JOUR 2 De l’alcool, toujours de l’alcool.
Tortillats sous les pieds, sable sur les lits et 2 grammes dans les veines. Bienvenue dans le sud.
J’ai passé une semaine de dingue, avec des gens de dingue dans une ambiance de dingue. Savoir les cocktails enfilés, on s’en temponne alors je vais parler de choses qui me tiennent plus à coeur.
On était 9, 4 mecs, 4 nanas et Cerise. C’est un groupe d’amis qui se connaît depuis le lycée et je l’ai rejoint par l’intermédiaire d’un ami proche. Je les appréciais déjà tous, on avait déliré en soirée ensemble. Tous sauf Cerise que je ne connaissais pas avant. Mais dès le premier jour passé je sentais qu’il y avait un truc. Son regard était taquin et me dévorait.
Deuxième soir sur la plage de Biarritz, saoule comme des saumons, elle me prend par la main et m’assis en face d’elle.
-Je n’ai jamais couché dans un lieu public
On boit tous les deux
-Je n’ai jamais *blablabla*…
On continue de bavarder, je suis scotché à ses lèvres.
-*blablabla*
-Shhhh, ta gueule.
Et je l’embrasse.
Elle rigole et m’embrasse. On mit les pieds dans l’eau, puis les genoux, se provoquant pour toujours aller plus loin . Mouillé jusqu’aux hanches on rentra à la maison, poussés par le froid malgré l’envie de rester ensemble. On s’endormit chacun de notre côté.
Le troisième soir on passe de nouveau la soirée ensemble, cette fois-ci avec de la méphédrone dans le pif, (j’avais envie de découvrir la molécule avant mon expatriation).
http://psychonautwiki.org/wiki/Mephedrone
Les amis, faites pas n’importe quoi avec vos synapses,renseignez-vous chez:
psychonautwiki.org
erowid.org
psychonaut.com/forum.php#francais
La soirée fut exquise, le lendemain moins. On était parti faire des câlins dans le lit l’aprèm après une courte nuit de sommeil, et j’ai machinalement créé de la tension sexuelle entre nous. On se retrouve nu l’un au-dessus de l’autre mais je n’avais pas envie de baiser. La redescente d’alcool, de drogue, la fatigue et le manque d’aise dans le moment on soigneusement pris soin de me faire psychoter, de me faire douter de moi jusqu’à la mouelle et de me submerger rumination. Je n'étais pas loin de la parano.
On a discuté de ça le soir même, elle aussi le sentait pas trop, je me suis senti réconforté.
Puis c’est passé.
Mon poste traduisait certes mon état d’esprit, mais une fois reposé il me paraît un poil ridicule.
On a passé la fin de semaine comme un couple. Un couple éphémère. J’apprécie beaucoup cette fille. Une grande gueule mais toujours juste socialement, intelligente et droite. Elle en a vécu, et ça se ressent. Une force tranquille.
Je lui plais aussi, et ça sent. Elle rigole de manière niaise à mes blagues.
-Tu me plais, tu es mignon.
-Je sais.
*notez mon ego top moumoute, en même temps on me l’a un peu trop dit*
-Ahaha c’est ce qui me plaît chez toi,tu le sais et ça se voit mais tu n’en fait pas trop c’est cool.
-Fait gaffe avec tes compliments j’ai les chevilles qui enflent facilement*full vérité*
Malheureseusement elle ne me dilate pas les pupilles, ne me palpite pas le coeur, ne me donne pas l’irrésistible envie de mordre ses lèvres. Elle a beau avoir de grands yeux bleus et être plutôt minces, je ne suis pas sous ses charmes. Je suis plus proche d'une forme de tendresse/affection que d’une sauvage envie de lui déchirer ses habits.
Du coup on n'a pas couché ensemble. Aussi parce qu’on était soit bourré, soit en redescente de cuite et ça, ça me flingue le zgeg. Elle m’a loué mes cunis orgasmiques par contre, et ça c’est buen; merci fts!
Je vais faire un petit bilan de ma vie, et le tout avec une liste, parce que les listes c’est cool.
Et puis je pars en semestre à l’étranger, je ferais un avant/après.
-Ma vie est cool. J’aime mes amis, ils sont formidables, j’ai une vie sociale largement suffisante quoique manquant un peu de nouvelles têtes. Un manque peut être de féminité dans mes fréquentations aussi.
-J’ai une vraie confiance en moi, et apparemment ça se voit:
Cerise: dès que tu es rentré dans la pièce le premier jour tu rayonnais de confiance en toi comme si tu n’avais besoin que de tes amis sur terre.
-J’ai quand même un peu trop d’ego. Avoir sauté 2 classes (redoublé deux, bouuu le branleur), connaitre son QI, et être physiquement plaisant, ça n’aide pas trop. Ça ne m’a jamais empêché d’être bienveillant. Par contre je suis très mauvais pour recevoir des compliments. Est-ce tant un mal que ça ?
