Salut,
Je ne pense pas avoir assez insisté là-dessus, mais ces derniers temps, j'étais dans le contexte de ma rupture avec Aurélie, et j'ai vraiment été chamboulé.
Lorsque j'ai parlé de ma rupture à une amie, elle m'a dit qu'elle avait toujours cru que ma copine était un détail un peu flou de ma vie sans grande importance, et elle était étonnée que ça m'affecte tant.
Il est vrai que la relation que j'avais avec Aurélie, avant cette rupture, était très intime et particulièrement exclusive, et absolument aucun de mes proches ne savait à quel point j'étais attaché à elle : ni ma famille, ni mes amis, ni personne, à part elle-même. Et encore, elle m'avouera qu'elle croyait que je ne l'aimais pas, même si on avait un attachement profond que rien ne remettait en doute. Était-ce par honte, par peur de paraître dépendant, par jalousie, par opportunisme potentiel, par égoïsme, ou par déni que je présentais ainsi ma relation avec elle ? Je ne le sais. (Même ici sur ce forum, le côté "détail un peu flou de ma vie" transparaît.) Ce qui est certain, c'est que malgré la relation chaotique que j'ai eue avec elle, cette relation qui ressemblait à un jeu vu de l'extérieur, cette relation qui n'avait rien de standard et qui ne devait surtout pas paraître sérieuse, j'ai clairement vécu pour la première fois de ma vie une véritable rupture, avec la fille avec qui j'avais passé 7 ans de ma vie. Et mon Dieu, ce fut une épreuve douloureuse !
J'ai un peu de peine à me remémorer mon état, on ne se souvient jamais vraiment des sentiments qu'on vit à un instant donné, juste des actes et de nos pensées, mais je sais que pendant les deux-trois premières semaines, je pétais véritablement les plombs ! J'étais gonflé d'adrénaline, plusieurs fois il a fallu que je sorte courir comme un taré pour me décharger, j'avais envie de gueuler dans la rue, je ne pouvais pas rester en place, il fallait constamment que je bouge, que je parte, loin, et une fois arrivé il fallait que je reparte, une fois j'ai été embrouiller des mecs en soirée pour en venir aux mains (ce qui ne me ressemble pas, heureusement un des gars m'a posé une question à laquelle je n'ai pas su répondre : « Pourquoi tu nous cherches ? » ce qui m'a calmé), une autre fois j'ai roulé à 200 km/h dans le brouillard, j'ai aussi pris plusieurs substances plus ou moins illicites, et bien entendu je me suis posé des millions de questions sur elle, sur notre relation, sur moi, sur la vie... Tout me semblait irréel, autant dans ce que je vivais que dans les événements et rebondissements extérieurs ou non qui venaient ponctuer cette rupture, et sur lesquels je ne m'étendrai pas.
J'avais cherché 2-3 tucs sur le forum à propos de rupture, mais malheureusement je n'ai rien trouvé de probant. En ce qui concerne mes proches, d'une part, presque personne n'avait vécu de relation longue comme la mienne, et il était évident qu'ils ne comprenaient pas vraiment ce que je vivais (par exemple quand j'ai essayé de développer certains trucs avec mon meilleur ami, il me rétorquait « Mais t'as quel âge ? ») et d'autre part, j'avais affiché tant d'indépendance et de détachement vis-à-vis d'Aurélie qu'ils se foutaient de ma gueule lorsque je leur disais que c'était terminé avec elle. Seules mes deux soeurs n'ont jamais remis en question ma rupture, et semblaient vraiment s'inquiéter pour moi. Être enfin pris au sérieux m'a fait du bien ponctuellement, malheureusement le hasard du calendrier a fait qu'elles partaient durant un voyage de plusieurs mois sur un autre continent, donc je me suis quand même retrouvé/senti seul.
En ce qui concernait Aurélie — car bien entendu je l'ai recontactée — elle se tuait à la tâche dans ses études et dans le million d'activités auquel elle se consacrait. Elle n'avait pas encore percuté, me confiait-elle, et elle se laissait simplement aller par le flot continu de tâches à effectuer, de responsabilités, de travaux à rendre, de sorties organisées par ses amies, etc. tout en appréciant le fait qu'elle avait l'impression de se sentir libre en fait. Très égoïstement (mais sans que ce soit volontaire bien sûr), savoir qu'elle allait plutôt bien ne faisait qu'empirer les choses pour moi.
Enfin bref. J'en parle parce que je me rends compte que j'ai voulu brûler des étapes en faisant mon deuil un peu trop vite, et en essayant de paraître (encore) aller bien, à peine quelques jours après. J'ai essayé, artificiellement, de me concentrer sur autre chose, que ce soit de nouvelles activités, du sport, sortir avec des potes, essayer misérablement de draguer d'autres nanas et de me dire « allez ça va me faire du bien de penser à d'autres filles », etc. mais la réalité me rattrapait constamment, et si violemment qu'aujourd'hui, je dois me rendre à l'évidence, je ne peux pas parler de changement profond sans prendre en compte cette fracture brutale dans ma vie.
Pour la petite histoire, notre relation pouvait paraître chaotique de l'extérieur, mais de l'intérieur, elle était fusionnelle, tendre et basée sur une confiance et une amitié incontestable. Et si notre rupture était devenue l'évolution logique de notre relation, inévitable, nous revoir, en discuter [et FC] n'était pas étrange pour autant. Tout au long de ces deux mois, nous avons évolué dans ce contexte (le sentiment de regret a pris le pas sur son sentiment de liberté), et si plusieurs fois nous avons été tentés de vivre notre rupture en restant amis, j'ai remarqué que ça ne pourrait jamais fonctionner pour moi, c'est pourquoi j'ai voulu couper les ponts, définitivement. La première fois, j'ai ressenti un vide terrible directement après l'avoir laissée, puis j'ai vécu une journée horrible, du même ordre que les premiers jours qui ont suivi la rupture. J'ai été soulagé lorsque le lendemain, elle a craqué en m'envoyant un message dans lequel elle me disait qu'elle ne savait pas si elle y arriverait. Nous nous sommes alors revus, nous avons à nouveau discuté, mis les choses à plat. Puis à nouveau, j'ai pris conscience que véritablement, il n'y avait vraiment que cette solution pour qu'on puisse avancer l'un et l'autre, alors à nouveau, j'ai coupé les ponts, à nouveau définitivement (sic). C'était avant-hier.
Depuis, je suis vraiment très surpris de constater que je vais plutôt bien. Moi qui m'attendais à affronter un vide intersidéral, des envies de se jeter d'un pont et autres joyeusetés, j'ai l'impression de vivre très normalement, et je ne me sens pas mal. Le sentiment que j'ai, c'est que c'est comme si on avait tellement discuté que j'avais enfin pu lui dire tout ce que j'avais sur le coeur, et qu'enfin cette rupture était consommée (pour moi). Je fais bien sûr attention de ne pas trop trop penser au passé, mais je me sens enfin confiant. Je ne saurais pas dire si c'est une bonne chose, car ma douleur était malgré tout un puissant moteur de changement, au niveau des filles, au niveau professionnel, au niveau de mon investissement dans diverses activités. Je ne saurais pas non plus dire si ça va durer, puisque je me sens comme lorsqu'on se recontactait (on savait qu'on ne se remettait pas ensemble, mais on ne se privait pas l'un de l'autre), à la différence que cette fois, elle n'est plus dans ma vie. J'ai un peu peur que ce soit du déni sans que je ne m'en rende compte. Bref, je vais quand même en profiter pour passer à autre chose et pour me concentrer sur la raison de ma présence sur ce forum.
Désolé de m'être épanché ainsi, mais comme je l'ai dit, je suis persuadé qu'il s'agit d'une partie de ma vie que je ne peux négliger dans un contexte de développement personnel, et c'est pourquoi il était nécessaire que je pose par écrit tout ça.
Le jeu de l'orphelin
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [0] Ca va mieux en le disant le 19.12.14, 09h31 par Snow
Il y a deux semaines, j'ai croisé Marie par hasard, la SHB de qui j'étais en OI il y a bientôt 10 ans (c.f. mon tout premier post).
On s'était déjà croisés ici ou là, à chaque fois mon coeur battait la chamade et j'essayais péniblement de cacher que je tremblais comme une feuille, dans un mélange d'excitation et de peur, non pas parce que j'étais toujours en OI, mais parce que voilà (j'imagine que je ne suis pas le seul à qui ça fait ça quand il recroise un ex-OI). Mais cette fois-ci, pour la première fois, ça ne me l'a pas fait. J'ai été dans un état parfaitement normal du début à la fin, comme si mon corps avait oublié qui elle était.
Cette fille est vraiment incroyablement belle, c'est impressionnant. Je n'ai jamais vu plus belle fille en vrai, sauf quelques mannequins aperçus de loin une fois ou l'autre. Lorsqu'on a commencé à discuter, elle m'a dit : « Désolée d'être un peu hors de la réalité, c'est parce que j'avais des écouteurs avant. Des fois je mets des écouteurs pour que ça fasse une espèce de barrière avec le monde, comme ça les gens nous parlent moins facilement, on est plus tranquille, tu vois ? »
Je lui ai répondu « Oui je vois » mais dans ma tête je me disais « Hein ?? De quoi elle parle ?? » Puis je la voyais tout à fait me répondre genre « Bah oui, tu sais, les gens, ils viennent tout le temps nous parler ! » Ca m'a bien fait rire, elle vit vraiment dans un autre monde. Aurélie, mon ex, se faisait aborder quelques fois par mois, mais rien d'exceptionnel, Marie c'était autre chose. Moi qui avais lu ici que les très jolies filles se font rarement aborder, ça m'a légèrement déçu. Bon c'est certainement vrai dans la rue, mais partout ailleurs, lorsqu'elle attend à la caisse d'un supermarché, lorsqu'elle est debout dans le bus, lorsqu'elle s'arrête à un stand dans un marché de noël, c'est évident que tout le monde essaie de lui taper la convers en fait.
