LR+ LFG : Brelan de Dames, le Foursome !!!
J'imaginais avoir plus de joie en vous postant ce FR si jamais je réussissais mon coup. Il faut croire que le Jeu a un prix, et qu'il n'est pas toujours anodin.
Mais je vais jouer encore jusqu'à gagner, et quelque part... en attendant, tout comme le démontrait Style dans 'The Game'... on apprend, surtout sur soi.
En attendant, voici, avec ses hauts et ses bas, ses détails tantôt amusants tantôt décevants, le cru et pur moment de LFG :
Excerpt: L'ultime, le magique, le somptueux Foursome avec trois pures bombasses (sans les détails y a des mineurs)
Mais je vais jouer encore jusqu'à gagner, et quelque part... en attendant, tout comme le démontrait Style dans 'The Game'... on apprend, surtout sur soi.
En attendant, voici, avec ses hauts et ses bas, ses détails tantôt amusants tantôt décevants, le cru et pur moment de LFG :
Excerpt: L'ultime, le magique, le somptueux Foursome avec trois pures bombasses (sans les détails y a des mineurs)
ACTE I: La Donne
Scene 1 : The Player
La Mission
Trois jours que j'en ai le ventre qui se noue et des frissons rien que d'y penser.
Elles me l'ont promis.
La soirée où j'arrive avec les deux à mon bras pimp-style et où on fait baver tout le monde.
Et là c'est l'opportunité. Une soirée privée je cite "bourge" du côté de Versailles.
L'ideé m'éclate en soi, mais c'est pas ça qui me fait tripper.
SHBBrunette n'arrête pas de répéter qu'elle veut qu'on drague une petite pour faire un truc à quatre.
Alors évidemment... Vous avez déjà deviné ce que moi je veux tenter.
One is a player or not.
Si je réussis, non seulement j'aurai passé un pur moment inoubliable, mais je crois qu'avec ce FR(*) j'aurai écrit mon nom en lettres de feu dans l'histoire de communauté.
Au pire sinon, si je rate mon coup, je risque de passer un pur moment de LFG, parce que déjà se pavaner avec une bombe à chaque bras, c'est que du bonheur !
(*) J'avais commencé ce FR avant la soirée
La journée
Un coup de fil de Muse qui arrive sur Paris me réveille. J'y crois pas, j'ai dormi plus de 4 heures. Je lui propose de voir avec Jibril, de mon côté ce soir y a no way. Evidemment comme j'appelle Jibril, on se prend par les sentiments... va falloir sarger, sinon ce serait pas drôle.
J'ai placé la barre à 18h. De toute façon Jibril a posé une date à 18h avec sa jolie conquête d'hier. Oui parce que chez les sargeholiques pas tout à fait anonymes, t'as beau avoir fini à 6h du mat, et avoir dormi à peine 30 heures depuis le début de la semaine et avoir du follow-on derrière, pas question de renoncer à sarger même si c'est une heure.
En me faisant du pain chaud avec du Nutella, je commence à faire un mini FR pour hier soir. De fil en aiguille, je finis par détailler les moments les plus intéressants, et pfff allez je vais le faire pour de bon ce FR, ça m'a trop éclaté la bataille d'Amogs avec les planitrons.
En plus si je rejoins Jibril, je risque de pas revenir à l'heure...
Ok j'irai pas sarger, je vais plutôt me préparer nickel pour ce soir.
Je commence par me rappeler de me refaire un pur stock de conservateurs, parce que c'est pas que je veuille balancer dans les FR, mais y a des wings qui taxent... En plus j'en rajoute. Allez. Ma devise originale c'est 'One never knows'. Je m'éclate de rire. Une boîte et demie. Je suis un vrai joueur, et je joue pas une partie à la petite semaine ce soir. Si je réussis mon coup ce soir... OMG.
Préparatifs
Je me fais la totale niveau cosmétiques. Je suis déjà pire qu'une gonzesse d'ordinaire, mais là c'est pire que tout.
Ce soir je suis un HB12, ZE HB12.
Je suis frénétique, tout peu foirer, surtout que je sais que je marche sur des oeufs avec Blondinette.
Je réussis mon brushing à la troisième tentative. Je suis allé spécialement voir ma coiffeuse vendredi, avec une semaine d'avance, pour avor une coupe nickel.
Je repasse avec soin une de mes chemises préférées. Nouveau costume. Je prends la cravate sans faire le noeud, on verra ce que mes conseillères m'indiquent.
Je recharge mes poches.
J'ai dit aux filles de se mettre en Armani. C'était au figuré, mais je crois que Blondinette a les moyens, c'est un peu comme SHBLettonia et le Chanel, Brunette pas à ce point, mais disons qu'elle tape souvent chez Agnès B.
Je ferme Opera histoire ne pas être tenté de boucler sur la relecture de mon FR pour enlever une milliardième faute de frappe ou aller lire les dernières conneries que raconte Dior (chui fan).
Allez, concentration. Respiration, ancrages. Je me remets de la musique cool genre AfroMan et Jamalak.
Qu'est-ce qui pourrait me servir de réviser pour ce soir ? Dans l'idéal, Brunette va gamer pour moi, je vais me joindre à elle et acquiescer, patterner notre victime pour qu'elle chauffe, blaster son ASD préemptivement par un yes ladder maison.
Je révise deux trois citations tout terrain d'Oscar Wilde. Ca fait trop bien dans les soirées chic et les CockBlocks et autres raseurs se retrouvent crucifiés.
Je me remets en tête le schéma de compliance de Mystery. Veux que Yoshi soit fier de moi
Je remets le nez dans la section Facts to Feelings du Maniac Plan. Si opportunité il y a, j'aurai pas de temps à perdre en Fluff.
Je pense que se la jouer Secret Society et qualifier notre cible pour qu'elle gagne le droit de jouer avec nous pourrait être une bonne stratégie. Je révise la Secret Scociety.
J'espère que Brunette ne plaisantait pas. Sinon faudra la chauffer un peu avant, lol.
Je retourne frénétiquement me vérifier dans la glace régulièrement, en boucle comme dit De Angelo.
Frisson.
Tout ça est trop délirant. Je ne peux pas m'empêcher de me sourire version "n°2, player".
Ok, the player is 'on'.
Scene 1 : The Player
La Mission
Trois jours que j'en ai le ventre qui se noue et des frissons rien que d'y penser.
Elles me l'ont promis.
La soirée où j'arrive avec les deux à mon bras pimp-style et où on fait baver tout le monde.
Et là c'est l'opportunité. Une soirée privée je cite "bourge" du côté de Versailles.
L'ideé m'éclate en soi, mais c'est pas ça qui me fait tripper.
SHBBrunette n'arrête pas de répéter qu'elle veut qu'on drague une petite pour faire un truc à quatre.
Alors évidemment... Vous avez déjà deviné ce que moi je veux tenter.
One is a player or not.
Si je réussis, non seulement j'aurai passé un pur moment inoubliable, mais je crois qu'avec ce FR(*) j'aurai écrit mon nom en lettres de feu dans l'histoire de communauté.
Au pire sinon, si je rate mon coup, je risque de passer un pur moment de LFG, parce que déjà se pavaner avec une bombe à chaque bras, c'est que du bonheur !
(*) J'avais commencé ce FR avant la soirée
La journée
Un coup de fil de Muse qui arrive sur Paris me réveille. J'y crois pas, j'ai dormi plus de 4 heures. Je lui propose de voir avec Jibril, de mon côté ce soir y a no way. Evidemment comme j'appelle Jibril, on se prend par les sentiments... va falloir sarger, sinon ce serait pas drôle.
J'ai placé la barre à 18h. De toute façon Jibril a posé une date à 18h avec sa jolie conquête d'hier. Oui parce que chez les sargeholiques pas tout à fait anonymes, t'as beau avoir fini à 6h du mat, et avoir dormi à peine 30 heures depuis le début de la semaine et avoir du follow-on derrière, pas question de renoncer à sarger même si c'est une heure.
En me faisant du pain chaud avec du Nutella, je commence à faire un mini FR pour hier soir. De fil en aiguille, je finis par détailler les moments les plus intéressants, et pfff allez je vais le faire pour de bon ce FR, ça m'a trop éclaté la bataille d'Amogs avec les planitrons.
En plus si je rejoins Jibril, je risque de pas revenir à l'heure...
Ok j'irai pas sarger, je vais plutôt me préparer nickel pour ce soir.
