Une semaine de date - Un bilan mitigé
Après avoir été réinscrit sur Tinder avec l'aide de ma pote pour les photos, j'ai donc pu constater que j'avais un réel succès dans mes terres et le moyen de me redonner un peu de confiance avec la gente féminine.
Au final, le bilan s'avère assez mitigé pour la semaine. Et surtout, un certain ennui de ma part. Je trouve pas de feeling ici ou là avec telle ou telle fille...
Lundi - Premier rendez-vous avec A.
A. est une jeune maman vraiment jolie, avec laquelle j'avais bien sympathisé. Je trouvais que le courant passait bien dans la soirée, la discussion était fluide, même si je sentais qu'elle avait décroché à un moment.
En lui proposant de se revoir à la fin de la soirée, elle me dit en toute franchise "tu es un mec franchement cool, mais tu n'es pas célibataire depuis assez longtemps, j'ai déjà donné."
Bon, raté. Surpris mais content d'avoir eu une réponse franche. Next.
Mardi - Premier rendez-vous avec C.
La journée avait été merdique. Les logements dans les grandes villes de l'Ouest c'est la croix et la bannière en ce moment. Après cinq visites et un orage, je rentre chez moi lessivé d'avoir reçu quatre refus. Bonne grosse soirée de merde en perspective, jusqu'à ce que la mignonne C. m'envoi un message "Journée de merde ? Passe à mon appart et apporte des bières et un jeu".
Une heure plus tard, malgré la fatigue, je me pointe chez C. Le contact s'est fait très facilement, on se taquinait et on a même pas eu le temps de jouer au jeu (tout du moins, pas celui que j'avais apporté).
Je n'ai pas eu trop le temps de la relancer cette semaine, mais je me suis fixé de la revoir. J'aime bien sa bouille et sa bonne humeur.
Mardi (aussi) - O. un drôle de cas
Une fille commence à matcher avec moi sur Tinder. On peut clairement dire qu'au niveau de l'apparence pure, on est sur le très haut du panier. Alors on commence à discuter. Le courant par message passe très vite (trop?). La fille me parle de ses passions, ça fuse à 1000 à l'heure, elle m'envois des photos de shooting, et elle me propose qu'on se boive un verre le jeudi soir.
Pendant la soirée, elle continue de me causer. Pas trop le moral de son côté, je me permet un mot réconfortant, rien de lourd non plus.
La meuf répond sèchement. Plus de nouvelle depuis.
Un des gros mystères de l'existence.
Vendredi - Rendez-vous avec L.
L. est une interne en médecine avec de grosses journées et une timidité annoncée. Je lui propose de se retrouver dans un bar à jeux de société. Quoi de mieux qu'une activité commune pour briser des barrières.
Elle est mignonne, aucun problème. Mais bon sang, qu'est ce que je me suis fait chier.
L'échange va dans un sens, je tente de la dérider, d'en savoir plus sur elle. Si je n'essayais pas de faire la conversation, on aurait regardé le fond de nos verres. Je lui propose un jeu, elle accepte. Aucun délire de son côté, elle s'emmerde et je m'emmerde.
Au final, j'ai plus déliré avec l'organisatrice de la soirée karaoké qui avait la pêche.
Je repars en me disant qu'à être fatigué, autant rester chez soi. Déception.
De jeudi à ... - Le mystère LL.
L. est un cas très particulier. Un caractère spécial, pas évident à briser au niveau de ses barrières. Pourtant, elle me parle, elle continue encore et encore et j'arrive même à lui décrocher quelques fou rires. La fille me contacte tous les jours pour causer (vocalement). Elle m'a proposé un rendez-vous hier, qu'elle a dû annuler pour la fatigue au dernier moment.
Elle me propose de nouveau un rendez-vous ce midi... Je reste dans l'expectative, on verra bien. Mais clairement, les discussions en vocal m'ont convaincu d'essayer.
Verdict au prochain épisode.