Alors que je lui parlais de mes projets, elle me regardait avec des yeux brillants (elle a toujours été comme ça, je ne le considère pas comme un IOI). Pendant que je lui parlais, j'ai eu un nombre d'EC impressionnant d'autres filles, avec parfois certaines qui arrivaient derrière moi et qui se retournaient carrément pour me voir quand elle passaient à côté. :-D
On a parlé une petite dizaine de minutes, puis j'ai dû partir car j'avais un rdv (et c'était vrai en plus \o/).
Toutes les précédentes fois où on s'était croisés, elle voulait garder contact, ce que j'ai toujours refusé, explicitement ou pas. Cette fois-ci, sentant souffler sur moi le vent du changement, j'ai décidé de prendre son numéro et de lui envoyer un message devant elle pour qu'elle ait le mien, histoire que ce soit bien clair qu'on allait se revoir, puis je suis parti. Elle m'a répondu le soir pour me dire qu'effectivement elle n'avait pas mon numéro. (Je n'ai rien répondu.)
Le lendemain, j'ai beaucoup pensé à elle. Je me suis dit qu'il fallait que je fasse très attention lorsqu'on se reverrait, pas que je retombe en OI. Mais ce n'est pas une véritable crainte, je sais très bien que si ça m'arrive je saurai me détacher sans problème.
______________________
Le surlendemain, j'ai été appelé pour continuer un travail dans une fac. Jusqu'à présent, pour ce travail, j'avais été en contact avec un gars, mais ce jour-là, il n'était pas disponible, j'ai donc fignolé tout ça avec sa collègue, qui avait suivi notre avancement de loin, Chloé, début vingtaine, blonde, HB7.
Après avoir terminé mon boulot, j'ai commencé à discuter avec elle. Je ne sais pas pourquoi, mais j'ai abordé le sujet de ma rupture récente pour m'excuser de la qualité en baisse de mon travail (ce que je n'aurais pas vraiment dû faire parce qu'un mec qui parle de ses malheurs n'est pas attirant, mais bon je n'avais aucune attente, j'avais juste envie de lui "confier" ça, je ne sais pas pourquoi). À ma grande surprise, Chloé a rebondi en me disant qu'elle aussi avait vécu une rupture après une longue relation, il y a une année de cela. Je ne m'attendais pas à ce qu'elle me réponde quelque chose d'aussi "intime", je me suis donc permis de parler de choses et d'autres qui n'avaient rien à faire dans la relation professionnelle que l'on a toujours eue jusqu'ici. Après avoir constaté que j'avais loupé mon train, et alors que je la relançais sur un nouveau sujet, elle m'a proposé d'aller boire un verre.
Au cours de notre discussion d'environ 1h, elle m'a parlé d'elle, moi de moi, et nous avons aussi parlé de diverses choses plus légères bien sûr. Bien que je remarque maintenant qu'elle ne m'a jamais parlé de sa vie pratique (contrairement à moi qui lui parlais de mes projets par exemple), mais seulement d'elle, de comment elle était, de comment elle voyait ou prenait les choses, il me semble avoir établi une connexion avec elle.
Je lui ai proposé qu'on aille faire un tennis le dimanche qui suivait, et elle m'a répondu qu'elle était partante ! J'ai donc enregistré son numéro.
En partant, j'ai essayé de la qualifier, mais je n'ai pas réussi. Et sinon durant la discussion, à part lorsqu'on abordait vaguement le sujet de mon ex (mais on n'en a pas parlé), je n'ai pas été sexué. Bref, je ne sais pas si je suis parti du bon pied.
J'ai remarqué quelque chose d'intéressant depuis ma discussion avec Chloé : j'ai arrêté de penser à Marie (l'ex-OI) ; plus encore, en y réfléchissant bien, j'avais le sentiment que cette dernière ne m'intéressait plus, comme si j'en avais fait le tour. Au contraire de Chloé qui m'intéresse vraiment, et que j'ai vraiment envie de découvrir.
J'ai été content de remarquer ça. D'une part, ça m'a prouvé empiriquement que diversifier ses contacts féminins est effectivement efficace pour ne pas se projeter et avoir d'attente sur une seule fille. D'autre part, juste après avoir revu Marie, quand bien même elle m'intéresse beaucoup, je m'étais senti légèrement blasé sans m'en rendre compte, probablement parce qu'au fond, elle n'éveillait pas un véritable intérêt authentique en moi, mais qu'inconsciemment je me disais « bon eh bien voilà, ça, c'est le top du top », et cette impression de ne pas être sincèrement enjoué, cette impression d'avoir fait le tour me déprimait légèrement. Bien sûr, je ne m'en étais pas rendu compte avant de découvrir Chloé, sa voix si suave, ses mystères et sa manière de penser ; amusant d'ailleurs que Marie soit 10x plus belle que Chloé, alors que Chloé m'intéresse 10x plus.
Attention, je sais qu'il s'agit de fondamentaux, et que j'aurais été bête de faire un lien direct entre l'intérêt que je porte à une fille et son physique. Oui, bien sûr que je savais déjà tout ce que je "viens de remarquer", mais Chloé est la première fille depuis Aurélie, mon ex, qui m'intéresse réellement, et il y a un gouffre entre l'expérimenter et le savoir théoriquement ! C'est une étape importante dans mon évolution, et je me dois (surtout pour moi-même) de l'exprimer. Je sais aussi qu'à la façon dont je parle de Chloé, on ne dirait pas que j'ai vraiment compris le « n'avoir d'attente de personne », mais la conclusion que je tire de cette constatation n'est pas que j'ai trouvé la femme de ma vie, au contraire, c'est qu'il faut que je garde en tête que le monde est vaste, et peu importe si ça fonctionne avec Chloé ou pas, j'ai encore beaucoup à découvrir. Et ça, ça me réjouit !
Bref, je continue. Le dimanche suivant, je n'ai pas contacté Chloé.
Lundi, son collègue a essayé de m'appeler, puis elle à son tour, elle m'a envoyé un message pour me demander des nouvelles sur l'avancement de mon travail (c'était donc très formel). J'ai répondu le mardi vers midi à son collègue, tout était en ordre.
Toujours mardi, vers 16h, j'ai décidé d'essayer de dater Chloé pour jeudi (2 jours plus tard donc). Je me suis dit que j'allais lui envoyer un message pour qu'elle ait mon numéro et que j'apparaisse dans sa liste de contacts, puis que je lui téléphonerais ensuite.
J'ai donc commencé par lui envoyer un message (avec une ancre) pour lui dire que j'étais désolé de ne pas l'avoir contactée dimanche, mais que finalement je n'avais pas pu me rendre disponible. Elle a répondu à mon ancre, puis m'a répondu que ce n'était pas grave pour dimanche, car elle entrait en période d'examens et donc n'avait plus beaucoup de temps. Puis là, toujours dans l'optique de la dater le jeudi, j'ai pris mon courage à deux mains, et j'ai décidé de l'appeler, parce qu'il vaut mieux appeler qu'envoyer des messages (ce n'est pas que je n'ai pas de recul sur ce que je lis sur le forum, mais c'est qu'à ce moment-là, je m'accrochais à ce que j'avais prédéfini). Et là, catastrophe. J'étais plutôt nerveux au téléphone, ça s'entendait forcément. Mais le pire c'est ce que j'ai dit :
Moi : Ah, alors t'es en période d'examens ces temps ? Dommage parce que j'aurais bien voulu t'inviter jeudi à faire un tennis ou n'importe quoi d'autre. (!!!)
Elle : Oui ben oui, désolée, non ce n'est pas possible car effectivement je suis en période d'examens.
Moi : Ah dommage, OK, pas de souci.
Elle : Mais volontiers une prochaine fois, après les exas.
Moi : OK ça marche. Ben écoute, on se redit.
Elle : OK d'accord. Merci d'avoir appelé.
Moi : Ben merci à toi. À bientôt.
Suite à cet échec cuisant, que j'avais bien cherché, je me suis dit que c'était mort, en me disant que si elle avait été intéressée, elle aurait dit oui. Puis j'en ai parlé un ami, il m'a dit que je ne sais pas ce que c'est que d'être en période d'examens, qu'on ne pense à rien d'autre, son refus ne voulait donc rien dire. Puis en y repensant, il est vrai qu'on a parlé qu'une heure, elle n'allait pas me donner la priorité sur ses études ; et surtout, elle n'allait pas me dire oui juste après qu'elle m'ait écrit qu'elle n'avait pas le temps. Bref, je mets ça en stand-by, on verra en janvier si on se contacte.
Notez tout de même que c'est la première fois de ma vie que je phone game (bon ça se voit je pense haha) dans le but de dater. C'est la première fois que je me lance réellement dans la sarge traditionnelle telle "qu'enseignée" sur le site, et si j'ai évidemment l'impression que les contours m'échappent encore, je suis content de m'être jeté à l'eau.
______________________
Il y a quelques jours, Marie, mon ex-OI, m'a écrit un message (2 semaines après notre rencontre) en me disant qu'elle était en ville, qu'elle avait un peu de temps pour qu'on se boive un truc. Je note que c'est elle qui m'a relancé, c'est donc un bon point. Je lui ai répondu que je ne pouvais pas (ce qui était vrai, même si j'aurais pu me libérer), et qu'on remettait à janvier. En stand-by.
