J'ai reconnu que j'étais sexuellement attiré par elle sauf que je ne l'ai pas expliqué dans le sujet.Blusher a écrit :Par chance je suis philosophe et donc très rationnel.![]()
Pourquoi pas?Je ne parle jamais directement de sexe avec les filles
Quelles genre de preuves?...et normalement je ne crois pas comme ça que je peux coucher avec une fille. Je suis rationnel et philosophe et il me faut donc des preuves pour savoir si je vais pouvoir passer à l'acte.
Tu n'as pas trop assumé non plus. Tu as fait machine arriére là où tu aurais pu reconnaître que tu étais sexuellement attiré.Or là , j'y ai cru bêtement.
Il faut dire qu'elle s'amusait avec le chaud et le froid et les mails érotiques , tout cela en disant ''tu verras '' et non en disant '' c'est une blague''.
Il faut être deux pour jouer à ce petit jeu. En chercher les causes culturelles ne fait rien à l'affaire. Si tu déplores que certains et certaines vivent dans ce monde "enchanté", ose verbaliser TA vision des choses et deviens persuasif.Faites attention à ce genre de fille que je nomme fée clochette et allumeuse , elle pense beaucoup à leur carrière et elle vit dans un monde enchanté : le prince charmant est un être parfait et asexué.....qu'elle bêtise et tout cela est dû à notre culture chrétienne qui a tué notre désir et meurtri notre corps. Le corps est devenu une honte.
Ces stéréotypes ont fait long feu. Vous êtes deux adultes, les deux pieds dans la réalité du quotidien.Tout cela est dû aussi à la culture Disney qui asexualise les filles et les considère comme innocentes , pures et sans courage. Devant alors être sauver par un beau prince charmant qui sera à leurs pieds.
Vous écrire tous les soirs et vous voir tous les ...?Elle décida un jour de prendre mon numéro de téléphone et là on s'est mis à s'écrire tous les soirs.
Il y avait moyen de chopper à ce moment là?Au mois de juin alors qu'elle savait que j'allais partir au Japon pour 5 ans , elle me demande si je suis célibataire et me dit qu'elle l'est aussi.
Cela fait des mois que vous vous écrivez tous les jours, qu'elles t'envoient des signes d'intérêt gros comme une maison. Tu attends d'être sur un autre continent pour décider de sexualiser vos échanges.Début juillet elle me dit par mail qu'elle a chaud et qu'elle mange une glace à la vanille et moi je décide alors de sexualiser la conversation et de lui dire que j'aimerais manger et lécher cette jolie musicienne à la vanille, elle n'en est pas choquée et répond avec humour que je suis un grand coquin gourmand. Je me dis que pour une fille timide elle n'est pas si timide que cela.
Tu penses que tu aurais pu le faire avant et en face à face?
J'ai eu justement bien fait de ne pas réagir vite car elle m'a fait le reproche de m'être emballé et d'y avoir cru. Voilà mon sujet de critique.
Il faut arrêter de croire que tout le monde est responsable, c'est facile comme réponse mais ça ne permet pas de voir les causes et de les corriger.
Je fais donc ici une autocritique philosophique qui permet aussi aux de voir qu'il ne faut pas faire la même chose. L'erreur sert aussi pour la vie réel.
Au mois de juin , je pense qu'il y avait moyen puisqu'elle me l'a dit après. Mais j'ai réagit bêtement par timidité et comme je l'idéalisais , je n'ai pas osé faire le premier pas.
C'est une fille et je le sais maintenant qui n'aime pas prendre les devants et qui pense que les hommes doivent faire le premier pas parce que ce sont des hommes.
Je précise que je ne suis pas dans un récit sentimentale mais dans une explication des faits.
Il y a preuve qu'on peut passer à l'acte quand on en parle de manière sincère ou quand ça se fait de manière naturel sans se poser la question.
Les preuves sont l'envie et le désir,mais pour cela il faut être sincère.
C'est toujours facile de parler de responsabilité ça va vite comme explication mais ça ne permet pas comprendre réellement ce qui c'est passé. J'ai été attiré par elle et je l'ai idolâtré donc j'étais dans l'émotion.
J'écris ce poste justement pour expliquer qu'il y a certaines choses qu'il ne faut pas faire. Je ne retire pas mes erreurs. Il ne faut pas confondre erreur et responsabilité. On peut faire des erreurs sans les vouloir.