Libération à 32 ans
C'est pas tous les jours facile en ce moment
Un jour en ce début du mois de septembre, la merde s'est arrêtée de pleuvoir sur ma tête. Après trois mois sans interruption, les choses ont commencé à tourner dans le bon sens.
Je me souviens du jour où tout s'est arrêté. Je venais d'enchainer cinq visites d'appartement et alors que je sortais de l'un d'entre eux, je recevais un appel pour m'annoncer que celui pour lequel j'avais eu un coup de cœur m'avait été refusé. Au même moment, un orage (bien véridique) s'est abattu sur ma gueule. Des trombes de flotte à me laisser détremper.
Je me suis isolé, je suis resté là sans rien dire et puis je me suis fait cette réflexion "Il ne peut plus rien m'arriver".
Deux jours après, je trouvais enfin un logement et l'assurance d'avoir un toit au-dessus de la tête.
En ce début de semaine, je trouvais enfin un accord avec mon boulot pour partir de façon convenable d'un point de vue financier. Et sans obligation de revenir au bureau où l'ambiance devenait détestable.
Le timing est donc parfait pour m'inscrire à la formation dont je rêvais et la commencer dès que possible, tout en me laissant le temps de me préparer en amont.
En parallèle, les relations s'étaient plutôt détendues avec mon ex-compagne. On en arrivait à passer de bons moments ensemble. Alors qu'elle comptait m'inviter à sa crémaillère (ce qui m'aurait permis de voir un paquet d'amis), elle en a été dissuadée. Hier elle m'annonçait que nous ne devions plus échanger pendant un temps, histoire de faire une vraie rupture.
Sur le coup ça m'a fait chier (surtout que cette soirée, mes amis étant tous pris, je vais la passer seul). Mais je vois ça comme un signe de l'Univers qui me dit "t'en fais pas, c'est positif, aies confiance".
Alors globalement, la vie va mieux. Je commence à remonter doucement la pente. Mais...
Avec la gente féminine, c'est le bordel
Autant cet été, je trouvais que je me démerdais plutôt bien et je trouvais que j'attirais de bonnes personnes. Depuis mon retour sur Tinder, c'est beaucoup plus mitigé.
Je rencontre des femmes, mais soit ça ne donne rien, la rencontre est mitigée, soit ça reste un coup d'un soir sans lendemain.
Je crois qu'en ce moment ma situation personnelle qui reste quand même compliquée, me fait envoyer des mauvaises ondes, la confiance n'est pas au top.
J'ai oublié comment sexualiser une conversation, la plupart du temps j'arrive à les attirer sous les draps, parce que j'ai un physique plutôt avantageux. Mais derrière, je me sens comme une coquille vide au niveau mental. Et pourtant, ma personnalité est riche, mais rien à faire.
Mon plus gros défaut, c'est que je pense manquer de caractère. Je suis un tempérament doux et calme, on ne me refera pas c'est dans ma nature. Mais l'affirmation de soi et le côté sécurisant du mec qui sait ce qu'il veut et ce qu'il fait, je ne l'ai plus.
Alors je pense que ça se sent, que j'attire juste comme ça mais que derrière, je n'arrive pas à passer le cran au-dessus. Je l'ai déjà fait, je sais que c'est possible.
Mais en ce moment, je ne retrouve pas ce mojo. Et qui plus est, je me retrouve avec des filles pour la plupart sympathiques, mais avec qui je ne développe aucun feeling.
Et je me sens aussi pressé par le temps. Pas consciemment, mais je voyais beaucoup d'amis ou de proches se marier cet été. Et ayant loupé mon mariage, et n'ayant pas fondé de famille, je commence à me sentir sur la touche.
32 ans, vous me direz, ce n'est pas grand chose. Et pourtant, je sens ce poids de la société peser sur moi et ça m'effraie.
Dans ces conditions, ce n'est pas le moment le plus propice aux rencontres. Surtout avec un tel état d'esprit.
Un jour en ce début du mois de septembre, la merde s'est arrêtée de pleuvoir sur ma tête. Après trois mois sans interruption, les choses ont commencé à tourner dans le bon sens.