Je commence par me rappeler de me refaire un pur stock de conservateurs, parce que c'est pas que je veuille balancer dans les FR, mais y a des wings qui taxent... En plus j'en rajoute. Allez. Ma devise originale c'est 'One never knows'. Je m'éclate de rire. Une boîte et demie. Je suis un vrai joueur, et je joue pas une partie à la petite semaine ce soir. Si je réussis mon coup ce soir... OMG.
Préparatifs
Je me fais la totale niveau cosmétiques. Je suis déjà pire qu'une gonzesse d'ordinaire, mais là c'est pire que tout.
Ce soir je suis un HB12, ZE HB12.
Je suis frénétique, tout peu foirer, surtout que je sais que je marche sur des oeufs avec Blondinette.
Je réussis mon brushing à la troisième tentative. Je suis allé spécialement voir ma coiffeuse vendredi, avec une semaine d'avance, pour avor une coupe nickel.
Je repasse avec soin une de mes chemises préférées. Nouveau costume. Je prends la cravate sans faire le noeud, on verra ce que mes conseillères m'indiquent.
Je recharge mes poches.
J'ai dit aux filles de se mettre en Armani. C'était au figuré, mais je crois que Blondinette a les moyens, c'est un peu comme SHBLettonia et le Chanel, Brunette pas à ce point, mais disons qu'elle tape souvent chez Agnès B.
Je ferme Opera histoire ne pas être tenté de boucler sur la relecture de mon FR pour enlever une milliardième faute de frappe ou aller lire les dernières conneries que raconte Dior (chui fan).
Allez, concentration. Respiration, ancrages. Je me remets de la musique cool genre AfroMan et Jamalak.
Qu'est-ce qui pourrait me servir de réviser pour ce soir ? Dans l'idéal, Brunette va gamer pour moi, je vais me joindre à elle et acquiescer, patterner notre victime pour qu'elle chauffe, blaster son ASD préemptivement par un yes ladder maison.
Je révise deux trois citations tout terrain d'Oscar Wilde. Ca fait trop bien dans les soirées chic et les CockBlocks et autres raseurs se retrouvent crucifiés.
Je me remets en tête le schéma de compliance de Mystery. Veux que Yoshi soit fier de moi

Je remets le nez dans la section Facts to Feelings du Maniac Plan. Si opportunité il y a, j'aurai pas de temps à perdre en Fluff.
Je pense que se la jouer Secret Society et qualifier notre cible pour qu'elle gagne le droit de jouer avec nous pourrait être une bonne stratégie. Je révise la Secret Scociety.
J'espère que Brunette ne plaisantait pas. Sinon faudra la chauffer un peu avant, lol.
Je retourne frénétiquement me vérifier dans la glace régulièrement, en boucle comme dit De Angelo.
Frisson.
Tout ça est trop délirant. Je ne peux pas m'empêcher de me sourire version "n°2, player".
Ok, the player is 'on'.
Scene 2: Les autres joueuses
Voiture avec chauffeuse
Zou direction le Seven-Eight.
La conversation finit immanquablement par dériver. Tant mieux.
Essayons une tactique différente de "N°2, Player".
Voiture avec chauffeuse
Zou direction le Seven-Eight.
La conversation finit immanquablement par dériver. Tant mieux.
Rooooooooooooooooo genre moi pas... je suis tellement surpris, mon amour...SHBBrunette(=Caroline, allez ça fait chier les NickNames): T'es trop bô !
M: Tu sais que si j'étais pas amoureux de ta meilleure amie, je t'épouserais !
C: Je t'aime tu sais !
M *bisou sur mes doigts que je mets sur ses lèvres*.
C: <SHBBlondeSexy(=Séverine)>, quand tu en veux plus tu me le passes !
S: Vous êtes insupportables ! Je sais même pas si vous déconnez !
C: Tu sais qu'on t'aime, et on te fait passer tous les deux en premier...
M: Et sans le moindre regret *Kino épaule*.
S: En plus Caroline veut absolument qu'on drague une fille et qu'on fasse un truc à quatre ce soir.
Essayons une tactique différente de "N°2, Player".
M: Pourquoi pas ? Je veux dire, on sait très bien où on en est tous les trois, et ce serait agréable, non ?
S: Ca je dis pas...
C: Mmmmm je veeuuuux !
M, à Séverine: Tu crois qu'elle mérite qu'on lui fasse plaisir ?
S: Je sais pas... faut voir...
C: Je te ferai plein de bisous partout...
M: C'est vrai que j'aimerais bien voir une inconnue te faire l'amour, Séverine...
S: Tu as de ces fantasmes !
M: Ce n'est pas par fantasme. C'est parce que j'adore te voir... quand on te caresse, je sens que tu es heureuse, que tu t'épanouis.
C: Tu as raison. Moi aussi j'adore te voir quand on t'aime...
S: Vous êtes d'horribles pervers.
M: C'est ça qui fait notre charme.
S: ~ Et comment vous allez faire ? Vous allez vous jeter sur une proie sans défense !
C: Nous allons tous les trois nous jeter sur une proie sans défense !
M: Enfin consentante si possible...
C: Oui, sur une folle de cul honteuse !
M: MDR
S: Caro !
M: Tu te sens visée ?
S: ... ?? Pas vraiment non... Mais vous êtes horribles on dirait que vous avez déjà décidé à l'avance de votre coup !
C: Oui ;D
M,*caresse les cheveux de Séverine* : C'est vrai que c'est une bonne idée en fait. J'en ai envie. [*pan utilise ancrage de compliance à la nuque*]
S: On verra... Au fait, Caroline, ... <Fluff>
ACTE II : Da playa(s) Owns Da Place
Scene 1 : L'Entrée tant fantasmée
Pimp Da King in Da Place
Bon elles trouvent assez facilement, pourtant avec une fille comme chauffeuse et une comme navigatrice, j'aurais pas parié.
Putain ça caille, mais je laisse mon imper dans la voiture, l'entrée de édifice est à quelques mètres. Il y a pas d'indication sur ce que c'est, on avait juste une adresse. Sans doute une boîte privée privatisée ou une salle à louer de luxe comme il y en a tant dans les environs.
Assez rapidement, ça me fait penser aux centres de séminaires comme ceux que deux de mes clients ont dans les environs, mais revenons à l'essentiel...
Je rentre dans Da Place avec une bombasse à chaque bras. LFG.
Après un passage au vestaire, on attaque la salle...
Séverine a une pure robe noire à moitié fendue sur le côté, faut dire qu'avec les jambes qu'elle a elle peut se permettre. Ses cheveux blonds sont faussement laissés libres, quelques mèches rendues un peu plus vaporeuses que d'ordinaire par un passage chez le coiffeur. On dirait un ange avec des yeux de tueuse. Sa robe met en valeur sa poitrine de folaïe (OMG). Pur maquillage, des bijoux qui sont des vrais (merci Mamy $). Elle a une classe d'enfer.
Caroline a une robe d'enfer aussi, noire pareil, et tendue par sa poitrine. Elle est fendue de l'autre côté, elles ont fait exprès me confirme-t-elle. Elle a topé des boucles d'oreille à sa meilleure amie (ci-jointe), je les ai déjà retrouvées chez moi un jour celles là. Elle a brushé ses cheveux bruns, qui font des petites piques. Elle aussi a un pur maquillage. Le meilleur de ses origines italiennes ressort. Elle a une taille de folie, et un postérieur juste inférieur en diamètre à sa poitrine, on voit que l'habillement est calculé pour le signaler à ceux qui auraient raté. J'aime pas trop l'échancrure dans le dos la forme est pas top, m'enfin globalement y a de quoi fantasmer. Elle se fait moins souriante que d'habitude, sans doute pour DHVer.
Tonight we are the killers.
On capte clairement beaucoup les regards. Franchement quand je les regarde comme ça, Séverine me fait l'effet d'être une 10 et Caroline pas loin 9.5 ; je les avais jamais vu aussi en beauté. Les femmes gagnent IMO jusqu'à 1.5-2 points lorsqu'elles se donnent la peine... et sans doute aussi que leur Inner Game compte dans cette augmentation.
Mais dans les minutes qui suivent, je rage de ne pas faire autant sensation que j'aurais voulu. Autant pour mes velléités de vanité, lol.
Enfin, franchement, en soi, par amour du Game, ça a été un des meilleurs moments de ma vie. LFG.