______________________
Avant-hier, je marchais dans la rue, puis au loin je crois voir une ancienne connaissance. Habituellement, j'aurais vaguement regardé, puis j'aurais fait semblant de ne pas la voir. Pas cette fois. Je crie alors « Nadia ! » Elle se retourne, c'était elle.
Nadia, HB6, châtain, si on regarde bien elle n'est pas vraiment belle, mais il se dégage un tel charme d'elle qu'à l'époque où je l'ai rencontrée, tous les mecs de notre groupe voulaient se la faire (pour le dire avec légereté).
On fluffe, plaisir de se revoir, ce qu'on devient etc. Elle doit apporter un truc à un membre de sa famille pour noël, puis elle doit prendre le train. Je me propose de l'accompagner car ce n'était pas loin, et moi aussi je dois aller à la gare après. On flufffe de tout et rien mais je manque cruellement d'énergie.
Malgré tout, elle me dit qu'elle fait un stage dans une ville pas loin de ma nouvelle ville, et qu'elle viendra me voir. On s'échange nos numéros et nos adresses.
______________________
Voilà, et sinon je suis pas mal sorti ces derniers temps mais je vais faire un nouveau post.
On s'était déjà croisés ici ou là, à chaque fois mon coeur battait la chamade et j'essayais péniblement de cacher que je tremblais comme une feuille, dans un mélange d'excitation et de peur, non pas parce que j'étais toujours en OI, mais parce que voilà (j'imagine que je ne suis pas le seul à qui ça fait ça quand il recroise un ex-OI). Mais cette fois-ci, pour la première fois, ça ne me l'a pas fait. J'ai été dans un état parfaitement normal du début à la fin, comme si mon corps avait oublié qui elle était.
Cette fille est vraiment incroyablement belle, c'est impressionnant. Je n'ai jamais vu plus belle fille en vrai, sauf quelques mannequins aperçus de loin une fois ou l'autre. Lorsqu'on a commencé à discuter, elle m'a dit : « Désolée d'être un peu hors de la réalité, c'est parce que j'avais des écouteurs avant. Des fois je mets des écouteurs pour que ça fasse une espèce de barrière avec le monde, comme ça les gens nous parlent moins facilement, on est plus tranquille, tu vois ? »
Je lui ai répondu « Oui je vois » mais dans ma tête je me disais « Hein ?? De quoi elle parle ?? » Puis je la voyais tout à fait me répondre genre « Bah oui, tu sais, les gens, ils viennent tout le temps nous parler ! » Ca m'a bien fait rire, elle vit vraiment dans un autre monde. Aurélie, mon ex, se faisait aborder quelques fois par mois, mais rien d'exceptionnel, Marie c'était autre chose. Moi qui avais lu ici que les très jolies filles se font rarement aborder, ça m'a légèrement déçu. Bon c'est certainement vrai dans la rue, mais partout ailleurs, lorsqu'elle attend à la caisse d'un supermarché, lorsqu'elle est debout dans le bus, lorsqu'elle s'arrête à un stand dans un marché de noël, c'est évident que tout le monde essaie de lui taper la convers en fait.
Alors que je lui parlais de mes projets, elle me regardait avec des yeux brillants (elle a toujours été comme ça, je ne le considère pas comme un IOI). Pendant que je lui parlais, j'ai eu un nombre d'EC impressionnant d'autres filles, avec parfois certaines qui arrivaient derrière moi et qui se retournaient carrément pour me voir quand elle passaient à côté. :-D
On a parlé une petite dizaine de minutes, puis j'ai dû partir car j'avais un rdv (et c'était vrai en plus \o/).
Toutes les précédentes fois où on s'était croisés, elle voulait garder contact, ce que j'ai toujours refusé, explicitement ou pas. Cette fois-ci, sentant souffler sur moi le vent du changement, j'ai décidé de prendre son numéro et de lui envoyer un message devant elle pour qu'elle ait le mien, histoire que ce soit bien clair qu'on allait se revoir, puis je suis parti. Elle m'a répondu le soir pour me dire qu'effectivement elle n'avait pas mon numéro. (Je n'ai rien répondu.)
Le lendemain, j'ai beaucoup pensé à elle. Je me suis dit qu'il fallait que je fasse très attention lorsqu'on se reverrait, pas que je retombe en OI. Mais ce n'est pas une véritable crainte, je sais très bien que si ça m'arrive je saurai me détacher sans problème.
______________________
Le surlendemain, j'ai été appelé pour continuer un travail dans une fac. Jusqu'à présent, pour ce travail, j'avais été en contact avec un gars, mais ce jour-là, il n'était pas disponible, j'ai donc fignolé tout ça avec sa collègue, qui avait suivi notre avancement de loin, Chloé, début vingtaine, blonde, HB7.
Après avoir terminé mon boulot, j'ai commencé à discuter avec elle. Je ne sais pas pourquoi, mais j'ai abordé le sujet de ma rupture récente pour m'excuser de la qualité en baisse de mon travail (ce que je n'aurais pas vraiment dû faire parce qu'un mec qui parle de ses malheurs n'est pas attirant, mais bon je n'avais aucune attente, j'avais juste envie de lui "confier" ça, je ne sais pas pourquoi). À ma grande surprise, Chloé a rebondi en me disant qu'elle aussi avait vécu une rupture après une longue relation, il y a une année de cela. Je ne m'attendais pas à ce qu'elle me réponde quelque chose d'aussi "intime", je me suis donc permis de parler de choses et d'autres qui n'avaient rien à faire dans la relation professionnelle que l'on a toujours eue jusqu'ici. Après avoir constaté que j'avais loupé mon train, et alors que je la relançais sur un nouveau sujet, elle m'a proposé d'aller boire un verre.
Au cours de notre discussion d'environ 1h, elle m'a parlé d'elle, moi de moi, et nous avons aussi parlé de diverses choses plus légères bien sûr. Bien que je remarque maintenant qu'elle ne m'a jamais parlé de sa vie pratique (contrairement à moi qui lui parlais de mes projets par exemple), mais seulement d'elle, de comment elle était, de comment elle voyait ou prenait les choses, il me semble avoir établi une connexion avec elle.
Je lui ai proposé qu'on aille faire un tennis le dimanche qui suivait, et elle m'a répondu qu'elle était partante ! J'ai donc enregistré son numéro.
En partant, j'ai essayé de la qualifier, mais je n'ai pas réussi. Et sinon durant la discussion, à part lorsqu'on abordait vaguement le sujet de mon ex (mais on n'en a pas parlé), je n'ai pas été sexué. Bref, je ne sais pas si je suis parti du bon pied.
J'ai remarqué quelque chose d'intéressant depuis ma discussion avec Chloé : j'ai arrêté de penser à Marie (l'ex-OI) ; plus encore, en y réfléchissant bien, j'avais le sentiment que cette dernière ne m'intéressait plus, comme si j'en avais fait le tour. Au contraire de Chloé qui m'intéresse vraiment, et que j'ai vraiment envie de découvrir.
J'ai été content de remarquer ça. D'une part, ça m'a prouvé empiriquement que diversifier ses contacts féminins est effectivement efficace pour ne pas se projeter et avoir d'attente sur une seule fille. D'autre part, juste après avoir revu Marie, quand bien même elle m'intéresse beaucoup, je m'étais senti légèrement blasé sans m'en rendre compte, probablement parce qu'au fond, elle n'éveillait pas un véritable intérêt authentique en moi, mais qu'inconsciemment je me disais « bon eh bien voilà, ça, c'est le top du top », et cette impression de ne pas être sincèrement enjoué, cette impression d'avoir fait le tour me déprimait légèrement. Bien sûr, je ne m'en étais pas rendu compte avant de découvrir Chloé, sa voix si suave, ses mystères et sa manière de penser ; amusant d'ailleurs que Marie soit 10x plus belle que Chloé, alors que Chloé m'intéresse 10x plus.
Attention, je sais qu'il s'agit de fondamentaux, et que j'aurais été bête de faire un lien direct entre l'intérêt que je porte à une fille et son physique. Oui, bien sûr que je savais déjà tout ce que je "viens de remarquer", mais Chloé est la première fille depuis Aurélie, mon ex, qui m'intéresse réellement, et il y a un gouffre entre l'expérimenter et le savoir théoriquement ! C'est une étape importante dans mon évolution, et je me dois (surtout pour moi-même) de l'exprimer. Je sais aussi qu'à la façon dont je parle de Chloé, on ne dirait pas que j'ai vraiment compris le « n'avoir d'attente de personne », mais la conclusion que je tire de cette constatation n'est pas que j'ai trouvé la femme de ma vie, au contraire, c'est qu'il faut que je garde en tête que le monde est vaste, et peu importe si ça fonctionne avec Chloé ou pas, j'ai encore beaucoup à découvrir. Et ça, ça me réjouit !
Bref, je continue. Le dimanche suivant, je n'ai pas contacté Chloé.
Lundi, son collègue a essayé de m'appeler, puis elle à son tour, elle m'a envoyé un message pour me demander des nouvelles sur l'avancement de mon travail (c'était donc très formel). J'ai répondu le mardi vers midi à son collègue, tout était en ordre.
Toujours mardi, vers 16h, j'ai décidé d'essayer de dater Chloé pour jeudi (2 jours plus tard donc). Je me suis dit que j'allais lui envoyer un message pour qu'elle ait mon numéro et que j'apparaisse dans sa liste de contacts, puis que je lui téléphonerais ensuite.