Je me souviens du jour où tout s'est arrêté. Je venais d'enchainer cinq visites d'appartement et alors que je sortais de l'un d'entre eux, je recevais un appel pour m'annoncer que celui pour lequel j'avais eu un coup de cœur m'avait été refusé. Au même moment, un orage (bien véridique) s'est abattu sur ma gueule. Des trombes de flotte à me laisser détremper.
Je me suis isolé, je suis resté là sans rien dire et puis je me suis fait cette réflexion "Il ne peut plus rien m'arriver".
Deux jours après, je trouvais enfin un logement et l'assurance d'avoir un toit au-dessus de la tête.
En ce début de semaine, je trouvais enfin un accord avec mon boulot pour partir de façon convenable d'un point de vue financier. Et sans obligation de revenir au bureau où l'ambiance devenait détestable.
Le timing est donc parfait pour m'inscrire à la formation dont je rêvais et la commencer dès que possible, tout en me laissant le temps de me préparer en amont.
En parallèle, les relations s'étaient plutôt détendues avec mon ex-compagne. On en arrivait à passer de bons moments ensemble. Alors qu'elle comptait m'inviter à sa crémaillère (ce qui m'aurait permis de voir un paquet d'amis), elle en a été dissuadée. Hier elle m'annonçait que nous ne devions plus échanger pendant un temps, histoire de faire une vraie rupture.
Sur le coup ça m'a fait chier (surtout que cette soirée, mes amis étant tous pris, je vais la passer seul). Mais je vois ça comme un signe de l'Univers qui me dit "t'en fais pas, c'est positif, aies confiance".
Alors globalement, la vie va mieux. Je commence à remonter doucement la pente. Mais...
Avec la gente féminine, c'est le bordel
Autant cet été, je trouvais que je me démerdais plutôt bien et je trouvais que j'attirais de bonnes personnes. Depuis mon retour sur Tinder, c'est beaucoup plus mitigé.
Je rencontre des femmes, mais soit ça ne donne rien, la rencontre est mitigée, soit ça reste un coup d'un soir sans lendemain.
Je crois qu'en ce moment ma situation personnelle qui reste quand même compliquée, me fait envoyer des mauvaises ondes, la confiance n'est pas au top.
J'ai oublié comment sexualiser une conversation, la plupart du temps j'arrive à les attirer sous les draps, parce que j'ai un physique plutôt avantageux. Mais derrière, je me sens comme une coquille vide au niveau mental. Et pourtant, ma personnalité est riche, mais rien à faire.
Mon plus gros défaut, c'est que je pense manquer de caractère. Je suis un tempérament doux et calme, on ne me refera pas c'est dans ma nature. Mais l'affirmation de soi et le côté sécurisant du mec qui sait ce qu'il veut et ce qu'il fait, je ne l'ai plus.
Alors je pense que ça se sent, que j'attire juste comme ça mais que derrière, je n'arrive pas à passer le cran au-dessus. Je l'ai déjà fait, je sais que c'est possible.
Mais en ce moment, je ne retrouve pas ce mojo. Et qui plus est, je me retrouve avec des filles pour la plupart sympathiques, mais avec qui je ne développe aucun feeling.
Et je me sens aussi pressé par le temps. Pas consciemment, mais je voyais beaucoup d'amis ou de proches se marier cet été. Et ayant loupé mon mariage, et n'ayant pas fondé de famille, je commence à me sentir sur la touche.
32 ans, vous me direz, ce n'est pas grand chose. Et pourtant, je sens ce poids de la société peser sur moi et ça m'effraie.
Dans ces conditions, ce n'est pas le moment le plus propice aux rencontres. Surtout avec un tel état d'esprit.
Ça semble évoluer positivement niveau logement et pro. Content pour toi.
Pour les rencontres, le blues de la rentrée joue peut-être aussi. Il me semble préférable de garder aussi à l’esprit que les femmes célibataires quoique raisonnablement attirantes le sont en général pour de bonnes raisons indépendantes de toi.
Après il y a sûrement des choses à améliorer, puisque nous sommes tous perfectibles.
