qui est du sexe, je pense que nous ne sommes pas tous égaux "hormonalement", la libido n'est pas présente dans l'esprit de chacun de la même manière. Il y a une part d'inné mais aussi d'acquis : dans un environnement sans occasion d'avoir des rapports sexuels, la libido diminue. Dans les périodes de disette, les humains sont moins d'humeur coquine. Des personnes (là je pense à feu l'abbé Pierre) ont du désir mais trouvent insatisfaisant les relations sexuelles. Ou leurs autres activités les fatiguent/les comblent suffisamment pour que le sexe soit moins important au fil du temps. Question d'entraînement.
Je n'ai pas lu l'autre sujet dont il est question et je trouve celui-ci intéressant. C'est une question que je me suis déjà posée quand j'avais ton âge (ça fait fossile) ! A l'époque je ne me trouvais pas digne d'intérêt et par aigreur, je me suis dit "si c'est comme ça, si personne ne veut de moi et bien moi non plus je ne veux de personne, je boude". Ca te donne un temps l'impression que tu contrôles, que tu es maître de ton destin et que tu choisis la solitude par sagesse et dignité. En fait, par la suite, j'ai continué ma route, j'ai fait des rencontres qui m'ont fait oublier cette amertume et m'ont ouvert les yeux sur le fait que je subissais cette solitude. J'ai adoré être aimée, je te souhaite de le vivre, ne serait-ce que pour faire un vrai choix entre ataraxie et passion et non subir.
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [+1] Quelle patience le 30.01.14, 15h33 par Marco Polo
Pour répondre à ta question, je crois que la réponse la plus adaptée est la suivante.
Tu es un homme alors mon exemple sera masculin mais, prends ces hommes que tu cites qui n'ont eu que très peu ou pas d'expériences à 40 ans, et ouvre leur la porte d'une chouette relation. Combien choisirons vraiment de ne pas l'ouvrir ?
Pour avoir côtoyé des gens qui sont, où ont été dans cette situation, même sans atteindre les quarante ans, je suis persuadé qu'ils en ont pour la plupart autant envie que les autres. Je n'ai pas rencontré de cas où c'était un véritable choix durable.
Alors voilà, ce n'est pas une démonstration, c'est empirique à mon niveau mais je suis persuadé que la vraie réponse à ta question est NON. Tout simplement parce que dans le(s) cas que tu as en tête ce n'était pas un choix. Juste un renoncement.
Ce qui est en soi assez différent des cas d'ermites, de vénérables sages, de gens qui choisissent de sacrifier cet aspect de la vie pour un autre, ou des prêtres par exemple.
Tu es un homme alors mon exemple sera masculin mais, prends ces hommes que tu cites qui n'ont eu que très peu ou pas d'expériences à 40 ans, et ouvre leur la porte d'une chouette relation. Combien choisirons vraiment de ne pas l'ouvrir ?
Pour avoir côtoyé des gens qui sont, où ont été dans cette situation, même sans atteindre les quarante ans, je suis persuadé qu'ils en ont pour la plupart autant envie que les autres. Je n'ai pas rencontré de cas où c'était un véritable choix durable.
Alors voilà, ce n'est pas une démonstration, c'est empirique à mon niveau mais je suis persuadé que la vraie réponse à ta question est NON. Tout simplement parce que dans le(s) cas que tu as en tête ce n'était pas un choix. Juste un renoncement.
Ce qui est en soi assez différent des cas d'ermites, de vénérables sages, de gens qui choisissent de sacrifier cet aspect de la vie pour un autre, ou des prêtres par exemple.
C'est un peu hors-sujet j'en suis désolé, mais penses-tu vraiment que l'ataraxie est opposée à cette vie "rock n roll" ? Ne peut-on pas vivre une vie comme ça tout en étant calme et apaisé ? Je crois que si mais ça demande une sorte de sagesse boudhiste dont rares sont les occidentaux qui la trouventMarshall Ombre a écrit :L'ataraxie ou celui d'une vie plus rock n roll avec des hauts, des bas, de la passion, de l'intensité