Edith
Une à chaque bras, nous sommes happés par une connaissance des filles, une 7 parodie de versaillaise branchouille.
Nous nous dirigeons vers le bar. C'est pas facile de marcher avec deux filles en même temps, je leur demande de se synchroniser.
Ces demoiselles tournent au champagne, moi vous savez déjà.
Scene 1 : L'Entrée tant fantasmée
Pimp Da King in Da Place
Bon elles trouvent assez facilement, pourtant avec une fille comme chauffeuse et une comme navigatrice, j'aurais pas parié.
Putain ça caille, mais je laisse mon imper dans la voiture, l'entrée de édifice est à quelques mètres. Il y a pas d'indication sur ce que c'est, on avait juste une adresse. Sans doute une boîte privée privatisée ou une salle à louer de luxe comme il y en a tant dans les environs.
Assez rapidement, ça me fait penser aux centres de séminaires comme ceux que deux de mes clients ont dans les environs, mais revenons à l'essentiel...
Je rentre dans Da Place avec une bombasse à chaque bras. LFG.
Après un passage au vestaire, on attaque la salle...
Séverine a une pure robe noire à moitié fendue sur le côté, faut dire qu'avec les jambes qu'elle a elle peut se permettre. Ses cheveux blonds sont faussement laissés libres, quelques mèches rendues un peu plus vaporeuses que d'ordinaire par un passage chez le coiffeur. On dirait un ange avec des yeux de tueuse. Sa robe met en valeur sa poitrine de folaïe (OMG). Pur maquillage, des bijoux qui sont des vrais (merci Mamy $). Elle a une classe d'enfer.
Caroline a une robe d'enfer aussi, noire pareil, et tendue par sa poitrine. Elle est fendue de l'autre côté, elles ont fait exprès me confirme-t-elle. Elle a topé des boucles d'oreille à sa meilleure amie (ci-jointe), je les ai déjà retrouvées chez moi un jour celles là. Elle a brushé ses cheveux bruns, qui font des petites piques. Elle aussi a un pur maquillage. Le meilleur de ses origines italiennes ressort. Elle a une taille de folie, et un postérieur juste inférieur en diamètre à sa poitrine, on voit que l'habillement est calculé pour le signaler à ceux qui auraient raté. J'aime pas trop l'échancrure dans le dos la forme est pas top, m'enfin globalement y a de quoi fantasmer. Elle se fait moins souriante que d'habitude, sans doute pour DHVer.
Tonight we are the killers.
On capte clairement beaucoup les regards. Franchement quand je les regarde comme ça, Séverine me fait l'effet d'être une 10 et Caroline pas loin 9.5 ; je les avais jamais vu aussi en beauté. Les femmes gagnent IMO jusqu'à 1.5-2 points lorsqu'elles se donnent la peine... et sans doute aussi que leur Inner Game compte dans cette augmentation.
Mais dans les minutes qui suivent, je rage de ne pas faire autant sensation que j'aurais voulu. Autant pour mes velléités de vanité, lol.
Enfin, franchement, en soi, par amour du Game, ça a été un des meilleurs moments de ma vie. LFG.
Edith
Une à chaque bras, nous sommes happés par une connaissance des filles, une 7 parodie de versaillaise branchouille.
I Love This Fucking Game.S: Salut *bise bise* (...) je suis avec Caroline, que tu avais déjà rencontrée, et voici notre homme, <Phenix>
Bon la fille m'énerve, mais je me la joue à la Pilinski : toujours la classe, et la pure "bonne prise".E: Votre homme ? ... lol Oh Mon Dieu, c'est pas vrai, vous plaisantez ?
C: *bise bise* Non pourquoi ?
M: Enchanté, *bise bise* et tu es ?
Toujours soutenir ta wing. Elle va pour se faire appeler "Euh Bonjour" toute la soirée, mais ma chérie vient à la rescousse.E:Euh bonjour. ~ Séverine a toujours eu de l'humour, mais c'est vrai qu'on dirait à vous voir comme ça que...
M: Comme Caroline l'a indiqué, ce n'est pas une plaisanterie. Je n'ai pas bien retenu ton nom...
Ca me fait penser à un truc que je dis en fin de ce FR.S: C'est Edith. On s'est connues depuis le collège, sa soeur était dans ma classe. Ton mari est là ?
E: ... Non. Nous sommes divorcés.
Bon en fait la fille est plutôt sympa. Dans la suite de la soirée elle nous présentera à plusieurs personnes, notamment à SHBAurélie (sur laquelle je m'étendrai plus tard).S: Je suis désolée.<fluff tout ça>
Nous nous dirigeons vers le bar. C'est pas facile de marcher avec deux filles en même temps, je leur demande de se synchroniser.
Ces demoiselles tournent au champagne, moi vous savez déjà.
Scene 2: Le duel (quatrel??)
Le Bachelor
Direction les tables à petits fours. Je me suis bien chauffé sur la déconne petits fours cette semaine, j'en profite... (cf le FR pour le genre de conneries que je balance).
En gros pendant une bonne demi-heure, on parade, en mangeant plein de trucs bizarres que même moi (et même AntiNiceGuy si çà se trouve) on avait jamais vu dans des cocktails.
Quelques personnes engagent la conversation. Certains sont manifestement intéressés par elles ou moi, mais personne peut croire que...
A un moment un bellâtre genre le bachelor qu'a fait HEC attaque. Il pue l'arrogance et le fric. Je sens venir le LFG.
Caroline est prise d'un fou rire.
Maintenant je vais qualifier mes Amogs, vais leur faire du A3, lol. C'est peut être une connerie tactiquement j'ai pas réfléchi, lol, mais en tout cas c'est fendard. Je pense que Caroline s'est marrée aussi parce que j'avais du faire ce coup là à Séverine le jour où on s'est rencontrés.
Il va pour s'en aller, mais finalement s'incruste. Je sais pas, il a du voir ses copains qui l'attendaient, et décider de pas abandonner.
Bon la suite est chiante sauf la fin. A un moment il devient trop pressant/excité, je sais pas s'il voit le truc à quatre venir, faut pas rêver, chui pas prêteur.
N°3, HB12.
Le Bachelor
Direction les tables à petits fours. Je me suis bien chauffé sur la déconne petits fours cette semaine, j'en profite... (cf le FR pour le genre de conneries que je balance).
En gros pendant une bonne demi-heure, on parade, en mangeant plein de trucs bizarres que même moi (et même AntiNiceGuy si çà se trouve) on avait jamais vu dans des cocktails.
Quelques personnes engagent la conversation. Certains sont manifestement intéressés par elles ou moi, mais personne peut croire que...
A un moment un bellâtre genre le bachelor qu'a fait HEC attaque. Il pue l'arrogance et le fric. Je sens venir le LFG.
Pfff trop éculés tes trucs même moi je les parodie pas. En plus on t'a jamais dit de pas commencer par ta target mais par les cockblocks ?L, *EC locke Séverine* : Bonjour, je n'ai pas l'honneur de vous connaître. *il serre la main de Séverine qui du coup me lâche le bras*
L: Je m'en rappelerais...
Caroline pouffe de rire. Atttends c'est pas fini, faut que je sous entende que c'est pas sur "l'honneur de se connaitre" pas sur "qu'on s'en souviendrait"... mais sans le dire.M: Nous c'est pas sur...
Genre je te paie si tu m'en débarrasse.M: Peut-être qu'on vous connait ? Votre visage me dit quelque chose...
L: Je ne pense pas ?
M: Tu aurais pas fait Pop Stars ?
L: Non...
M: ... ou le Bachelor ?
L, *sourit*: On me dit souvent que je ressemble au bachelor.
M, à S: Ma chérie, ce garçon ne va pas tarder à t'offrir une rose...
L: Non je...
M: Ah non ! Ne dis jamais à une femme que tu ne veux pas lui offrir de fleurs...
C: *mdr*
L: Mais ça mériterait... Vous êtes si ravissante...
Toi tu viens de te faire propulser en C5 t'as pas compris.
Tiens il a dit 'ravissante' mais pas 'charmante' celui là. Est-il seulement à moitié naze ?
S, à moi avec un regard aussi noir que ses yeux clairs le permettent : _Lui_ il m'offrirait des fleurs...
M: Payées par la prod... c'est d'un artificiel, en plus l'idée n'est pas de lui mais de _moi_...
L: Je les paierais sur mes deniers...
M: Tu es riche ?
L: *WTF?* Pardon ?