D’expérience perso, l’affirmation de soi est à double tranchant. Elle va certes attirer instinctivement les femmes, mais en repousser beaucoup dès qu’il s’agira d’entrer dans le dur (si j’ose dire).
C’est un peu comme une bombe atomique avec qui on pense n’avoir aucune chance. On la matera mais on ne se fatiguera même pas à aller l’aborder.
Sur le mariage, je connais plus d’un homme marié qui préférerait être à ma place. Surtout quand ils voient leur femme faire la gentille en société alors qu’ils s’en prennent plein la gueule en privé. Comme on dit : le mariage est une forteresse assiégée, ceux qui sont dehors veulent entrer et ceux qui sont dedans veulent sortir.
Prudence aussi avec les invitations type « dîner de cons ». Parfois, tu seras peut-être convié juste pour valoriser tes hôtes en tenant le rôle du pauvre célibataire paumé.
Sorry, c’est pas très folichon à dire et ce n’est après tout que mon ressenti. Ça reste humain, faut pas en vouloir aux autres pour ça, juste le savoir.
Perso, je le vis plutôt bien.
Courage.
Pour les rencontres, le blues de la rentrée joue peut-être aussi. Il me semble préférable de garder aussi à l’esprit que les femmes célibataires quoique raisonnablement attirantes le sont en général pour de bonnes raisons indépendantes de toi.
Après il y a sûrement des choses à améliorer, puisque nous sommes tous perfectibles.
D’expérience perso, l’affirmation de soi est à double tranchant. Elle va certes attirer instinctivement les femmes, mais en repousser beaucoup dès qu’il s’agira d’entrer dans le dur (si j’ose dire).
C’est un peu comme une bombe atomique avec qui on pense n’avoir aucune chance. On la matera mais on ne se fatiguera même pas à aller l’aborder.
Sur le mariage, je connais plus d’un homme marié qui préférerait être à ma place. Surtout quand ils voient leur femme faire la gentille en société alors qu’ils s’en prennent plein la gueule en privé. Comme on dit : le mariage est une forteresse assiégée, ceux qui sont dehors veulent entrer et ceux qui sont dedans veulent sortir.
Prudence aussi avec les invitations type « dîner de cons ». Parfois, tu seras peut-être convié juste pour valoriser tes hôtes en tenant le rôle du pauvre célibataire paumé.
Sorry, c’est pas très folichon à dire et ce n’est après tout que mon ressenti. Ça reste humain, faut pas en vouloir aux autres pour ça, juste le savoir.
Perso, je le vis plutôt bien.
Courage.
L'énergie a des hauts et des bas, surtout avec les changements de saisons et toutes les épreuves que tu as traversées sans ralentir, dans cette urgence d'échapper à l'emprise de ton ex et de te remettre en selle. Puis même si tes vacances ont été intéressantes elles n'ont sans doute pas été reposantes ni du point de vue physique ni du stress.
C'est pas aberrant d'avoir besoin d'un moment pour recharger tes batteries surtout avec cette contrainte que tu t'es imposée en vacances, et ton passif récent.
Prends un peu de temps pour toi, surtout que maintenant ça se décante pour toi.
Je ferais quand même attention à ton ex, elle s'est détendue en façade. En vrai on en sait rien.
Pour le reste, cette pression, tu dois t'en affranchir
Objectivement pour t'avoir vu dans l'autre sujet, et pour t'avoir lu ici surtout tu n'as rien du mec qui finira seul.
Tu es beau gosse et tu as un intellect au dessus de la moyenne, tu es clairement pas le genre de gars que les nanas cherchent à éviter, au contraire.
Ton mariage est un échec, peut-être. Mais c'est une histoire à deux et m'est avis que tu n'es pas la partie prenante majoritairement impliquée dans cet échec.
Aussi, dis toi que c'est pour le mieux. Comme dit Citadin, des tas de mecs mariés ou simplement en couple aimeraient être à ta place, souhaiteraient que leur femme les jette, car ils n'ont pas le courage d'affronter cette solitude, ce célibat qui va les forcer à décocher la case "relation".
