No country for old men /The big Lebowski
Le grand chantier de ma nouvelle vie avance.
Mais force est de constater que malgré ma capacité d'adaptation très forte en toutes circonstances, le vrai chantier avance plus que celui de mes relations. Idem avec mon corps, mais au moins ce sera contributif, vu que je commence à récupérer une musculature digne de ce nom, qui fait déjà son petit effet lors de mes passages en ville.
Pourquoi donc, alors que basiquement, j'ai aucune peur à aborder et tchatcher dans des circonstances où ça peut paraître approprié, ou pas mal de couilles pour faire du direct aussi, ma vie reste trop calme sur ce plan?
Je crois que j'ai plusieurs bonnes explications à ça (bonnes comme "ce sont pas des excuses de merde"):
- le premier point c'est que mon entourage de base est "déficient". C'est mieux qu'avant parce que même si je dirais avec mes collègues c'étaient justement mes collègues. Mais mes seuls potes vraiment disponibles sont pas des fêtards, plutôt des gars qui aiment bien se mettre la tête en discutant dans des soirées privées. Les autres, on discute de se voir, mais entre leurs gosses, partenaires, boulots, activités, j'ai du mal à les capter et ça se finit pas vraiment en sorties dans des lieux où je peux faire des rencontres.
Pour ça, j'ai pas de solution si ce n'est trouver de nouveaux amis (ou sortir solo pour en trouver). Mais c'est le serpent qui se mord la Queue car...
- mon boulot m'a beaucoup occupé. Mais c'est en permanence en fait. J'ai beau limiter à des horaires plus raisonnables (j'ai largement arrêté de bosser le week-end pour ma boîte. Pour moi, ça reste encore une autre histoire), j'ai aussi pas mal de contraintes qui rendent difficiles la prise de cours réguliers, d'activités organisées.
- pareil avec mon chantier. J'ai eu beau avoir pas grand chose à faire j'y ai passé beaucoup de temps. Par perfectionnisme, parce que j'avais envie de changer des trucs et que j'ai cherché les trucs que je voulais ou me suis retrouvé à faire des bidouilles de l'espace pour ça. Sans doute y a-t-il aussi un côté psychologique là-dedans. Genre "je répare mon intérieur". Bilan je me sens mieux, ça commence à ressembler à quelque chose mais c'est toujours le bordel avec un goût d'inachevé
Ce sera exactement ma conclusion pour ceux qui veulent pas aller au bout (ça fait longtemps que j'ai passé le cap de la concision, vu que je veux revenir sur mon long silence).
- j'ai supprimé pas mal de mes applis, j'en pouvais plus. C'est mieux psychologiquement, parce que j'en avais marre de la mentalité de merde qui y règne. Mais ça m'enlève les occasionnelles touches normales qui sont pas littéralement des putes/onlyfan girls, instagrammeuses, scammers/bots, ou des nanas qui semblent échappées tout droit de l'enfer des pécheurs à l'envers. Après le bénéfice reste plus grand pour ma santé mentale.
Ça reste donc difficile de trouver le temps ou l'énergie pour des rencontres et même des débuts de relation. Je passe sur les quelques rencontres faites parce qu'il n'y a rien eu de notable, deux trois dates mais rien de fou.
Si je dis deux trois c'est parce que la troisième rencontrée sur un site m'a sorti un "quand tu m'as invité j'ai pas cru que c'était un date de la manière dont tu l'as dit". Elle était là pour "rencontrer des amis ou plus si affinités" et on avait dix ans de différence, elle avait pas l'air là pour ma conversation vu qu'elle me balançait toujours des compliments sur mon physique et des allusions sur nos "affinités" et elle était pimpée comme si elle s'était rendue en boîte pour chasser (et elle aurait ramassé...). En clair c'était une excuse foireuse mais ça me permet de faire une vanne obscure, tout va bien.
Pour les deux autres, pour une, j'ai senti la relou qui n'est pas seule sans raisons, et l'autre je n'ai pas accroché (elle était assez mignonne / intéressante mais on avait pas les mêmes valeurs, goûts, délires).