-Ma dernière LTR fut un peu trop par défaut à mon gout, je le realise maintenant en découvrant plein de personnalité raffrachissante et inspirantes.
-J’ai un léger blocage avec l’utilisation de mon sexe. J’ai encore une vieille croyance:
lever des nanas c’est cool + je veux être cool = J’ai l’impression que je dois lever des nanas alors que j’en ai pas nécessairement envie = conflit interne = caca.
Aussi, j’ai l’impression d’aller un peu trop vers ces mesdames pour plaire, pour me faire de l'xp ou encore sortir de ma zone de confort. À travailler donc…
-J’essaye de plus faire confiance à mes trippes, mon intuition et lâcher SHUT THE FUCK UP à ma tête, et là c’est en bon chemin
-J’ai encore quelques réflexions personnelles en cours, j’essaie de trouver un juste milieu entre:
aliénation sociale/intégrité personnelle
trippe/tête
acceptation de l’affection/imperméabilité au signe d’affection (savoir quand se lâcher ou au contraire chercher à être le plus auto-suffisant)
-Quand je cherche à connaître quelqu’un, je m’attarde un peu trop sur son passé, comme si j’étais un détective des expériences. Et sans ça, j’avais l’impression de ne pas cerner la personne en face. Alors qu’en fait, osef, je m’en cars l’ognon, j’embrasse de plus en plus leur être au présent.
Merci de me suivre les gens, ça fait gavé désolé c'est Bordeaux plaisir d'étaler des tartines et de savoir qu'il y a des gens qui sont là pour vous aider.
With love,
Ohren.
Ohren d'hier, aujoud'hui je te dépasse!
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [0] le 03.08.16, 11h31 par Maslow
- [0] le 16.08.16, 04h01 par Aristophane
La notation c'est une boutade, toi même tu sais!
Pour les compliments, tu dis juste merci avec un smile
!
Une vraie confiance : Plutot dans le relâchement genre "je suis comme je suis & I don't give a fuck"
ou dans le micro contrôle de ton bl/emotions pour faire le mec "saucé" qui a confiance en lui ?
Bref, je me déclare incompétent pour t'aider, je te conseille juste de lire du Krishnamurti et du Eckart Tolle pour tout ce qui est relatif à la quête de soi et de la compréhension de l'ego.
Peace
Pour les compliments, tu dis juste merci avec un smile
! Une vraie confiance : Plutot dans le relâchement genre "je suis comme je suis & I don't give a fuck"
ou dans le micro contrôle de ton bl/emotions pour faire le mec "saucé" qui a confiance en lui ?
Bref, je me déclare incompétent pour t'aider, je te conseille juste de lire du Krishnamurti et du Eckart Tolle pour tout ce qui est relatif à la quête de soi et de la compréhension de l'ego.
Peace
"Pour les compliments, tu dis juste merci avec un smile ! "
Ahah je sais je devrais, mais parfois ma bouche est directement câblé à mon cerveau.
Je dirais que ma confiance en moi est vraiment du balekouillisme. Je considère que mon ego=/=confiance en moi, dans le sens ou peut importe tout ce que j'ai cité qui rentre dans [l'image de moi], ça ne compose que très peu ma réel confiance en moi.
Je dirait qu'elle est issue d'une forme de détachement, et d'un ensemble de références personnelles qui me permettent de ne pas douter de moi. Sois j'échoue et j'apprends, sois je réussit (pour résumer).
Tu peux m'en dire plus avec Krishnamurti et Eckart Tolle ? Quels bouquins et ce que ça t'a apporté ? Merci d'avance
! "Ahah je sais je devrais, mais parfois ma bouche est directement câblé à mon cerveau.
Je dirais que ma confiance en moi est vraiment du balekouillisme. Je considère que mon ego=/=confiance en moi, dans le sens ou peut importe tout ce que j'ai cité qui rentre dans [l'image de moi], ça ne compose que très peu ma réel confiance en moi.
Je dirait qu'elle est issue d'une forme de détachement, et d'un ensemble de références personnelles qui me permettent de ne pas douter de moi. Sois j'échoue et j'apprends, sois je réussit (pour résumer).
Tu peux m'en dire plus avec Krishnamurti et Eckart Tolle ? Quels bouquins et ce que ça t'a apporté ? Merci d'avance
Eckart Tolle : Le pouvoir du moment présent
Krishnamurti : Cette lumière qui est en nous
Krishnamurti est plus deep, plus complexe à lire/cerner qu'Eckart Tolle.
Ces deux ouvrages abordent plus ou moins le thème à savoir l'ego. Ils partent du principe que notre activité mental est la cause de notre souffrance.
Notre mental ressasse sois le passé ou sois se projette dans un futur fantasmé, et cette fausse identité qui nous échappe est appelé l'Ego.