Car beaucoup de mecs ont galéré pour trouver une nana qui veuille bien être avec eux, sans parler de leur correspondre, et sont pris dans le piège abscons de l'investissement. Alors ils font les canards mais ils souffrent en silence.
Toi tu auras souffert un bon coup mais c'est pour le mieux, tu sais maintenant mieux ce que tu dois chercher, ce que tu veux vraiment, ce qui sera probablement bloquant.
Pour le reste c'est aussi normal de perdre de l'énergie si tu dois porter toutes les conversations. Tu avais parlé de C. et LL., des nouvelles?
Pour ton attitude, calme et posé, c'est un défaut que pour les nanas qui veulent un extraverti, après ça ne veut pas dire que tu ne peux pas pour autant être affirmé et savoir ce que tu veux, c'est ton flottement relatif qui te fait psychoter et mettre en relation des trucs qui ne sont pas liés. Tu rencontres des nanas qui ne veulent pas aller au bout, c'est une petite série mais même si le point commun c'est toi, pour une bonne part, ce serait pareil, certaines vont se rendre compte qu'en fait elles sont pas prêtes, d'autres qu'elles sont bloquées sur leur idéal, pour d'autres c'est vraiment toi qui leur convient pas mais pour des raisons à la con...
Faut pas se remettre en question pour ça, globalement sur une saison tu as plutôt une vie relationnelle correcte.
Courage, ça va passer. "Il te peut plus rien t'arriver maintenant", c'est ce que tu t'es dit. C'est pas un mauvais état d'esprit. Suivant les évènements tu peux en relativiser beaucoup.
C'est pas aberrant d'avoir besoin d'un moment pour recharger tes batteries surtout avec cette contrainte que tu t'es imposée en vacances, et ton passif récent.
Prends un peu de temps pour toi, surtout que maintenant ça se décante pour toi.
Je ferais quand même attention à ton ex, elle s'est détendue en façade. En vrai on en sait rien.
Pour le reste, cette pression, tu dois t'en affranchir
Objectivement pour t'avoir vu dans l'autre sujet, et pour t'avoir lu ici surtout tu n'as rien du mec qui finira seul.
Tu es beau gosse et tu as un intellect au dessus de la moyenne, tu es clairement pas le genre de gars que les nanas cherchent à éviter, au contraire.
Ton mariage est un échec, peut-être. Mais c'est une histoire à deux et m'est avis que tu n'es pas la partie prenante majoritairement impliquée dans cet échec.
Aussi, dis toi que c'est pour le mieux. Comme dit Citadin, des tas de mecs mariés ou simplement en couple aimeraient être à ta place, souhaiteraient que leur femme les jette, car ils n'ont pas le courage d'affronter cette solitude, ce célibat qui va les forcer à décocher la case "relation".
Car beaucoup de mecs ont galéré pour trouver une nana qui veuille bien être avec eux, sans parler de leur correspondre, et sont pris dans le piège abscons de l'investissement. Alors ils font les canards mais ils souffrent en silence.
Toi tu auras souffert un bon coup mais c'est pour le mieux, tu sais maintenant mieux ce que tu dois chercher, ce que tu veux vraiment, ce qui sera probablement bloquant.
Pour le reste c'est aussi normal de perdre de l'énergie si tu dois porter toutes les conversations. Tu avais parlé de C. et LL., des nouvelles?
Pour ton attitude, calme et posé, c'est un défaut que pour les nanas qui veulent un extraverti, après ça ne veut pas dire que tu ne peux pas pour autant être affirmé et savoir ce que tu veux, c'est ton flottement relatif qui te fait psychoter et mettre en relation des trucs qui ne sont pas liés. Tu rencontres des nanas qui ne veulent pas aller au bout, c'est une petite série mais même si le point commun c'est toi, pour une bonne part, ce serait pareil, certaines vont se rendre compte qu'en fait elles sont pas prêtes, d'autres qu'elles sont bloquées sur leur idéal, pour d'autres c'est vraiment toi qui leur convient pas mais pour des raisons à la con...