M: Elle ne va pas t'épouser si tu n'es pas riche. Et puis elle veut vraiment beaucoup de fleurs...
Caroline est prise d'un fou rire.
Maintenant je vais qualifier mes Amogs, vais leur faire du A3, lol. C'est peut être une connerie tactiquement j'ai pas réfléchi, lol, mais en tout cas c'est fendard. Je pense que Caroline s'est marrée aussi parce que j'avais du faire ce coup là à Séverine le jour où on s'est rencontrés.
Je sens le BS, mais lui il l'a pas vu venir. Pourtant je pense que ce garçon est un performer honorable par ailleurs, il commence à me devenir sympathique.M, mdr et pour la "couvrir": Elle est tout le temps comme ça.
L, reprend de l'assurance, s'adresse à S : Ce serait un plaisir de faire ta connaissance...
M: Oh c'est trop mignon. Quand est-ce que tu l'emballes ?
S, regarde le mec dans les yeux : Je crois que je suis amoureuse.
Le Bachelor s'incrusteL: Déjà, mais on se connaît à peine.
Hé normalement, c'est une ligne à moi, ça.
S, à moi : De toi *une main sur mon visage, m'embrasse truc de ouf*.
L, a un instant de choc, reprend sa contenance, regarde Caroline par accident.
Elle me regarde.
C: Je crois que je suis amoureuse aussi. *m'embrasse aussi truc de ouf*.
Le mec se marre, et vient me serrer la main.
L: Très fort.
Il va pour s'en aller, mais finalement s'incruste. Je sais pas, il a du voir ses copains qui l'attendaient, et décider de pas abandonner.
Celle là je la connais... lol, d'ici à ce qu'on retrouve son FR sur FTS demain... Ca me fait un peu peur sur le coup, j'avoue. Le mec est coriace comme un naturel, les SHBs aiment ça (même celles-ci), et s'il a les billes de la communauté, ça peut craindre (spécialement s'il joue les mauvais joueurs et me balance).L: Un moment j'ai failli y croire. C'est vraiment excellent comme tactique.
M: ~ OMG, dans dix secondes il va nous dire que nous sommes frère et soeurs...
L: Plus rien ne m'étonnerait... Allez comment vous vous connaissez ?
Même quand on leur dit ils peuvent pas comprendre...M: Je les ai rencontrées en posant des questions stupides dans la rue.
S: Il m'a dit que je ressemblais à Bugs Bunny.
L: Impossible !
Le mec se marre jaune. Il doute.C, avec son air extrêmement sérieux de quand elle raconte les pires trucs de ouf : Et il fait très bien l'amour.
S: Chut on va nous le piquer !
M: Tiens en parlant de ça, tu as pas des copines mignonnes et célibataires à nous présenter ?
Y a pas, un morceau d'anthologie.L: Je suis hélas célibataire, mais je suis pas sur que si c'est vrai je voudrais te les présenter.
M: Des soeurs peut-être ?
C & S: *explosent de rire*
Bon la suite est chiante sauf la fin. A un moment il devient trop pressant/excité, je sais pas s'il voit le truc à quatre venir, faut pas rêver, chui pas prêteur.
N°3, HB12.
J'ai un doute, Steeve c'était ptêt' pas comme ça que s'appelait le bachelor, mais bon c'était l'idée.M: Excuse-nous, Steeve, il faut que nous allions nous repoudrer le nez.
L: Je suppose qu'il ne faut pas que je m'étonne... Coke ?
M: Light.
Scene 3 : Le noeud gordien de l'intrigue, c'est le drame, la panne
Caroline et son soupirant, Le Bachelor II
En fait on bouge de quelques mètres pour aller nos re servir au bar.
On a papoté avec pas mal de monde.
J'ai vu non sans un certain intérêt notre bachelor s'expliquer avec ses potes.
L'a l'air tout excité retourné, ce garçon. Je le comprends remarque. La vérité est à peine croyable. C'est comme si je lui expliquais que je fais partie d'une kabbale internationale de séducteurs capables de lever n'importe quelle femme et qui explosent négligemment en vol les velléitaires dans son genre. En plus il a pas l'habitude de se faire torcher comme ça, manifestement. Mais on dirait qu'il est excité, et émotionnellement enjoué même s'il vient de se prendre un pur tractorateau. Je pense qu'il va retenir mes lignes d'Amog.
Peu après, il y en a un, un brun qui sort du lot de potes du bachelor et qui va gamer Caroline quand elle revient des toilettes pour dames.
Je me retrouve paralysé, entre l'envie de voir comment il la game et le fait de devoir assumer mon rôle d'alpha confiant non menacé par la plèbe.
Du coup j'y vais pas. Homéostasie, c'est qu'on a quelque chose à perdre qu'on est vulnérable. Enfin, je profite pour jeter un oeil aux alentours...
Je suis déçu, ça fait pas tant d'effet que ça. Je veux dire, je me suis pris plus d'AIs/ECs hier soir au pub quand on a pawné le dancefloor avec Kayvince...
Peut-être que ça fait tellement TROP pré sélectionné que les gens y croient pas, ou qu'ils se sentent trop pas assez HV. (lol A refaire avec des 7 ?)
Ou alors les habitants du coin ont déjà tout vu ? Pour ce que j'en sais, Versailles partouze plus que Paris.
Séverine me présente à plusieurs personnes qu'elle connait. Il y aurait bien deux ou trois 7, et quelques tauperons assez bien présentées pour passer pour potables sous des stroboscopes. Je travaille mon BL et mon IG, comme on en a discuté avec Yoshi et aRise l'autre soir. (Merci les gars
)
Je tiens la route sur les divers sujets, de la jet set à l'altermondialisme, j'enquille sur des stories, j'hypnotise les auditoires. Des mois de pratique quasi quotidienne, ça aide.
Séverine me dira qu'elle est ravie que je leur en mette plein la vue, me promet une récompense.
Prudent, je lui demande pas "laquelle?" en montrant les filles, pourtant ça me démange.
J'ai un problème de lentille, je m'absente. Je fais un signe de sourcils Thufir-style à Caroline au passage, genre t'as du bol ce soir.
Je capte qu'elle aurait bien aimé que je rentre dans le set. Bon elle pas foutu sa main sur son cul pour demander un wing comme le signal d'aRise que Jibril m'a expliqué cette semaine, mais ok j'arrive. Moi je mettrais bien ma main sur son postérieur du reste.
Toilettes, un peu de trifouillage de lentille.
Le bachelor arrive.
Il stalle, sourit bon perdant, je sors.
Je retrouve Caroline, je fais un vague signe de salut au gars qui la game, je l'enserre dans mes bras avec délice. Elle se laisse aller, me regarde, puis se retourne et m'embrasse.
Lorsqu'elle a fini, le mec nous dit "A plus", dégoûté.
Pimp The King, je vous dis.
Baisse de régime
J'ai un peu mauvaise conscience, on en rajoute et c'est gratuit. Ca me semble soudain bien vain, même malgré la très belle chose parfumée qui se laisse aller contre moi. Je veux dire, le jeu parfois parait si vain... Je me bats avec des armes que j'adore, mais je trouve le combat bas. Des types extraordinaires se font jeter par des bombes comme elles, simplement parce que les règles floues (pour le commun des mortels) de ce jeu sont superficielles et les femmes des gallinacées. Pourquoi la gentillesse et l'attachement sincère ne comptent-ils pas pour elles ? Elles pensent que si, mais c'est ce qui fait qu'elles s'en vont. Elles restent avec un pur salopard de player polygame comme moi, m'offrent leurs amies sur un plateau. Je déteste les traiter comme un jerk, mais c'est leur choix, c'est dans leur nature.
Enfin, je cherche la voie médiane...
Retour pour le buffet sucré tout en papotant avec ma complice. Elle me conseille d'aller voir Séverine. Sur le coup, je percute pas ce qu'elle veut faire.
Je retrouve Séverine avec Edith et des copines. Je reste un moment, jouant les mystérieux, pris dans mon débat intérieur sur le NiceGuyisme vs le Jerkisme, balançant de temps en temps une ligne ou une Story.
Après un temps, je décide de retourner me re servir.
Je commence à tester un peu d'open sur des filles potables. Mon idée est de faire un ou deux #close full stealth, genre full Indirect ou Secret Society, comme ça si je me fais toper, chui innoncent Votre Honneur.
Mais bon la réalité n'est pas toujours évidente ; je me prends du Bitch Shield grave.
