quinteflush a écrit :Je ne trouve pas cette question si inintéressante que ça dans la mesure où elle traduit une inquiétude (infondée certainement au vue des réponses données) qui peut freiner la pratique du game. Comme j'ai pu le lire dans un article (je ne sais plus où désolé) la "peur de l'approche" vient principalement du fait qu'on a peur de l'inconnu, peur de ce qui va se passer dans une situation qu'on a pas encore vécu. En somme, demander quoi faire après un close c'est un peu dire qu'on a peur de réussir... et en prendre conscience est à mon avis une piste pour la dépasser.
La peur de la réussite, la peur de l'échec, et la peur de l'inconnu sont - comme l'indique leurs noms - différentes par leur origine. Faut pas tout mélanger. Même s'il est impossible d'analyser sur le coup les structures inconscientes qui nous bloquent (sinon elles seraient plus inconscientes...) il est important de bien cibler son blocage.
Une peur de l'inconnu ? On étend sa zone de confort par de la pratique.
Une peur de l'échec ? On relativise, les hbs y en des millions. Et on s'appuie sur du canned stuff (avec une bonne béquille on se pète pas la gueule, parole de débutant)
Une peur de la réussite ? Quoi vous avez peur de réussir ? Vous vous êtes enfermé dans une image de looser ? On reframe ! (en suivant des exercices de développoment personnel si besoin est)
Faut êtes congruent, si l'on séduit c'est parce que l'on dégage de la confiance, et si on dégage de la confiance c'est parce que l'on sait où l'on va, qu'on a transformé sa peur en stress moteur.
Donc, un close dont on sait pas quoi faire risque pas d'aller très loin.