Faut pas se remettre en question pour ça, globalement sur une saison tu as plutôt une vie relationnelle correcte.
Courage, ça va passer. "Il te peut plus rien t'arriver maintenant", c'est ce que tu t'es dit. C'est pas un mauvais état d'esprit. Suivant les évènements tu peux en relativiser beaucoup.
Je rebondis sur ces deux sujets parce que c'est ce qui a été les deux sujets "chauds" du début de semaine.
Concernant mon ex, j'ai été surpris de son annonce de vouloir couper les ponts après avoir passé une semaine auparavant, une soirée vraiment sympa entre nous. J'en venais à me rappeler pourquoi, à une époque, cette fille m'avait attiré et pourquoi il y avait eu une réciproque.
Peu importe, pour l'instant je viens de poser les fondations de ma nouvelle vie, et elles n'ont pas la solidité pour affronter ce type d'ouragan. On verra ça plus tard quand ce sera stable.
Pour LL, la rencontre avait été bizarre, la fille étant constamment sur son téléphone, je ne retrouvais pas le feeling d'avant rendez-vous. Finalement, elle a fini par s'ouvrir et même à me proposer un deuxième rendez-vous dans la foulée du premier (un le midi et un le soir).
Pour autant, elle a voulu endosser le rôle un peu malsain de "confidente" et je me suis engouffré droit dedans. Grosse erreur, ça a tout plombé.
Et en même temps, je découvrais aussi une fille avec un passif très très lourd, et à un moment ça aurait fini par bloquer.
On s'est mutuellement foutu en l'air, je pense que ce n'était pas un bon plan.
Et C... on s'est revu ce lundi. La soirée se passait bien, pas mal de feeling. Mais je sentais qu'elle voulait m'amener sur un terrain à la con, que je n'appréciais pas (est-ce que tu as eu d'autres dates depuis qu'on s'est vu / est-ce que tu préfères qu'on te dise les choses sincèrement ou tu préfères qu'on y mette les formes)
Bref, au final j'ai fini par lui demander concrètement.
"J'envisage rien de sérieux avec toi, parce que tu es un bisounours. Tu manques de caractère." (Je pense que c'est ça qui m'a fait douter de ma dureté justement).
Elle m'embrasse langoureusement néanmoins au moment de partir. Rentré chez moi, je lui ai demandé si c'était rien de sérieux platonique ou plutôt style PCR.
"Je sais pas, ça dépendra de mes humeurs et puis de ma libido"
Et moi et mes envies, ça compte pour de la merde ? J'apprécie pas être relégué en qualité d'objet mis à disposition. Next.
Tu as ignoré mon dernier message.
Faut pas tuer le messager hein
Ben la voilà l’affirmation de soi. Donc là elle est censée revenir vers toi, même pour « rien de sérieux ».
Faut pas tuer le messager hein
MestrAzaou a écrit : ↑15.09.22 Et moi et mes envies, ça compte pour de la merde ? J'apprécie pas être relégué en qualité d'objet mis à disposition. Next.
Ben la voilà l’affirmation de soi. Donc là elle est censée revenir vers toi, même pour « rien de sérieux ».
Grand Dieu, Citadin, je n'avais même pas vu passer ton message ! Mes confuses l'ami ! (ça m'apprendra tiens)Citadin a écrit : ↑14.09.22 Ça semble évoluer positivement niveau logement et pro. Content pour toi.
Pour les rencontres, le blues de la rentrée joue peut-être aussi. Il me semble préférable de garder aussi à l’esprit que les femmes célibataires quoique raisonnablement attirantes le sont en général pour de bonnes raisons indépendantes de toi.
Après il y a sûrement des choses à améliorer, puisque nous sommes tous perfectibles.
D’expérience perso, l’affirmation de soi est à double tranchant. Elle va certes attirer instinctivement les femmes, mais en repousser beaucoup dès qu’il s’agira d’entrer dans le dur (si j’ose dire).
C’est un peu comme une bombe atomique avec qui on pense n’avoir aucune chance. On la matera mais on ne se fatiguera même pas à aller l’aborder.