Pour ces maîtres spirituels la libération passe par la culture de l'instant présent, par la médiation en l’occurrence.
Et Krishnamurti nous explique sa conception de la médiation, cet auteur est trop intense!
Franchement c'est super dur et ce n'est pas de leur faire honneur, de t'expliquer ça à l’écrit, le mieux c'est que t'en fasse ta propre opinion!
Krishnamurti : Cette lumière qui est en nous
Krishnamurti est plus deep, plus complexe à lire/cerner qu'Eckart Tolle.
Ces deux ouvrages abordent plus ou moins le thème à savoir l'ego. Ils partent du principe que notre activité mental est la cause de notre souffrance.
Notre mental ressasse sois le passé ou sois se projette dans un futur fantasmé, et cette fausse identité qui nous échappe est appelé l'Ego.
Pour ces maîtres spirituels la libération passe par la culture de l'instant présent, par la médiation en l’occurrence.
Et Krishnamurti nous explique sa conception de la médiation, cet auteur est trop intense!
Franchement c'est super dur et ce n'est pas de leur faire honneur, de t'expliquer ça à l’écrit, le mieux c'est que t'en fasse ta propre opinion!
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [0] Merci ! :) le 03.08.16, 15h44 par oHreN
Un peu de nouvelles:
Ma poche a lancé un appel à mon ex il y a deux semaines. Elle a rappelé. J’ai entendu sa voix. J’ai eu un seum intersidérale, un ouragan plein de rancoeur d’affection et de nostalgie.
Un jour j’arriverai à avoir des rapports normaux avec elle. Pour l’instant on dirait pas.
Breeeeef.
J’ai flirté avec une nana rencontrée dans l’avion qui restait une journée à Bangkok. On a flâné sous la pluies le lendemain soir. J’ai cru entendre un “j’ai un copain” dans la conversation. J’en étais pas sur alors j’ai poursuivi jusqu’à ce que je tente de l’embrasser.
-Et toi, c’est quoi le truc le plus aventurier que tu ais faits?
*Ohren s'approche d’elle*
-J'ai mentionné mon copain avant dans la discussion t'exagère ahah.
C’est la première nana que je drague sans avoir l’impression que c’est déjà acquis, j’ai réellement cherché à la séduire, c’est comme si c’était mes premiers pas. Avec un peu de recul, ma vibe manquait un peu de naturel. Je sais ce que je dois améliorer, et comment y arriver.
Tinder + Européen + Bangkok= 80% de matchs. Dommage que je n’ai pas le temps de m'occuper de ça.
2 tentatives de NPU:
Première fois dans une rue pleine de bars, j’ai abordé principalement des européennes. J’aime vraiment draguer de manière directe et sexuée. Ça branche les expats par contre ça fait fuir les locales ahahs. Je m’en suis rendu compte hier, même en boîte, saturé de musique et d’agitation, il faut créer un maximum de confort et faire attention à ce qu’elle exprime pour ne pas être trop proche d’elle.
Oh et j'ai eu un FB close d'une locale plutôt mimi, mais elle était relou, alors je l'ai supprimé au réveil.
Sinon Bangkok est une ville géniale, grouillante et organique. Presque accablante d’odeurs, de son et de vie. Le sourire y est lubrifiant un social, surtout dans l’incompréhension, et beaucoup donnent tout leur temps pour vous aider.
Bon je retourne me prélasser au bord de la piscine. Bisous !
Ma poche a lancé un appel à mon ex il y a deux semaines. Elle a rappelé. J’ai entendu sa voix. J’ai eu un seum intersidérale, un ouragan plein de rancoeur d’affection et de nostalgie.
Un jour j’arriverai à avoir des rapports normaux avec elle. Pour l’instant on dirait pas.
Breeeeef.
J’ai flirté avec une nana rencontrée dans l’avion qui restait une journée à Bangkok. On a flâné sous la pluies le lendemain soir. J’ai cru entendre un “j’ai un copain” dans la conversation. J’en étais pas sur alors j’ai poursuivi jusqu’à ce que je tente de l’embrasser.
-Et toi, c’est quoi le truc le plus aventurier que tu ais faits?
*Ohren s'approche d’elle*
-J'ai mentionné mon copain avant dans la discussion t'exagère ahah.
C’est la première nana que je drague sans avoir l’impression que c’est déjà acquis, j’ai réellement cherché à la séduire, c’est comme si c’était mes premiers pas. Avec un peu de recul, ma vibe manquait un peu de naturel. Je sais ce que je dois améliorer, et comment y arriver.
Tinder + Européen + Bangkok= 80% de matchs. Dommage que je n’ai pas le temps de m'occuper de ça.