J'ai donc commencé par lui envoyer un message (avec une ancre) pour lui dire que j'étais désolé de ne pas l'avoir contactée dimanche, mais que finalement je n'avais pas pu me rendre disponible. Elle a répondu à mon ancre, puis m'a répondu que ce n'était pas grave pour dimanche, car elle entrait en période d'examens et donc n'avait plus beaucoup de temps. Puis là, toujours dans l'optique de la dater le jeudi, j'ai pris mon courage à deux mains, et j'ai décidé de l'appeler, parce qu'il vaut mieux appeler qu'envoyer des messages (ce n'est pas que je n'ai pas de recul sur ce que je lis sur le forum, mais c'est qu'à ce moment-là, je m'accrochais à ce que j'avais prédéfini). Et là, catastrophe. J'étais plutôt nerveux au téléphone, ça s'entendait forcément. Mais le pire c'est ce que j'ai dit :
Moi : Ah, alors t'es en période d'examens ces temps ? Dommage parce que j'aurais bien voulu t'inviter jeudi à faire un tennis ou n'importe quoi d'autre. (!!!)
Elle : Oui ben oui, désolée, non ce n'est pas possible car effectivement je suis en période d'examens.
Moi : Ah dommage, OK, pas de souci.
Elle : Mais volontiers une prochaine fois, après les exas.
Moi : OK ça marche. Ben écoute, on se redit.
Elle : OK d'accord. Merci d'avoir appelé.
Moi : Ben merci à toi. À bientôt.
Suite à cet échec cuisant, que j'avais bien cherché, je me suis dit que c'était mort, en me disant que si elle avait été intéressée, elle aurait dit oui. Puis j'en ai parlé un ami, il m'a dit que je ne sais pas ce que c'est que d'être en période d'examens, qu'on ne pense à rien d'autre, son refus ne voulait donc rien dire. Puis en y repensant, il est vrai qu'on a parlé qu'une heure, elle n'allait pas me donner la priorité sur ses études ; et surtout, elle n'allait pas me dire oui juste après qu'elle m'ait écrit qu'elle n'avait pas le temps. Bref, je mets ça en stand-by, on verra en janvier si on se contacte.
Notez tout de même que c'est la première fois de ma vie que je phone game (bon ça se voit je pense haha) dans le but de dater. C'est la première fois que je me lance réellement dans la sarge traditionnelle telle "qu'enseignée" sur le site, et si j'ai évidemment l'impression que les contours m'échappent encore, je suis content de m'être jeté à l'eau.
______________________
Il y a quelques jours, Marie, mon ex-OI, m'a écrit un message (2 semaines après notre rencontre) en me disant qu'elle était en ville, qu'elle avait un peu de temps pour qu'on se boive un truc. Je note que c'est elle qui m'a relancé, c'est donc un bon point. Je lui ai répondu que je ne pouvais pas (ce qui était vrai, même si j'aurais pu me libérer), et qu'on remettait à janvier. En stand-by.
______________________
Avant-hier, je marchais dans la rue, puis au loin je crois voir une ancienne connaissance. Habituellement, j'aurais vaguement regardé, puis j'aurais fait semblant de ne pas la voir. Pas cette fois. Je crie alors « Nadia ! » Elle se retourne, c'était elle.
Nadia, HB6, châtain, si on regarde bien elle n'est pas vraiment belle, mais il se dégage un tel charme d'elle qu'à l'époque où je l'ai rencontrée, tous les mecs de notre groupe voulaient se la faire (pour le dire avec légereté).
On fluffe, plaisir de se revoir, ce qu'on devient etc. Elle doit apporter un truc à un membre de sa famille pour noël, puis elle doit prendre le train. Je me propose de l'accompagner car ce n'était pas loin, et moi aussi je dois aller à la gare après. On flufffe de tout et rien mais je manque cruellement d'énergie.
Malgré tout, elle me dit qu'elle fait un stage dans une ville pas loin de ma nouvelle ville, et qu'elle viendra me voir. On s'échange nos numéros et nos adresses.
______________________
Voilà, et sinon je suis pas mal sorti ces derniers temps mais je vais faire un nouveau post.
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [0] Sympa :) le 27.12.14, 17h22 par Snow
- [0] Cool le 28.12.14, 13h00 par Matadsex
Ces deux derniers mois, je suis plus sorti que ces deux dernières années.
Je n'étais pas vraiment du genre à sortir, probablement parce que j'étais bien dans ma zone de confort, et parce que je ne m'amusais pas franchement en soirée en général. Mais ces derniers temps, pour me changer les idées et pour appliquer les conseils de la sagesse populaire qui dit « pour devenir plus sociable, pas de miracle, il faut sortir », j'ai accepté toutes les propositions de sortie (émanant pour l'écrasante majorité de Damien, mon meilleur ami).
Au début je me suis franchement fait chier, au point que j'ai failli ne pas réitérer l'expérience. C'est triste à dire, mais quand je sors avec Damien, je ne m'amuse pas. Enfin, avec lui, ça va, je m'amuse un peu, mais le cadre n'y est pour rien, j'ai donc cette sensation un peu glauque, lorsque nous partageons ce que nous partagerions normalement ailleurs, que c'est comme si nous essayions de nous donner une contenance à nous rencontrer dans un bar bondé, un vendredi soir, au lieu de nous voir normalement. Je ne sais pas si vous voyez.
Si on rejoignait ses potes, malheureusement ça ne s'arrangeait pas car je n'ai pas forcément beaucoup d'affinités ni avec eux, ni avec leurs sujets de discussion.
Malgré tout, j'ai persisté, et j'ai essayé de me faire des petites rétrospectives des moments où je m'amusais VS les moments où je me demandais ce que je foutais là. J'ai remarqué, sans surprise, que c'est une question d'énergie. Concrètement, les moments où je suis motivé, je m'amuse bien, tandis que si je sens une baisse d'énergie, je suis inactif, amorphe, je n'ai pas envie de bouger, et c'est un cercle vicieux.
Je me suis alors posé la question de savoir ce qui influençait ce mojo, et j'en ai déduit deux axes principaux que sont :
* les filles
* être le centre d'intérêt
S'il y a un certain nombre de jolies filles dans les parages (ou éventuellement une cible), et a fortriori si la soirée s'articule autour de la séduction, même s'il ne se passe rien, j'ai plus de chances de passer une bonne soirée. Mais pour cela, il faut qu'il y ait un certain de nombre de filles pour que le potentiel soit palpable, il faut également qu'il y ait la possibilité de mélange des groupes (donc plutôt dans un festival, en boîte, ou en soirée privée, moins dans un bar car les groupes se mélangent moins, bien que ça dépende du bar). Pour que la soirée s'articule autour de la séduction, il faut traîner avec des gens qui sont portés sur les filles, qui ne sont pas pantouflards, et qui ne nous remettent pas en place si on aborde le sujet pour la troisième fois de la soirée (mais la soirée n'a pas besoin de s'articuler autour de la séduction, c'est juste plus amusant si c'est le cas). Bref, beaucoup de paramètres ne dépendent pas de moi.
En ce qui concerne "être le centre d'intérêt", c'est selon moi l'axe principal autour duquel il faut se concentrer. L'important dans cette notion "d'être le centre d'intérêt", ce n'est pas juste d'avoir son moment de gloire parce qu'on chante un karaoké devant tout le monde, ou parce que le "leader" du groupe dans lequel on se trouve nous parle et que tout le monde nous écoute. C'est "être le centre d'intérêt" parce qu'on parle, parce qu'on a quelque chose à apporter, parce que précisément on est le "leader" du groupe dans lequel on se trouve, même si c'est provisoire, même si on n'est pas l'alpha suprême de la soirée au milieu des dizaines de personnes qui sont présentes, même si le groupe ne se mélange pas aux autres, même si le groupe n'est constitué que de deux personnes ; ce qui compte, c'est de parler, d'avoir quelque chose [d'intéressant] à dire, ce qui a pour conséquence que les gens nous écoutent à ce moment-là.
Je lis souvent ici ou là qu'un alpha n'a pas besoin de parler pour être alpha, eh bien j'ai envie de dire qu'il faut arrêter avec ces conneries. C'est peut-être vrai (bien que je n'ai jamais vu le cas, et je n'arrive pas à l'imaginer, mais peu importe), mais pour quelqu'un comme moi qui débute, je m'en bats les couilles de ce conseil de merde qui est ressassé dans tous les posts qui portent sur la conversation et/ou la timidité, qu'est-ce que ça m'apporte franchement. (C'est dit sans méchanceté.)
Pour en revenir à l'énergie, concrètement, en soirée, j'ai remarqué qu'à certains moments où je me faisais bien chier dans un groupe qui parle à peine à un moment T, on me posait une question, je répondais, puis je développais ensuite ma réponse puisque de toute façon personne n'avait rien de mieux à dire, et j'étais étonné de voir mon état d'esprit et ma motivation augmenter, j'étais étonné de remarquer que tout à coup, je m'amusais. Pourquoi ? Parce que je parlais. Incroyable non ? Et peu importe si ce que je disais était intéressant ou non (d'ailleurs, à la limite, ce n'est pas mon problème :-P), le fait que les gens m'écoutent parler augmentait mon mojo.
J'ai trouvé sur le forum un article qui exprime parfaitement cette constatation. (C'est excellent d'ailleurs, car c'est la première fois que je lis autre chose que « un alpha n'a pas besoin de parler pour être alpha » malgré mes années de présence fantôme.)
