Mec, je viens de relire tout ce post, et je t'assure que je ne sais par quelle miracle tu es arrivé ici, mais ca m'a fait un bien fou de te lire !
Je termine juste quelques points, surement pour moi aussi car ca m'aide de les mettre à plat, mais ca peux pas faire de mal je pense !
Comme tu le dis, en été dans un contexte ou socialement tu es au top, y'a 0 soucis pour maintenir le bon état d'esprit.
Moi quand je repense à ma vie en été, à tous les projets que j'avais, toutes les choses que je faisais pour moi, bah j'me rend compte que j'était tellement bien mentalement, et que c'est ca qui à attirée la fille avec qui j'ai le même type de relation que toi.
Et là, la vie faisant son petit bout de chemin, j'ai accomplis tous mes petits projets et j'suis rentré dans une routine, et c'est là qu'a commencé le déséquillibre et que j'ai commencé à vriller.
Avant, ma relation n'était qu'un projet parmis tous les autres que j'avait, et c'est, je pense, comme ca qu'une relation doit être, et comme celà qu'elle fonctionne de facon saine et sereine.
Maintenant, ma relation est devenu mon projet, vu que je n'en ai plus d'autre, alors que de son côté elle à garder tous ses projet ( notamment celui de partir voyager 3 mois ), et je ne suis toujours pour elle qu'un projet parmis les autres.
Inconsciemment ca m'a tué, j'me suis retrouvé à me rendre compte que si elle était mon seul projet, pour elle je ne l'étais pas et le déséquillibre c'est formé.
Ne laisse surtout pas ça arriver, pour toi d'abord, car je pense que tu es dans une démarché d'amélioration sur toi même, et que c'est surtout ca qui compte au final.
Et un dernier conseil, que je te donne, j'ai fait exactement comme toi, je lui ai aussi envoyé un message en lui expliquant ce que je ressentais un peu, et c'est clair que ca fait du bien de pouvoir lui dire, surtout dans une relation basée sur la communication comme celle là. Mais ne tombe pas dans le piège de vouloir trop lui donner tes sentiments/ressentis car ce n'est jamais agréable quelqu'un qui se plaint tout le temps et qui doute !
Utilise cette arme avec parcimonie, sinon tu vas l'user et qu'elle ne marche plus.
En gros, vis, vis à fond ta vie et ta relation vivra.
Bon courage mec !
On essaye de faire un truc beau !
Aimer sans chercher à être aimé...un défi
J'ai été lire ton journal du coup touska.
J'ai pas lu tout les détails, mais effectivement, je retrouve un paquet de points communs entre nos deux récits.
Pour l'histoire d'exprimer ses sentiments, je trouve qu'il y a un truc dingue: Lorsqu'on est en face à face avec la personne, et qu'il y a un minimum de synchronisation dans l'échange, c'est un énorme renforçateur d'émotions positives de faire ça. Mais lorsque ça se fait à distance, dans un moment où on est pas synchronisés, il y a rien de pire.
C'est même plus une question de pas tomber dans le piège là, je le ferais plus du tout par message/appel, à moins d'en arriver à un moment où plus rien n'est possible et que j'ai besoin de vider mon sac une dernière fois.
Surtout que je me rend compte que cette periode d'anxiété m'a, de mon côté, fait oublier plein de choses. Je suis tombé hier sur un extrait d'un film qu'on a regardé ensemble, et je me suis rendu compte que j'avais oublié plein de moments et à quel point tout semblait aller bien.
Alors si moi, comme une sorte de protection, j'ai momentanément oublié l'alchimie qu'il y avait...Elle, de son côté, dans son contexte où il est facile de se changer les idées avec autre chose, il est pas impossible qu'elle ait des souvenirs de nous deux totalement différents de ce qu'elle ressentait sur le moment...Encore un truc pour lequel je peux rien faire.
Le mieux serait de communiquer, pas exactement comme si rien ne s'était passé, mais en faisant comme si on pouvait avoir le même contact qu'avant, de complicité, en n'oubliant pas tout les petits sous entendus coquins etc...
Pour ce qui est de pas abandonner ses projets...Les miens me mettent tellement dans une situation de responsabilité que ce n'est pas possible dans tout les cas. J'ai une centaine d'élève pour qui je dois me comporter comme un guide, sans me ménager.