2 tentatives de NPU:
Première fois dans une rue pleine de bars, j’ai abordé principalement des européennes. J’aime vraiment draguer de manière directe et sexuée. Ça branche les expats par contre ça fait fuir les locales ahahs. Je m’en suis rendu compte hier, même en boîte, saturé de musique et d’agitation, il faut créer un maximum de confort et faire attention à ce qu’elle exprime pour ne pas être trop proche d’elle.
Oh et j'ai eu un FB close d'une locale plutôt mimi, mais elle était relou, alors je l'ai supprimé au réveil.
Sinon Bangkok est une ville géniale, grouillante et organique. Presque accablante d’odeurs, de son et de vie. Le sourire y est lubrifiant un social, surtout dans l’incompréhension, et beaucoup donnent tout leur temps pour vous aider.
Bon je retourne me prélasser au bord de la piscine. Bisous !
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- [0] 100% d'accord le 11.08.16, 12h37 par Finn
Bonjour oHreN.
Voilà une des raisons pour lesquelles je me suis inscrit sur FTS: lire les pérégrinations des membres embarqués dans le voyage de leur vie ( c'est beau, non?), et pouvoir déposer un message de-ci de-là, en fonction de mon ressenti ou de l'inspiration du moment!
Que d'aventures dans ton journal, dis-moi! Un vrai séducteur ( cela dit sans ironie aucune)!
J'ai lu de nombreux journaux ici, et une chose ressort: c'est tellement plaisant, excitant, stimulant de séduire/ d'être séduit(e) sans l'avoir planifié, projeté, programmé!
Lorsque tout est fluide, que les partenaires sont sur la même longueur d'onde...
N'est-ce pas cela qui importe: remettre un peu de magie et d'imprévu dans nos vies?
Juste une chose en passant, et comprend bien que cela n'est pas un jugement moral de ma part, mais plus une interrogation: pourquoi ( ce faisant, cela concerne d'autres membres de la board) consommer de l'alcool ou des psychotropes?
Je ne parle pas pour toi spécialement, mais ne peut-on pas ressentir des choses proprement incroyables sans tout cela? Notre cerveau a déjà tout ce qu'il faut pour nous faire vivre des sensations qui dépassent l'entendement, qui nous emportent!
( Bon moi, je dois l'avouer: une simple mousse au chocolat bio suffit à me faire planer!
)
Quoi qu'il en soit, j'ai passé un excellent moment à lire ton journal!
La suite, vite!
UP THE IRONS!
Voilà une des raisons pour lesquelles je me suis inscrit sur FTS: lire les pérégrinations des membres embarqués dans le voyage de leur vie ( c'est beau, non?), et pouvoir déposer un message de-ci de-là, en fonction de mon ressenti ou de l'inspiration du moment!
Que d'aventures dans ton journal, dis-moi! Un vrai séducteur ( cela dit sans ironie aucune)!
J'ai lu de nombreux journaux ici, et une chose ressort: c'est tellement plaisant, excitant, stimulant de séduire/ d'être séduit(e) sans l'avoir planifié, projeté, programmé!
Lorsque tout est fluide, que les partenaires sont sur la même longueur d'onde...
N'est-ce pas cela qui importe: remettre un peu de magie et d'imprévu dans nos vies?
Juste une chose en passant, et comprend bien que cela n'est pas un jugement moral de ma part, mais plus une interrogation: pourquoi ( ce faisant, cela concerne d'autres membres de la board) consommer de l'alcool ou des psychotropes?
Je ne parle pas pour toi spécialement, mais ne peut-on pas ressentir des choses proprement incroyables sans tout cela? Notre cerveau a déjà tout ce qu'il faut pour nous faire vivre des sensations qui dépassent l'entendement, qui nous emportent!
( Bon moi, je dois l'avouer: une simple mousse au chocolat bio suffit à me faire planer!
)Quoi qu'il en soit, j'ai passé un excellent moment à lire ton journal!
La suite, vite!
UP THE IRONS!
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- [0] le 18.08.16, 13h28 par Blusher
Et bien écoute, sincèrement merci. Néanmoins sans fausse modestie, je ne me considère pas vraiment "bon" séducteur. Je ne suis pas le dernier des branquignoles non plus mais n'exagérons rien.
Au sujet des psychotropes, je suis mille fois d'accord avec toi. Et je ne compte plus les fois où j'ai juste chialé de bonheur pour aucune raison apparente, si ce n'est la simple perspective de savourer la vie qui s'écoule.
Nicolas Bouvier a écrit un jour un truc qui me caractérise presque trop bien:
Pour les psychotropes c'est encore autre chose, et ça va être chaud de ne pas tomber dans l'apologie. Disons que tu prends des drogues dans un objectif, soit "récréatif"; soit "psychonautique".
D'un point de vue récréatif c'est principalement pour tripper dans un canap à regarder les textures et les murs onduler, ou chercher à être plus en contact avec la musique.