Pourtant, il m'arrive parfois, naturellement, d'atteindre un état où je donne beaucoup de valeur. Je m'amuse naturellement, je suis motivé, et j'ai remarqué que dans un tel état, côtoyer une personne qui n'a pas beaucoup de valeur ne me dérange pas, ma simple présence me suffit à donner une contenance à notre interaction (d'ailleurs, lorsque ça arrive, il n'est pas question de contenance, mais simplement d'énergie). Je discuterai avec cette personne en m'amusant, on pourra même se marrer et avoir une discussion intéressante.
Avoir de la valeur à donner, plutôt que d'en voler ! C'est exactement ça. C'est un élément-clé, non seulement pour pouvoir s'amuser en soirée, mais dans la séduction en général. En fait, j'irais même jusqu'à dire que tout est là, c'est le précepte le plus important qui soit, voilà LE but. Selon moi, c'est beaucoup plus clair que « il faut avoir une attitude playful », « il faut rester dans sa frame », « il faut être alpha », « le secret de la séduction, c'est de s'amuser », « pour être séduisant, il faut avoir une personnalité séduisante », « il faut être quelqu'un de sociable et de cool », etc.
Je disais tout à l'heure que le simple fait de parler augmentait mon mojo, et qu'à la limite, peu importe ce que je dis. Bien entendu, ce n'est pas aussi simple. L'enthousiasme qui découle de ce mécanisme est lié à l'impression que l'on a d'intéresser les gens. C'est quand je développais que je m'amusais, mais si on me pose une question et que je réponds factuellement, ça ne marche pas, et si je parle mais que les gens se foutent ostensiblement de ce que je dis, l'effet produit sera même l'inverse.
J'en viens donc à la suite du raisonnement : offrir de la valeur, mais quoi ?
Cet été, j'étais à un festival, et une fille m'aborde. Elle me demande comment je m'appelle, je réponds et lui retourne la question, elle me demande ce que je fais dans la vie, puis me pose quelques questions en rapport. Tandis que je parlais, je sentais son intérêt se fâner, et je me rendais compte que même pour moi, ce que je racontais ne m'intéressait pas. Dire ce que je fais dans la vie n'apporte rien à personne. On ne va pas en soirée pour savoir ce que les gens font dans la vie, on y va pour faire des rencontres, pour découvrir de nouvelles personnes, s'amuser, se confronter à des personnalités.
Celui qui a la personnalité la plus incroyable que je connaisse est un ancien collègue de travail. Ce mec est le plus drôle qu'il m'ait été donné de rencontrer. Il a une grande expérience de vie, et une vaste culture, mais surtout une créativité extraordinaire, de l'ordre du génie. Tout ce qui nous arrivait, tout ce qu'on voyait, il se l'appropriait, pouvait le tourner en dérision, pouvait raconter une histoire en rapport, ou simplement émettre une réflexion (profonde et intéressante en plus), qui bien sûr était enrobée d'un humour incroyablement subtil. (D'ailleurs, je ne sais pas pourquoi il n'est pas "célèbre", pourquoi il n'est pas comédien, activiste, écrivain ou je ne sais quel métier artistique, mais je pense que ça va venir, il a mon âge.) Il n'avait pas une forte personnalité, pas vraiment d'autorité, un BL pauvre, et il était plutôt nul avec les filles. Il ne s'est jamais imposé, mais sa personnalité s'imposait naturellement tellement il était intéressant, même les vrais leaders se retrouvaient dans sa poche et cherchaient son contact.
Je prends cet exemple un peu extrême pour répondre à ma question précédente : quoi offrir ? Soi-même : une personnalité, une vision du monde, des expériences, un avis sur divers sujets. Une aventure en somme, un nouveau monde. Lorsque je discute avec les gens, voilà ce que je dois faire : les faire entrer dans mon monde. Je dois me rappeler que les gens ont envie de me découvrir, enfin plus précisément, ils ont envie de découvrir toute personne intéressante, tout ce qui va pouvoir les faire s'émerveiller, les rendre attentifs à ce qu'ils n'avaient pas vus, les faire rêver. J'ai lu quelque part « La séduction, c'est faire se sentir bien la personne qui est avec vous. »
Il faut donc que je développe ma propre réalité, que je l'entretienne, que je la rende comestible, puis que je fasse entrer les gens dans ma réalité. C'est non seulement une question d'échange, de partage, mais en plus, c'est une manière de s'épanouir dans ce qu'on est, de se construire, et par là d'augmenter son mojo ponctuellement et facilement. J'aimerais donc développer plusieurs choses en ce sens, je vais y réfléchir.
À ce stade de la lecture, vous vous dites peut-être que j'analyse beaucoup trop par rapport à mon temps passé sur le terrain, mais je suis persuadé que je pourrais sortir autant que je veux, je pourrais sortir tous les soirs de la semaine pendant des années, si je n'ai pas compris et intégré tout ce que je viens d'écrire, mon cercle social ne s'étendra pas considérablement, les gens qui s'intéresseront sincèrement à moi resteront rares, je n'évoluerai jamais vraiment, je resterai toujours un voleur de valeur.
Je n'étais pas vraiment du genre à sortir, probablement parce que j'étais bien dans ma zone de confort, et parce que je ne m'amusais pas franchement en soirée en général. Mais ces derniers temps, pour me changer les idées et pour appliquer les conseils de la sagesse populaire qui dit « pour devenir plus sociable, pas de miracle, il faut sortir », j'ai accepté toutes les propositions de sortie (émanant pour l'écrasante majorité de Damien, mon meilleur ami).
Au début je me suis franchement fait chier, au point que j'ai failli ne pas réitérer l'expérience. C'est triste à dire, mais quand je sors avec Damien, je ne m'amuse pas. Enfin, avec lui, ça va, je m'amuse un peu, mais le cadre n'y est pour rien, j'ai donc cette sensation un peu glauque, lorsque nous partageons ce que nous partagerions normalement ailleurs, que c'est comme si nous essayions de nous donner une contenance à nous rencontrer dans un bar bondé, un vendredi soir, au lieu de nous voir normalement. Je ne sais pas si vous voyez.
Si on rejoignait ses potes, malheureusement ça ne s'arrangeait pas car je n'ai pas forcément beaucoup d'affinités ni avec eux, ni avec leurs sujets de discussion.
Malgré tout, j'ai persisté, et j'ai essayé de me faire des petites rétrospectives des moments où je m'amusais VS les moments où je me demandais ce que je foutais là. J'ai remarqué, sans surprise, que c'est une question d'énergie. Concrètement, les moments où je suis motivé, je m'amuse bien, tandis que si je sens une baisse d'énergie, je suis inactif, amorphe, je n'ai pas envie de bouger, et c'est un cercle vicieux.
Je me suis alors posé la question de savoir ce qui influençait ce mojo, et j'en ai déduit deux axes principaux que sont :
* les filles
* être le centre d'intérêt
S'il y a un certain nombre de jolies filles dans les parages (ou éventuellement une cible), et a fortriori si la soirée s'articule autour de la séduction, même s'il ne se passe rien, j'ai plus de chances de passer une bonne soirée. Mais pour cela, il faut qu'il y ait un certain de nombre de filles pour que le potentiel soit palpable, il faut également qu'il y ait la possibilité de mélange des groupes (donc plutôt dans un festival, en boîte, ou en soirée privée, moins dans un bar car les groupes se mélangent moins, bien que ça dépende du bar). Pour que la soirée s'articule autour de la séduction, il faut traîner avec des gens qui sont portés sur les filles, qui ne sont pas pantouflards, et qui ne nous remettent pas en place si on aborde le sujet pour la troisième fois de la soirée (mais la soirée n'a pas besoin de s'articuler autour de la séduction, c'est juste plus amusant si c'est le cas). Bref, beaucoup de paramètres ne dépendent pas de moi.
En ce qui concerne "être le centre d'intérêt", c'est selon moi l'axe principal autour duquel il faut se concentrer. L'important dans cette notion "d'être le centre d'intérêt", ce n'est pas juste d'avoir son moment de gloire parce qu'on chante un karaoké devant tout le monde, ou parce que le "leader" du groupe dans lequel on se trouve nous parle et que tout le monde nous écoute. C'est "être le centre d'intérêt" parce qu'on parle, parce qu'on a quelque chose à apporter, parce que précisément on est le "leader" du groupe dans lequel on se trouve, même si c'est provisoire, même si on n'est pas l'alpha suprême de la soirée au milieu des dizaines de personnes qui sont présentes, même si le groupe ne se mélange pas aux autres, même si le groupe n'est constitué que de deux personnes ; ce qui compte, c'est de parler, d'avoir quelque chose [d'intéressant] à dire, ce qui a pour conséquence que les gens nous écoutent à ce moment-là.
Je lis souvent ici ou là qu'un alpha n'a pas besoin de parler pour être alpha, eh bien j'ai envie de dire qu'il faut arrêter avec ces conneries. C'est peut-être vrai (bien que je n'ai jamais vu le cas, et je n'arrive pas à l'imaginer, mais peu importe), mais pour quelqu'un comme moi qui débute, je m'en bats les couilles de ce conseil de merde qui est ressassé dans tous les posts qui portent sur la conversation et/ou la timidité, qu'est-ce que ça m'apporte franchement. (C'est dit sans méchanceté.)