Mes relations avec eux sont d'ailleurs les plus riches que j'ai eu, avec mes relations amoureuse. Mais ils ne peuvent pas m'apporter quoi que ce soit qui ressemble à un soutien affectif.
De toute façon je vais lui proposer dans les jours qui viennent de passer la voir dans sa ville. J'ai un soir dans la semaine prochaine où je dois passer pas loin, on verra bien à ce moment là.
Si il y a refus, ça sera nada pendant un mois, et si c'est nada pendant un mois et qu'on se revoit ensuite, je pense qu'il y aura plus qu'à recommencer comme lors d'une première rencontre.
"on essaie de faire un truc beau" : Ah oui, à deux on a plus de chance qu'il y en ai un pour qui ça finit positivement
Alea jacta est
J'ai pas lu tout les détails, mais effectivement, je retrouve un paquet de points communs entre nos deux récits.
Pour l'histoire d'exprimer ses sentiments, je trouve qu'il y a un truc dingue: Lorsqu'on est en face à face avec la personne, et qu'il y a un minimum de synchronisation dans l'échange, c'est un énorme renforçateur d'émotions positives de faire ça. Mais lorsque ça se fait à distance, dans un moment où on est pas synchronisés, il y a rien de pire.
C'est même plus une question de pas tomber dans le piège là, je le ferais plus du tout par message/appel, à moins d'en arriver à un moment où plus rien n'est possible et que j'ai besoin de vider mon sac une dernière fois.
Surtout que je me rend compte que cette periode d'anxiété m'a, de mon côté, fait oublier plein de choses. Je suis tombé hier sur un extrait d'un film qu'on a regardé ensemble, et je me suis rendu compte que j'avais oublié plein de moments et à quel point tout semblait aller bien.
Alors si moi, comme une sorte de protection, j'ai momentanément oublié l'alchimie qu'il y avait...Elle, de son côté, dans son contexte où il est facile de se changer les idées avec autre chose, il est pas impossible qu'elle ait des souvenirs de nous deux totalement différents de ce qu'elle ressentait sur le moment...Encore un truc pour lequel je peux rien faire.
Le mieux serait de communiquer, pas exactement comme si rien ne s'était passé, mais en faisant comme si on pouvait avoir le même contact qu'avant, de complicité, en n'oubliant pas tout les petits sous entendus coquins etc...
Pour ce qui est de pas abandonner ses projets...Les miens me mettent tellement dans une situation de responsabilité que ce n'est pas possible dans tout les cas. J'ai une centaine d'élève pour qui je dois me comporter comme un guide, sans me ménager.
Mes relations avec eux sont d'ailleurs les plus riches que j'ai eu, avec mes relations amoureuse. Mais ils ne peuvent pas m'apporter quoi que ce soit qui ressemble à un soutien affectif.
De toute façon je vais lui proposer dans les jours qui viennent de passer la voir dans sa ville. J'ai un soir dans la semaine prochaine où je dois passer pas loin, on verra bien à ce moment là.
Si il y a refus, ça sera nada pendant un mois, et si c'est nada pendant un mois et qu'on se revoit ensuite, je pense qu'il y aura plus qu'à recommencer comme lors d'une première rencontre.
"on essaie de faire un truc beau" : Ah oui, à deux on a plus de chance qu'il y en ai un pour qui ça finit positivement

Alea jacta est
J'avais oublié ce post...Et je m'en suis souvenu hier, j'avais dit que je viendrais poster le fin mot de l'histoire.
Après mes messages ici, j'ai tenté d'entretenir la chose de la manière la plus légère possible 2-3 semaine. Elle est devenue distante au possible. J'ai finis pas dire de moi même que je laissait tomber.
C'est la rupture qui m'a le plus marqué jusqu'à maintenant. Pourtant j'en ai vécu d'autres, et plus jeune, et après des relations bien plus longues...
Un bon mois après, quand je me sentais mieux, j'ai tenté de prendre de ses nouvelles. Pas de réponse.
Ce truc là m'a achevé. Je ne me sentais pas de la reconquérir, je voulais prendre des nouvelles...et inconsciemment, espérer qu'elle prenne des miennes.