Des exemples au sujet des visuels
https://psychonautwiki.org/w/images/3/3 ... _Fruit.gif
https://psychonautwiki.org/w/thumb.php? ... &width=640
D'un point de vue psychonautique, le LSD ou les Champi te pousse à l'introspection de manière très intense. C'est comme si tu te regardais de l’intérieur avec un oeil différent.
Je me suis rendu compte à travers mon cheminement personnel/éthique que l'aide et la bienveillance étaient parmi les valeurs qui me touchaient le plus. Après un trip à réfléchir sur ma place dans le monde j'ai fini par m'inscrire au resto du coeur. J'ai aussi appris à aimer et à m'ouvrir aux autres en toute sincérité.
Complètement.N'est-ce pas cela qui importe: remettre un peu de magie et d'imprévu dans nos vies?
Au sujet des psychotropes, je suis mille fois d'accord avec toi. Et je ne compte plus les fois où j'ai juste chialé de bonheur pour aucune raison apparente, si ce n'est la simple perspective de savourer la vie qui s'écoule.
Nicolas Bouvier a écrit un jour un truc qui me caractérise presque trop bien:
Plus le temps passe, et plus je limite ma quantité d'alcool. Je bois parce que les gens boivent. Pas par conformisme, mais parce que l'ivresse des relations est plus agréable avec des buveurs quand tu es toi même un buveur. Et un poil d’inhibition en moins c'est cool aussi.Si je n’étais pas parvenu à y écrire grand-chose, c’est qu’être heureux me prenait tout mon temps.
Pour les psychotropes c'est encore autre chose, et ça va être chaud de ne pas tomber dans l'apologie. Disons que tu prends des drogues dans un objectif, soit "récréatif"; soit "psychonautique".
D'un point de vue récréatif c'est principalement pour tripper dans un canap à regarder les textures et les murs onduler, ou chercher à être plus en contact avec la musique.
Des exemples au sujet des visuels
https://psychonautwiki.org/w/images/3/3 ... _Fruit.gif
https://psychonautwiki.org/w/thumb.php? ... &width=640
D'un point de vue psychonautique, le LSD ou les Champi te pousse à l'introspection de manière très intense. C'est comme si tu te regardais de l’intérieur avec un oeil différent.
Je me suis rendu compte à travers mon cheminement personnel/éthique que l'aide et la bienveillance étaient parmi les valeurs qui me touchaient le plus. Après un trip à réfléchir sur ma place dans le monde j'ai fini par m'inscrire au resto du coeur. J'ai aussi appris à aimer et à m'ouvrir aux autres en toute sincérité.
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- [0] Intéressant le 22.08.16, 11h33 par Blusher
Avant-hier j'ai vraiment été touché.
Touché par l'aide spontané d'un blanc quand je négociais auprès d'un loueur de vélos. Le pignon de la roue a lâché quand je pédalais, et j’ai zigzagué jusqu’à finir dans le talut. Il demandait 50 balles pour la réparation de son maudit mono vitesse rouillé sans dérailleur. Je n’en démordais pas.
Dans un anglais british, mon ange gardien m'explique que si je ne paye pas, c'est la police qui fera justice avec une balance où seul mon argent plaide en ma faveur. Je n'ai pas la thune. Du coup j'appelle des copains pour me ramener du cash et payer ce loueur qui ne veut rien savoir. En attendant cet argent providentiel, je bavarde avec cet anglais immigré depuis 7 ans ici pendant que son marmot attend, placide sur un tabouret. Sa nonchalance cynique, ses dents tordues décorées de tâche de tabac et son dos voûté sont témoins d'une vie ‘’with ups and Downs ". Et pourtant, en parlant de son retour prochain dans son Angleterre natale, ses grands yeux bleus illuminaient avec candeur ce visage où le sourire n'existait que sous forme de rides. En montant dans le bus du retour je repensais à cet échange et sa magie. Magie que la vie sait si bien parsemer pour vous garder intéresser.
Je ne sais pas si c'est la barrière de la langue ou que mes contacts avec les Thaï sont pour la large majorité sous un angle marchand, mais j'ai l'impression de passer à côté de leur culture.
Je vais me mettre à apprendre le Thaï.
Bon, ce n'est pas tout mais je tiens un journal sur un site de séduction, je vais raconter mes conneries.
Les premières semaines étaient vraiment intensif niveau boîte. Je me donnais à fond et je me suis bien marré. J’ai du open genre une grosse 15 aine de nanas, et j’adore ça. Qu’est-ce que c’est bon.
Bon niveau résultats, ce n'est pas fou, 2 facebook, après, compte tenu de mon alcoolémie, et de ma proportion à me casser pour aucune raison ce n'est pas si mal. Je sais pas comment vous faites pour écrire vos histoires, mais je retiens tellement pas les conneries que je raconte.
En fait, si je pouvais flirter sans dire un mot juste grâce à de la tension sexuelle dans les regards et les corps, ça serait vraiment ma came.