Sur le mariage, je connais plus d’un homme marié qui préférerait être à ma place. Surtout quand ils voient leur femme faire la gentille en société alors qu’ils s’en prennent plein la gueule en privé. Comme on dit : le mariage est une forteresse assiégée, ceux qui sont dehors veulent entrer et ceux qui sont dedans veulent sortir.
Prudence aussi avec les invitations type « dîner de cons ». Parfois, tu seras peut-être convié juste pour valoriser tes hôtes en tenant le rôle du pauvre célibataire paumé.
Sorry, c’est pas très folichon à dire et ce n’est après tout que mon ressenti. Ça reste humain, faut pas en vouloir aux autres pour ça, juste le savoir.
Perso, je le vis plutôt bien.
Courage.
Concernant les petits succès en séduction, je pense effectivement que le blues de la rentrée doit jouer pour moi. Par ailleurs, je vais entrer dans une période d'inactivité pro jusqu'en novembre. Ca, le temps maussade et l'impression de revivre une nouvelle rupture avec mon ex, ça joue sur le moral.
Mais tout ça fluctue, et bien sûr que ça reviendra. Mais il est là un de mes principaux défauts : sur certains sujets, je peux être posé... mais je manque cruellement de patience. Pour les relations, il faudrait que ça marche maintenant, tout de suite.
En revanche, je ne pensais pas que l'affirmation de soi pouvait conduire à effrayer la gente féminine justement. Je me suis souvent fait la réflexion que j'en avais manqué dans ma précédente relation face à plusieurs abus, et de me l'être entendu redire l'autre soir...
Concernant le mariage, c'est un paradoxe sur lequel je te rejoins totalement. Assez bizarrement, je retire une certaine tristesse et un certain sourire, de voir mes potes mecs en couple et parfois papa, devoir se priver de la petite soirée sympa avec leur pote célibataire (je ressens une légère pointe d'envie parfois).
Mais l'effet inverse, c'est que je me sens un peu isolé et ça contre mon gré (parce que la fibre parentale, je l'ai à n'en pas douter).
Comme disait Guitry : "Le célibat ? On s'ennuie. Le mariage ? On a des ennuis."
Sur le cas C., elle est "censé" revenir vers moi, mais j'ai plus l'impression que le message était un "t'es gentil mais je sais pas trop comment te jeter, et on sait jamais au cas où..."
Je psychote peut être, on verra. Ca ne change rien à ma pensée néanmoins.
MestrAzaou a écrit : ↑15.09.22 Par ailleurs, je vais entrer dans une période d'inactivité pro jusqu'en novembre. Ca, le temps maussade et l'impression de revivre une nouvelle rupture avec mon ex, ça joue sur le moral.
Peut-être le bon moment pour reprendre une activité physique au poids du corps ? Ça fait du bien.
MestrAzaou a écrit : ↑15.09.22 Mais il est là un de mes principaux défauts : sur certains sujets, je peux être posé... mais je manque cruellement de patience. Pour les relations, il faudrait que ça marche maintenant, tout de suite.
Il y a une question de dosage mais c’est plutôt dans l’air du temps. D’ailleurs, en général, quand ça commence mal, ça continue et ça finit mal.
Les éventuels malentendus et maladresses se règlent en théorie facilement entre personnes habituées à communiquer sainement et aux attentes raisonnables.
MestrAzaou a écrit : ↑15.09.22 En revanche, je ne pensais pas que l'affirmation de soi pouvait conduire à effrayer la gente féminine justement. Je me suis souvent fait la réflexion que j'en avais manqué dans ma précédente relation face à plusieurs abus, et de me l'être entendu redire l'autre soir...
C’est difficile de te répondre là dessus car la notion d’affirmation de soi peut considérablement varier d’une personne à l’autre.
En tout cas, si tu as l’impression de devoir améliorer ça chez toi, c’est probablement vrai.