Soit c'est du vrai, soit je suis officiellement une Sexual Threat d'une magnitude qu'elles ont jamais connu.
Ou alors c'est comme ces filles qui crament parce que tu as trop de HV et qui se demandent pourquoi tu leurs parles. (Yoshi dit que ça se résume en pratique à un Attract insuffisant genre pour qu'elles arrêtent de faire semblant de penser. Note pour plus tard, devenir un pur aimant.)
Enfin dans tous les cas, je me sens pas de taille au bout de trois rateaux, je me retrouve avec un momentum bas et plus motivé ; je décide d'aller badiner avec Caroline. Elle elle m'aime.
Caroline et son soupirant, Le Bachelor II
En fait on bouge de quelques mètres pour aller nos re servir au bar.
On a papoté avec pas mal de monde.
J'ai vu non sans un certain intérêt notre bachelor s'expliquer avec ses potes.
L'a l'air tout excité retourné, ce garçon. Je le comprends remarque. La vérité est à peine croyable. C'est comme si je lui expliquais que je fais partie d'une kabbale internationale de séducteurs capables de lever n'importe quelle femme et qui explosent négligemment en vol les velléitaires dans son genre. En plus il a pas l'habitude de se faire torcher comme ça, manifestement. Mais on dirait qu'il est excité, et émotionnellement enjoué même s'il vient de se prendre un pur tractorateau. Je pense qu'il va retenir mes lignes d'Amog.
Peu après, il y en a un, un brun qui sort du lot de potes du bachelor et qui va gamer Caroline quand elle revient des toilettes pour dames.
Je me retrouve paralysé, entre l'envie de voir comment il la game et le fait de devoir assumer mon rôle d'alpha confiant non menacé par la plèbe.
Du coup j'y vais pas. Homéostasie, c'est qu'on a quelque chose à perdre qu'on est vulnérable. Enfin, je profite pour jeter un oeil aux alentours...
Je suis déçu, ça fait pas tant d'effet que ça. Je veux dire, je me suis pris plus d'AIs/ECs hier soir au pub quand on a pawné le dancefloor avec Kayvince...
Peut-être que ça fait tellement TROP pré sélectionné que les gens y croient pas, ou qu'ils se sentent trop pas assez HV. (lol A refaire avec des 7 ?)
Ou alors les habitants du coin ont déjà tout vu ? Pour ce que j'en sais, Versailles partouze plus que Paris.
Séverine me présente à plusieurs personnes qu'elle connait. Il y aurait bien deux ou trois 7, et quelques tauperons assez bien présentées pour passer pour potables sous des stroboscopes. Je travaille mon BL et mon IG, comme on en a discuté avec Yoshi et aRise l'autre soir. (Merci les gars

Je tiens la route sur les divers sujets, de la jet set à l'altermondialisme, j'enquille sur des stories, j'hypnotise les auditoires. Des mois de pratique quasi quotidienne, ça aide.
Séverine me dira qu'elle est ravie que je leur en mette plein la vue, me promet une récompense.
Prudent, je lui demande pas "laquelle?" en montrant les filles, pourtant ça me démange.
J'ai un problème de lentille, je m'absente. Je fais un signe de sourcils Thufir-style à Caroline au passage, genre t'as du bol ce soir.
Je capte qu'elle aurait bien aimé que je rentre dans le set. Bon elle pas foutu sa main sur son cul pour demander un wing comme le signal d'aRise que Jibril m'a expliqué cette semaine, mais ok j'arrive. Moi je mettrais bien ma main sur son postérieur du reste.
Toilettes, un peu de trifouillage de lentille.
Le bachelor arrive.
Le compliment et les questions sont sincères, mais il veut probablement laisser du temps à son pote avec Caro ou qu'un autre puisse gamer Séverine.L: Tu es très fort. C'est vrai que tu sors avec les deux ?
Enfin sauf sur un site Internet où tout le monde peut s'inscrire lol. (anonymement à la base cela dit).M: En gentleman, je n'ai pas l'habitude de détailler l'étendue de mes relations avec la gent féminine.
Je remets ma lentille, ça a l'air de tenir. Putain j'ai les yeux trop éclatés, moi. Faut qu'on arrête de s'appeler avec Jibril.L: Allez, tu peux le dire...
Chick Test 101 : Apply Back, Frame de Swingcat n°9, Outframe. Jedi stuff.L: T'es pas sympa...
M: TU es pas sympa de le prétendre.
Il stalle, sourit bon perdant, je sors.
Je retrouve Caroline, je fais un vague signe de salut au gars qui la game, je l'enserre dans mes bras avec délice. Elle se laisse aller, me regarde, puis se retourne et m'embrasse.
Lorsqu'elle a fini, le mec nous dit "A plus", dégoûté.
Pimp The King, je vous dis.
Baisse de régime
J'ai un peu mauvaise conscience, on en rajoute et c'est gratuit. Ca me semble soudain bien vain, même malgré la très belle chose parfumée qui se laisse aller contre moi. Je veux dire, le jeu parfois parait si vain... Je me bats avec des armes que j'adore, mais je trouve le combat bas. Des types extraordinaires se font jeter par des bombes comme elles, simplement parce que les règles floues (pour le commun des mortels) de ce jeu sont superficielles et les femmes des gallinacées. Pourquoi la gentillesse et l'attachement sincère ne comptent-ils pas pour elles ? Elles pensent que si, mais c'est ce qui fait qu'elles s'en vont. Elles restent avec un pur salopard de player polygame comme moi, m'offrent leurs amies sur un plateau. Je déteste les traiter comme un jerk, mais c'est leur choix, c'est dans leur nature.
Enfin, je cherche la voie médiane...
Retour pour le buffet sucré tout en papotant avec ma complice. Elle me conseille d'aller voir Séverine. Sur le coup, je percute pas ce qu'elle veut faire.
Je retrouve Séverine avec Edith et des copines. Je reste un moment, jouant les mystérieux, pris dans mon débat intérieur sur le NiceGuyisme vs le Jerkisme, balançant de temps en temps une ligne ou une Story.
Après un temps, je décide de retourner me re servir.
Je commence à tester un peu d'open sur des filles potables. Mon idée est de faire un ou deux #close full stealth, genre full Indirect ou Secret Society, comme ça si je me fais toper, chui innoncent Votre Honneur.
Mais bon la réalité n'est pas toujours évidente ; je me prends du Bitch Shield grave.
Soit c'est du vrai, soit je suis officiellement une Sexual Threat d'une magnitude qu'elles ont jamais connu.

Enfin dans tous les cas, je me sens pas de taille au bout de trois rateaux, je me retrouve avec un momentum bas et plus motivé ; je décide d'aller badiner avec Caroline. Elle elle m'aime.
ACTE III : La partie : Caroline, Aurélie, Séverine et moi
Scene 1 : La mise
Aurélie
Je vois plus loin ma Caroline qui est avec une fille en train de parler. C'est Aurélie, qu'Edith nous a présentée.
Aurélie est une très jolie jeune femme aux cheveux chatain foncés relativement courts. Elle a une de ces magnifiques poitrines élancées et presque pointues dans un petit haut pas assez décolleté à mon goût. Elle parle avec quelque chose de clair et de sensuel dans la voix, ne se prend pas au sérieux. Elle a de très jolis yeux marron clair, elle se tient à peine trop voutée en avant. Un petit cul comme on aime les chopper, un très joli visage. Allez... 8.5.
On parle, elle est intéressante, on sent la complicité monter tous les trois.
J'ai l'impression qu'elle a les yeux qui trainent sur moi. J'ai une pensée amusée pour un délire de Jibril sur des mecs du PPC qui fantasment que les filles les matent genre ils s'en rendent compte à 30m, m'enfin en général depuis des années je ne me trompe pas sur ce genre de trucs même si je regrette que ça m'arrive pas plus souvent. Vive le Social Proof. Je vérifie la fréquence/durée/direction de son regard avec les règles du Mating Call de Pilinski, ça cadre, largement même.
La musique augmente, les lumières baissent. Ce soir c'est disco (mais que fait Boris ?). Ca fait un peu boum dépeuplée dans l'endroit, mais bon. Ca fait longtemps que je rêve d'un samedi soir moins surpeuplé... En plus ça pue pas la clope, et les petits fours sont gratuits, sans compter que je suis en extraordinaire compagnie.