En ce moment je me sers un peu de Tinder, deux dates pour l’instant. Bangkok c’est grand donc la logistique c’est casse-noix. Une avec une nana par spécialement passionnée, pas envie de la revoir. L’autre plus intéressante et quelques années de plus que moi. Ça aurait pu finir dans ma chambre. Mais non. Je le sentais pas.
Ici, personne ne s’embrasse dans la rue.
La pression sociale à Bangkok est bien plus forte, et c’est dommage, car c’est ça qui me fait vraiment kiffer. Se tenir la main en courant comme des gamins, en s’embrassant sous un porche ou sur un banc. Lui étaler de la glace sur le nez puis la lécher tendrement en descendant sur ses lèvres tremblantes. Écrire ça me fait penser à Cerise. Quand on se cachait du groupe pour aller se bécoter sur la plage. Quand je m’étais assis, elle sur mes genoux, sur une petite chaise trônant au milieu d’une rue en travaux. Quand on se racontait nos vies sur le toboggan d’un square.
D’ailleurs elle a pris de mes nouvelles aujourd’hui ça m'a fait plaisir !
Bref, je me pose encore plein de questions sur ce que je cherche à partager avec les femmes, et je me dis que c’est en les fréquentant et en m’écoutant que je finirais par savoir.
Bisous bisous !
Touché par l'aide spontané d'un blanc quand je négociais auprès d'un loueur de vélos. Le pignon de la roue a lâché quand je pédalais, et j’ai zigzagué jusqu’à finir dans le talut. Il demandait 50 balles pour la réparation de son maudit mono vitesse rouillé sans dérailleur. Je n’en démordais pas.
Dans un anglais british, mon ange gardien m'explique que si je ne paye pas, c'est la police qui fera justice avec une balance où seul mon argent plaide en ma faveur. Je n'ai pas la thune. Du coup j'appelle des copains pour me ramener du cash et payer ce loueur qui ne veut rien savoir. En attendant cet argent providentiel, je bavarde avec cet anglais immigré depuis 7 ans ici pendant que son marmot attend, placide sur un tabouret. Sa nonchalance cynique, ses dents tordues décorées de tâche de tabac et son dos voûté sont témoins d'une vie ‘’with ups and Downs ". Et pourtant, en parlant de son retour prochain dans son Angleterre natale, ses grands yeux bleus illuminaient avec candeur ce visage où le sourire n'existait que sous forme de rides. En montant dans le bus du retour je repensais à cet échange et sa magie. Magie que la vie sait si bien parsemer pour vous garder intéresser.
Je ne sais pas si c'est la barrière de la langue ou que mes contacts avec les Thaï sont pour la large majorité sous un angle marchand, mais j'ai l'impression de passer à côté de leur culture.
Je vais me mettre à apprendre le Thaï.
Bon, ce n'est pas tout mais je tiens un journal sur un site de séduction, je vais raconter mes conneries.
Les premières semaines étaient vraiment intensif niveau boîte. Je me donnais à fond et je me suis bien marré. J’ai du open genre une grosse 15 aine de nanas, et j’adore ça. Qu’est-ce que c’est bon.
Bon niveau résultats, ce n'est pas fou, 2 facebook, après, compte tenu de mon alcoolémie, et de ma proportion à me casser pour aucune raison ce n'est pas si mal. Je sais pas comment vous faites pour écrire vos histoires, mais je retiens tellement pas les conneries que je raconte.
En fait, si je pouvais flirter sans dire un mot juste grâce à de la tension sexuelle dans les regards et les corps, ça serait vraiment ma came.
En ce moment je me sers un peu de Tinder, deux dates pour l’instant. Bangkok c’est grand donc la logistique c’est casse-noix. Une avec une nana par spécialement passionnée, pas envie de la revoir. L’autre plus intéressante et quelques années de plus que moi. Ça aurait pu finir dans ma chambre. Mais non. Je le sentais pas.
Ici, personne ne s’embrasse dans la rue.
La pression sociale à Bangkok est bien plus forte, et c’est dommage, car c’est ça qui me fait vraiment kiffer. Se tenir la main en courant comme des gamins, en s’embrassant sous un porche ou sur un banc. Lui étaler de la glace sur le nez puis la lécher tendrement en descendant sur ses lèvres tremblantes. Écrire ça me fait penser à Cerise. Quand on se cachait du groupe pour aller se bécoter sur la plage. Quand je m’étais assis, elle sur mes genoux, sur une petite chaise trônant au milieu d’une rue en travaux. Quand on se racontait nos vies sur le toboggan d’un square.
D’ailleurs elle a pris de mes nouvelles aujourd’hui ça m'a fait plaisir !
Bref, je me pose encore plein de questions sur ce que je cherche à partager avec les femmes, et je me dis que c’est en les fréquentant et en m’écoutant que je finirais par savoir.
