chapeau à vous!!! c'est trop dur o_O
je travail le SPU dans ce moment. les deux derniers semaines c’était indirect (facile) , maintenant c'est du direct... et c'est trop dur! surtout en total solitude quand tu n'as pas des potes dans le coin pour pleurer après. longtemps sans avoir si peur avec un approche.
par contre je ne comprends pas les SPUistes qu'ont du mal a faire du indirect dans les bars (10000 fois moins traumatisant que d'être en train de trembler en face d'une bonasse dans la rue en faisant du direct)
mais bon, j'ai bien fait mon direct open :-)
c'est cool tester des autres modes de sarge, totalement hors zone de confort :-p
cordialement
12 moins de game indirect.
aux fans du SPU et du DG
Ben, en indirect, que tu le veuille ou non tu vas essayer de manière détournée de séduire la nana. En mode direct, tu dis ce que tu penses, a l'instant même. C'est quand même plus simple de dire ce que t'inspire la fille, que d'essayer d'inventer des histoires pour la séduire.
Je caricature a l'extrême, mais c'est pour montrer qu'il y a aussi du bonheur a trouver dans le DG.
Je caricature a l'extrême, mais c'est pour montrer qu'il y a aussi du bonheur a trouver dans le DG.
Salut jokke, moi j'ai commencé à y aller depuis peu. Et je peux te dire que la première forme qui me vient le plus spontanément pour aborder c'est du DG dans la rue, pour plusieurs raisons:
En IG, je sais pas quoi baratiner. En DG elle me dit "non" et je m'en vais, au moins j'ai abordé (crash and burn). En tout cas je stresse de moins en moins. Et je sens qu'il est possible de persister, mais je m'éjecte (donc ma faute). Mon problème pour avoir de résultats rapides est indiqué dans mon sujet ici:
spu-pas-assez-de-jolies-filles-dans-les ... 24787.html
Cependant, je vais t'expliquer pourquoi, pour moi, il est beaucoup plus difficile de faire du IG en soirée. D'abord j'ai pas énormément de conversation donc je peux pas faire long feu face à la fille (ça serait du genre "le mec là il essaie de me parler, mais il sait pas quoi me dire"). Ensuite, en soirée, c'est souvent des groupes et si tu te plantes, il faudra assumer le regard des autres. Dans la rue, c'est en mouvement, c'est instantané et une fois que l'approche est finie, les deux protagonistes s'évanouissent dans la nature.
En bref, je flippe plus de faire du IG en soirée que du DG en street. C'est marrant de voir qu'on a pas du tout la même perception des choses...
En IG, je sais pas quoi baratiner. En DG elle me dit "non" et je m'en vais, au moins j'ai abordé (crash and burn). En tout cas je stresse de moins en moins. Et je sens qu'il est possible de persister, mais je m'éjecte (donc ma faute). Mon problème pour avoir de résultats rapides est indiqué dans mon sujet ici:
spu-pas-assez-de-jolies-filles-dans-les ... 24787.html
Cependant, je vais t'expliquer pourquoi, pour moi, il est beaucoup plus difficile de faire du IG en soirée. D'abord j'ai pas énormément de conversation donc je peux pas faire long feu face à la fille (ça serait du genre "le mec là il essaie de me parler, mais il sait pas quoi me dire"). Ensuite, en soirée, c'est souvent des groupes et si tu te plantes, il faudra assumer le regard des autres. Dans la rue, c'est en mouvement, c'est instantané et une fois que l'approche est finie, les deux protagonistes s'évanouissent dans la nature.
En bref, je flippe plus de faire du IG en soirée que du DG en street. C'est marrant de voir qu'on a pas du tout la même perception des choses...
C'est clair que ça procure des émotions fortes, je me rappelle encore de ma main ne pouvant pas s’arrêter de trembler lorsque je rentrais le numéro de la première fille numcloser en direct dans la rue. Ou mon pote dans la même situation s'aidant de l'autre main pour tenir et empêcher celle qui tremble et tient le téléphone. Que de bon souvenirs 
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Je pense qu'en fait les deux sont liés.En IG, je sais pas quoi baratiner. En DG elle me dit "non" et je m'en vais, au moins j'ai abordé (crash and burn). En tout cas je stresse de moins en moins. Et je sens qu'il est possible de persister, mais je m'éjecte (donc ma faute).
Si tu ne sais pas quoi dire en indirect, tu aura aussi du mal en direct game.
Moi quand j'ai commencé le direct game, je savais déjà pas mal d'expérience en indirect, et même si, en plus de l'opener, la frame général est différente, le fait de savoir tenir une conversation si quelqu'un sait le faire en indirect il saura le faire en direct et vice versa. Même si il faut adapter bien sûr : un direct game ce n'est pas juste un opener direct suivi d'un game indirect classique derrière ; la frame générale est différente.
Après, tu peux aussi faire le choix de faire l'apprentissage via le direct game.
A titre personnel ça me semble plus dure, je trouve qu'il est plus facile de commencer par l'indirect, mais on est tous différent.
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Salut,
Je suis content d'entendre dire qu'il y a des mecs qui trouvent ça chaud le Direct Game. Je viens de prendre un numéro d'une jolie coréenne à ma pause et le tremblement dont parle mike mancini ça c'est parti.