Avant de se mettre ensemble on avait posé les choses ensemble en étant tout les deux d'accords (enfin il semblait) que la communication et l'honnêteté étaient les deux éléments essentiels de toutes les étapes d'une relation... Je suis toujours resté en bon terme avec mes ex, qui sont souvent devenues des amies, et pourtant la majorité étaient moins portées sur ce truc de "on se sépare, mais on a de la considération pour la personne dont on a été complice/amant un temps".
J'ai pas pu empêcher la colère immense qui est née de cette incompréhension "on parlait de communication, tu était collée à moi, on était complice, et brutalement je deviens un indésirable qu'il faut évincer".
Moi qui me sentait mature émotionnellement, j'ai pas mal trinqué.
J'en ai appris deux choses:
-La première c'est que même quand tu "obtient ce que tu voulais" après avoir couru après la nana, il vient un moment où il faut renoncer. Et que, contrairement aux ruptures que j'avais vécu jusque là, parfois il faut renoncer sans chercher à comprendre pourquoi ça c'est passé, sans que la personne t'accompagne dans la séparation, sans qu'il n'y ait d'explications, sans qu'il n'y ait de compensation.
-La deuxième, et la plus importante, c'est que la colère, la tristesse, il faut les vivre comme tout le reste. Je voulais n'être que joie et acceptation des séparations, j'ai finit par accepter que tant que tu vis pas totalement cette émotion, ce truc qui te met en branle, tu avances pas. Et c'est que une fois que tu l'a vécu totalement que tu finit par t'apaiser.
En octobre on avait parlé d'un bouquin tout les deux. J'avais passé une commande de livres sur amaz*n pour faire des cadeaux de noël (je m'y prend en avance) , à plusieurs personnes, dont elle si on était toujours ensemble à la fin de l'année.
Ce bouquin est resté dans mon placard deux mois sans que je sache quoi en faire.
Hier j'ai décidé de l'emballer et de le déposer dans sa boite au lettre, avec juste un "Joyeux Noël, signé...le père Noël".
Elle en ferra ce qu'elle voudra
D'habitude à ce stade j'aurais réessayé de prendre contact amicalement, pour me prouver que je ne suis pas devenu "rien du tout " Cette fois ci je ne le ferais pas.
Après mes messages ici, j'ai tenté d'entretenir la chose de la manière la plus légère possible 2-3 semaine. Elle est devenue distante au possible. J'ai finis pas dire de moi même que je laissait tomber.
C'est la rupture qui m'a le plus marqué jusqu'à maintenant. Pourtant j'en ai vécu d'autres, et plus jeune, et après des relations bien plus longues...
Un bon mois après, quand je me sentais mieux, j'ai tenté de prendre de ses nouvelles. Pas de réponse.
Ce truc là m'a achevé. Je ne me sentais pas de la reconquérir, je voulais prendre des nouvelles...et inconsciemment, espérer qu'elle prenne des miennes.
Avant de se mettre ensemble on avait posé les choses ensemble en étant tout les deux d'accords (enfin il semblait) que la communication et l'honnêteté étaient les deux éléments essentiels de toutes les étapes d'une relation... Je suis toujours resté en bon terme avec mes ex, qui sont souvent devenues des amies, et pourtant la majorité étaient moins portées sur ce truc de "on se sépare, mais on a de la considération pour la personne dont on a été complice/amant un temps".
J'ai pas pu empêcher la colère immense qui est née de cette incompréhension "on parlait de communication, tu était collée à moi, on était complice, et brutalement je deviens un indésirable qu'il faut évincer".
Moi qui me sentait mature émotionnellement, j'ai pas mal trinqué.
J'en ai appris deux choses:
-La première c'est que même quand tu "obtient ce que tu voulais" après avoir couru après la nana, il vient un moment où il faut renoncer. Et que, contrairement aux ruptures que j'avais vécu jusque là, parfois il faut renoncer sans chercher à comprendre pourquoi ça c'est passé, sans que la personne t'accompagne dans la séparation, sans qu'il n'y ait d'explications, sans qu'il n'y ait de compensation.
-La deuxième, et la plus importante, c'est que la colère, la tristesse, il faut les vivre comme tout le reste. Je voulais n'être que joie et acceptation des séparations, j'ai finit par accepter que tant que tu vis pas totalement cette émotion, ce truc qui te met en branle, tu avances pas. Et c'est que une fois que tu l'a vécu totalement que tu finit par t'apaiser.