Ce que je voulais dire, c’est que certaines femmes peuvent tout à fait ne pas donner suite, alors que tu leur plais, parce qu’elles ne s’estiment pas assez bien pour te garder. Auquel cas le motif invoqué soi-disant de ta faute doit être pris pour ce qu’il est : un bon gros mytho de poule mouillée (avec mauvais jeu de mots).
Bon, va pas non plus interpréter tous les refus comme ça hein
. MestrAzaou a écrit : ↑15.09.22 Concernant le mariage, c'est un paradoxe sur lequel je te rejoins totalement. Assez bizarrement, je retire une certaine tristesse et un certain sourire, de voir mes potes mecs en couple et parfois papa, devoir se priver de la petite soirée sympa avec leur pote célibataire (je ressens une légère pointe d'envie parfois).
Mais l'effet inverse, c'est que je me sens un peu isolé et ça contre mon gré (parce que la fibre parentale, je l'ai à n'en pas douter).
Je te souhaite de te marier et de fonder une famille puisque ça semble te tenir à cœur.
Pour ce qui concerne la sociabilité, il me semble que la tendance humaine est au regroupement par affinités/modes de vie. Les hommes mariés que je connais ont tout simplement interdiction de fréquenter des célibataires heureux (peur de l’influence).
Je trouve ces deux phrases très intéressantes.Alors qu'elle comptait m'inviter à sa crémaillère (ce qui m'aurait permis de voir un paquet d'amis), elle en a été dissuadée. Hier elle m'annonçait que nous ne devions plus échanger pendant un temps, histoire de faire une vraie rupture.
Qu'en penses-tu en les relisant une semaine après ?
Selon toi, pourquoi n'avez-vous pas pris la décision de couper réellement le contact plus tôt ? Pourquoi cette décision n'a-t-elle pu être prise que suite à l'intervention d'une tierce personne qui l'a "dissuadée" ?
Est-ce que de te rendre à la crémaillère de ton ex constitue pour toi la seule possibilité de "voir un paquet d'amis" ?
La question à 1.000.000€.Axelos a écrit : ↑20.09.22Je trouve ces deux phrases très intéressantes.Alors qu'elle comptait m'inviter à sa crémaillère (ce qui m'aurait permis de voir un paquet d'amis), elle en a été dissuadée. Hier elle m'annonçait que nous ne devions plus échanger pendant un temps, histoire de faire une vraie rupture.
Qu'en penses-tu en les relisant une semaine après ?
Selon toi, pourquoi n'avez-vous pas pris la décision de couper réellement le contact plus tôt ? Pourquoi cette décision n'a-t-elle pu être prise que suite à l'intervention d'une tierce personne qui l'a "dissuadée" ?
Est-ce que de te rendre à la crémaillère de ton ex constitue pour toi la seule possibilité de "voir un paquet d'amis" ?
Je répondrai à la dernière question qui me parait être la plus "facile". J'ai l'impression avec le recul post-rupture, que même si mes amis m'aiment sincèrement, j'ai la sensation que la présence de mon ex rendait les soirées et autres rendez-vous de ce genre plus simples.
Ca doit jouer de son côté extraverti par rapport au mien, beaucoup plus introverti.
La preuve étant que pas mal de mes amis ne prennent pas vraiment de mes nouvelles actuellement. Et ma pendaison de crémaillère prochaine a pour l'instant du mal à attirer les foules.
Clairement mon gros point noir avec le célibat, redevient ma difficulté à tisser des relations. Pas aidé non plus par ma période de chômage et de remise en question générale.
Pour ce qui est de couper les ponts, elle m'a avoué très clairement de son côté que cela avait un rapport avec la difficulté de me voir partir et m'éloigner, ainsi que de sa difficulté à trouver "aussi bien que moi". Quand elle me parlait de moi, elle semblait ne pas regretter la relation, mais regretter ma personne.
Je pense que j'associais mon ex à l'animation qui rythmait ma vie. Chaque semaine, on voyait des amis. Chaque semaine, il se passait quelque chose avec quelqu'un.
Je craignais en redevenant seul, de retomber dans les travers qui étaient les miens avant de la rencontrer.