Je montre des gars à côté, qui sont pas assez discrèts sur leur intérêt vis à vis des deux bonnasses. fais signe que la musique fait chier niveau sonore.
Je leur fais signe de se dégager vers le fond.
Dans une pièce bien plus loin, on se pose sur un super canapé. J'aurais bien cherché s'il y avait pas des chambres ou une infirmerie, m'enfin c'est déjà pas mal.
Après beaucoup de curiosité sur nous, Aurélie nous demande si c'est vrai que nous faisons des trucs à trois. Elle a l'air curieuse et fascinée.
Je croise le regard de Caroline.
Obligé, on se la tape.
Un wing fille, c'est encore mieux qu'un wing mec lol, mais là je sais exactement quoi faire.
Scene 1 : La mise
Aurélie
Je vois plus loin ma Caroline qui est avec une fille en train de parler. C'est Aurélie, qu'Edith nous a présentée.
Aurélie est une très jolie jeune femme aux cheveux chatain foncés relativement courts. Elle a une de ces magnifiques poitrines élancées et presque pointues dans un petit haut pas assez décolleté à mon goût. Elle parle avec quelque chose de clair et de sensuel dans la voix, ne se prend pas au sérieux. Elle a de très jolis yeux marron clair, elle se tient à peine trop voutée en avant. Un petit cul comme on aime les chopper, un très joli visage. Allez... 8.5.
On parle, elle est intéressante, on sent la complicité monter tous les trois.
J'ai l'impression qu'elle a les yeux qui trainent sur moi. J'ai une pensée amusée pour un délire de Jibril sur des mecs du PPC qui fantasment que les filles les matent genre ils s'en rendent compte à 30m, m'enfin en général depuis des années je ne me trompe pas sur ce genre de trucs même si je regrette que ça m'arrive pas plus souvent. Vive le Social Proof. Je vérifie la fréquence/durée/direction de son regard avec les règles du Mating Call de Pilinski, ça cadre, largement même.
La musique augmente, les lumières baissent. Ce soir c'est disco (mais que fait Boris ?). Ca fait un peu boum dépeuplée dans l'endroit, mais bon. Ca fait longtemps que je rêve d'un samedi soir moins surpeuplé... En plus ça pue pas la clope, et les petits fours sont gratuits, sans compter que je suis en extraordinaire compagnie.
Je montre des gars à côté, qui sont pas assez discrèts sur leur intérêt vis à vis des deux bonnasses. fais signe que la musique fait chier niveau sonore.
Je leur fais signe de se dégager vers le fond.
Dans une pièce bien plus loin, on se pose sur un super canapé. J'aurais bien cherché s'il y avait pas des chambres ou une infirmerie, m'enfin c'est déjà pas mal.
Après beaucoup de curiosité sur nous, Aurélie nous demande si c'est vrai que nous faisons des trucs à trois. Elle a l'air curieuse et fascinée.
Je croise le regard de Caroline.
Obligé, on se la tape.
Un wing fille, c'est encore mieux qu'un wing mec lol, mais là je sais exactement quoi faire.
Scene 2 : La partie
Checklist pour le FClose
En songeant que décidément le momentum attire le momentum, je reprends doucement à ma complice le contrôle de la conversation, et je commence par blaster l'ASD (accidentellement ça DHVée et ça ancre notre activité multipartenaires comme un état désiré / EV): nous nous comprenons sur le fait que nous ne sous sentons pas prisonniers, que personne n'a à nous dicter ce que nous faisons, après tout ? Je demande à Aurélie ce qu'elle a contre. Rien, c'est juste... surprenant, dit-elle. Je patterne sur le sentiment de liberté, le truc de honteuse dont on avait parlé tout à l'heure, le délice et la fin de la honte et de la peur, etc. J'ancre bien que c'est naturel, que c'est la pureté et la force de l'émotion qui font peur, et qu'il y a au-delà une sécurité qui ne met pas en jeu l'égo ni de risques/conséquences comme à l'époque des cavernes malgre le mécanisme millénaire...
Je vois dans le regard de Caroline qu'elle comprend ma manoeuvre.
Je repense aux diverses sagesses tirées d'aRise, Jibril, Toine et Yoshi sur le contrôle de l'émotion dans la voix et la transe, et je m'arrange pour mettre la cible limite en transe.
Ensuite pour éviter que la LMR fasse front, je lui explique en quoi Caroline et Séverine méritent que. Suite à quoi, la futée Caroline me "Sexual Proofe" à son tour egalement, expliquant d'elle même toute la liste des caractéristiques alpha/secret society qu'il faut. Leader, je ne juge pas, attirant, doux, elles se sentent en parfaite confiance avec moi, merveilleux amant jamais connu un plaisir pareil (merci Tim Léonardi et l'Hypnose Eriksonienne) rien à craindre tout ça... Je me fais encenser. J'ai une pensée amusée, elle est tellement joueuse qu'elle aurait raconté ça même si elle pensait pas tout.
A titre exceptionnel je dis pas à Caroline qu'elle aura son chèque à la fin de la semaine, vu qu'on est en C2-C3.
Ensuite je patterne à fond en lui racontant la première fois où nous avons fricoté à trois. Je lui décris le jeu mutuel, l'aspect parfaitement naturel, la chauffe progressive, les émotions et les sensations de leur point de vue (à cet effet du reste, j'ai bien fait d'en reparler avec elles).
Je sens qu'elle commence à chauffer grave, la petite Aurélie.
Caroline commence à lui décrire ce que ça fait de passer outre son ASD en embrassant une fille, lui parle d'une tendresse hallucinante, etc.
Elle a compris comment patterner, elle.
On dit souvent dans la communauté que les femmes ont le manuel pré imprimé. Et Caroline elle l'a bien lu et appris.
J'écoute avec attention, ça peut re servir, lol.
Je renchéris en rattaquant sur la liberté de vaincre l'ASD (enfin pas avec ce terme), de se sentir plonger dans un tourbillon de désir, à la fois vertigineux et en toute confiance, des sensations de sentir des personnes aimantes te caresser, etc.
Caroline commence à lui parler dans l'oreille, elle chuchotent.
Caroline Kiss Close
Elles me regardent. Caroline l'attrape par le cou pour lui parler à voix basse dans l'oreille. A leurs regards, je comprends qu'elle lui parle de moi.
Aurélie devient rouge. Elle en est à 4 coupes et un whisky. Caroline continue.
Elles se font des confidences.
Bon il s'agit pas de se rater.
Je regarde les deux sans ciller, avec bienfaisance et en projetant un maximum d'Attract, me lève dans un mouvement tout doux, et sors sans rien dire.
Je vais dans le couloir et je réfléchis. Caroline fait tout le boulot de séduction, à moi d'arranger le reste. Ce qui se résume essentiellement à : si on fait ça sans Séverine, ça va être Apocalypse Now.
Je vais donc faire un tour, mais je ne la trouve pas. Je panique, j'ai peur que ça tourne mal si on l'amène pas jouer. Je pense que Caroline va continuer à chauffer la délicieuse Aurélie, qui a une bien jolie bouche dans laquelle... enfin bref concentrons nous sur le névralgique.
En plus j'ai pas vu le Bachelor, merde j'espère que ce con-là n'y est pour rien (pas que je croie qu'il ait ses chances déjà à la base ni vu comment je l'ai pilé, m'enfin...).
Je reviens vers la pièce du fond et vois que Caroline est en train d'embrasser Aurélie à pleine bouche.
Elle c'est une Naturelle.
La scène est particulièrement érotique, et pourtant je suis pas impressionnable. Bon ça roule, mais va falloir faire vite.
En repartant à la recherche de Séverine, je croise un mec qui allait vers le fond. Videur-style
:
Je refais le tour, en commençant par les pièces du fond. Dans un coin un couple a le même genre d'idées, dans une autre salle ça emballe sévère. Qui a dit que les Versaillais(es) étaient coincés ?
Toujours pas de Séverine ? Je repense à ma recherche des Blondies, et je l'intercepte effectivement à la sortie des Toilettes. Merci pour le détail, Jibril, ça m'a permis de la retrouver avant que Caroline soit trop avancée.