Cela dit, après certainement quelque chose comme 500 approches directes, je ne suis toujours pas vraiment à l'aise mais c'est une chose à accepter à mon avis. Cela dépend surtout de la façon dont elle réagit. Tu peux être timide (et forcément ça se verra, inutile de le cacher) mais ça ne t'empêchera pas d'avoir de bons retours et même de poursuivre un petit bout de chemin avec la fille.
Utiliser l'indirect te permet d'exprimer ta créativité et c'est aussi des compétences qui t'aident pour apprendre à flirter, même après y être allé en direct. J'ai ajouté un opener indirect derrière un opener direct dernièrement (dans un magasin de bijoux en disant "t'es mimi" puis "ils sont étranges ces bijoux"). De faire des deux complète ton artillerie
Je m'éjectais aussi avant. Tu verras qu'avec le temps, tu oseras tellement que ce seront les filles qui te demanderont la permission de s'éjecter (par politesse ou je ne sais quoi... pas parce qu'elles sont apeurées cette fois-ci).
Je suis content d'entendre dire qu'il y a des mecs qui trouvent ça chaud le Direct Game. Je viens de prendre un numéro d'une jolie coréenne à ma pause et le tremblement dont parle mike mancini ça c'est parti.
Cela dit, après certainement quelque chose comme 500 approches directes, je ne suis toujours pas vraiment à l'aise mais c'est une chose à accepter à mon avis. Cela dépend surtout de la façon dont elle réagit. Tu peux être timide (et forcément ça se verra, inutile de le cacher) mais ça ne t'empêchera pas d'avoir de bons retours et même de poursuivre un petit bout de chemin avec la fille.
Utiliser l'indirect te permet d'exprimer ta créativité et c'est aussi des compétences qui t'aident pour apprendre à flirter, même après y être allé en direct. J'ai ajouté un opener indirect derrière un opener direct dernièrement (dans un magasin de bijoux en disant "t'es mimi" puis "ils sont étranges ces bijoux"). De faire des deux complète ton artillerie
Je m'éjectais aussi avant. Tu verras qu'avec le temps, tu oseras tellement que ce seront les filles qui te demanderont la permission de s'éjecter (par politesse ou je ne sais quoi... pas parce qu'elles sont apeurées cette fois-ci).
Ce membre a été banni de FTS, en raison de manquements répétés au règlement. Un membre peut être banni automatiquement si sa note descend trop bas (ou trop vite), ou manuellement par un modérateur. Les propos de ce membre n'engagent que lui et ne reflètent pas les opinions des utilisateurs de FTS.
Yep. Comme l'a dit Neil Strauss dernièrement : il faut tout savoir faire car dans certaine situation il sera mieux de faire du direct et dans d'autres de l'indirect.De faire des deux complète ton artillerie
Si on veut être un player complet et avoir toutes les filles qui nous intéresse, il faut tendre vers l'objectif de maîtriser les différents aspects du game.
Si je suis complètement contre le fait de s'éjecter avant d'avoir closé, je me débrouille cependant à TOUJOURS finir l’interaction (quelle qu'elle soit : pick up, phone game, date) en premier.Je m'éjectais aussi avant. Tu verras qu'avec le temps, tu oseras tellement que ce seront les filles qui te demanderont la permission de s'éjecter (par politesse ou je ne sais quoi... pas parce qu'elles sont apeurées cette fois-ci).
Le but est de créer le manque, et de ne jamais pousser la fille à exprimer sa volonté de mettre fin à l'interaction (et ce même si c'est juste par politesse ou pour une vrai raison, ne parlons même pas des cas ou la fille veut se barrer parce qu'elle en a marre).
Après, c'est juste un truc que je fais moi et que je théorise de plus en plus (ça m'a l'air de donner de bons résultats) mais je ne sais pas si c'est forcément quelque chose à faire systématiquement ou obligatoirement. Peut-être que ça dépend des cas. Mais en tout cas, moi je le fais tout le temps.
500 approches en DG ?Cela dit, après certainement quelque chose comme 500 approches directes, je ne suis toujours pas vraiment à l'aise mais c'est une chose à accepter à mon avis
tu es pas un peu marseillais ? 
Sinon, oui la peur de l'approche est toujours présente sauf lorsque tu enchaine de façon industrielle, mais là tu deviens un robot et c'est pas bon non plus.
La petite peur qu'on a avant d'aborder, faut vivre avec, et pourquoi pas en faire un moteur en la transformant en excitation ? Me concernant, ça me rappelle bcp le trac avant de monter sur scène. Sans ça, ça n'a plus de saveur.
On classe parfois DG / Indirect selon un type de séduction, de personnes la pratiquant, et de cible en fonction de ces deux catégories. C'est un peu faussé il me semble. Lorsqu'un fille se fait aborder dans la rue, que ce soit pour l'heure ou pour la demander en mariage, elle sait directement de quoi il retourne. La subtilité réside dans la manière de proposer cette rencontre, il s'agit ici de faire connaissance. Un indirect se retourne très vite en direct 'Tu as l'heure ? ' Quel est ton prénom? '; un direct en fluff 'Je te trouve très jolie, tu viens souvent par ici?' et ainsi de suite. L'enjeu est de nous donner une chance de nous connaître, dans un contexte un peu particulier, une rue. Les moyens à notre dispositions sont donc un peu différents que ceux d'un bar, ou de l'appartement d'un ami. Être léger.