C'est donc objectivement minable et de la merde.
Je suis très loin de la vie de ma jeunesse, et même si c'est normal de ne plus faire des dizaines de connaissances par semaine, là je suis même loin de ma moyenne de ces derniers années, en mode déraciné et plus absorbé encore par le boulot.
Je sais ce que je dois faire en termes de générations de rencontres. C'est simple et ça peut se faire tout seul. Mon problème c'est l'obstacle logistique (parce que même sans bosser 70+ heures par semaine, c'est compliqué de sortir le soir pour taffer tôt le lendemain, je suis pas dispo au max au moment où les gens sortent s'amuser. Puis faut que je sorte solo. À 20 ans c'était plus facile, maintenant j'ai l'air d'un tueur en série qui cherche des proies. Reste les activités mais mes disponibilités sont erratiques. Donc je me balade souvent et ça m'arrive de faire des rencontres, mais ça permet pas forcément de pousser plus loin ou de bâtir un cercle social pérenne).
Et l'envie.
Pas que je n'ai pas envie de faire des rencontres cool et qui me fassent vibrer.
Mais j'ai du mal pour l'instant à m'engager dans le chemin chaotique que ça représente. Parce que pour une rencontre cool, on se tape aussi la cour des Miracles avec. Et ma ville étant plus petite, ça m'arrive de facilement recroiser des femmes que je veux même pas connaître en vrai. Ça me saoule. L'aspect cool est gâché par ça.
Mon envie profonde aussi. Plus problématique parce que c'est pas juste une question d'optimisme et de se mettre un coup de pied au derche.
Mon envie profonde c'est celle de reconstruire une vraie relation. Pas que je puisse pas être seul, ou que je ne sois pas bien - parce que je ne l'ai pas dit mais quand même je vais bien mieux dans ma tête etc, et je me fends bien la gueule avec mes potes et je fais des trucs qui me plaisent- mais j'aimerais avoir une relation qui soit mieux que ça.
Ça passe aussi par avoir une copine qui respecte un certain nombre de critères, parmi lesquels une absence de certains boulets/red flags parce que je suis plus prêt à faire avec. Et qui a un certain nombre de qualités.
Mais faut le dire clairement, à mon âge, c'est plus avantageux pour moi d'être à l'affût d'une nana cool qui se libère d'une relation de merde, ou de chasser une nana qui soit entre 25 et 30, que de prendre toutes les meufs de mon âge sur le marché parce que ce sont "les restes du monde". Oui, je me rends compte que je suis aussi dans cette position, on y vient, je n'ai pas plus d'indulgence avec moi-même.
Ça c'est la seconde partie du problème relationnel. Le premier vient des nanas dispos, et le second de moi. Je suis clairement dans la catégorie qui chez les nanas me répugne.
Si je fais le bilan, j'ai rien pour vendre du rêve aux nanas cool:
-Mon physique divise, c'est pas bon, c'est statistiquement le signe que je suis pas dans la tranche la plus haute. Et même si j'ai récupéré des points, les nanas au top me restent inaccessibles pour ça. Et j'attire, outre quelques meufs dans la tranche supérieure, beaucoup plus de nanas qui sont très en dessous de moi - ou alors je suis vraiment une gueule cassée qui s'ignore, mais j'ai eu pas mal de compliments par des jolies avant, même si je comprenais pas -. Des beaucoup plus vieilles que moi, des nanas informes, des deschiens... j'ai l'impression d'être chassé par des zezettes épouse x. C'est en amélioration mais si je peux gagner une silhouette plus valorisante, pour le reste je peux pas changer...
Donc même si j'ai pas de moustache à la Fu Manchu, ça écrème déjà beaucoup. Plus encore si on parle des jeunes.