En octobre on avait parlé d'un bouquin tout les deux. J'avais passé une commande de livres sur amaz*n pour faire des cadeaux de noël (je m'y prend en avance) , à plusieurs personnes, dont elle si on était toujours ensemble à la fin de l'année.
Ce bouquin est resté dans mon placard deux mois sans que je sache quoi en faire.
Hier j'ai décidé de l'emballer et de le déposer dans sa boite au lettre, avec juste un "Joyeux Noël, signé...le père Noël".
Elle en ferra ce qu'elle voudra

D'habitude à ce stade j'aurais réessayé de prendre contact amicalement, pour me prouver que je ne suis pas devenu "rien du tout " Cette fois ci je ne le ferais pas.
Encore une fois, pas mal de similitudes avec ce que j'ai vécu cette année. Pas grand chose à ajouter, si ce n'est que cette stratégie d'évitement est juste un manque de maturité émotionnelle de sa part. Et c'est moche, mais bon, pas grand chose à faire si ce n'est passer à autre chose.Avant de se mettre ensemble on avait posé les choses ensemble en étant tout les deux d'accords (enfin il semblait) que la communication et l'honnêteté étaient les deux éléments essentiels de toutes les étapes d'une relation...
J'en profite pour partager un article à ce sujet ici : viewtopic.php?f=86&t=42713
Et c'est cool que tu aies pu tirer des leçons de cette rupture, tu es plus sage que moi

Je retiens tes paroles pleines de bon sens, en attendant de pouvoir les mettre en application :
la colère, la tristesse, il faut les vivre comme tout le reste. Je voulais n'être que joie et acceptation des séparations, j'ai finit par accepter que tant que tu vis pas totalement cette émotion, ce truc qui te met en branle, tu avances pas. Et c'est que une fois que tu l'a vécu totalement que tu finit par t'apaiser.
Certes.
Personnellement, c'est quelque chose que je ne fais pas, que je sois dans la position de celui qui quitte ou de celui qui est quitté.
Mais c'est aussi son droit de s'enfuir, de profiter d'un environnement qui permet des rencontres permanentes, ou de se mettre avec quelqu'un d'autre et donc de me laisser complètement en arrière.
Le fait que ça me marque à ce point traduit aussi mon manque de maturité émotionnelle, surement les traces du petit garçon de 10 ans qui s'est fait "ghosté" par sa petite amoureuse le jour où il a prit le courage de lui dire. J'avais besoin de revivre ce truc là pour évoluer, les relations que j'ai eu auparavant ne me l'ont pas fait revivre, donc en quelque sorte je peux lui en être reconnaissant.
Quand l'une manifeste ce manque de maturité par "J'ai peur et je m'enfuis quand on me montre des émotions, des sentiments un peu profonds, qui signifient pour moi la nécessité de l'engagement...et parce que j'ai été abandonné quand j'étais plus jeune, je ressens le besoin de me prouver que je peux à mon tour "abandonner" dès que je le veux"...
...L'autre le manifeste par "Si tu me quitte, j'ai besoin que tu me montre que je reste quand même quelqu'un de valeur à tes yeux. Parce que je n'ai pas été capable d'accepter d'être rejeté quand j'étais petit, et que j'ai perçu ça comme un manque de valeur de ma part".
Peut-être qu'à terme, c'est mieux pour moi de ne pas avoir pu fuir ce truc là.
Ca m'a aussi mis au clair sur ce que je souhaite vraiment (et ne souhaite plus )dans une relation.
Je ne veux plus me mettre dans le rôle de quelqu'un qui charme et impressionne par mes qualités comme c'était le cas jusque là. Plus de fille plus jeune qui va trouver en moi quelqu'un qui vient lui prouver qu'elle a de la valeur. Finit de mon côté de ne montrer que ma part "brillante", et ensuite prendre au dépourvu l'autre quand ma "part d'ombre", mes faiblesses ressortent malgré moi.
Plus quelqu'un qui va s'enfuir dès lors qu'elle va voir que j'ai tendance à tout faire à fond, avec passion et en profondeur.
Mais plutôt une "compagnonne". Une femme qui se mette sur un pied d'égalité avec moi, et qui prenne le bonhomme en entier, pas seulement la partie arrangeante.
j'ai tellement joué à faire le premier, le deuxième, le troisième pas à chaque fois...Je pense que le jour où ce ne sera pas moi qui ferai le premier pas, je tiendrais le bon bout
Personnellement, c'est quelque chose que je ne fais pas, que je sois dans la position de celui qui quitte ou de celui qui est quitté.