Pour en revenir à l'énergie, concrètement, en soirée, j'ai remarqué qu'à certains moments où je me faisais bien chier dans un groupe qui parle à peine à un moment T, on me posait une question, je répondais, puis je développais ensuite ma réponse puisque de toute façon personne n'avait rien de mieux à dire, et j'étais étonné de voir mon état d'esprit et ma motivation augmenter, j'étais étonné de remarquer que tout à coup, je m'amusais. Pourquoi ? Parce que je parlais. Incroyable non ? Et peu importe si ce que je disais était intéressant ou non (d'ailleurs, à la limite, ce n'est pas mon problème :-P), le fait que les gens m'écoutent parler augmentait mon mojo.
J'ai trouvé sur le forum un article qui exprime parfaitement cette constatation. (C'est excellent d'ailleurs, car c'est la première fois que je lis autre chose que « un alpha n'a pas besoin de parler pour être alpha » malgré mes années de présence fantôme.)
Lorsqu'on est dans une attitude comme moi où on vole de la valeur, on s'accroche à ceux qui en donnent. Je peux passer un super moment en présence de quelqu'un qui a beaucoup de valeur à donner, mais si cette personne s'en va, je me retrouve décontenancé, la vacuité de ma présence se révèle, je ne m'amuse plus, je deviens soudain un intrus dans la soirée. Et il ne faut surtout pas que ça se voit, sinon je tombe dans un cercle vicieux. C'est pourquoi j'éviterai à tout prix ceux qui, comme moi, n'ont pas de valeur à apporter. J'évite leur contact comme s'ils étaient pestiférés, parce qu'ils ne m'apportent rien, pire, ils entachent l'image que je peux projeter. Pourquoi ? Parce que je n'ai pas la confiance en moi suffisante pour me donner une contenance dans ces conditions.Soyez là pour donner de la valeur plutôt que de chercher à en voler
Pour illustrer ce que veut dire le fait de donner de la valeur, voici un exemple : quand vous êtes en boite et que vous passez votre temps à déambuler en regardant de partout avec insistance, sans sourire et dans l'espoir de trouver une fille qui vous plait ou en attendant qu'elle vous donne un signe d'intérêt, vous cherchez à voler de la valeur plutôt qu'en apporter. Vous ne voulez pas offrir quelque chose aux gens et les faire entrer dans votre monde mais qu'eux vous apporte distraction et possibilité de sexe. Par contre si vous vous amusez, que vous parlez aux gens autour de vous et rigolez avec tout le monde, que vous faites des private jokes avec vos amis et vous moquez amicalement des gens qui ne les comprennent pas, que vous êtes ceux qui sont cool, ceux qui se marrent, ceux qui n'attendent rien et veulent bien partager leur bonne humeur pour peu que la personne en face en vaille la peine alors vous offrez de la valeur et êtes séduisants.
Pourtant, il m'arrive parfois, naturellement, d'atteindre un état où je donne beaucoup de valeur. Je m'amuse naturellement, je suis motivé, et j'ai remarqué que dans un tel état, côtoyer une personne qui n'a pas beaucoup de valeur ne me dérange pas, ma simple présence me suffit à donner une contenance à notre interaction (d'ailleurs, lorsque ça arrive, il n'est pas question de contenance, mais simplement d'énergie). Je discuterai avec cette personne en m'amusant, on pourra même se marrer et avoir une discussion intéressante.
Avoir de la valeur à donner, plutôt que d'en voler ! C'est exactement ça. C'est un élément-clé, non seulement pour pouvoir s'amuser en soirée, mais dans la séduction en général. En fait, j'irais même jusqu'à dire que tout est là, c'est le précepte le plus important qui soit, voilà LE but. Selon moi, c'est beaucoup plus clair que « il faut avoir une attitude playful », « il faut rester dans sa frame », « il faut être alpha », « le secret de la séduction, c'est de s'amuser », « pour être séduisant, il faut avoir une personnalité séduisante », « il faut être quelqu'un de sociable et de cool », etc.
Je disais tout à l'heure que le simple fait de parler augmentait mon mojo, et qu'à la limite, peu importe ce que je dis. Bien entendu, ce n'est pas aussi simple. L'enthousiasme qui découle de ce mécanisme est lié à l'impression que l'on a d'intéresser les gens. C'est quand je développais que je m'amusais, mais si on me pose une question et que je réponds factuellement, ça ne marche pas, et si je parle mais que les gens se foutent ostensiblement de ce que je dis, l'effet produit sera même l'inverse.
J'en viens donc à la suite du raisonnement : offrir de la valeur, mais quoi ?
Cet été, j'étais à un festival, et une fille m'aborde. Elle me demande comment je m'appelle, je réponds et lui retourne la question, elle me demande ce que je fais dans la vie, puis me pose quelques questions en rapport. Tandis que je parlais, je sentais son intérêt se fâner, et je me rendais compte que même pour moi, ce que je racontais ne m'intéressait pas. Dire ce que je fais dans la vie n'apporte rien à personne. On ne va pas en soirée pour savoir ce que les gens font dans la vie, on y va pour faire des rencontres, pour découvrir de nouvelles personnes, s'amuser, se confronter à des personnalités.
Celui qui a la personnalité la plus incroyable que je connaisse est un ancien collègue de travail. Ce mec est le plus drôle qu'il m'ait été donné de rencontrer. Il a une grande expérience de vie, et une vaste culture, mais surtout une créativité extraordinaire, de l'ordre du génie. Tout ce qui nous arrivait, tout ce qu'on voyait, il se l'appropriait, pouvait le tourner en dérision, pouvait raconter une histoire en rapport, ou simplement émettre une réflexion (profonde et intéressante en plus), qui bien sûr était enrobée d'un humour incroyablement subtil. (D'ailleurs, je ne sais pas pourquoi il n'est pas "célèbre", pourquoi il n'est pas comédien, activiste, écrivain ou je ne sais quel métier artistique, mais je pense que ça va venir, il a mon âge.) Il n'avait pas une forte personnalité, pas vraiment d'autorité, un BL pauvre, et il était plutôt nul avec les filles. Il ne s'est jamais imposé, mais sa personnalité s'imposait naturellement tellement il était intéressant, même les vrais leaders se retrouvaient dans sa poche et cherchaient son contact.
Je prends cet exemple un peu extrême pour répondre à ma question précédente : quoi offrir ? Soi-même : une personnalité, une vision du monde, des expériences, un avis sur divers sujets. Une aventure en somme, un nouveau monde. Lorsque je discute avec les gens, voilà ce que je dois faire : les faire entrer dans mon monde. Je dois me rappeler que les gens ont envie de me découvrir, enfin plus précisément, ils ont envie de découvrir toute personne intéressante, tout ce qui va pouvoir les faire s'émerveiller, les rendre attentifs à ce qu'ils n'avaient pas vus, les faire rêver. J'ai lu quelque part « La séduction, c'est faire se sentir bien la personne qui est avec vous. »
Il faut donc que je développe ma propre réalité, que je l'entretienne, que je la rende comestible, puis que je fasse entrer les gens dans ma réalité. C'est non seulement une question d'échange, de partage, mais en plus, c'est une manière de s'épanouir dans ce qu'on est, de se construire, et par là d'augmenter son mojo ponctuellement et facilement. J'aimerais donc développer plusieurs choses en ce sens, je vais y réfléchir.
À ce stade de la lecture, vous vous dites peut-être que j'analyse beaucoup trop par rapport à mon temps passé sur le terrain, mais je suis persuadé que je pourrais sortir autant que je veux, je pourrais sortir tous les soirs de la semaine pendant des années, si je n'ai pas compris et intégré tout ce que je viens d'écrire, mon cercle social ne s'étendra pas considérablement, les gens qui s'intéresseront sincèrement à moi resteront rares, je n'évoluerai jamais vraiment, je resterai toujours un voleur de valeur.
Il y a quelques semaines, je suis sorti au restaurant pour une soirée organisée par un pote. On était une dizaine de personnes. Parmi elles se trouvait une charmante demoiselle qui était assise un peu loin de moi pour qu'on puisse discuter, j'étais "coincé" avec trois autres demoiselles plus proches de moi (bon ça ne m'a pas vraiment dérangé). Mais toute la soirée, la demoiselle en question m'a EC. Je n'ai rien fait car je n'ai pas créé l'occasion, mais peu importe, ce n'est pas ça l'important.
Deux ou trois semaines plus tard, nouvelle soirée avec le pote organisateur de la première soirée, et d'autres personnes. À un moment donné, il me dit qu'il a une nouvelle copine. En m'expliquant qu'elle était là à la première soirée, il me montre une photo, et je reconnais la demoiselle qui n'avait pas arrêté de me EC.
Ce scénario, c'est du vu et revu. Combien de fois une fille nous regarde-t-elle à plusieurs reprises, pour qu'on la recroise quelques jours plus tard au bras d'un autre mec ? J'en ai tiré une conclusion puissante : quand une fille se cherche un mec, c'est au premier qui osera ! Elle ne cherche pas TEL ou TEL mec, non, elle cherche UN mec, point. Pas de connexion spéciale entre deux êtres, pas de coup de foudre, juste « je vais bientôt me caser ».
________
Je me suis rendu en boîte il y a une semaine. Malheureusement, je ne sais pas danser, donc je n'ose pas trop bouger. Mais à un moment donné, je me trouvais sur la piste de danse, et j'avais l'impression que la fille qui dansait à côté de moi m'avait repéré, et qu'elle attendait que je danse vers elle, ou que je fasse quelque chose. Mais je n'en suis pas sûr, ce n'était vraiment qu'une impression. Bien entendu, je n'ai rien osé faire, mais pendant que je la regardais du coin de l'oeil, je me disais que si elle était vraiment intéressée, ben elle ne ferait strictement rien, d'une part parce qu'elle n'oserait jamais, exactement comme moi là qui n'osais rien faire, d'autre part parce qu'en plus il n'est pas d'usage que la fille fasse quelque chose.