Bisous bisous !
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [0] La suite, vite ! le 30.08.16, 14h38 par Aristophane
- [0] Encore le 30.08.16, 21h12 par Blusher
- [0] Like ! le 30.08.16, 22h55 par Maslow
J’ai vraiment l’impression de m’être libéré d’un poids, comme d’un sac à dos bien lourd de camping. Du genre que t'as trainé toute la rando.
3 amis en quête de sagesse. C’est frais, abordable, pragmatique. Ces trois amis se complètent magistralement, leurs parcours de vie sont différents mais une sorte de direction générale se dessine à la croisée de leurs témoignages. J’en ai fait des posts-its.
Eckhart Tolle - Le Pouvoir du Moment Present, top. Merci Maslow.
Bon, il flirt pas mal de fois avec une forme de mysticisme
Et ouai je suis drôle en soirée.
En fait c’est pas bien grave qu’il se soit torché avec toute forme d'épistémologie, il y a un temps pour comprendre et un temps pour exister. Et si il y a bien un bouquin pour sentir la vie au bout de ses doigts c’est celui-ci.
En relisant la liste que j'avais faite quelques mois auparavant, mince je me sens différent.
Je suis bien plus détaché du jugement des autres et de mon jugement sur les autres. (fin c'est même pas mon jugement, c'est juste mon égo, ma petite voie qui clive dans le but d'exister). Je me sens plus proche des gens, et moins de l'image qu'il me renvoie de moi même. Bref, serein.
Tiens par exemple; j'ai perdu mon portefeuille avec CB, 250€ (tout mon loyé), pass de ma chambre, et mes clefs de Paris. Mais ça ne m'a perturbé plus que ça. Je pourrais me morfondre dans un présent fantasmé où je les ai encore et où mes économies de taf pour le voyage ne seront pas esquintées, mais c'est plus agréable de les chercher avec entrain et concentration. Toujours pas retrouvé d'ailleurs, je pense faire opposition demain.
Oh et le pouvoir d'un simple "Salut", je m'en étais jamais rendu compte. J'étais dans une manière très binaire d’interagir. Genre soit je vais parler à quelqu'un et on tape la conversation, soit, et bien pas du tout.
Alors que cette petite marque de "hey je rentre dans ta réalité en toute légèreté", c'est un peu une manière de pas se presser. Ce n'est pas grave si je bavarde pas tout de suite. Ca fera pas bizarre, la glace a déjà été brisée.Ce truc s'applique surtout dans les espaces genre piscine, salle d'attente etc. etc..
Edit: Oh et putain, j'ai abordé pour la première fois de ma vie une meuf, en soirée, en étant sobre. Je pose le contexte:
Fullmoon (yesss). J'en ai marre du boom boom de la psytrance, je dis à un pote que je m'arrache faire des rencontres. Je marche un peu, esquive deux trois déchets, jeu de jambe, oh tient un groupe. Je les rejoins. Un petit groupe mixte assis sur sur la plage, ils ont l'air cool, je rentre dans la discussion,on bavarde, on rigole. Mais! je suis pas là pour ça, je fini part me lever à la recherche de ce qui me fait vraiment flipper. Une zoulette.
Je déambule, je croise des filles, des jolies, des mignones, des moins. Rahh too much excuses dans ma tête. Que dire, que faire. Gné cerveau en carton.
Et là je repense à "ode à la simplicité" de Blusher. Et d'un coup je me dis "Bah ouai, je me complique bien la vie quand même", j'ai juste à ouvrir la bouche. Et là comme une apparition, je vois une nana assise, à coté d'un couple en train de se galoche allongé dans le sable. On dirait qu'elle tient la chandelle pour ses potes. Et bien voilà une inspiration toute trouvée.
-I hope they are not your friends *pointant le galochage* 'cause you will have to find someone to start a competion.
-Ahah no, they are not.
-I was walking, I saw you, found you pretty and wanted to come and talk to you. (je savais pas trop sur quoi enchaîner)
-*pas de réponse*
-So, where are you frlmolmle *bafouillage sa mère*.
-*La fameuse 'What the fuck qu'est-ce que tu racontes' face*
Déchauffage de ma part, tout son visage s'est refermé, pas le courage de maintenir la discussion. Je lui dis au revoir en souriant.
Yesss, I made it!
J'ai bien mérité de passer tout le reste de la soirée avec mes potes :>...
Edit 2: Rencard surement dans la semaine avec un francaise trouvée sur tinder. Elle a deux gros arguments, la photo et la techno. D'ailleurs niveau street photo, je me régale! J'aimerai bien partager avec vous cette passion et mes clichés, mais je tiens trop à mon anonymat civil.
3 amis en quête de sagesse. C’est frais, abordable, pragmatique. Ces trois amis se complètent magistralement, leurs parcours de vie sont différents mais une sorte de direction générale se dessine à la croisée de leurs témoignages. J’en ai fait des posts-its.