Mais c'est aussi son droit de s'enfuir, de profiter d'un environnement qui permet des rencontres permanentes, ou de se mettre avec quelqu'un d'autre et donc de me laisser complètement en arrière.
Le fait que ça me marque à ce point traduit aussi mon manque de maturité émotionnelle, surement les traces du petit garçon de 10 ans qui s'est fait "ghosté" par sa petite amoureuse le jour où il a prit le courage de lui dire. J'avais besoin de revivre ce truc là pour évoluer, les relations que j'ai eu auparavant ne me l'ont pas fait revivre, donc en quelque sorte je peux lui en être reconnaissant.
Quand l'une manifeste ce manque de maturité par "J'ai peur et je m'enfuis quand on me montre des émotions, des sentiments un peu profonds, qui signifient pour moi la nécessité de l'engagement...et parce que j'ai été abandonné quand j'étais plus jeune, je ressens le besoin de me prouver que je peux à mon tour "abandonner" dès que je le veux"...
...L'autre le manifeste par "Si tu me quitte, j'ai besoin que tu me montre que je reste quand même quelqu'un de valeur à tes yeux. Parce que je n'ai pas été capable d'accepter d'être rejeté quand j'étais petit, et que j'ai perçu ça comme un manque de valeur de ma part".
Peut-être qu'à terme, c'est mieux pour moi de ne pas avoir pu fuir ce truc là.
Ca m'a aussi mis au clair sur ce que je souhaite vraiment (et ne souhaite plus )dans une relation.
Je ne veux plus me mettre dans le rôle de quelqu'un qui charme et impressionne par mes qualités comme c'était le cas jusque là. Plus de fille plus jeune qui va trouver en moi quelqu'un qui vient lui prouver qu'elle a de la valeur. Finit de mon côté de ne montrer que ma part "brillante", et ensuite prendre au dépourvu l'autre quand ma "part d'ombre", mes faiblesses ressortent malgré moi.
Plus quelqu'un qui va s'enfuir dès lors qu'elle va voir que j'ai tendance à tout faire à fond, avec passion et en profondeur.
Mais plutôt une "compagnonne". Une femme qui se mette sur un pied d'égalité avec moi, et qui prenne le bonhomme en entier, pas seulement la partie arrangeante.
j'ai tellement joué à faire le premier, le deuxième, le troisième pas à chaque fois...Je pense que le jour où ce ne sera pas moi qui ferai le premier pas, je tiendrais le bon bout

Je vous remercie pour vos commentaires "courage"
Finalement, les émotions désagréables envolées, ce qu'il y a derrière répond au titre de ce sujet.
Les bons souvenirs restent, et l'intention que j'avais au tout départ, l'été dernier, est revenue: "j'aimerais juste causer avec toi, si tu ne veux pas, ça ne change rien de ce que je ressens, ce n'est pas grave"
Ce truc là est hyper doux, hyper agréable, et passe complètement au delà du ressenti désagréable du "ghosting"...C'est l'exact opposé de la dépendance que j'ai ressenti à un moment
Et je sens ça s'étend à mes autres relations...ça fait naître du pardon pour d'autres remous et tensions du passé
Et c'est en train de se faire tout seul, sans effort, et comme il n'y a plus de réponse, plus rien en face, c'est en train de se cristalliser.
sujet clos
Finalement, les émotions désagréables envolées, ce qu'il y a derrière répond au titre de ce sujet.
Les bons souvenirs restent, et l'intention que j'avais au tout départ, l'été dernier, est revenue: "j'aimerais juste causer avec toi, si tu ne veux pas, ça ne change rien de ce que je ressens, ce n'est pas grave"
Ce truc là est hyper doux, hyper agréable, et passe complètement au delà du ressenti désagréable du "ghosting"...C'est l'exact opposé de la dépendance que j'ai ressenti à un moment
Et je sens ça s'étend à mes autres relations...ça fait naître du pardon pour d'autres remous et tensions du passé
Et c'est en train de se faire tout seul, sans effort, et comme il n'y a plus de réponse, plus rien en face, c'est en train de se cristalliser.
sujet clos