L'open
Posté : 31.03.08
L'open est la base de la pyramide (dans une vision "masculiniste" et "hyperactive" du game): on open plus qu'on ne hook, on hook plus qu'on ne *close, on *close plus qu'on ne !close.
L'open comme base du game, comme les premiers kata d'un art martial.
Répéter l'open chaque jour, non pas machinalement, mais naturellement, comme on se lave les dents, qu'on fait à manger, qu'on va au boulot. Un hygiène de vie.
Deux problèmes:
1. l'open ne remplace pas la pensée, la réflexion. Une autre vision du game (le PU intérieur) approchera l'open alors comme la concrétisation d'un chemin qui se fait essentiellement en chambre, en méditation.
2. On part du principe que sans open il n'y a pas de relation sexuelle. Que la femme n'open pas. Cela n'est pas vrai dans un certain nombre de cas. Les relations par internet proposent également un autre type de schéma.
J'ai pu voir en de maintes occasions les avantages d'un travail adjacent à l'open, qui, comme miraculeusement, généraient des opens féminins.
Travail sur le look, sur l'attitude, sur la frame, etc etc
***
L'open comme esthétisme.
Ne jamais open avec la même phrase, chez Jibril ou Dior p.ex.
***
Renverser la dynamique d'open: non pas open comme intrusion dans l'univers féminin, mais open comme saisir l'occasion, répondre à une demande (AI = approach invitation).
Ainsi, on pourra passer un après-midi en ville à aiguiser notre attention: pour dénicher le petit instant où le contact peut se créer sans que la lourdeur du crevard n'apparaisse jamais. Travail de calibration, habitude (cf. la répétition mentionnée plus haut).
Travail sur l'unicité de chaque rencontre, inspiration de dialogue, de comportement qui n'est pas dictée par un désir masculin qui s'abat sur une femelle, mais par les circonstances précises de la situation, l'autre participant à égalité à l'interaction.
***
Le rêve du game "structural", basé sur le nombre. Dans un monde où la miss en rose de droite existe en nombre infini, alors on réduit le game à une seule trajectoire, généralisable (MM), et non plus à des rencontres uniques.
L'idée alors que l'open est le "début" du game. Le début en tant qu'il survient avant le hook, le close, le comfort, etc...Mais aussi parce qu'il est la préoccupation principale du débutant (l'avancé étant censé ne plus tant y penser).
Pourtant, il est aisé de renverser la dynamique. De considérer l'open (surtout l'open en nombre) comme la FIN du mécanisme. D'avoir d'abord une lente réflexion, une transformation de sa vision du monde (frame, croyances, attitudes, gnagna), et qu'une fois ce grand chantier mené à bien, l'open, la "vie", la réalisation concrète peut s'actualiser.
L'open comme base du game, comme les premiers kata d'un art martial.
Répéter l'open chaque jour, non pas machinalement, mais naturellement, comme on se lave les dents, qu'on fait à manger, qu'on va au boulot. Un hygiène de vie.
Deux problèmes:
1. l'open ne remplace pas la pensée, la réflexion. Une autre vision du game (le PU intérieur) approchera l'open alors comme la concrétisation d'un chemin qui se fait essentiellement en chambre, en méditation.
2. On part du principe que sans open il n'y a pas de relation sexuelle. Que la femme n'open pas. Cela n'est pas vrai dans un certain nombre de cas. Les relations par internet proposent également un autre type de schéma.
J'ai pu voir en de maintes occasions les avantages d'un travail adjacent à l'open, qui, comme miraculeusement, généraient des opens féminins.
Travail sur le look, sur l'attitude, sur la frame, etc etc
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L'open comme esthétisme.
Ne jamais open avec la même phrase, chez Jibril ou Dior p.ex.
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Renverser la dynamique d'open: non pas open comme intrusion dans l'univers féminin, mais open comme saisir l'occasion, répondre à une demande (AI = approach invitation).
Ainsi, on pourra passer un après-midi en ville à aiguiser notre attention: pour dénicher le petit instant où le contact peut se créer sans que la lourdeur du crevard n'apparaisse jamais. Travail de calibration, habitude (cf. la répétition mentionnée plus haut).
Travail sur l'unicité de chaque rencontre, inspiration de dialogue, de comportement qui n'est pas dictée par un désir masculin qui s'abat sur une femelle, mais par les circonstances précises de la situation, l'autre participant à égalité à l'interaction.
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Le rêve du game "structural", basé sur le nombre. Dans un monde où la miss en rose de droite existe en nombre infini, alors on réduit le game à une seule trajectoire, généralisable (MM), et non plus à des rencontres uniques.
L'idée alors que l'open est le "début" du game. Le début en tant qu'il survient avant le hook, le close, le comfort, etc...Mais aussi parce qu'il est la préoccupation principale du débutant (l'avancé étant censé ne plus tant y penser).
Pourtant, il est aisé de renverser la dynamique. De considérer l'open (surtout l'open en nombre) comme la FIN du mécanisme. D'avoir d'abord une lente réflexion, une transformation de sa vision du monde (frame, croyances, attitudes, gnagna), et qu'une fois ce grand chantier mené à bien, l'open, la "vie", la réalisation concrète peut s'actualiser.