Checklist pour le FClose
En songeant que décidément le momentum attire le momentum, je reprends doucement à ma complice le contrôle de la conversation, et je commence par blaster l'ASD (accidentellement ça DHVée et ça ancre notre activité multipartenaires comme un état désiré / EV): nous nous comprenons sur le fait que nous ne sous sentons pas prisonniers, que personne n'a à nous dicter ce que nous faisons, après tout ? Je demande à Aurélie ce qu'elle a contre. Rien, c'est juste... surprenant, dit-elle. Je patterne sur le sentiment de liberté, le truc de honteuse dont on avait parlé tout à l'heure, le délice et la fin de la honte et de la peur, etc. J'ancre bien que c'est naturel, que c'est la pureté et la force de l'émotion qui font peur, et qu'il y a au-delà une sécurité qui ne met pas en jeu l'égo ni de risques/conséquences comme à l'époque des cavernes malgre le mécanisme millénaire...
Je vois dans le regard de Caroline qu'elle comprend ma manoeuvre.
Je repense aux diverses sagesses tirées d'aRise, Jibril, Toine et Yoshi sur le contrôle de l'émotion dans la voix et la transe, et je m'arrange pour mettre la cible limite en transe.
Ensuite pour éviter que la LMR fasse front, je lui explique en quoi Caroline et Séverine méritent que. Suite à quoi, la futée Caroline me "Sexual Proofe" à son tour egalement, expliquant d'elle même toute la liste des caractéristiques alpha/secret society qu'il faut. Leader, je ne juge pas, attirant, doux, elles se sentent en parfaite confiance avec moi, merveilleux amant jamais connu un plaisir pareil (merci Tim Léonardi et l'Hypnose Eriksonienne) rien à craindre tout ça... Je me fais encenser. J'ai une pensée amusée, elle est tellement joueuse qu'elle aurait raconté ça même si elle pensait pas tout.

Ensuite je patterne à fond en lui racontant la première fois où nous avons fricoté à trois. Je lui décris le jeu mutuel, l'aspect parfaitement naturel, la chauffe progressive, les émotions et les sensations de leur point de vue (à cet effet du reste, j'ai bien fait d'en reparler avec elles).
Je sens qu'elle commence à chauffer grave, la petite Aurélie.
Caroline commence à lui décrire ce que ça fait de passer outre son ASD en embrassant une fille, lui parle d'une tendresse hallucinante, etc.
Elle a compris comment patterner, elle.
On dit souvent dans la communauté que les femmes ont le manuel pré imprimé. Et Caroline elle l'a bien lu et appris.
J'écoute avec attention, ça peut re servir, lol.
Je renchéris en rattaquant sur la liberté de vaincre l'ASD (enfin pas avec ce terme), de se sentir plonger dans un tourbillon de désir, à la fois vertigineux et en toute confiance, des sensations de sentir des personnes aimantes te caresser, etc.
Caroline commence à lui parler dans l'oreille, elle chuchotent.
Caroline Kiss Close
Elles me regardent. Caroline l'attrape par le cou pour lui parler à voix basse dans l'oreille. A leurs regards, je comprends qu'elle lui parle de moi.
Aurélie devient rouge. Elle en est à 4 coupes et un whisky. Caroline continue.
Elles se font des confidences.
Bon il s'agit pas de se rater.
Je regarde les deux sans ciller, avec bienfaisance et en projetant un maximum d'Attract, me lève dans un mouvement tout doux, et sors sans rien dire.
Je vais dans le couloir et je réfléchis. Caroline fait tout le boulot de séduction, à moi d'arranger le reste. Ce qui se résume essentiellement à : si on fait ça sans Séverine, ça va être Apocalypse Now.
Je vais donc faire un tour, mais je ne la trouve pas. Je panique, j'ai peur que ça tourne mal si on l'amène pas jouer. Je pense que Caroline va continuer à chauffer la délicieuse Aurélie, qui a une bien jolie bouche dans laquelle... enfin bref concentrons nous sur le névralgique.
En plus j'ai pas vu le Bachelor, merde j'espère que ce con-là n'y est pour rien (pas que je croie qu'il ait ses chances déjà à la base ni vu comment je l'ai pilé, m'enfin...).
Je reviens vers la pièce du fond et vois que Caroline est en train d'embrasser Aurélie à pleine bouche.
Elle c'est une Naturelle.
La scène est particulièrement érotique, et pourtant je suis pas impressionnable. Bon ça roule, mais va falloir faire vite.
En repartant à la recherche de Séverine, je croise un mec qui allait vers le fond. Videur-style

Quel enculé lol.M: Non ça va pas être possible, Monsieur, les pièces du fond sont interdites...
Je refais le tour, en commençant par les pièces du fond. Dans un coin un couple a le même genre d'idées, dans une autre salle ça emballe sévère. Qui a dit que les Versaillais(es) étaient coincés ?
Toujours pas de Séverine ? Je repense à ma recherche des Blondies, et je l'intercepte effectivement à la sortie des Toilettes. Merci pour le détail, Jibril, ça m'a permis de la retrouver avant que Caroline soit trop avancée.
Scene 3 : Le Dénouement
Last Minute Resistance
Je lui souris et lui dis "Viens", me retenant de jubiler, j'évite de trop faire le Korrigan avec elle (et les SHBs en général).
Je l'emmène à l'entrée de la pièce du fond, en essayant de calmer ma nervosité. Ses yeux s'aggrandissent.
Caroline a la main sous la courte jupe d'Aurélie.
J'attrape Séverine par la nuque. Faut pas qu'elle bouge.
Je vois sa bouche s'entrouvrir.
Qu'elle est belle.
Je la mets devant moi. Tendre complice, je l'embrasse dans le cou en la balançant.
Elle se retourne, me cornofulgure des yeux, et s'en va.
Je vais pour la rattraper, quitte à courrir pour une fois.
Elle veut voir, j'abats mes cartes
Je la sens se rasséréner.
Nous retournons vers la pièce. Je la laisse regarder un peu en la caressant, je la sens chavirer.
Nous entrons. J'entends au loin 'Oye mi canto'. Woooh-wo-hooo...
Je croise le regard chaviré d'Aurélie. Séverine va directement l'embrasser, tout doucement.
Je vois leurs trois paires de jambes gaînées... La perspective déchire.
Je souffle violemment. I Love this Fucking Game. Woooh-wo-hooo... V'la l'ancrage pour moi, lol.
Je referme la porte et fais faire un tour à la clé (vivent les locaux multi usages).
Foursome.
Last Minute Resistance
Je lui souris et lui dis "Viens", me retenant de jubiler, j'évite de trop faire le Korrigan avec elle (et les SHBs en général).
Je l'emmène à l'entrée de la pièce du fond, en essayant de calmer ma nervosité. Ses yeux s'aggrandissent.
Caroline a la main sous la courte jupe d'Aurélie.
J'attrape Séverine par la nuque. Faut pas qu'elle bouge.
Je vois sa bouche s'entrouvrir.
Qu'elle est belle.
Je la mets devant moi. Tendre complice, je l'embrasse dans le cou en la balançant.
Elle se retourne, me cornofulgure des yeux, et s'en va.
Je vais pour la rattraper, quitte à courrir pour une fois.
La High Self Esteem et l'Anti-Slut Defense, même celles d'une pure SHB hyper sensuelle et brillante ont leurs limites.M: Attends !
S, haletante : -
M, l'attire et lui parle doucement : Hey tout va bien. Quel est le problème ?
S: Vous avez fait exprès !
M: Shhh. Ecoute si tu me dis que c'est répréhensible, dis-moi pourquoi.
S: Je... je ne sais plus où j'en suis.
M: Tu peux tout arrêter quand tu veux. Claque des doigts et nous te suivons. Caroline et moi préférerions nous retirer du jeu que de te faire souffrir, et tu le sais.
Elle a les larmes aux yeux.
M: ~Tu peux faire confiance aux êtres qui t'aiment. *tiens sa main avec force*
S: Mais j'ai peur que tu restes avec moi seulement pour ça ! Et elle elle te veut !
M: J'étais avec toi avant ça, et je resterai avec toi même sans. Et même si jamais nous nous séparons, elle ne me mettra pas le grappin dessus sans ton autorisation, et idem pour moi. ~ En plus nous nous aimons beaucoup elle et moi, mais nous ne sommes pas dans une relation, tu le sais, ça n'a rien à voir avec toi et moi.
S: <Phenix>, on va trop loin.
M: Viens ici *Calin*. ~ Je sais que ce que tu ressens, c'est beaucoup émotionnellement, tu sais on en avait parlé. Le mécanisme avant le sexe, la résistance de dernière minute. Et c'est justement parce qu'il n'y aura pas de suite que c'est vertigineux.