- J'ai un capital social direct qui ressemble à la dette de la Grèce, avec mon cercle aux abonnés absents en dehors de mecs solitaires/geeks (c'est pas dépréciatif, c'est juste que ça les pousse pas à avoir beaucoup d'activités sociales, mais ce sont des personnes géniales, sinon ça ferait pas des dizaines d'années que je les garde avec moi). Et la preuve sociale c'est important. D'autant plus chez une nana jeune, encore (et si je le répète, c'est parce que la solution d'attendre une nana cool dans la petite trentaine au sortir d'une relation c'est pas viable parce qu'elle voudra s'amuser et parce que statistiquement c'est pas probable).
- j'ai un capital économique trop moyen, parce que j'ai beau avoir un bon taf, j'ai pas des quantités de tune mirobolantes (moi je peux pas me mettre des objectifs à un million, parce que ce serait d'emblée absurde. Déjà voyager deux semaines au bout du monde dans l'année c'est beau), et ça diminue avec la situation actuelle. Donc ça permet pas d'avoir non plus les activités qui vont avec la plupart des nanas cool (activités que je ne ferais pas que pour les nanas hein. C'est toujours bien de faire du bateau, de l'avion, de voyager, de se taper des dizaines de restaurants, cinés, de chiner, et autres, je vois pas ça que comme une manière d'accéder à des nanas, de la consommation ou du remplissage... mais ça permet aussi de rencontrer ou d'attirer, même si la nana est pas foncièrement vénale. Parce que ça rend plus "intéressant" qu'un mec qui peut/doit se contenter de road trips et d'explorations de villes, d'une bibliothèque ou d'un bloc note et d'un stylo). Et sans les rincer, de rejaillir positivement sur mon image parce que je devrais être plus haut (un peu le syndrome du "si t'as pas ta rolex, t'as raté ta vie". Je l'ai pas ratée, mais clairement pas aussi réussie sur le plan pro que j'aurais pu. Donc pour la majorité des gens ça revient au même - et c'est peut-être moi qui me voile la face). Ça pourrait s'améliorer si je change de taf. Mais je suis plus attaché aux choses que je fais bien et aux gens qu'à la tune. Pour remplir mes besoins de base j'en ai bien assez. C'est pour mener ma vie idéale que je suis plus limité.
- j'ai un capital culturel et intellectuel plutôt bon, mais j'ai des valeurs qui clairement sont plus de ce monde, et on va dire que la culture récente trouve peu de grâce à mes yeux. Je suis sans doute devenu beaucoup plus sélectif mais le fait de ne pas aimer beaucoup de trucs jeunes, et d'être en décalage en terme de vision du monde me classe dans les vieux cons, même si fondamentalement je suis ouvert, curieux, versatile. Et même si d'ailleurs, j'ai toujours eu une approche vue comme moderne sur certains sujets (parce que je suis justement pas un vieux con rétrograde pour qui la femme c'est à la kouizine et la pollution pas grave et ce genre de clichés).
-symboliquement c'est compliqué. Je suis créatif, et versatile et ça se voit, je suis aussi très actif, j'aime prendre les choses en main, mais on me classe facilement comme un intello (ou on veut me coller des étiquettes de zèbre ou autre. Très peu pour moi, les rayures ça me grossit, l'indigo me va pas au teint, l'ultra violet c'est un film à chier, et le potentiel il est trop haut pour que je l'atteigne. Puis on a des différends). On me voit souvent comme un mec qui sait s'adapter à tout et sur qui on peut compter mais quand on connaît mon parcours ou mon état actuel, on peut me voir comme un galérien (parce que boulot pas dans mes diplômes et "en dessous de mon potentiel" y a une nana qui m'a sorti ça pour me dire qu'en gros selon elle je manque d'ambition..., et autres détails que je passe. Je parle pas de ma relation toxique à mes dates autant que possible mais parfois ça resurgit malgré moi dans des péripéties du quotidien et trucs à gérer intempestivement).