Un peu plus tard, je me suis à nouveau trouvé sur la piste de danse, à un autre endroit. Encore une fois, je ne dansais pas. Deux filles se trouvaient devant moi en train de danser, une fille aux cheveux noirs et une blonde. Je ne les ai pas tout de suite remarquées, mais il me semble qu'elles se sont rapprochées de moi, encore une fois ce n'était qu'une vague impression. La fille aux cheveux noirs, qui était pile devant moi, s'est penchée vers son amie blonde, qui lui a chuchoté un truc (en mettant ses mains de part et d'autres de son oreille, carrément). Puis quelques instants plus tard, elle m'a bousculé tout en dansant, mais ça paraissait très naturel. À nouveau, petits secrets dans l'oreille, puis à nouveau bousculade. Puis à la fin, toujours en dansant, la fille aux cheveux noirs, toujours, m'a même marché sur les pieds trois fois de suite (à une dizaine de secondes d'intervalle). Mais tout ça paraissait tellement naturel que, pendant que je me demandais s'il se pouvait que ce soit fait exprès, ce que je trouvais un peu étrange puisqu'il n'y avait eu aucun EC ni avec l'une ni avec l'autre, et qu'à vrai dire je n'avais même pas vu le visage de celle qui me bousculait, seulement celui de la blonde, cette dernière a à nouveau chuchoté un truc à son amie, puis elles sont parties de là en hâte, comme s'il fallait vite qu'elles aillent faire un truc, ou alors, comme si elles étaient énervées ?...
________
Un jour, j'ai lu sur ce forum un membre qui expliquait que son père était un natural. Ce dernier avait réussi à closer une fille en l'openant avec « J'ai une délicieuse envie de coucher avec vous »
J'avais également lu une de ses citations qui disait : « Tu séduis par l'audace, tu les fais tomber amoureuses par ta profondeur »
________
Les trois récits ci-dessus m'ont un peu éloigné de l'esprit du game comme je le conçois en lisant ce forum et m'ont fait me dire : peut-être qu'on s'en fout de tout ça, peut-être qu'en fait, toutes les filles veulent être closées, peu importe le mec (pour peu qu'il soit un tant soit peu normal bien sûr), peu importe sa technique ou son aisance en séduction. Et en ce sens, le seul truc qui compte au fond, c'est y aller, et oser ! Quand j'étais en boîte, même si je ne l'ai pas mis en pratique (mais ça vient, ça vient), j'avais l'impression qu'au fond, il suffisait que j'ose pour pouvoir closer une fille.
Note : ce que je viens de dire n'est peut-être qu'une impression, mais peu importe, ce qui compte c'est que ça induise un état d'esprit positif en moi. Ce que je dis est peut-être faux, mais je me rendrai compte des nuances plus tard, pour l'instant j'en suis là, donc merci de ne pas me tâcler, sauf si je fais effectivement fausse route. (Et merci de ne pas me parler de "playful attitude" ou d'attitude tout court, je préfère comprendre les choses en faisant mon propre cheminement. À chaque fois que j'ai entendu parler d'attitude, je ne comprenais pas concrètement, et je crois que ça me met sur une fausse route.)
________
Fort de cette pensée ci-dessus que je me suis auto-suggérée, je me suis rendu en boîte ce week-end. Malheureusement, la boîte était aux 3/4 vide, et il y avait un rapport de 1 nana pour 9 mecs. Le terrain n'était donc pas trop propice à la sarge, et je me sentais encore moins à l'aise que d'habitude pour danser, puisque la piste était presque vide et les gens y étaient disséminés ça et là.
Malgré tout, j'ai quand même passé une bonne soirée, même si c'était plus dû à un état d'esprit que j'avais qu'à l'environnement ou aux circonstances. J'y étais avec Damien et deux de ses potes. Au début, on restait passablement ensemble, puis Damien nous a dit qu'il avait un plan donc qu'il remontait sur la piste de danse faire son job :-p Ses potes étaient aussi assez indépendants, donc on se croisait de temps en temps, puis on se laissait à nouveau. De mon côté, j'errais ici et là, mais je me sentais quand même bien.
À un moment donné, je suis allé au rez, où il y a des chaises et canapés, et je me suis posé là, tout seul. Pas longtemps après, une fille s'est posée pas loin avec un de ses potes, puis ce dernier est parti, la laissant seule à ma merci. Après un certain temps d'hésitation, je me suis décidé à l'aborder.
Je ne sais plus vraiment de quoi on a parlé, mais on est entré dans une grande discussion tous les deux. Un des potes de Damien s'est assis à côté de moi pour se rouler une clope, puis il est reparti. Damien est venu également, s'est assis, puis nous voyant plongé dans notre grande discussion, est reparti avec un sourire équivoque.
J'apprends que les potes de la fille sont dehors en train de s'occuper de faire venir un taxi, car elle habite dans un village un peu plus loin. Après une petite dizaine de minutes de conversation, un de ses potes s'asseoit, mais on continue de discuter. Il ne cherche pas du tout à nous interrompre, il ne me parle pas, il ne me CB pas, rien du tout, il attend juste qu'elle arrête de me parler pour lui dire qu'ils sont bientôt prêts, puis il s'en va.
Finalement, je dois presque la chasser pour qu'elle s'en aille, elle me demande si j'ai Facebook, je lui réponds par la négative, mais je lui dis que je vais prendre son numéro, alors elle me le donne, et me demande de la biper pour qu'elle ait le mien. Je lui dis que je vais lui envoyer un message plutôt, mais elle me dit qu'elle n'aura pas de réseau avant d'arriver chez elle, alors je lui dis que ça fera un message surprise. On se fait la bise, puis elle s'en va.
Plus tard, Damien vient vers moi et me dit « Eh mec, c'était mon plan ! » en se fendant la gueule. Je me confonds en excuse tout en rigolant, et il me répond que ce n'est pas grave. Ca le fait bien rire.
À vrai dire, ça m'a aussi beaucoup fait rire. Ca va de pair avec mon état d'esprit de la soirée : j'avais l'impression qu'on était là pour rigoler, que tout n'était qu'un jeu au fond, et qu'il fallait s'amuser de ce genre d'aventures marrantes. Je me suis dit que c'est exactement cet état d'esprit qu'il fallait que j'adopte dans ma vie de tous les jours : vivre pour s'amuser, sans se prendre la tête, faire des conneries et s'en marrer.
En ce qui concerne la fille, je lui ai envoyé un message ironique, qui est resté sans réponse le lendemain. Alors le lendemain soir je lui ai renvoyé un message pour lui dire que j'étais désolé pour le message mais que ça m'avait fait marrer, mais que j'avais remarqué qu'on n'avait pas le même humour ma foi (le tout dit sur un ton sympa), puis je lui souhaitais une bonne soirée, et à bientôt. Elle a répondu qu'effectivement elle s'était posée des questions, mais que vu comme ça maintenant elle voyait l'ironie, puis elle m'a souhaité une bonne soirée à bientôt et bonne année. J'ai encore répondu bonne année aussi, et c'est tout.
Deux ou trois semaines plus tard, nouvelle soirée avec le pote organisateur de la première soirée, et d'autres personnes. À un moment donné, il me dit qu'il a une nouvelle copine. En m'expliquant qu'elle était là à la première soirée, il me montre une photo, et je reconnais la demoiselle qui n'avait pas arrêté de me EC.
Ce scénario, c'est du vu et revu. Combien de fois une fille nous regarde-t-elle à plusieurs reprises, pour qu'on la recroise quelques jours plus tard au bras d'un autre mec ? J'en ai tiré une conclusion puissante : quand une fille se cherche un mec, c'est au premier qui osera ! Elle ne cherche pas TEL ou TEL mec, non, elle cherche UN mec, point. Pas de connexion spéciale entre deux êtres, pas de coup de foudre, juste « je vais bientôt me caser ».
________
Je me suis rendu en boîte il y a une semaine. Malheureusement, je ne sais pas danser, donc je n'ose pas trop bouger. Mais à un moment donné, je me trouvais sur la piste de danse, et j'avais l'impression que la fille qui dansait à côté de moi m'avait repéré, et qu'elle attendait que je danse vers elle, ou que je fasse quelque chose. Mais je n'en suis pas sûr, ce n'était vraiment qu'une impression. Bien entendu, je n'ai rien osé faire, mais pendant que je la regardais du coin de l'oeil, je me disais que si elle était vraiment intéressée, ben elle ne ferait strictement rien, d'une part parce qu'elle n'oserait jamais, exactement comme moi là qui n'osais rien faire, d'autre part parce qu'en plus il n'est pas d'usage que la fille fasse quelque chose.