S: Tu arrêterais vraiment tout si je te le demandais ?
M: Je te le jure, et tu sais que je ne promets rien qui ne soit avéré.
Elle veut voir, j'abats mes cartes
Je la sens se rasséréner.
J'étais sincère. Je pense qu'elle l'a senti.S: Je ne sais pas.
M: Est-ce que tu la trouves jolie, Aurélie ?
S: Oui. Et elle est adorable.
M: Tu l'aimes bien ?
S: Oui.
M: Tu sais qu'elle t'aime bien ?
S: Oui.
M: Tu aurais envie qu'elle te donne de la tendresse ?
S: Tu es un horrible manipulateur ! Arrête ce jeu !
M: Non. Si on joue c'est tous les trois ou pas du tout !
Je lui tends la main. Doigts entrecroisés. Elle se laisse faire par ma Projection Emotionnelle.M: Et c'est toi qui décides de tout.
S: Tu la veux ?
M: C'est toi que je veux. ~ Le reste c'est autre chose. C'est agréable émotionnellement et physiquement, mais c'est avec toi que je veux construire, et je ne me vois pas entretenir trois épouses... ou plus si Caroline continue comme ça...
S: lol. J'ai peur. ~ C'est beaucoup.
M, *lui parle à deux centimètres* : C'est parce que nous t'aimons que tu ne risques rien. Allons-y tout doucement.
Nous retournons vers la pièce. Je la laisse regarder un peu en la caressant, je la sens chavirer.
Nous entrons. J'entends au loin 'Oye mi canto'. Woooh-wo-hooo...
Je croise le regard chaviré d'Aurélie. Séverine va directement l'embrasser, tout doucement.
Je vois leurs trois paires de jambes gaînées... La perspective déchire.
Je souffle violemment. I Love this Fucking Game. Woooh-wo-hooo... V'la l'ancrage pour moi, lol.
Je referme la porte et fais faire un tour à la clé (vivent les locaux multi usages).
Foursome.
Epilogue
Le lendemain.
GAME OVER.
Aftermath
A voir ce que j'y ai perdu, je ne sais pas si ça le valait. J'ai perdu (sans doute pour de bon) ma petite amie préférée que je commençais vraiment à aimer pour de bon. J'adorais tout avec elle, pas seulement le sexe. J'ai perdu aussi un threesome hebdomadaire et deux personnes géniales, que j'aurais aimé garder dans ma vie à un titre ou à un autre. Il y avait diverses raisons, mais le déclencheur était que j'avais poussé trop loin.
Je déteste les limites de ce jeu, je veux les repousser plus loin.
Ce qu'Edith avait dit, de fil en aiguille pendant la soirée, m'a fait repenser au chemin parcouru.
L'ironie ma frappé, pour situer, au moment précis où Caroline m'a guidé dans Aurélie que Séverine embrassait.
Il y avait pile un an, à la même date, à la même heure, anéanti, je m'écroulais à terre en sanglots en comprenant que c'était la fin de mon mariage et de ma vie telle que je l'avais construite.
Là, j'avais sous les yeux une perspective pour le moins différente.
J'ai accompli énormément de chemin cette année, et je tiens à en remercier tous les membres de la communauté.
Je ne sais pas jusqu'où j'irai, jusqu'où je pourrai repousser les limites du Jeu, le plus loin possible sans doute.
Autant qu'il me sera possible, les miennes, et même les limites de la capacité maximale de notre communauté si je le peux.
Même si Le Jeu est parfois cruel et insensé, j'ai décidé d'en devenir le Maître. Plus jamais le contraire.
Pour ne jamais revenir un an en arrière.
Pour que la prochaine Séverine ne s'enfuie pas, pour peut-être que j'aie la sagesse de ne pas l'entraîner trop loin...
Parce que j'Aime ce Putain de Jeu, parce que c'est le chemin de la Source et de tant de choses.
Alors... Je sais pas pour vous, mais moi, demain, je sarge. Au plus tard.
Et puis j'ai le numéro d'Aurélie.
SAME PLAYER,
SHOOT AGAIN.
Phenix
Voix de mec: Hé là porte est coincée !
Y a que la porte qu'est coincée, vu ce que j'ai autour, là, mec.
Mais désolé, qui que tu sois pas de Full aux Dames ce soir.
M: On voudrait un peu d'intimité !
Voix : Ah, c'est vous !
Putain le bachelor. Il a du se ramasser une petite qu'il voulait entrainer dans un coin sombre.
Voix, amusée : Bon ! Hmm... Alors... amusez-vous bien !
MDR. On t'avait pas attendu.
Je sais pas s'il fantasme ou s'il est incapable d'imaginer ce qui se passe de ce côté de la porte...
J'embrasse Séverine qui s'est retenue d'éclater de rire, en pensant que ce brave gars vient de me donner la citation de fin de mon FR. LFG.
Le lendemain.
Elle réfléchit.S: Ecoute je trouve que c'est trop. Je voudrais qu'on arrête.
M: Ok, nous l'avions accepté par avance.
S: Je veux dire, même toi et moi. Je voudrais prendre de la distance.
M: Tu n'as rien à te reprocher.
S: Je sais, mais j'ai besoin de réfléchir sur moi, de prendre du recul.
M: Don't Hate The Player. Hate The Game.
Ouch mon tête.S: Tu as raison. Mais pour le moment, je me sens mal, et j'ai peur...
M: Nous jouons dans ton camp, et tu n'as rien à craindre de nous.
S: (...) ~ Je sais, je vous aime, tu sais. C'est moi qui ai besoin de me retrouver seule face à moi-même.
M: Tu es sur que tu veux nous éloigner ?
S: Toi oui.
GAME OVER.
Aftermath
A voir ce que j'y ai perdu, je ne sais pas si ça le valait. J'ai perdu (sans doute pour de bon) ma petite amie préférée que je commençais vraiment à aimer pour de bon. J'adorais tout avec elle, pas seulement le sexe. J'ai perdu aussi un threesome hebdomadaire et deux personnes géniales, que j'aurais aimé garder dans ma vie à un titre ou à un autre. Il y avait diverses raisons, mais le déclencheur était que j'avais poussé trop loin.
Je déteste les limites de ce jeu, je veux les repousser plus loin.
Ce qu'Edith avait dit, de fil en aiguille pendant la soirée, m'a fait repenser au chemin parcouru.
L'ironie ma frappé, pour situer, au moment précis où Caroline m'a guidé dans Aurélie que Séverine embrassait.
Il y avait pile un an, à la même date, à la même heure, anéanti, je m'écroulais à terre en sanglots en comprenant que c'était la fin de mon mariage et de ma vie telle que je l'avais construite.
Là, j'avais sous les yeux une perspective pour le moins différente.
J'ai accompli énormément de chemin cette année, et je tiens à en remercier tous les membres de la communauté.
Je ne sais pas jusqu'où j'irai, jusqu'où je pourrai repousser les limites du Jeu, le plus loin possible sans doute.
Autant qu'il me sera possible, les miennes, et même les limites de la capacité maximale de notre communauté si je le peux.
Même si Le Jeu est parfois cruel et insensé, j'ai décidé d'en devenir le Maître. Plus jamais le contraire.
Pour ne jamais revenir un an en arrière.
Pour que la prochaine Séverine ne s'enfuie pas, pour peut-être que j'aie la sagesse de ne pas l'entraîner trop loin...
Parce que j'Aime ce Putain de Jeu, parce que c'est le chemin de la Source et de tant de choses.
Alors... Je sais pas pour vous, mais moi, demain, je sarge. Au plus tard.
Et puis j'ai le numéro d'Aurélie.
SAME PLAYER,
SHOOT AGAIN.
Phenix
Voix de mec: Hé là porte est coincée !
Y a que la porte qu'est coincée, vu ce que j'ai autour, là, mec.
Mais désolé, qui que tu sois pas de Full aux Dames ce soir.
M: On voudrait un peu d'intimité !
Voix : Ah, c'est vous !
Putain le bachelor. Il a du se ramasser une petite qu'il voulait entrainer dans un coin sombre.
Voix, amusée : Bon ! Hmm... Alors... amusez-vous bien !
MDR. On t'avait pas attendu.
Je sais pas s'il fantasme ou s'il est incapable d'imaginer ce qui se passe de ce côté de la porte...
J'embrasse Séverine qui s'est retenue d'éclater de rire, en pensant que ce brave gars vient de me donner la citation de fin de mon FR. LFG.