- en terme relationnel j'ai je crois pas mal à apporter mais pas à n'importe quel prix, et j'en fais pas tellement un mystère. Je sais que je ferai jamais d'une femme ma priorité, qu'elle passera toujours après ma famille, mes amis, mon boulot (dans des limites raisonnables et selon les circonstances bien sûr. Mais genre j'échangerai plus un boulot ou une amitié contre une relation). Même si je la soutiendrai toujours, serai là pour elle, et que c'est plutôt cool d'être avec moi (enfin, y a au moins une majorité de mes ex qui l'ont vu comme ça), et que je peux aussi donner quelque chose de différent de la majorité des mecs (enfin, c'est pas pour me la péter. C'est juste que j'ai pas le même univers on va dire, ça me dessert autant que ça me sert). Je veux dire, j'ai certainement l'air d'un connard quand je parle de choses qui me déplaisent parce que j'aime bien grossir le trait et franchir la ligne deux fois (et profiter du fait qu'ici on me jettera pas des pierres pour mon sarcasme et mes délires trash), mais en vrai je suis plutôt sympa, bonhomme (comme un ours, c'est juste qu'il faut pas me faire chier), pas mal dévoué, impliqué, et surprenant.
Mais une nana jeune peut pas avoir la maturité pour comprendre ma position et dans les nanas de mon âge, certaines prennent ça pour de l'absence d'implication et se calent d'office en mode "avec lui en attendant un mec moins indépendant/ mieux*".
*parce qu'elles supposent que c'est ce que j'attends, moi aussi, quelqu'un de mieux, et que c'est pour ça que je ne suis "pas impliqué".
Au total, ça me donne pas le levier pour séduire les femmes que je veux (parce que pas souvent dans le bon milieu, ou pas avec la valeur affichée qu'il faut*, ou parce que j'en rencontre pas assez ou pas dans d'assez bonnes conditions pour pas que ce soit des tarées ou des abîmées pas encore réparées), ou surtout les garder (parce qu'au niveau intellectuel je peux m'en sortir si je passe le test d'attraction physique et si je suis dans le bon milieu, mais si la nana s'intéresse aux autres aspects de ma vie, ça pèche...).
Alors oui j'ai des pistes d'améliorations et les travaux sont en cours mais avoir un meilleur cercle social et un meilleur physique si c'est pour y donner l'image que j'ai maintenant au travers de ce que je suis à l'instant t ça marchera pas non plus.
*pour illustrer ça, j'ai rencontré dans le cadre de mon taf une médecin qui était époustouflante (la jeune trentaine, une spécialiste, en grandes pompes car faisant des présentations dans le congrès auquel j'assistais, et courtisée par pas mal de médecins). On a des conversations d'abord scientifiques puis professionnelles. J'étais à mon avantage parce que même si elle était bonne, je maîtrise mon sujet et je lui ai posé des questions qui l'ont fait réfléchir au point qu'elle est revenue me voir. J'étais mis en valeur, donc je passais physiquement. Elle revient me voir sur mon stand, je brille encore bien en lui présentant des choses que je fais et des idées pour le futur, je reste drôle, on se lâche des détails persos, elle me prend ma carte en évoquant la possibilité d'un déjeuner. Qui n'avait aucune raison pro, c'était pas le sujet, on avait pas de projets communs potentiels. Elle repasse le lendemain matin en coup de vent pour me confirmer qu'on se voit, et là voit mon chef qui était passé faire un tour. Finalement le midi elle m'envoie un message pour m'annoncer qu'elle est indisponible, et je n'ai plus eu de nouvelles. Je n'ai pas pu m'empêcher de penser que j'avais perdu grâce à ces yeux parce que je n'étais en fait qu'un grouillot et pas le chef. Car je suis resté très parcimonieux et factuel dans mes messages, uniquement pour la logistique. Donc ce n'est pas avec ça que j'ai perdu des points...
Pour passer la digression, je sais pas si ça que je décris vous parle, si ça vous choque dans votre vision des relations ou de la vie ou autre, mais bon, même si j'ai les capacités à contourner certains blocages parce que j'ai l'expérience de ce que je suis et j'ai appris quelques trucs dans la séduction (merci FTS encore une fois), au final je me dis qu'il est temps si je veux une relation pérenne d'arrêter de faire le funambule et de reconstruire de vraies fondations à la place, un truc qui ne nécessitera pas que j'utilise la séduction pour compenser.