Un peu plus tard, je me suis à nouveau trouvé sur la piste de danse, à un autre endroit. Encore une fois, je ne dansais pas. Deux filles se trouvaient devant moi en train de danser, une fille aux cheveux noirs et une blonde. Je ne les ai pas tout de suite remarquées, mais il me semble qu'elles se sont rapprochées de moi, encore une fois ce n'était qu'une vague impression. La fille aux cheveux noirs, qui était pile devant moi, s'est penchée vers son amie blonde, qui lui a chuchoté un truc (en mettant ses mains de part et d'autres de son oreille, carrément). Puis quelques instants plus tard, elle m'a bousculé tout en dansant, mais ça paraissait très naturel. À nouveau, petits secrets dans l'oreille, puis à nouveau bousculade. Puis à la fin, toujours en dansant, la fille aux cheveux noirs, toujours, m'a même marché sur les pieds trois fois de suite (à une dizaine de secondes d'intervalle). Mais tout ça paraissait tellement naturel que, pendant que je me demandais s'il se pouvait que ce soit fait exprès, ce que je trouvais un peu étrange puisqu'il n'y avait eu aucun EC ni avec l'une ni avec l'autre, et qu'à vrai dire je n'avais même pas vu le visage de celle qui me bousculait, seulement celui de la blonde, cette dernière a à nouveau chuchoté un truc à son amie, puis elles sont parties de là en hâte, comme s'il fallait vite qu'elles aillent faire un truc, ou alors, comme si elles étaient énervées ?...
________
Un jour, j'ai lu sur ce forum un membre qui expliquait que son père était un natural. Ce dernier avait réussi à closer une fille en l'openant avec « J'ai une délicieuse envie de coucher avec vous »
J'avais également lu une de ses citations qui disait : « Tu séduis par l'audace, tu les fais tomber amoureuses par ta profondeur »
________
Les trois récits ci-dessus m'ont un peu éloigné de l'esprit du game comme je le conçois en lisant ce forum et m'ont fait me dire : peut-être qu'on s'en fout de tout ça, peut-être qu'en fait, toutes les filles veulent être closées, peu importe le mec (pour peu qu'il soit un tant soit peu normal bien sûr), peu importe sa technique ou son aisance en séduction. Et en ce sens, le seul truc qui compte au fond, c'est y aller, et oser ! Quand j'étais en boîte, même si je ne l'ai pas mis en pratique (mais ça vient, ça vient), j'avais l'impression qu'au fond, il suffisait que j'ose pour pouvoir closer une fille.
Note : ce que je viens de dire n'est peut-être qu'une impression, mais peu importe, ce qui compte c'est que ça induise un état d'esprit positif en moi. Ce que je dis est peut-être faux, mais je me rendrai compte des nuances plus tard, pour l'instant j'en suis là, donc merci de ne pas me tâcler, sauf si je fais effectivement fausse route. (Et merci de ne pas me parler de "playful attitude" ou d'attitude tout court, je préfère comprendre les choses en faisant mon propre cheminement. À chaque fois que j'ai entendu parler d'attitude, je ne comprenais pas concrètement, et je crois que ça me met sur une fausse route.)
________
Fort de cette pensée ci-dessus que je me suis auto-suggérée, je me suis rendu en boîte ce week-end. Malheureusement, la boîte était aux 3/4 vide, et il y avait un rapport de 1 nana pour 9 mecs. Le terrain n'était donc pas trop propice à la sarge, et je me sentais encore moins à l'aise que d'habitude pour danser, puisque la piste était presque vide et les gens y étaient disséminés ça et là.
Malgré tout, j'ai quand même passé une bonne soirée, même si c'était plus dû à un état d'esprit que j'avais qu'à l'environnement ou aux circonstances. J'y étais avec Damien et deux de ses potes. Au début, on restait passablement ensemble, puis Damien nous a dit qu'il avait un plan donc qu'il remontait sur la piste de danse faire son job :-p Ses potes étaient aussi assez indépendants, donc on se croisait de temps en temps, puis on se laissait à nouveau. De mon côté, j'errais ici et là, mais je me sentais quand même bien.
À un moment donné, je suis allé au rez, où il y a des chaises et canapés, et je me suis posé là, tout seul. Pas longtemps après, une fille s'est posée pas loin avec un de ses potes, puis ce dernier est parti, la laissant seule à ma merci. Après un certain temps d'hésitation, je me suis décidé à l'aborder.
Je ne sais plus vraiment de quoi on a parlé, mais on est entré dans une grande discussion tous les deux. Un des potes de Damien s'est assis à côté de moi pour se rouler une clope, puis il est reparti. Damien est venu également, s'est assis, puis nous voyant plongé dans notre grande discussion, est reparti avec un sourire équivoque.
J'apprends que les potes de la fille sont dehors en train de s'occuper de faire venir un taxi, car elle habite dans un village un peu plus loin. Après une petite dizaine de minutes de conversation, un de ses potes s'asseoit, mais on continue de discuter. Il ne cherche pas du tout à nous interrompre, il ne me parle pas, il ne me CB pas, rien du tout, il attend juste qu'elle arrête de me parler pour lui dire qu'ils sont bientôt prêts, puis il s'en va.
Finalement, je dois presque la chasser pour qu'elle s'en aille, elle me demande si j'ai Facebook, je lui réponds par la négative, mais je lui dis que je vais prendre son numéro, alors elle me le donne, et me demande de la biper pour qu'elle ait le mien. Je lui dis que je vais lui envoyer un message plutôt, mais elle me dit qu'elle n'aura pas de réseau avant d'arriver chez elle, alors je lui dis que ça fera un message surprise. On se fait la bise, puis elle s'en va.
Plus tard, Damien vient vers moi et me dit « Eh mec, c'était mon plan ! » en se fendant la gueule. Je me confonds en excuse tout en rigolant, et il me répond que ce n'est pas grave. Ca le fait bien rire.
À vrai dire, ça m'a aussi beaucoup fait rire. Ca va de pair avec mon état d'esprit de la soirée : j'avais l'impression qu'on était là pour rigoler, que tout n'était qu'un jeu au fond, et qu'il fallait s'amuser de ce genre d'aventures marrantes. Je me suis dit que c'est exactement cet état d'esprit qu'il fallait que j'adopte dans ma vie de tous les jours : vivre pour s'amuser, sans se prendre la tête, faire des conneries et s'en marrer.
En ce qui concerne la fille, je lui ai envoyé un message ironique, qui est resté sans réponse le lendemain. Alors le lendemain soir je lui ai renvoyé un message pour lui dire que j'étais désolé pour le message mais que ça m'avait fait marrer, mais que j'avais remarqué qu'on n'avait pas le même humour ma foi (le tout dit sur un ton sympa), puis je lui souhaitais une bonne soirée, et à bientôt. Elle a répondu qu'effectivement elle s'était posée des questions, mais que vu comme ça maintenant elle voyait l'ironie, puis elle m'a souhaité une bonne soirée à bientôt et bonne année. J'ai encore répondu bonne année aussi, et c'est tout.
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [0] +1 le 30.12.14, 11h26 par Snow
Haha les phrases en question c'étaient celles de mon père sur mon ancien journal! Il va se remarier 
Du coup j'ai rapidement parcouru tes messages. Je pense que t'es sur une bonne voie. Tu as des réflexions qui me rappellent moi il y a 1 an et demi. Juste avant mon gros changement.
Tu penses encore trop. Et par trop je veux dire mal, en ce sens que ça ne t'aide pas.
Après on sent du potentiel
Au passage des gens ont étés gênés par le terme noireaude.

Du coup j'ai rapidement parcouru tes messages. Je pense que t'es sur une bonne voie. Tu as des réflexions qui me rappellent moi il y a 1 an et demi. Juste avant mon gros changement.
Tu penses encore trop. Et par trop je veux dire mal, en ce sens que ça ne t'aide pas.
Après on sent du potentiel

Au passage des gens ont étés gênés par le terme noireaude.
Merci pour ta réponse.
Héhé félicitations à ton père !
Pour le fait de penser trop, oui certainement, même si je n'arrive pas à faire autrement. Et par moment, je me dis que ça peut m'aider, parce que le fait de réfléchir avant d'agir fonctionne sur moi comme de l'auto-suggestion : au moment d'agir j'ai cet avantage que je ne réfléchis pas, mais si j'ai réfléchi avant, je sais quand même, inconsciemment, où aller dans mes actions. Bon ça sonne comme une excuse, donc je vais quand même essayer d'être plus spontané.
Ouh là, vraiment désolé à ceux que j'ai dérangés par mon utilisation du terme noiraude, j'ai toujours cru que ça signifiait "fille aux cheveux noirs", et c'est bien sûr ça que je voulais dire. Je change ça de suite.
Héhé félicitations à ton père !
Pour le fait de penser trop, oui certainement, même si je n'arrive pas à faire autrement. Et par moment, je me dis que ça peut m'aider, parce que le fait de réfléchir avant d'agir fonctionne sur moi comme de l'auto-suggestion : au moment d'agir j'ai cet avantage que je ne réfléchis pas, mais si j'ai réfléchi avant, je sais quand même, inconsciemment, où aller dans mes actions. Bon ça sonne comme une excuse, donc je vais quand même essayer d'être plus spontané.
Ouh là, vraiment désolé à ceux que j'ai dérangés par mon utilisation du terme noiraude, j'ai toujours cru que ça signifiait "fille aux cheveux noirs", et c'est bien sûr ça que je voulais dire. Je change ça de suite.
Le terme que tu cherches est "brune".
Pour tes conclusions, c'est possible que certaines fonctionnent comme ça, avec "le mec qui passe les critères minimum et qui ose.
Mais je reste persuadé que beaucoup sont sélectives et ont besoin de construire une vraie relation avant d'être en relation, donc de bien connaître l'autre ou de sentir que c'est le cas même si c'est faux.
Pour tes conclusions, c'est possible que certaines fonctionnent comme ça, avec "le mec qui passe les critères minimum et qui ose.
Mais je reste persuadé que beaucoup sont sélectives et ont besoin de construire une vraie relation avant d'être en relation, donc de bien connaître l'autre ou de sentir que c'est le cas même si c'est faux.