Eckhart Tolle - Le Pouvoir du Moment Present, top. Merci Maslow.
Bon, il flirt pas mal de fois avec une forme de mysticisme
Ouai non.Même une pierre a une conscience rudimentaire, sinon elle n'existerait pas et ses atomes et ses molécules se disperseraient.
Et ouai je suis drôle en soirée.
En fait c’est pas bien grave qu’il se soit torché avec toute forme d'épistémologie, il y a un temps pour comprendre et un temps pour exister. Et si il y a bien un bouquin pour sentir la vie au bout de ses doigts c’est celui-ci.
En relisant la liste que j'avais faite quelques mois auparavant, mince je me sens différent.
Je suis bien plus détaché du jugement des autres et de mon jugement sur les autres. (fin c'est même pas mon jugement, c'est juste mon égo, ma petite voie qui clive dans le but d'exister). Je me sens plus proche des gens, et moins de l'image qu'il me renvoie de moi même. Bref, serein.
Tiens par exemple; j'ai perdu mon portefeuille avec CB, 250€ (tout mon loyé), pass de ma chambre, et mes clefs de Paris. Mais ça ne m'a perturbé plus que ça. Je pourrais me morfondre dans un présent fantasmé où je les ai encore et où mes économies de taf pour le voyage ne seront pas esquintées, mais c'est plus agréable de les chercher avec entrain et concentration. Toujours pas retrouvé d'ailleurs, je pense faire opposition demain.
Oh et le pouvoir d'un simple "Salut", je m'en étais jamais rendu compte. J'étais dans une manière très binaire d’interagir. Genre soit je vais parler à quelqu'un et on tape la conversation, soit, et bien pas du tout.
Alors que cette petite marque de "hey je rentre dans ta réalité en toute légèreté", c'est un peu une manière de pas se presser. Ce n'est pas grave si je bavarde pas tout de suite. Ca fera pas bizarre, la glace a déjà été brisée.Ce truc s'applique surtout dans les espaces genre piscine, salle d'attente etc. etc..
Edit: Oh et putain, j'ai abordé pour la première fois de ma vie une meuf, en soirée, en étant sobre. Je pose le contexte:
Fullmoon (yesss). J'en ai marre du boom boom de la psytrance, je dis à un pote que je m'arrache faire des rencontres. Je marche un peu, esquive deux trois déchets, jeu de jambe, oh tient un groupe. Je les rejoins. Un petit groupe mixte assis sur sur la plage, ils ont l'air cool, je rentre dans la discussion,on bavarde, on rigole. Mais! je suis pas là pour ça, je fini part me lever à la recherche de ce qui me fait vraiment flipper. Une zoulette.
Je déambule, je croise des filles, des jolies, des mignones, des moins. Rahh too much excuses dans ma tête. Que dire, que faire. Gné cerveau en carton.
Et là je repense à "ode à la simplicité" de Blusher. Et d'un coup je me dis "Bah ouai, je me complique bien la vie quand même", j'ai juste à ouvrir la bouche. Et là comme une apparition, je vois une nana assise, à coté d'un couple en train de se galoche allongé dans le sable. On dirait qu'elle tient la chandelle pour ses potes. Et bien voilà une inspiration toute trouvée.
-I hope they are not your friends *pointant le galochage* 'cause you will have to find someone to start a competion.
-Ahah no, they are not.
-I was walking, I saw you, found you pretty and wanted to come and talk to you. (je savais pas trop sur quoi enchaîner)
-*pas de réponse*
-So, where are you frlmolmle *bafouillage sa mère*.
-*La fameuse 'What the fuck qu'est-ce que tu racontes' face*
Déchauffage de ma part, tout son visage s'est refermé, pas le courage de maintenir la discussion. Je lui dis au revoir en souriant.
Yesss, I made it!
J'ai bien mérité de passer tout le reste de la soirée avec mes potes :>...
Edit 2: Rencard surement dans la semaine avec un francaise trouvée sur tinder. Elle a deux gros arguments, la photo et la techno. D'ailleurs niveau street photo, je me régale! J'aimerai bien partager avec vous cette passion et mes clichés, mais je tiens trop à mon anonymat civil.
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [0] Intéressant le 27.09.16, 14h38 par Aristophane
- [0] Bien joué le 27.09.16, 19h32 par Rickhunter
- [0] La suite, vite ! le 28.09.16, 08h05 par MaryeL
- [0] La suite, vite ! le 28.09.16, 10h39 par r-0
Fais pas la mijorée on a vu ta tête sur le forum ! hahaD'ailleurs niveau street photo, je me régale! J'aimerai bien partager avec vous cette passion et mes clichés, mais je tiens trop à mon anonymat civil.
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [0] En effet le 28.09.16, 15h09 par Aristophane