La validation extérieure : comment ne plus en dépendre?
Posté : 16.05.13
Salut à tous,
J'aurais aimé écrire un article dessus manque de pot je n'ai pas trouvé la solution.
Disons que lorsque je regarde mes comportements en séduction, j'ai fini, à la suite de je ne sais plus quel article très instructif, par comprendre qu'effectivement, je cherchais la validation à fond.
Bon ca ne veut pas dire que j'accumule pour accumuler, ce n'est pas mon truc, mais j'ai souvent tendance à chercher la "qualité" dans la relation, et le physique en fait partie.
Bref, bref, on l'a compris, si on applique un peu mécaniquement l'idéal de progression tel qu'on le suppose dans FTS, y'a un moment ou tout cela doit s'arrêter : quand on cherche malgré tout la nouveauté, la beauté, la quantité même (eh oui aussi) alors qu'on aurait eu déjà 10 fois l'occasion de se poser avec des filles mignonnes ET intéressantes, c'est qu'il y a un pb.
Petit apparté : je n'ai pas du tout l'intention de me poser à vrai dire, j'analyse juste mon comportement et essaie de comprendre certains trucs.
Bref, la validation :
- Par rapport à soi-même est ses "modèles" qu'on connait dans sa famille etc.
- Par rapport à ses potes
- Par rapport à la minette une fois que je commences a flirter, qu'une connexion se crée et que j'essaie, quand elle n'est pas dans les mêmes trips que moi, de l'amener dans "mon monde".
A la limite, le probleme n'en serait pas un s'il n'y avait pas de side effects chiants tels que :
- Je m'entends trop bien avec cette fille niveau complicité et cul, mais elle n'est pas une HB8, 9, 10 (pour caricaturer), ca me gene de poursuivre la relation avec.
- J'invite une fille (celle-ci plutôt mignonne) au bar ou je fais de la musique, mais elle est avec ses potes avec qui je n'ai aucun atome crochus : j'ai envie de la voir, elle, pas ses potes et puis en même temps comme je ne sais pas quoi leur dire, ben au lieu de le prendre avec philosophie je me préfere prendre congé plus tôt en me sentant mal.
- Plus généralement, des lors que je n'ai pas de sécurité, ne serait-ce que sexuelle, avec au moins une fille, je me remets en question.
En fin de compte, la question est ici : y'a-t-il un moyen (des moyens) de travailler là dessus? Ou consulter un professionnel (c'est à dire un psychanalyste) est souhaitable?
J'aurais aimé écrire un article dessus manque de pot je n'ai pas trouvé la solution.
Disons que lorsque je regarde mes comportements en séduction, j'ai fini, à la suite de je ne sais plus quel article très instructif, par comprendre qu'effectivement, je cherchais la validation à fond.
Bon ca ne veut pas dire que j'accumule pour accumuler, ce n'est pas mon truc, mais j'ai souvent tendance à chercher la "qualité" dans la relation, et le physique en fait partie.
Bref, bref, on l'a compris, si on applique un peu mécaniquement l'idéal de progression tel qu'on le suppose dans FTS, y'a un moment ou tout cela doit s'arrêter : quand on cherche malgré tout la nouveauté, la beauté, la quantité même (eh oui aussi) alors qu'on aurait eu déjà 10 fois l'occasion de se poser avec des filles mignonnes ET intéressantes, c'est qu'il y a un pb.
Petit apparté : je n'ai pas du tout l'intention de me poser à vrai dire, j'analyse juste mon comportement et essaie de comprendre certains trucs.
Bref, la validation :
- Par rapport à soi-même est ses "modèles" qu'on connait dans sa famille etc.
- Par rapport à ses potes
- Par rapport à la minette une fois que je commences a flirter, qu'une connexion se crée et que j'essaie, quand elle n'est pas dans les mêmes trips que moi, de l'amener dans "mon monde".
A la limite, le probleme n'en serait pas un s'il n'y avait pas de side effects chiants tels que :
- Je m'entends trop bien avec cette fille niveau complicité et cul, mais elle n'est pas une HB8, 9, 10 (pour caricaturer), ca me gene de poursuivre la relation avec.
- J'invite une fille (celle-ci plutôt mignonne) au bar ou je fais de la musique, mais elle est avec ses potes avec qui je n'ai aucun atome crochus : j'ai envie de la voir, elle, pas ses potes et puis en même temps comme je ne sais pas quoi leur dire, ben au lieu de le prendre avec philosophie je me préfere prendre congé plus tôt en me sentant mal.
- Plus généralement, des lors que je n'ai pas de sécurité, ne serait-ce que sexuelle, avec au moins une fille, je me remets en question.
En fin de compte, la question est ici : y'a-t-il un moyen (des moyens) de travailler là dessus? Ou consulter un professionnel (c'est à dire un psychanalyste) est souhaitable?