Et c'est pour ça que j'y prends le temps et que je cherche pas à courir après les nanas plus que ça.
Mais en dehors du capital pro qui est peut-être réformable (parce que je suis heureux dans mon boulot mais je dois pouvoir trouver quelque chose qui peut me donner plus de libertés financières), du social et du physique, au niveau symbolique et au niveau intellectuel, je vais difficilement pouvoir changer ce que je suis.
Je peux pas décider de trouver ce nouveau monde (et ironiquement, on l'a importé des US) cool quand j'ai l'impression de vivre en pleine idiocratie (Huxley serait fier), avec des politiques plus cons que des instagrammeuses, tik tok qui pousse la débilité encore plus loin, et les féministes, masculinistes, wokes, antiwokes, antivax, complotistes, zet dramatiques, les neutres apathiques et les extrêmes enragés, qui feraient passer la guerre froide ou l'inquisition pour des périodes sympathiques de l'histoire.
Je suis plutôt un gars qui aime vivre et laisser vivre, et c'est bizarrement les gens qui appellent le plus à la tolérance qui cherchent le plus à empêcher les autres de vivre comme ils veulent ou à les juger pour leurs différences. J'arrive pas à m'adapter au fait qu'on soit une société d'image qui mette en avant que des valeurs de merde, le narcissisme, la médiocrité, la vénalité. Quand je vois tous ces gens qui ont pour maîtres à penser des youtubeurs ou des inutiles qui se créent une fiction sur les réseaux, ça me fait peur et chier. Faut toujours bêler avec quelqu'un, l'esprit critique est interdit, l'indépendance suspecte, l'art dévoyé, la langue tordue et apauvrie (y a toujours des abrutis pour faire chier avec leur iel ou orthographe soit-disant inclusive, ou leurs concepts neufs pour habiller des merdes qui existaient déjà, ou créer une nouvelle étiquette pour cacher la misère et le vide de leur vie - faut croire que si tu n'as pas un "bullshit job" ou que tu n'es pas "intolérant au gluten" tu n'as jamais souffert). Faut se conformer aux nouvelles tendances, apprécier les nouveaux "artistes" (j'ai une meuf qui m'a sorti sérieusement que si j'aimais pas PNL j'aimais pas le rap. Qu'elle connaisse pas Nas, Wu Tang et NWA passe encore, question d'époque et de culture - elle parlait pas anglais-, mais que son univers se limite à ça à l'exception de tous autres dans le monde, c'était chaud. En j'en passe et des meilleures sur la variété...).
Symboliquement aussi, ça me semble difficile de changer mon étiquette d'intello (c'est marrant, ça qu'importe la manière dont les gens me rencontrent, on peut être dans une soirée techno à danser comme des désaxés, dans une course d'obstacles, un cours de muay thaï ou dans un magasin de bricolage, même sans leur parler de ce qui me traverse la tête ici, sans aller sur des sujets pointus, sans employer des mots hors du commun, des tournures recherchées, même en ayant un langage pas coincé - c'est toujours assez fleuri... -, sur une remarque ou un truc anodin, y a toujours un con pour me sortir ça sous une forme ou une autre, genre direct ou "tu réfléchis beaucoup toi, non?" ou du "j'aurais jamais pensé à ça comme ça, t'es original, faut sûrement s'intéresser beaucoup au sujet" etc. Ça doit être marqué sur ma gueule), ou de galérien (parce que c'est un peu dans mon parcours. Même si je me suis toujours relevé, leur idée c'est que je suis pas où je pourrais/ devrais être. Alors que j'y suis. Il me faudrait juste être meilleur là où je suis, mais j'ai pas encore appris assez, vu que j'ai changé de direction tous les 5 ans depuis la fac).
Au final, c'est dans l'essentiel et le plus interne que je porte mes chaînes les plus importantes.
Et là je vois pas trop ce que je peux faire pour remédier à ça. Ça m'empêche pas d'avancer sur le reste mais si je peux pas trouver quelqu'un avec qui connecter, c'est vain.
Et je compte pas rester dans une impasse